Le musée de la ville de Méran en Italie qui faisait autrefois partie de l’empire austro-hongrois et où l’impératrice Sissi aimait venir en villégiature, expose un morceau de gâteau que l’impératrice avait goûté lors d’un séjour voici 118 ans et qui avait été conservé de génération en génération par la famille des pâtissiers locaux… (Merci à Anne P. – Copyright photo : Tourisme de Meran)
Auberi
10 décembre 2015 @ 10:21
Beurk ! Quelle horreur… ok pour la relique mais encore faut-il que cela soit vrai quand on connait le rapport compliqué de l’impératrice avec la nourriture… Il y a peut-être un peu de salive sacrée déposée dans ce gâteau, des preuves ! Des preuves !
clementine1
10 décembre 2015 @ 17:03
bien d’accord avec vous : des preuves !
Mary
10 décembre 2015 @ 10:38
Fétichisme !
Mary
10 décembre 2015 @ 10:40
Fétichisme ! Encore heureux qu’on n’ait pas conservé un mouchoir non lavé !
Antoine
10 décembre 2015 @ 18:22
Vous savez, Mary, en matière d’objets non lavés les fétichistes conservent parfois bien pire… Pour en revenir à la pâtisserie, les parts de gâteaux de mariage anglais se conservent aussi très bien durant des décennies. Et leur couleur est plus suave.
Mary
12 décembre 2015 @ 14:17
Sans doute Antoine,mais on n’a pas mordu dedans !
septentrion
11 décembre 2015 @ 21:10
Bonsoir Mary,
Mme MAYER, propriétaire de l’hôtel BEAU-RIVAGE de Genève conserva justement un mouchoir ( il me semble qu’il était taché de sang) de Sissi suite à son assassinat.
Mary
12 décembre 2015 @ 14:22
Brrrr….
Un peu sinistre,vous ne trouvez pas?
Moi,je conserve lettres d’amour et fleurs séchées…mon côté midinette?
Bon week- end a vous Septentrion.
Mary
12 décembre 2015 @ 14:22
Pardon : à vous.
Mayg
10 décembre 2015 @ 13:17
Un gâteau peut se conserver aussi longtemps ?
Camille
10 décembre 2015 @ 16:51
Si le gâteau en question avait été à la crème, je doute qu’il ait pu être conservé aussi longtemps !
Gérard St-Louis
10 décembre 2015 @ 17:05
Je suis surpris qu’il ne soit pas vert, avec du poil et qui se promène seul sur la table…
Tessa
10 décembre 2015 @ 17:19
C’est de la poussière maintenue par des toiles d’araignée ?
N’importe quoi.
alain Golliot
10 décembre 2015 @ 18:58
alors, là, on est au top du ridicule….ce n’est plus du souvenir, mais la porte ouverte aux microbes….
Laure
10 décembre 2015 @ 19:01
Comment peut-on conserver une douceur pour plus d’un siecle?? Priere de m’en renseigner.
Francine du Canada
10 décembre 2015 @ 20:38
Hahahahaha! Pardon mais… sans vouloir offenser personne, je trouve ça ridicule ;-) FdC
vieillebranche
10 décembre 2015 @ 21:40
je serais intéressée ( un peu fétichiste) par la recette reconstituée de ce gâteau?!
merci beaucoup à ceux qui auraient des renseignement à ce sujet.
Sylvie-Laure
11 décembre 2015 @ 06:58
Vous savez dans ce Pays, la mode est à la conservation. Nourriture goutée par un(e) royal(e) mais aussi, coeur royal, ou autre organe d’un Hasbourg, qui est placé dans une boite en or, ou autre, et qui se promène toute sa vie, avant d’être « conservé » religieusement, dans un monastère… ou un palais royal. En Roumanie, aussi. Bref, ce n’est pas pour moi, un geste que j’apprécie. Ces coutumes ancestrales ou mortifères, qui à mes yeux sont absurdes, et antiques
Pour en revenir, quand même au sens de cet article, qui concerne gastronomie, mieux patisserie, j’ai meilleur goût d’acheter des petits articles en pain d’épices, ou étoiles et gateaux en canelle, sucre glace, et petites douceurs sucrées et jolies, qui se conservent bien, mais une fois la boite ouverte, ou le sachet voient leur contenu disparaitre dans des bouches bien gourmandes. Et ce dans le mois qui suit l’achat…;)
ludomarc
12 décembre 2015 @ 21:10
sans doutes avez vous raison, mais le fait meme d’oculter la mort, ou le passe n’est ce pas la. le plus terrible,
clement
11 décembre 2015 @ 18:12
ce gâteau semble un peu étouffe-chrétien, quant à conserver un mets que l’impératrice a dû à peine toucher c’est de l’idolâtrie à la limite malsaine ….( On peut garder une lettre ,un tissu ,une photo à la rigueur comme souvenir ce peut être émouvant….)
ludomarc
12 décembre 2015 @ 11:12
Je trouve pour ma part, cette « relique » fascinante. Je l’imagine il y a maintenant bien longtemps servie encore tiède à cette Impératrice de roman, à l’âme si torturée mais qui fut à son époque Impératrice d’Autriche, Reine de Hongrie etc …
L’a telle apprécier, n’était il pas très bon? Personne ne peut plus l’affirmer aujourd’hui, laissons notre imagination divaguer et suivre ses intuitions.
Pour moi c’est un instantané d’anciennes et de furtives émotions d’une époque révolue depuis bien longtemps. C’est comme lorsque l’on regarde une ancienne photographie de l’époque, que c’est il passé juste après la pose et la prise du cliché. Bien sur, le sujet, c’est levé et est partit vers son destin. Mais après ?
C’est un peu comme, la rose séchée que l’on retrouve accompagnée d’un billet doux anonyme, entre les pages d’un vieux livre, comment s’est finie l’histoire, simple amourette, ou cet amour a-t-il engendré une nombreuse et heureuse ou peut être triste descendance? Nul de peut plus le dire mais notre émotion du nomment peu suivre son instinct et vagabonder à son grés.
Il est pour moi fabuleux d’avoir pu concerver après tant d’années ce frêle et si fragile morceau d’histoire (et non pas de gâteau cramoisi), dont les restes étaient destinés, je suppose, à être jetés juste après la réception.
septentrion
12 décembre 2015 @ 11:52
Bonjour ludomarc,
Merci pour cette part de nostalgie si bien décrite,
Bon week-end à vous,
Cdt,
ludomarc
12 décembre 2015 @ 19:21
merci beaucoup
Lili.M
13 décembre 2015 @ 09:54
Je croyais que l’impératrice obsédée par sa ligne ne mangeait pas grand chose !
Goûter à un gâteau est vraiment surprenant de sa part .