Merci à Régine d’attirer notre attention sur cette exposition qui, personnellement, n’avait pas attiré mon attention.
Bien sûr, le musée du Cinquantenaire est fermé le jour de Noël mais j’irais bien ce w-e car j’ai été voir sur le site du musée et elle a l’air intéressante.
Elle s’organise en 12 salles, chacune d’entre-elles symbolisant une des 12h de la nuit, pendant laquelle le soleil effectue son trajet vers sa résurrection quotidienne .
Ce qui me séduit particulièrement est qu’un labo.de restauration, vitré et visible par les visiteurs, permet de voir une équipe de l’instituto europeo del restauro d’Ischia en train de restaurer un des sarcophages de Deir-El-Bahari.
Il paraît qu’on peut coupler cette expo.avec celle consacrée aux 100 ans de fouilles en Égypte, présentée dans le même musée.
Cette exposition mérite vraiment d’être visitée. Elle est divisée en douze salles lesquelles font référence aux douze heures de la nuit correspondant au trajet du soleil vers sa résurrection quotidienne.
On y découvre l’évolution des sarcophages depuis les caisses funéraires non décorées de la période protohistorique aux cercueils amplement ornés des époques ultérieures. Une salle est également consacrée aux momies, notamment des sarcophages d’animaux.
Beaucoup de pièces quittent pour la première fois leur réserve pour le plus grand plaisir des visiteurs. J’ai été séduit par cette exposition et pense même y retourner avant sa fermeture en avril.
Une exposition intéressante, qui présente l’évolution des pratiques funéraires de l’Egypte antique de manière chronologique. L’exposition est à la fois très pointue et très accessible (beaucoup d’activités dans les salles à destination des plus jeunes : bricolages, animations vidéo…). La scénographie est bien pensée et met en valeur des pièces retrouvées dans les réserves du musée. Certaines de ces pièces sont exposées pour la première fois. Une expo à ne pas manquer!
Ah tiens, merci de l’info. Vais me faire un p’tit tour à Bruxelles.
D’abord, je vais à la Mort Subite, puis direction cette expo.
Le labo de restauration m’intéresse beaucoup.
Est-ce qu’il y a aussi un labo de thanatopraxie ? Ca, ça serait très drôle aussi.
Les Egyptiens étaient quand même des maîtres en la matière.
Mais ‘faudrait prévoir le SAMU à côté, car des tas de gens ne supporteraient pas la chose !
DEB
25 décembre 2015 @ 07:59
Merci à Régine d’attirer notre attention sur cette exposition qui, personnellement, n’avait pas attiré mon attention.
Bien sûr, le musée du Cinquantenaire est fermé le jour de Noël mais j’irais bien ce w-e car j’ai été voir sur le site du musée et elle a l’air intéressante.
Elle s’organise en 12 salles, chacune d’entre-elles symbolisant une des 12h de la nuit, pendant laquelle le soleil effectue son trajet vers sa résurrection quotidienne .
Ce qui me séduit particulièrement est qu’un labo.de restauration, vitré et visible par les visiteurs, permet de voir une équipe de l’instituto europeo del restauro d’Ischia en train de restaurer un des sarcophages de Deir-El-Bahari.
Il paraît qu’on peut coupler cette expo.avec celle consacrée aux 100 ans de fouilles en Égypte, présentée dans le même musée.
Damien B.
25 décembre 2015 @ 09:25
Cette exposition mérite vraiment d’être visitée. Elle est divisée en douze salles lesquelles font référence aux douze heures de la nuit correspondant au trajet du soleil vers sa résurrection quotidienne.
On y découvre l’évolution des sarcophages depuis les caisses funéraires non décorées de la période protohistorique aux cercueils amplement ornés des époques ultérieures. Une salle est également consacrée aux momies, notamment des sarcophages d’animaux.
Beaucoup de pièces quittent pour la première fois leur réserve pour le plus grand plaisir des visiteurs. J’ai été séduit par cette exposition et pense même y retourner avant sa fermeture en avril.
Leonora
25 décembre 2015 @ 21:53
Une exposition intéressante, qui présente l’évolution des pratiques funéraires de l’Egypte antique de manière chronologique. L’exposition est à la fois très pointue et très accessible (beaucoup d’activités dans les salles à destination des plus jeunes : bricolages, animations vidéo…). La scénographie est bien pensée et met en valeur des pièces retrouvées dans les réserves du musée. Certaines de ces pièces sont exposées pour la première fois. Une expo à ne pas manquer!
Leonor
26 décembre 2015 @ 14:44
Ah tiens, merci de l’info. Vais me faire un p’tit tour à Bruxelles.
D’abord, je vais à la Mort Subite, puis direction cette expo.
Le labo de restauration m’intéresse beaucoup.
Est-ce qu’il y a aussi un labo de thanatopraxie ? Ca, ça serait très drôle aussi.
Les Egyptiens étaient quand même des maîtres en la matière.
Mais ‘faudrait prévoir le SAMU à côté, car des tas de gens ne supporteraient pas la chose !