Faisant suite à l’article consacré à la recette des oeufs Drumkilbo dont raffolait la reine mère, ce livre contenant les recettes des plats préférés de la reine mère ainsi que des anecdotes de sa vie écossaise notamment dans son château de Mey, paru en 2011 et préfacé par son petit-fils le prince Charles. Cliquez ici pour en voir quelques pages. (Un grand merci à Michèle)
Gustave de Montréal
8 janvier 2016 @ 12:46
Publication tout à fait niaise.
Louise Clotilde
8 janvier 2016 @ 13:46
Miam miam, j’adore la nourriture, les fêtes ont été géniales pour moi
Marc
8 janvier 2016 @ 19:41
Il est intéressant de noter que le prince Charles a préfacé l’ouvrage ès qualités de duc de Rosethay et non de prince de Galles. Il utilise ce titre, avec d’autres titres écossais, lorsqu’il est en Ecosse.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Duc_de_Rothesay
Leonor
8 janvier 2016 @ 23:51
C’est une cuisine assez simple, tout ça. Pas déplaisante quand on n’a pas de goûts sophistiqués, mais rien d’extraordinaire.
Tiens, je vais sortir mes grands standards, et en faire un bouquin.
Mais je ne suis pas la Reine-Mère …
Alain Golliot
9 janvier 2016 @ 06:11
Et bientot, il y aura « a la table de Margarita de Roumanie » … Tout est bon pour faire de l’argent.
Leonor
9 janvier 2016 @ 10:21
Ca s’appelle aussi en faire tout un plat.
Ogier le Danois
9 janvier 2016 @ 23:49
Du prévu je vois que la reine-mère préférait écrire les menus de ses répas en français.
Vous avez peut-être lu l’histoire dejà, que pendant une visite d’était en France son plus grand souhait était de visiter un ordinaire bistro français. C’est jugé impossible de laisser la reine du Royaume-Uni visiter un bistro parisien comme quelqonque mortel. Alors les autorités français ont loué un bistro entier pour le soir et donné l’ordre aux tous les policiers employé pendant la visite royale de se rendre en civil avec leurs femmes à ce bistro ce soir et prétendre étant des Français ordinaires dînant au bistro du coin. Et la reine-mère se a amusé gayement, qu’elle ait compris l’arrangement ou non !
Ogier le Danois
9 janvier 2016 @ 23:55
Correction: visite d’État
Elle a apprecie la France pas seulement en tant qu’Écossaise (the auld alliance !) et bonne vivante, mais peut-être aussi en souvenir de son frère Fergus mort au cours de la Grande Guerre pour l’Entente cordiale.
Ogier le Danois
10 janvier 2016 @ 00:04
Et alors allô, quand je y pense, la reine-mère et madame Fanny m’ont toujours semblaient très similaire……..:-)
https://www.youtube.com/watch?v=fQZ8P-uKFBc
D’une série danoise (« Matador ») un peu plus sérieuse, il y a madame Fernando Møghe, la grande dame du bourg Korsbæk, qui est morte pour le Danmark en plein combat contre les Allemands, que sa fille Misse craignait moins que sa formidable mère, me semble aussi du même type !
https://www.youtube.com/watch?v=7fSIfPMQ6-M
JAusten
10 janvier 2016 @ 10:33
merci Monsieur-puit-d’anecdotes ! Je ne connaissais pas du tout celle du bistro parisien ! La reine-mère savait-elle que « bistro » était un mot tiré du russe ?
Ogier le Danois
10 janvier 2016 @ 13:51
Je ne crois pas que la reine-mère raffolait d’étymologies !
Je croyais aussi que « bistro » viendrait du russe, mais il semble que c’est un mythe. Wiktionary écrit:
Bistro
(1892) Origine obscure.
« Il s’agit vraisemblablement d’un régionalisme importé à Paris au XIXe siècle d’où il s’est diffusé à travers la France. Peut-être du poitevin bistraud « petit domestique » puis « marchand de vins ». On pense aussi à bistrouille qui désignait un mélange de café et de vin dans le nord de la France, bistringue, bastringue d’origine tout aussi obscure. On l’a rapproché au mot argotique bistingo « cabaret », ce qui est peu vraisemblable dans la mesure où le sens premier historique n’était pas l’établissement, mais le tenancier.
Enfin, on lui prête une étymologie fantaisiste mais suffisamment plaisante pour être citée : le mot proviendrait du russe быстро, bistro (« vite »), mot que l’on prête aux Cosaques stationnés à Paris en 1814 et qui auraient ainsi apostrophé les cafetiers. Toutefois, le mot « bistrot » n’est attesté en France que depuis la fin du XIXe siècle. »
« Bistrouille » – mélange du café et du vin – beurk !
Ma source pour l’anecdote sur la reine-mère au bistro sont les livres de Richard Herrmann, ancien correspondent norvégien à Londres.
JAusten
10 janvier 2016 @ 15:52
en France on dit toujours « d’origine obscure » quand la provenance ne nous convient pas :)