En 1725, Marie Leszczynska, fille du roi Stanislas de Pologne épouse le roi Louis XV. En s’installant à Versailles, elle est suivie par son pâtissier personnel Stohrer. Cinq années plus tard, Nicolas Stohrer ouvre une pâtisserie dans le 2ème arrondissement de paris au n°51 de la rue Montorgueil. Le magasin qui est aujourd’hui devenu une pâtisserie et un traiteur, a longtemps préparé et inventé les desserts pour la Cour en France.
Une charlotte aux fraises
Une autre spécialité : les éclairs au chocolat
Roselila
14 janvier 2016 @ 07:45
Charlotte aux fraises ou aux fruits rouges car je vois de nombreuses framboises, quelques mûres, myrtilles et une grappe de groseilles rouges ?
Francine du Canada
15 janvier 2016 @ 03:28
En effet Roselila, il n’y a pas une seule fraise dans cette charlotte ;-) FdC
antoine manos
14 janvier 2016 @ 08:18
Un piege ã touristes sans aucun interet pour les puristes …. De plus le personnel est desagreable et les prix prohibitifs …..:-(((((
Arielle
14 janvier 2016 @ 09:30
Antoine manos : merci pour le tuyau !
Nicole C 34
14 janvier 2016 @ 10:25
On sent le client mécontent, vous avez raison de nous faire part de votre avis .
Zeugma
14 janvier 2016 @ 12:25
« Le personnel est désagréable » (sic) écrivez-vous.
Je n’ai jamais constaté cela.
Vous-même, êtes-vous sûr de ne pas être un client désagréable ? Il y en a.
« piège à touristes » ? Si c’était vrai, les gens du quartier n’y viendraient pas.
Stohrer cohabite très bien avec plusieurs boulangeries voisines qui ont naturellement un style différent, heureusement.
MIKA
14 janvier 2016 @ 18:00
Nous avions déjà parlé sur ce site des grandes Patisseries, à Paris et dans les grandes villes… où la qualité des ingrédients n’est pas toujours là, l’ajout de multiples colorants et additifs, de fruits traités et j’en passe…
et je ne parle pas des prix déraisonnables…
mais tant qu’ils ont des clients à qui tout cela convient !!
Zeugma
17 janvier 2016 @ 11:04
Mika, vous n’êtes manifestement jamais allée chez Stohrer.
Laurent F
14 janvier 2016 @ 10:08
Le baba au rhum est à tomber par terre ! Elizabeth II s’y sert en chocolat
Zeugma
14 janvier 2016 @ 10:20
J’habite à quelques mètres de la pâtisserie Stohrer et y vais très souvent.
Je peux donc en parler en connaissance de cause.
C’est d’abord une très belle boutique qui a conservé son décor ancien.
Un superbe lustre en Venise a été ajouté au plafond il y a quelques années.
Les gâteaux sont excellents. Les plus simples sont les meilleurs : tarte fine aux pommes (merveilleuse), tarte aux pommes à la crème chiboutz, Babas, éclairs (très réputés), le fameux « puit d’amour » etc etc …. Il y a aussi d’excellentes viennoiseries.
Tout à l’heure, je vais d’ailleurs y chercher un galette des rois (version brioche).
Il règne encore rue Montorgueil une ambiance de village. Les commerçants et les habitants du quartier se connaissent et s’apprécient.
Les vendeurs de Stohrer sont très aimables.
Ils y travaillent souvent depuis de très nombreuses années et entretiennent d’excellentes relations avec les clients. Quelquefois il y a beaucoup de monde et ils font face.
Les prix ?
Ce n’est pas hors de prix. C’est le prix qu’il faut payer pour la qualité des produits et le travail artisanal.
J’espère que le quartier Montorgueil conservera toujours la vocation qui est la sienne depuis le moyen-âge : commerces de bouche (boucherie, fromagerie et crèmerie, boulangers, cavistes …), cordonnerie (Il y en a une – excellente – à proximité de Stohrer, quincaillerie, que sais-je encore ?
(Il y a la menace des « fast food » contre laquelle le quartier est mobilisé.)
C’est par cette rue que de solides chevaux passaient pour aller chercher la marée à Boulogne et approvisionner Paris en poissons et crustacés.
Les touristes viennent nous photographier car il n’en existe pas de rues équivalentes dans d’autres grandes villes du monde. C’est unique.
(Puisque nous sommes sur « Noblesse & royautés », il faut rappeler que la reine est venue rue Montorgueil le 6 avril 2004 et qu’elle a reçu un superbe oeuf de Pâques des mains du patrons de Stohrer à cette occasion.)
Danielle
14 janvier 2016 @ 11:10
Zeugma, merci pour votre reportage.
Leonor
15 janvier 2016 @ 01:05
Même merci que Danielle, Zeugma. Au programme pour ma prochaine virée parisienne !
Ami des Bataves
15 janvier 2016 @ 12:53
Quand vous serez remise de votre virée en Angleterre ? Où je n’ai pas été invité.
Leonor
16 janvier 2016 @ 15:33
??
Ami des Bataves
17 janvier 2016 @ 09:48
Vous avez dû zapper le Week End en Angleterre, mis en ligne il y a quelques jours par Régine, payé par Porky Porky et organisé par Palatine pour N&R. Pourtant vous étiez aux commandes et ne m’avez pas invité vous et JAusten.
Claude MARON
14 janvier 2016 @ 12:54
Tiens, vous connaissait la « chibboutz » aussi ? J’adore cette tarte, soit aux pommes ou aux poires. En Belgique, à la période de la rhubarbe, on fait des « condoeuvre » qui y ressemble un peu, c’est une mousse à base de jaunes d’oeufs.
Leonor
15 janvier 2016 @ 01:07
Je ne connaissais pas » la tarte chiboutz ».
Ca a l’air fameux.
http://www.marmiton.org/recettes/recette_tarte-aux-pommes-a-la-creme-chiboust_86765.aspx
Quelle est l’origine de ce nom ? Quelqu’un le sait-il ?
Corsica
15 janvier 2016 @ 08:57
Leonor,
La crème Chiboust -autre nom de la crème Sainte-Honoré- a été inventée en 1846 à Paris par le pâtissier Chiboust.
Pour en revenir à la pizza frite, hier en allant à Paestum, nous parlions cuisine avec notre chauffeur de taxi et spontanément il nous a demandé si nous avions déjà goûté à la pizza frite que l’on trouve dans toute les épiceries du centre historique et que les Napolitains mangent en en-cas à toute heure de la journée. Il nous parlait avec tant d’émotion de cette pizza faite avec de la ricotta, de la mozarella, du jambon blanc, du basilic et du poivre qu’il nous a donné envie d’y goûter ! Par contre, je passerai mon tour pour la pizza frite au chocolat, cela me semble trop riche.
Cordialement
Corsica
Dame Tartine
15 janvier 2016 @ 12:56
Voilà ce que j’appelle un scoop. Les ingrédients m’étonnent. J’aurais imaginé quelque chose de plus simple.
Leonor
15 janvier 2016 @ 17:20
Discussion entre gourmandes, mais le cercle est ouvert.
Merci pour les informations sur la crème Chiboust, d’abord.
Ensuite : vous étiez à Paestum hier !
L’un de mes fils, à 6 ans tout juste, était tombé raide dingue de Paestum . Il était resté paralysé et sans voix devant le site – exceptionnelle, la paralysie …. – . Pendant des mois ensuite, il ne cessait de dessiner des temples grecs avec tous les détails, et des petits personnages autour. Petits, tout petits les personnages ….
Je note la suite des anecdotes sur la pizza. Les nourritures maternelles …. Equivalentes à la madeleine de Proust.
Bonne poursuite de voyage, Corsica.
Esquiline
16 janvier 2016 @ 00:06
Corsica, puisqu’on en parle dans l’article, ne manquez pas de déguster le vrai baba napolitain, un délice.
Le petit plongeur était-il déjà de retour à Paestum après son séjour à Milan? Je l’espère pour vous.
Corsica
16 janvier 2016 @ 08:15
Esquiline, à mon grand regret le petit plongeur était encore en voyage… Heureusement, je l’avais déjà vu il y a quelques années mais j’ai eu une pensée pour ceux dont c’était la premiére visite.
Je ne suis pas portée sur les desserts mais j’adore les babas. Naples est donc la ville idéale pour mon péché mignon : j’en mange un mini chaque jour mais si je me laissais aller à mon vice, j’en engloutirais volontiers une bonne dizaine !
Corsica
17 janvier 2016 @ 10:31
Merci Leonor.
Corsica
16 janvier 2016 @ 08:17
Leonor, je comprends votre fils. La beauté et la majesté de ces temples perdus au milieu des cyprès et des oliviers me laissent toujours profondément émue. Il me reste quatre jours pour profiter des merveilles de cette ville et de sa région.
Leonor
16 janvier 2016 @ 15:35
Encore bon séjour, Corsica.
Juliette d
14 janvier 2016 @ 15:46
La devanture de cette boutique ressemble beaucoup à quelques-unes de la rue de Buade à Québec, et sur quelques-autres rue piétonnes tout au bas du Château Frontenac. Dire que c’est unique au monde…., j’en ai d’ailleurs vu ailleurs en Europe des rues pittoresques.
Puisque vous avez visité les plus belles villes du monde et dormi dans les meilleurs hôtels, je me permets de vous demander, Zeugma, si vous êtes déjã venu à Québec et dormi au Château Frontenac qui a étė entièrement refait, redécoré et mis au goût du jour il y a un an. Y dormir face au fleuve St-Laurent, apercevoir l’Ile Orléans, les montagnes Apalaches tout en dégustant leur incroyable brunch, je vous le souhaite. J’y étais la semaine dernière.
Zeugma
15 janvier 2016 @ 10:49
Juliette,
Puisque vous me posez la question : oui, je suis allé à Québec et descendu à l’hôtel Frontenac.
C’est un beau bâtiment impressionnant qui domine la ville.
J’avais une grande chambre avec une belle vue sur le Saint Laurent.
Je classe les hôtels en deux catégories : ceux où tout est pratique et les autres.
Curieusement, ma chambre au « Frontenac » – pourtant très grande – n’était pas pratique du tout. Il n’y avait aucun rangement. C’est comme si la chambre avait été conçue pour des voyageurs sans bagages. La salle de bains était vieillotte. J’ai dû appelé le plombier de l’hôtel (très efficace) pour venir fermer le robinet de la baignoire : intervention manifestement routinière.
Beaucop de touristes viennent visiter cet hôtel et j’ai donc eu l’impression d’habiter un caravansérail.
J’aime les hôtels protégés des visiteurs comme c’est le cas au « Pierre » à New York ou au « One Aldwich » à Londres où j’étais la semaine dernière.
Vous me dîtes que l’hôtel a été rénové. Il en avait bien besoin !
J’aime bien Montréal. Je logeais la dernière fois dans un hôtel très bien – dont j’ai oublié le nom – et qui, en plus, n’était pas très cher.
A Ottawa, j’étais au « Château Laurier », très bel hôtel mais où, à l’instar du « Frontenac », les chambres manquent de rangement.
Pour terminer : Québec est une ville pittoresque mais il n’y a pas l’équivalent de la rue Montorgueil. Paris c’est Paris ………
Juliette d
15 janvier 2016 @ 15:10
Zeugma, il vous faut absolument revenir au Châteay Frontenac. Justement hier soir, on nous a présentė une émission sur les rénovations qui ont durė presque 2 ans et durant lesquelles l’hôtel ã été fermé pendant une longue période
Je suis certaine qui vous y trouveriez maintenant de grands placards et beaucoup de tiroirs pour y ranger vos « hardes » et une chambre de toilette grande et ultra-moderne comme il n’y avait pas dans le dernier 4 étoiles de Paris où nous avons logé et qui venait de rouvrir après une année de rénovation. Nous devions faire de la contorsion pour ne pas se marcher sur les pieds, un placard avec 4 cintres, et tellement plus cher que le Château. Comme vous dites, Paris c’est Paris.
Zeugma
16 janvier 2016 @ 11:44
Il arrive qu’une chambres d’hôtel fasse une très bonne impression au premier coup d’œil avant qu’on s’aperçoive qu’elle n’est pas pratique du tout :
aucun rangement et pas de place pour la valise.
J’aime aussi qu’il y ait de nombreuses serviettes (dans les hôtels de luxe, naturellement) et qu’on m’apporte des oreillers en supplément. (Je ne fais pas comme feu la duchesse de Bedford qui emportait ses oreillers en voyage.)
En revanche, j’ai le souvenir d’une chambre minuscule à Venise (au « Do Pozzi », si j’ai bonne mémoire) mais qui était remarquablement aménagée. La salle d’eau était toute petite mais très bien conçue. (J’aime aussi – dans une autre catégorie – le « Gritti » à Venise, très cher mais très bien avec le petit déjeuner sur le Grand Canal servi par un personnel de grande classe.)
Je comprends votre remarque sur le manque de cintres. C’est horripilant.
J’aime bien le Canada. Quand y retournerai-je ? Un jour peut-être.
Juliette d
16 janvier 2016 @ 15:23
Vous savez pourquoi il n’y avait que 4 cintres Zeugma? Parce qu’alors le placard était déjà plein… Les valises, il fallait les contourner ou les enjamber. Aucun espace dans la chambre de toilette pour déposer les articles de toilette. On avait fait un décor dépouillé et zen au détriment du confort faute de manque d’espace. Il s’agissait d’une chambre « de luxe ». L’hôtel était joliment décoré de toiles de Jouy et d’orchidées. Lorsque j’ai mentionné au concierge que nous avions des toiles de Jouy dans les chambres à coucher chez nous, il a hésité puis déballé sa pensée que voilà « de la toile de Jouy au Canada? Vous avez ça chez vous? Mais cela n’est pas propre à la France uniquement? » Le tout sur un ton snob et ça condescendant. J’aurais pu lui dire que nous avions des plumes sur les murs et les toilettes dehors, il aurait crû….
Je ne vous dis pas le prix du croissant-café dans cet hôtel, à ce prix vous auriez eu un succulent et copieux déjeuner-buffet dans nos
hôtels, tels que les français et européens adorent.
Je peux vous dire que par mon travail je visitais et ėvaluais des hôtels un peu partout dans le monde et que je n’ai aucun complexe quand il s’agit d’évaluer notre parc hôtelier.
Merci Leonor pour vos commentaires.
Leonor
15 janvier 2016 @ 17:31
Ah Juliette,
Vous avez bien raison de ramener les choses un peu à la raison, et les Parisiens à un peu moins … d’orgueil.
……. On voudra bien noter que je dis cela avec un clin d’oeil, quoique l’oeil qui frise …..
Mais, vous savez, les Français d’une manière générale pensent très sincèrement qu’ils sont la crème du monde
, et les Parisiens qu’ils en sont l’inégalable nombril.
C’est comme ça, et il n’y a guère de moyen de leur faire entendre raison.
Je le sais, je vis avec un Parisien exilé de sa mère-patrie.
Il faut juste les regarder avec amour, et, lucidité obligé, une bonne dose d’ironie.
Zeugma aura certainement l’esprit de le reconnaître, n’est-ce pas, Zeugma ?
Pierre-Yves
16 janvier 2016 @ 09:48
Leonor, je crois sincèrement que votre assertion sur les Français et les Parisiens date un peu. De ce que je ressens, les Français ont bel et bien fini de se prendre pour le crème du monde. Ils ont dans l’ensemble compris, même si certains ont du mal à s’en remettre et vivent cela dans une nostalgie amère, qu’ils n’étaient plus ce qu’ils étaient.
Quant aux Parisiens, ils ont conscience de vivre dans une très belle ville, qu’on vient visiter de partout. Il y a de quoi s’en flatter.
Mais je conviens que leur réputation de se sentir parfois au dessus du lot et de se montrer désagréables et hautains n’est pas toujours imméritée.
Danielle
14 janvier 2016 @ 10:42
Il m’est arrivé d’acheter un baba au rhum, je l’ai trouvé très bon et n’ai pas remarqué le manque de courtoisie des vendeurs.
La boutique est superbe et vaut le détour, tout comme cette rue très commerçante et l’église St Eustache tout près.
La rue Montorgueil est passée dimanche dernier à l’émission PANAME de France 3.
Zeugma
14 janvier 2016 @ 17:55
Seul un professionnel peut faire un bon Baba qui doit être léger – et même aérien – imprégné mais pas trop, parfumé au rhum mais pas trop.
C’est tout un équilibre.
Stohrer le propose fourré à la Chantilly ou à la crème patissière. C’est un choix très difficile. Bien sûr on peut en manger un de chaque mais ce n’est pas raisonnable.
C’est très probablement un employé originaire du Portugal qui a introduit les « Pasteis de nata » chez Stohrer, délicieuse et simplissime petite pâtisserie de Lisbonne qui accompagne à merveille un café, un thé – ou un doigt de porto – à l’heure du goûter.
Leonor
15 janvier 2016 @ 17:32
Zeugma, il n’est pas raisonnable d’être raisonnable.
On ne vit qu’une fois.
Zeugma
16 janvier 2016 @ 11:47
C’est une grande question philosophique que vous posez là.
Comme faisait dire Bellus à un de ses personnages : « il faut faire des folies, mais des folies raisonnables ».
Leonor
16 janvier 2016 @ 15:39
… en vertu de quoi, je m’en vais aller voir ce que c’est que ces Pasteis de nata, Zeugma. Les nourritures d’ailleurs sont un voyage en soi.
Amitiés.
Cosmo
14 janvier 2016 @ 11:36
La rue Montorgueil ? L’orgueil du Paris gourmand, pas encore touché par la mondialisation.
Tina
14 janvier 2016 @ 12:53
Je m’y étais servie un soir de réveillon de jour de l’An, tout était délicieux et ma foi pas plus hors de prix que dans bien d’autres endroits moins agréables; les vendeurs, soumis à rude épreuve car il y avait beaucoup de clients, je les avais trouvés charmants et très professionnels. Mon passage dans cette rue vivante et ce magasin historique magnifique m’a laissé des sensations que je peux exprimer par ces mots: bien-être, culture, enchantement, sentiment d’être chez soi.
Dame Tartine
14 janvier 2016 @ 13:45
Si le baba est bon, ça m’intéresse. Parce qu’il y a longtemps que je n’ai plus mangé un baba digne de ce nom. La pâte, légère, doit tout de même avoir assez d’oeufs sinon ca fait pâte à pain trop levée. Le rhum doit être de bonne qualité. Merci Zeugma et Danielle pour le tuyau.
Leonor
15 janvier 2016 @ 01:12
En principe, pas trop difficile à réaliser soi-même, les babas, si on maîtrise la technique des pâtes levées. Mais la patte d’un grand pâtissier reste toujours unique.
Ceci dit, pour les amateurs :
http://www.marmiton.org/recettes/recettes-incontournables-detail_baba-au-rhum_r_75.aspx
On apprend d’ailleurs par ce lien que Stohrer pourrait être l’inventeur du baba, plutôt que le roi Stanislas lui-même.
Dame Tartine
16 janvier 2016 @ 12:24
merci pour la recette, mais la présence du beurre dans la pâte m’a étonnée.
COLETTE C.
14 janvier 2016 @ 14:23
Ces pâtisseries donnent l’eau à la bouche.
J’aime bien la devanture du magasin, un rien rétro.
Zeugma
14 janvier 2016 @ 17:58
Les boutiques anciennes sont menacées. Une pharmacie de la rue Montorgueil a détruit il y a quelques jours les superbes rayonnages en bois du dix neuvième siècle.
Baboula
14 janvier 2016 @ 17:36
La viennoiserie est du plus léger feuilletage ,la pâtisserie délicieuse .
Pour rester avec une reine permettez,cette digression .
Il y a plus bas dans la rue Montorgueil -le passage de la reine de Hongrie-
La reine Marie Antoinette rencontra un jour une jeune femme venue à Versailles ,soit pour offrir le muguet du 1 er mai ou en délégation revendicative (les chroniques divergent) .Donc elles se rencontrent et Marie Antoinette lui trouve une grande ressemblance avec la reine de Hongrie qui n’est d’autre que sa mère Marie Thérèse .
Le surnom de reine de Hongrie resta à la jeune femme puis au passage où elle demeurait et où jamais la vraie reine de Hongrie ne mit les pieds .
Ghislaine
14 janvier 2016 @ 18:43
Merci Zeugma , votre article est intéressant ./
La crème Chiboust ou Chibouste ou encore crème St Honoré , est d’une finesse et légèreté mais très difficile à réaliser .
claudie
14 janvier 2016 @ 19:49
Si vous aimez les babas moi je les adorent, j’achète au rayon frais des super marchés les babas de Marie, un régal,
Francine du Canada
15 janvier 2016 @ 03:40
Je suis allée souvent dans le 2ème arrondissement mais la rue Montorgueil ou la Maison Stohrer ? je n’ai pas souvenirs… Vu les excellents commentaires, j’y retournerai c’est certain. FdC