Le château de Ploskovice se situe désormais en Tchéquie. Il fut la résidence d’été de l’empereur Ferdinand I d’Autriche. Il fut ensuite hérité par l’empereur François-Joseph qui le mit à disposition de sa petite-fille l’archiduchesse Elisabeth-Marie d’Autriche, fille unique de l’archiduc Rodolphe et de la princesse Stéphanie de Belgique. Noblesse et Royautés consacrera dans les prochains jours une série d’articles successifs sur l’archiduchesse dite l’archiduchesse rouge.
A la chute de l’empire austro-hongrois, le château devint une propriété du ministère des affaires étrangères de Tchécoslovaquie. Après la Deuxième Guerre Mondiale, il fut transformé en école de formation du parti national socialiste de Tchécoslovaquie. Il est aujourd’hui devenu un musée et est ouvert au public.
Patricia
22 août 2016 @ 07:27
J’ai hâte de connaître cette petite fille Elisabeth-Marie, e espérant qu’elle ait apporté un peu de joie à l’empereur François Joseph durant les dernières années de sa vie.
Bernadette
22 août 2016 @ 15:20
Malheureusement Patricia cette jeune princesse est devenue révolutionnaire on l’a surnommée « l’archiduchesse rouge »
*Gustave de Montréal
22 août 2016 @ 16:57
Destin agité la belle Elizabeth-Marie, princesse divorcée de Windisch Grätz, mère de 3 garçons et une fille, puis épouse d’un politicien autrichien, Petznek.
Patricia
23 août 2016 @ 14:27
Merci beaucoup à Bernadette et Gustave de Montréal pour ces précisions. Il faut dire que son enfance a aussi été très perturbée avec un père qui se suicide avec sa maîtresse ! Avait-elle toujours des relations avec son grand-père ?
beji
22 août 2016 @ 08:50
C’est une bonne idée ces articles à venir sur Elisabeth- Marie.Les Habsbourg n’ont pas
récupéré grand-chose de leurs biens.
Quelqu’un peut-il me dire s’il existe des biographies sur Sophie Choteck en français?
COLETTE C.
22 août 2016 @ 15:13
J’ ai lu » l’archiduchesse rouge », par l’épouse d’un descendant d’Elisabeth -Marie, donc princesse de Windisch-Graetz, livre intéressant. La fille de Rodolphe est enterrée dans un cimetière de la banlieue de Vienne (Penzing, je crois). Tombe anonyme, sans aucune mention.
Véronick
23 août 2016 @ 23:39
Colette C,
J’ai également lu ce livre qui est très intéressant et surprenant par le destin de l’archiduchesse Élisabeth Marie d’Autriche, fille unique de l’archiduc Rodolphe et de son épouse l’archiduchesse Stéphanie …..!
Bien à vous.
Véronick
ciboulette
22 août 2016 @ 16:49
C’est un très bel édifice , je ne connais pas l’histoire de cette enfant de Rodolphe , elle sera la bienvenue.
septentrion
23 août 2016 @ 10:24
Ayant beaucoup souffert de la mort de son père et de l’éloignement de sa mère, l’archiduchesse Elisabeth-Marie fut très choyée par l’empereur qui lui passa beaucoup de caprices.
J’attends avec impatience de lire ces futurs articles.
Pascal
23 août 2016 @ 16:54
C’est en effet une excellente idée tout comme ce le sera de nous parler des autres descendants directs de l’empereur François-Joseph et éventuellement de ce qu’ils en ont hérité et qui ainsi privatisé aurait pu être sauvé et de ce qui est allé à François-Ferdinand.
J’avoue que j’ignorais tout de l’évolution révolutionnaire de cette archiduchesse , je ne pense pas que son grand père y ait participé …
Dominique Charenton
24 août 2016 @ 20:30
En dehors de l’ouvrage de Ghislaine Windisch Graetz : L’orpheline de Mayerling, Elisabeth Marie l’archiduchesse rouge paru en 1998, il existe aussi un ouvrage de Friedrich Weissensteiner paru dans sa version française en 2010 aux éditions Payot : L’archiduchesse rouge