Dans un centre commercial de Nagoya, la reine Mathilde a pu se rendre compte que les produits belges (dont le chocolat) étaient mis à l’honneur. (Copyright photos : Palais royal)
La reine Mathilde à Nagoya
13 Comments
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13 octobre 2016 @ 08:38
Mais qu’Est-ce qu’elle a sur la tête ???
13 octobre 2016 @ 12:20
Une crête de coq (non je plaisante). Il s’agit certainement d’une petite base en paille tressée et surmontée de quelques plumes. Il faut attendre une autre photo de face.
13 octobre 2016 @ 13:32
Je vous le concède, c’est moche.
13 octobre 2016 @ 13:07
Un peu ridicule ce couvre chef
13 octobre 2016 @ 16:11
Il faudrait le voir de face …
13 octobre 2016 @ 19:32
Moche, mais utile tout e même. Cela adoucit le coup s’il lui arrivait de se cogner la tête contre un mur ou une porte.
15 octobre 2016 @ 10:02
Dans ce cas, un casque de chantier serait mieux adapté…
13 octobre 2016 @ 15:13
Les pâtisseries japonaises, que je trouve peu variées, ne sont vraiment pas ma tasse de thé mais l’extrême raffinement des emballages et des boîtes est un ravissement pour les yeux.
14 octobre 2016 @ 04:56
J’aime beaucoup l’haricot rouge. Mais je vous concède que les pâtisseries japonaises traditionnelles sont étonnement neutres pour les palais français.
Quand les enfants étaient petits et que nous habitions Paris ils craquaient pour les lapins et souris dans le 1er arrondissement.
Mais de nombreuses autres revisitent les best offs français et y proposent des pâtisseries au matcha et thé vert etc… Superbe et délicat!
18 octobre 2016 @ 15:46
Au Japon, il arrive que les pralines se vendent à l’unité et même qu’on les coupe en deux pour être davantage à en profiter…
13 octobre 2016 @ 20:35
Après avoir visité le centre commercial de Nagoya, la reine pourra peut-être admirer les perles d’Akoya…
13 octobre 2016 @ 22:04
Mathilde a un drole de bibi , c’est de meme avec l’impératrice du Japon avec son éternelle coiffe-mini-soucoupe!
14 octobre 2016 @ 06:40
Ce qui nuit au chapeau, c’est son volume. Plat, il aurait été parfait.
Boum patatras! Fashion faux-pas.