Le prince de Galles et la duchesse de Cornouailles ont fait halte à la pâtisserie Demel à Vienne qui fut autrefois fournisseur de la Cour impériale d’Autriche. La duchesse s’est d’ailleurs attardée en cuisine pour observer la préparation de pâtes fines. (Copyright photos : Getty images)
6 avril 2017 @ 07:44
Pour avoir eu le plaisir d y aller, c est vraiment un bel endroit. Un peu le « Angelina » de Vienne !
6 avril 2017 @ 20:38
Personnellement, je préfère Demel. Chez Angelina, je me suis senti un touriste attrapé, alors que chez Demel je me suis senti un client respecté.
Cordialement
Cosmo
7 avril 2017 @ 13:23
Pareil Cosmo et je préfère leur chocolat chaud à celui d’Angelina où je ne me suis pas trouvée entre parisiens…!
ml
6 avril 2017 @ 08:43
Aaargh, Demel !
Sur la dernière photo, il se pourrait bien qu’il s’agisse d’un Apfelstrudel ; la photo n’est pas assez explicite pour qu’on puisse l’affirmer.
Apfelstrudel : un grand classique de la pâtisserie familiale autrichienne. Une compotée de pommes , enroulée dans plusieurs couches d’une pâte ultra-fine, en une sorte de bûche.
Pas une pâte filo, mais tout comme. Il faut être née autrichienne pour parvenir à « abaisser » la pâte jusqu’à la non-épaisseur requise, celle d’un papier-bible.
Ceci dit, vous mangez d’excellents Apfelstrudel dans n’importe quel hôtel familial d’Autriche. Ce n’est pas exactement ce que j’irais choisir chez Demel. Mais bon, c’est une recette emblématique de l’Autriche.
6 avril 2017 @ 16:48
Ah, aujourd’hui nous nous rejoignons culinairement avec le strudel, chère Leonor!
A Vienne, j’ai aussi un excellent souvenir du salon de thé Sacher.
8 avril 2017 @ 11:41
Est ce que ce salon de thé est voisin de l’Opera? C’est là que l’on peut déguster aussi le Sachertorte.
11 avril 2017 @ 22:03
Oui, il s’agit bien du salon de thé proche de l’Opéra et de la cathédrale Saint-Etienne, sur la Stephanplatz.
8 avril 2017 @ 21:37
Juliette, Sacher et Demel sont les étoiles les plus brillantes au firmament de la pâtisserie autrichienne , voire mondiale. La Sachertorte ( prononcer ~Sa-rreur-tor-teu), c’est divin. Inoubliable.
11 avril 2017 @ 22:04
Je confirme Leonor!
6 avril 2017 @ 22:55
Leonor;
Quel plaisir d’avoir lu vos explications! Une de mes bonnes amies d’origine hongroise sait préparer ces recettes viennoises, parfois avec une pincée de cannelle.
8 avril 2017 @ 21:41
Merci, Caroline. Sans chercher à concurrencer Demel ou Sacher (! ), i votre amie hongroise, je les prépare aussi .
La cannelle fait partie du répertoire d’Europe centrale. Et, en matière culinaire comme en d’autres, l’Europe centrale vue d’est en ouest va jusqu’à la ligne bleue des Vosges, donc Alsace y compris.
Je ne saurais vivre sans cannelle…. ;-)
10 avril 2017 @ 14:22
L’Europe de l’Est, c’est le paradis des gâteaux :-D
11 avril 2017 @ 22:04
Je confirme Leonor!
6 avril 2017 @ 08:48
Comme j’aimerais y prendre le thé et suivre éventuellement des cours en cuisine. Pas très bon pour ma ligne !!!
6 avril 2017 @ 10:30
La gourmandise est un….bien beau défaut !!!!!! La vie Princiére est belle….
Je ne suis pas certain que ce soit cela que l’Angleterre attende aujoud’hui de ses Princes…
6 avril 2017 @ 10:47
Mon arrière grand mère, quand elle préparait un strudel, disait qu’on devait pouvoir lire le journal à travers la pâte feuilletée. Eh en effet, on pouvait, peut être pas le lire, mais distinguer les caractères!
6 avril 2017 @ 17:03
Miam!..Sarita ma Mie,je vous envie et Camilla aussi.
7 avril 2017 @ 14:19
Heureusement il n’y a pas que le porridge dans la vie ;-)
7 avril 2017 @ 10:33
Il me semble que le pastis landais est aussi un prodige de transparence !
7 avril 2017 @ 14:15
Je ne connais pas du tout le pastis landais (c’est très loin de « chez moi » les Landes) mais si ça se prend avec un thé, je veux bien essayer là tout de suite ;-)
8 avril 2017 @ 13:00
Je suis aussi un peu loin des Landes !
Mais pour un thé, je suis partante !
8 avril 2017 @ 16:16
Erratum, on m’a appris à dire « pastis landais » mais en réalité il s’agit du pastis gascon, à base de pâte étirée sur un plan de travail,généralement la table de la cuisine, jusqu’à une feuille translucide, ensuite « chiffonné » bref, je ne sais pas le faire, mais je sais bien le déguster !
8 avril 2017 @ 21:43
C’est même carrément certain, AnneLise. La pâte à réaliser est à peu près la même, mais le gâteau final se présente sous une tout autre forme.
6 avril 2017 @ 11:58
Très joli ensemble de Camilla. Cela a l’air rudement bon !!
6 avril 2017 @ 13:21
Magnifique tailleur et le bleu marin lui va à merveille!!!
6 avril 2017 @ 14:51
Demel, un bien bon souvenir :-)
Très Wedgewood, la tenue de Camilla.
6 avril 2017 @ 16:24
j y etais en 1992 … et je me souviendrai toujours des cuvettes des WC en faience bleu-blanc, datant d au moins 100 ans si pas plus …. tout de meme nettoyees depuis.
7 avril 2017 @ 16:34
Et la pâtisserie vous a-t-elle laissé un souvenir ?
6 avril 2017 @ 18:17
Après le décès de la reine et si la monarchie s’effondre, ils pourront se recycler dans la critique gastronomique ou écrire un livre sur les cuisines du monde.
6 avril 2017 @ 18:55
C’est dommage d’aller chez Demel pour y boire du thé,mieux vaut un bon chocolat et
des pâtisseries.
6 avril 2017 @ 22:18
Je ne sais pas Jay à quand remonte votre visite chez Angelina, plus rien avoir avec l’Angelina d’il y a quelques années en arrière. Beaucoup de touriste et les gâteaux de plus en plus chers et petits
6 avril 2017 @ 22:18
Je ne sais pas Jay à quand remonte votre visite chez Angelina, plus rien avoir avec l’Angelina d’il y a quelques années en arrière. Beaucoup de touriste et les gâteaux de plus en plus chers et petits. Je parle de celui de la rue de Rivolie
7 avril 2017 @ 12:44
En effet on se sent dans une entreprise tayloriste depuis la file d attente sur le trottoir, aux tables excessivement rapprochées et à l addition qui arrive sans rien avoir demandé, dès la dernière bouchée de mont blanc avalée… et au non verbal des serveurs pour vous faire déguerpir et libérer votre table…
7 avril 2017 @ 18:49
Angelina est devenu un sigle comme Bofinger et d’autres…
Et comme vous le soulignez plus c’est petit plus c’est cher !
Comme la nouvelle cuisine qui nous présentait des échantillons sous de magnifiques cloches en métal argenté.
Mais après tout s’il existe des gens pour payer, pourquoi se priver ?
Maintenant c’est sans moi !
8 avril 2017 @ 23:59
moi j’aime le Café Central à quelques toutes petites encablures de la Hofburg. Le décor est superbe, leurs gâteaux sont une véritable tuerie.
9 avril 2017 @ 14:59
D`accord avec vous, dear Jane. On y retrouve plus l`esprit viennois et on s`y regale au moins autant.
Gourmandisement Votre
Cosmo
10 avril 2017 @ 14:23
Oh oui le Café Central m’a laissé un grand souvenir à moi aussi !! J’adore sa déco un peu ottomane.