Parution de cet ouvrage « Chasses et chasseurs du Sud-Ouest. Nouvelles ». Il s’agit d’une évocation de la vie à la campagne à travers une vingtaine de nouvelles sous la plume du comte de Pesquidoux (1869-1946). Vous y trouverez des récits avec des chasses à la bécasse, palombe, chevreuil, sanglier, isard, lièvre, renard, etc. mais aussi la pêche, la cuisine et la vie du pays gascon.
Le comte de Pesquidoux surnommé le “Virgile gascon”, fut le chantre de son terroir d’Armagnac, des hommes et de la vie des campagnes. Il fut élu à l’Académie française en 1936.
Ces dix-huit nouvelles, choisies dans ses livres, sont complétées par cinq autres récits de son fils, Arnaud de Pesquidoux (1907-1997) qui fut notamment chroniqueur au Monde sous le pseudonyme de Taillemagre.
« Chasses et chasseurs du Sud-Ouest. Nouvelles », Joseph de Pesquidoux, Montbel, 2017, 248 p.
13 novembre 2017 @ 09:03
C’est le pape Pie IX qui attribua un titre héréditaire de comte à la famille Dubosc de Pesquidoux qui occupe un tiers de colonne dans mon vieux Bottin.
13 novembre 2017 @ 09:41
Régine,
Puis-je joindre ce lien Wiki.
Nous n’avons jamais entendu ce nom.
Merci
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjZm6z2krvXAhVBcBoKHaCQBmUQFggmMAA&url=https%3A%2F%2Ffr.wikipedia.org%2Fwiki%2FJoseph_de_Pesquidoux&usg=AOvVaw0ixzlXG_1NZVd7f0FRaDFA
13 novembre 2017 @ 13:24
Merci Gibbs.
Je ne le connaissais pas non plus.
13 novembre 2017 @ 14:11
parce que vous êtes belge ! il était connu des écoliers français il y a fort fort longtemps….Grand fournisseur de dictées, d’ailleurs.
13 novembre 2017 @ 17:40
Merci !
J’observe que son successeur à l’académie française fut Maurice Genevois , le chantre de la Sologne , l’auteur de Raboliot et de La Dernière Harde alors que Pesquidoux écrivit : « La Harde » .
Je pense que je pourrais m’y intéresser , il y a des livres de chasseurs qui ne parlent pas que de chasse.
13 novembre 2017 @ 18:07
Trop jeune, Gibbs ! Tous les écoliers de ma génération ont été affrontés aux dictées de Joseph de Pesquidoux (5 fautes = 0).
13 novembre 2017 @ 09:54
Des Tartarins à l’oeuvre …
13 novembre 2017 @ 18:15
Dans Tartarin il y a un petit côté sympathique que n’ont pas les chasseurs du Sud Ouest qui s’octroient tous les droits . Je sais que la na
13 novembre 2017 @ 10:16
Ah le Sud-Ouest, quelle superbe région.. La campagne, la mer, la montagne, la cuisine, la pêche, la chasse, la vie quoi……!!!
13 novembre 2017 @ 15:10
je suis désolé, mais pour moi la chasse et la pêche ce n’est pas la vie… mais la mort !
13 novembre 2017 @ 17:02
Non Alinéas, la pêche et la chasse, c’est la Mort justement^^.
13 novembre 2017 @ 10:41
Les passionnés raffinés de la « galinette cendrée » des Inconnus vont adorer. ;’))
13 novembre 2017 @ 17:08
Coucou Lisa,
Ah, c est clair!! Ils me font mourir de rire, j ai eu l occasion de les voir avec mon fiancé, quels souvenirs. Leurs spectacles passent régulièrement à la télévision.
13 novembre 2017 @ 20:50
Haha la galinette (mon correcteur avait écrit galipette) cendrée ! :))
13 novembre 2017 @ 11:49
Un livre à offrir à tous les gascons.
13 novembre 2017 @ 17:03
Sans gas-,ça marche aussi.^^ ;’))
14 novembre 2017 @ 14:34
Bravo, l’amie ! :-))
14 novembre 2017 @ 17:28
Pas mal , chère Lisabé !
14 novembre 2017 @ 18:24
Bravo , gentille Muscate ! Vous savez bien que je suis en accord avec vous ( comme pour les chats ! )
13 novembre 2017 @ 21:09
Je n’aime pas trop lire ce genre de livres sur la ‘ traque d’animaux ‘, mais j’ai apprécié un récit sur la chasse dans le livre de Marcel Pagnol !
14 novembre 2017 @ 15:48
« La gloire de mon père ». ..moi aussi,chère Caro.Parce que ça ne parlait pas vraiment de chasse mais de sentiments d’amour profond et de pudeur filiale,sur fond de traque aux bartavelles.
Il fut suivi par « Le château de ma mère »,et « Le temps des secrets ».Les trois sont beaux, mais je préfère le premier. Pagnol,son enfance.Un écrivain bien aimé, à qui je peux presque pardonner d’avoir chassé.
13 novembre 2017 @ 13:23
L’auteur est bien oublié aujourd’hui.
Il était de la petite commune du Houga, frontière entre le Gers et les Landes, on ne peut être plus gascon et amateur d’armagnac.
27 janvier 2018 @ 19:14
Ce n’était pas plutôt de Perchède ?
13 novembre 2017 @ 13:43
Merci pour cette belle idée de cadeau de Noël à un mari passionné par la nature.
13 novembre 2017 @ 13:55
Je m’attendais à une volée de …bois vert au sujet de la chasse …
Ecrire des nouvelles sur des séquences de chasse, c’est spécial quand même …Les lire, aussi , non?
13 novembre 2017 @ 14:01
Gascons ou pas tous les chasseurs sont des tueurs pour moi ! je n’ai jamais compris qu’on puisse éprouver du plaisir ou de la passion à supprimer des vies innocentes !
Réguler la nature ,supprimer les nuisibles ne sont qu’un prétexte pour assouvir des instincts bassement sadiques !
14 novembre 2017 @ 14:20
Clément, non tous les chasseurs ne sont pas des tueurs, il y en a qui respectent le gibier et éprouve du plaisir à se promener lors d’une telle activité, sans tuer le moindre animal : une laie suivie par ses marcassins, un jeune chevreuil, un lièvre assis sur un bas côté de chemin…
La chasse à la Billebaude existe encore, sans but certain.
14 novembre 2017 @ 14:21
EPROUVENT !!
13 novembre 2017 @ 14:53
Est-ce grâce à cela qu’il est entré à l’Académie Française ? Je sais qu’à une époque, il en fallait peu mais tout de même…
13 novembre 2017 @ 17:09
Chez nous, chasse, pêche, nature et traditions!! Mais toutes les regions sont belles. Vive la France!!
13 novembre 2017 @ 17:50
Comme je n’aime pas la chasse , je pense que je ne serais pas heureuse dans le Sud-Ouest .
13 novembre 2017 @ 18:04
J’ai des origines gasconnes par mon arrière grand mère, mais désolée grand mamie je n’achèterai pas le livre
14 novembre 2017 @ 15:50
Merci Douce Baya.♡
13 novembre 2017 @ 18:40
Un livre sûrement joli mais qui ne viendra pas rejoindre les ouvrages de ma bibliothèque.
13 novembre 2017 @ 18:41
(oups, trop rapide…)
La chasse n’a pas de place dans ma vie et les chasseurs n’en ont guère plus.
13 novembre 2017 @ 18:51
Vivant dans le sud ouest tres souvent
Je me réjouis de ce livre
Il reste encore un peu de la douceur de vivre en ce sud ouest
14 novembre 2017 @ 01:46
Cet article a fait resurgir de bons souvenirs, comme avait fait la découverte de très vieux numéros du Chasseur Français chez mon père. Je vais commander le livre de Joseph de Pesquidoux qui rend hommage à ma région préférée de France, région synomyme pour moi d’exploration et d’initiation au naturalisme. Entre 14 et 17 ans j’ai parcouru en mobylette la campagne du Lot-et-Garonne (région Agen, Nérac, Villeneuve-sur-Lot, les hameaux comme Laugnac et Prayssas), m’arrêtant pour bavarder avec les cantonniers, (quand ils n’étaient pas saouls faisant la sieste dans les fossés), les curés, les fermiers, surveillant “mes” rivières, bocages, vergers, troupeaux, vallons, suscitant aussi ma fascination pour les oiseaux. Faute de sud-ouest français, j’ai transféré cet amour vers l’ouest et le sud-ouest américains. Merci à Régine d’avoir consacré un article à ce livre.
14 novembre 2017 @ 04:48
Aucune envie de lire ce s trucs.
14 novembre 2017 @ 10:09
Après les Mémoires d’un Chasseur de Tourgueniev nous aurons celles du Sud Ouest.
Il faut de tout!
14 novembre 2017 @ 15:51
Non,pas vraiment.
14 novembre 2017 @ 17:21
Non merci sans façon , je ne sais pas pour tout le Sud-Ouest mais pour les Landes, j’ai vu ce que cela donne .
14 novembre 2017 @ 17:35
Sans la chasse, on croiserait des sangliers et des chevreuils , partout sur nos routes , mais faire l’apologie de la chasse, pour moi, c’est malsain …
Les choses évoluent , maintenant , aucun instituteur ne ferait faire à ses élèves de telles dictées…Les chasses présidentielles de Chambord, c’est fini et on parle plus d’écologie …
Mais , entre temps , on voit de moins en moins d’oiseaux …
14 novembre 2017 @ 17:37
Le livre de Joseph de Pesquidoux
donne envie de découvrir les nouvelles sur la chasse et en même temps sur l’auteur que je ne connais pas.
16 novembre 2017 @ 23:47
Je voudrais préciser que je suis contre la chasse, et je ne lis pas les nouvelles de chasse avec plaisir, au contraire, c’est plutôt avec ahurissement. Mais certains chasseurs ont une excellente connaissance de la nature, un instinct même. Dommage qu’ils utilisent ce don pour tuer. Le livre me tente parce-que l’auteur parle d’une nature que je connais et que j’aime, mais j’ai des doutes maintenant. Même s’il écrit bien, je n’ai pas envie de lire ces descriptions.
20 novembre 2017 @ 15:24
Alors Danielle ,s’ils ne tuent pas pourquoi s’encombrent-ils d’un fusil ?