A Londres, le prince William a assisté à la présentation du nouveau programme et du site internet de la campagne en faveur de la santé mentale. (Copyright photos : Getty images)
Le prince William : nouvelle campagne pour la santé mentale
31 Comments
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2 mars 2018 @ 10:24
Le sérieux du Prince, tout comme sa position sont les qualités du futur Roi d’ Angleterre.
2 mars 2018 @ 10:57
Encore la santé mentale ? Mais c’est récurrent avec le couple Cambridge. Je me suis demandé dans un autre post, si le pays était à ce point dérangé ? Il y a d’autres causes louables, l’analphabétisme, la malbouffe, les maladies orphelines, les SDF, le SIDA et j’en passe. J’en déduis que ce jeune couple, veut voir des enfants obèses avec un esprit équilibré, des analphabètes bien dans leur tête, des incurables heureux, des SDF joyeux, des travailleurs pauvres sereins, des adolescentes avec bébés confiantes dans l’avenir. Et William qui fait semblant de s’intéresser à un problème qui probablement le dépasse.
2 mars 2018 @ 13:48
En accord avec vous, Robespierre, je redoute un petit côté obsessionnel chez les Cambridge. Ceci expliquant peut-être cela !
C’est un sujet grave certes, mais d’autres comme vous l’évoquez auraient bien besoin de soutien également.
2 mars 2018 @ 14:13
Roby ,cruel mais juste hélas. Les fins poignets d’une femme sont pour moi très sexy ,mais les poignets nus et velus d’un homme qui porte une chemisette sans manche ,beurk !
2 mars 2018 @ 16:09
Il ne peut quand même pas s’occuper de toutes les causes que vous citez… je pense que d’autres membres de la Famille Royale prennent le relai, et puis … il faut en laisser un peu à Harry et Meghan…
2 mars 2018 @ 16:55
Peut-être pas tant que cela puisque Diana avait quelques soucis…
2 mars 2018 @ 17:37
A mon humble avis, son entourage familial l’a naturellement porté à s’intéresser à la santé mentale, Diana toute princesse des coeurs qu’elle pouvait être ne présentant pas toutes les caractéristiques de la stabilité affective et mentale.
2 mars 2018 @ 19:45
C’est une belle cause, à défendre, mais je me demande ce qui les a fait choisir celle-là plus qu’une autre …Ont-ils des raisons personnelles ? A part Harry, qui a expliqué sa situation ai dévès de sa mère , pour William et Kate , je cherche , surtout qu’à côté,il ne manque pas de sujets graves, cancer, enfants maltraités , soutien scolaire, grossesses trop jeunes , diabète, obésité , tabagisme, alcoolisme :Voila des sujets plus simples à appréhender et , hélas , plus présents ,il me semble .
Meghan va aussi rejoindre les 3 autres pour cette cause ,ça fait beaucoup de monde …
3 mars 2018 @ 15:48
Tout ce qui concerne les addictions est aussi pris en compte dans ce vaste programme de santé publique auxquels les princes apportent leur concours.
3 mars 2018 @ 15:50
« Auquel… »
3 mars 2018 @ 20:35
Des raisons personnelles ?
A votre avis framboiz ?
Croyez vous que Diana n’aie pas eu quelques problèmes ?
Et ce, sans lui jeter la pierre, elle avait eu une enfance et une adolescence troublées, absence de la mère au moment où l’on en a le plus besoin, famille qui l’a laissée s’embarquer dans une aventure qui était pipée d’avance, merci aux deux grands mères !
Quant aux autres sujets, je ne suis pas certaine qu’ils soient aussi simples que cela à appréhender, mais il est certain qu’ils mériteraient intérêt.
Maintenant, aussi, ces mêmes problèmes découlent de « la santé mentale », cancer mis à part encore que … alors ?
2 mars 2018 @ 21:44
La dépression est un mal universel, souvent incompris, ignoré et par là-même non soigné. Partant de ce constat, la Grande-Bretagne a lancé le premier programme de soins gratuits pour tous, dans le domaine si vaste de la santé mentale…
William et Harry se sont investis dans cette campagne nationale d’envergure parce qu’ils ont eux-mêmes, comme ils l’ont confié, rencontré des difficultés de cet ordre après le décès de leur mère.
Quand on se sent directement concerné par une cause, que l’on soit prince ou simple quidam, on a à cœur de mettre tout en œuvre pour faire avancer les choses.
Faire part de son expérience, offrir de son temps, encourager les soignants, manifester sa compréhension aux malades, ne me paraissent pas être des activités qui dépassent les compétences des princes…
2 mars 2018 @ 22:02
Entierement d accord avec vous!
3 mars 2018 @ 06:12
Je fais mien de votre commentaire. A croire qu’il n’existe que ce problème.
3 mars 2018 @ 10:31
la santé mentale au sens très large cher Robi : toutes les institutions que visitent les princes sont chaperonnées (pas chapeautées) par la Royal Foundation. La santé mentale, dans ce cas regroupe toutes le panel par lequel un enfant peut passer au cours de sa vie d’enfant qui l’empêcherait de devenir un adulte équilibré (si je puis dire); ça va du harcèlement à l’école, la perte d’un parent, être un enfant abandonné, etc.
3 mars 2018 @ 13:24
D’una autre côté, Rob, je me demande s’il n’est pas plus efficace de vraiment se consacrer à un sujet, le maîtriser très bien et contribuer à le faire avancer, plutot que de disperser, d’essaimer son intéret sur une grande diversité de thèmes, sans en approfondir aucun.
3 mars 2018 @ 15:12
C’est obsessionnel mais ça ne doit rien au hasard, sa mère avait de sérieux problèmes psychologiques.
2 mars 2018 @ 11:28
Très. Souriant. Le prince. William. Bon vendredi
2 mars 2018 @ 12:58
Au Royaume Uni, la maladie mentale a pris une ampleur inédite; effrayant le pourcentage de personnes atteintes, notamment de jeunes; par conséquent, tout ce qui touche à la santé mentale, soit prévenir, détecter, soigner, faire de la recherche, sont des thèmes devenus dans ce domaine une des priorité majeure de gouvernement.
2 mars 2018 @ 16:53
Un pro de la santé mentale????
C est risible !!!
3 mars 2018 @ 15:13
Il en faut, des « pros de la santé mentale ». Cela n’a rien de risible.
Certains commentateurs de N&R en aurait besoin. Suivez mon regard.
2 mars 2018 @ 16:58
Ils doivent avoir d’autres sujets à traiter mais là ça fait plusieurs fois que l’on évoque le sujet en effet. C’est répétitif…comme les enfants « de » au défilés…
J’ai envoyé un sujet sur Saint Jean de Luz et les lieux du mariage de Louis XIV…
3 mars 2018 @ 18:24
Merci Claude-Patricia j’ai vu ces lieux à St Jean de Luz il y a longtemps…
2 mars 2018 @ 19:59
Le gouvernement britannique a créé tout récemment un ministre de la solitude.
Ça en dit long sur l’état mental des britanniques (et plus largement des occidentaux)
3 mars 2018 @ 11:27
ça en dit aussi long sur le temps que ça va prendre pour « soigner » tout ça. Le gars, s’il est payé, ne va pas se presser de lancer des plans d’actions encore moins de les finaliser.
3 mars 2018 @ 00:25
Toujours ce sourire ultra intelligent qui dénote d’une profonde connaissance du sujet (sans doute)…
4 mars 2018 @ 16:12
?
5 mars 2018 @ 00:36
?
3 mars 2018 @ 16:53
J’ai lu des commentaires à ce sujet sur un site britannique .
Il s’avère que les princes ont eu un certain traumatisme lors du divorce de leurs parents (il est certain que c’est pour tous les enfants un moment traumatisant ) puis le décès de leur mère a aggravé de traumatisme .
Je peux le comprendre .
Mais , William est père maintenant et mari d’une femme qui me paraît équilibrée .
Il a déjà abandonné son poste d’air-rescue pour le motif que c’était difficile psychologiquement .
C’est surement un homme sérieux et sensible mais il ne faudrait pas que cela finisse en sensiblerie .
5 mars 2018 @ 11:57
Il faut savoir garder toutes les proportions utiles.
Sauf à considérer que dans le texte, santé mentale et souffrances psychiques, voire neuropsychologiques sont confondus (et le cas échéant, elles le sont à tort), il est ici question d’une problématique médicale, affectant donc des malades. Personne ne nie que les deux princes ont souffert des déboires parentaux puis du décès de leur mère, néanmoins il ne sont pas pour autant malades, en d’autres termes « psychopathes ».
Les enfants de divorcés et les orphelins mono- ou biparentaux ne finissent pas tous à l’hôpital psychiatrique. Heureusement car, le cas échéant, il n’y aurait plus de place.
Alors, sans douter de votre connaissance du sujet, il convient que nous gardions (vous gardiez) toutes les proportions utiles, et surtout que nous ne fassions (vous ne fassiez) pas d’amalgames hasardeux.
3 mars 2018 @ 18:26
Je dirais un sourire bienveillant, ce qui n’est pas incompatible !