Parution le 7 février prochain du livre « Bruxelles Omnibus » de Patrick Weber. En voici le résumé : « Place forte seigneuriale, ville sœur de Madrid et de Vienne sous le règne des Habsbourg, capitale d’un royaume et de l’Union européenne, Bruxelles est l’une des plus anciennes cités d’Europe. L’une de celles qui a aussi le plus souvent changé de visage au cours de son histoire et des dominations successives (Bourgogne, Espagne, Autriche, France, Pays-Bas…).
Savez-vous que Bruxelles fut au cœur du plus grand empire jamais créé sur terre ? Que Charles Quint apprit à y devenir un homme ? Que Napoléon y effectua quatre séjours ? Qu’un quartier historique entier fut englouti avec les travaux liés à l’Expo 58 ?
Comme dans Métronome, le best-seller de Lorànt Deutsch, Patrick Weber nous fait découvrir tous ces trésors à travers les arrêts des métros, bus et trams de Bruxelles. Autant de noms – parfois pittoresques – dont la signification nous est souvent inconnue : Heysel, Maison d’Érasme, Jeu de Balle, Cage aux Ours, Petit Sablon, Porte de Hal, Botanique, Étangs d’Ixelles, Abbaye, Vert Chasseur, Vivier d’Oie…
Au fil de ses découvertes, Patrick Weber nous emmène sur les traces du grand humaniste Érasme, raconte la naissance de l’hôtel des Monnaies, ressuscite les heures glorieuses de l’abbaye de La Cambre et marche sur les pas des guerriers qui défendaient la prestigieuse porte de Hal. Sur la Grand-Place, il revient sur l’exécution des comtes d’Egmont et de Hornes, tandis que, de passage au Cinquantenaire, il retrace les grands rêves urbanistiques de Léopold II qui s’était mis en tête de concevoir la plus belle arcade d’Europe. »
« Bruxelles omnibus. Traversez les rues et les siècles », Patrick Weber, Michel Lafon, 2019
Jean Pierre
1 février 2019 @ 09:14
A Bruxelles on se sent bien.
Encore mieux depuis que le boulevard Anspach est devenu piéton.
Philippe Gain d'Enquin
1 février 2019 @ 11:33
C’était le temps « où Bruxelles brusselait », que ses trottoirs accueillaient les ketjés facétieux, et que de « l’Impériale » doublement bien nommée, » du tram 33 un jeune et sa belle s’engageaient sur la Chaussée de la bluette et de l’amour. C’était le temps ou « La Colonie » marquait une ambition, ouvrait des horizons, le temps heureux et foisonnant où Alphonse Sax, Maurice Montagney, dit Artôt, et André Robberecht, créaient la musique belge… Que voici un ouvrage bienvenu , par ailleurs en total accord de l’actuelle grisaille, du froid, du brouillard et du blanc, dont s’est paré le Septentrion. Vite ces pages réconfortantes ! Bruxelles n’est jamais figée, jamais véritablement connue; elles tout simplement magique et déroutante. Merci à Mr Weber de nous inciter à le lire au coin du feu et à Tante Régine de nous y inviter. PGE
Menthe
1 février 2019 @ 14:05
https://youtu.be/t-IQbozXu1M
Bruxelles, attend moi, j’arrive…
Philibert
1 février 2019 @ 17:51
Il est loin, ce temps-là…
Déjà il y a une quarantaine d’années, le regretté Jean d’Osta regrettait, dans ses livres, la presque disparition du Bruxelles d’antan.
Cela ne s’est pas arrangé depuis, évidemment !
Baboula
1 février 2019 @ 14:14
« Plates-bandes d’amarantes jusqu’ à l’agréable Palais de Jupiter … » A part Jacques Brel et Philippe on nous parle peu de Bruxelles . Heureusement qu’il y eut les deux amants terribles.
Philippe Gain d'Enquin
2 février 2019 @ 13:02
Et puis c’est aussi la seule ville d’Europe ou l’on roule en « Delphine »…
Baboula
3 février 2019 @ 17:33
Oui,enfin ce n’est pas une affaire qui roule !
Philippe Gain d'Enquin
5 février 2019 @ 08:49
Dans ce désert affectif, appelons en à la dépanneuse Simoun…