Voici un bel ouvrage « Trianon et le hameau de la Reine » par Jacques Moulin aux éditions Flammarion et Château de Versailles. En voici le résumé : « Depuis la création du pavillon élevé par Le Vau pour Louis XIV, Trianon fut pour la famille royale une oasis en marge de la vie politique, loin des rituels de la monarchie.
Louis XV y donna libre cours à sa passion pour la botanique et y créa un petit château de campagne extrêmement raffiné, exemple rayonnant de l’excellence artistique française. Marie-Antoinette y développa à son tour l’art des jardins, puis Napoléon et Louis-Philippe y trouvèrent un refuge paisible. À quelques minutes de Versailles mais loin des contraintes de la cour, le domaine de Trianon devint un idéal de beauté et de paix, qui a su conserver son attrait d’origine. Entouré de jardins qui comptent parmi les plus précieux de France, il nous transmet une idée de ce que Talleyrand appelait le « plaisir de vivre ».
Jacques Moulin raconte le développement du lieu et son importance dans le contexte politique et culturel de l’époque, tandis qu’Yves Carlier évoque les riches collections de mobilier. Anecdotes et récits se succèdent, appuyés par un somptueux reportage photographique inédit, mené par Francis Hammond. »
François
16 décembre 2019 @ 12:46
L’harmonie suprême
Lieux reposants que les Trianon
Le mot en lui même n’est il pas déjà tellement chic ..
Muscate-Valeska de Lisabé
16 décembre 2019 @ 16:36
Trianon est enclavé dans le domaine de Versailles,et en effet,trois minutes en vélo sont suffisantes pour rallier les deux châteaux. C’est un périple que je connais par coeur car je pédalais à Versailles tous les dimanches quand je vivais en France. Maintenant,c’est plutôt dans la semoule…à chaque âge ses petits plaisirs😃😄😉
Robespierre
16 décembre 2019 @ 16:44
Le Petit Trianon que j’ai revu il y a quelques années avait été construit pour la du Barry si mes souvenirs sont bons. Apres la mort de Louis XV, Louis XVI, galammen, l’offrit à Marie-Antoinette en disant que c’était la résidence qu’un roi offrait à sa favorite . Elle fut charmée. Comme quoi Louis XVI, un roi que j’aime bien, n’était pas le butor qu’on raconte.