Décès à Turin à l’âge de 91 ans de la princesse Marella Caracciolo di Castagneto, veuve de Gianni Agnelli. Fille du prince Filippo Caracciolo di Castagneto, elle épouse en 1953 Gianni Agnelli héritier de l’empire Fiat.
Marella était considérée comme l’un des « cygnes » de la Cafe Society. Elle s’est beaucoup investie dans l’art du jardinage et dans la décoration. Elle a veillé au développement de la collection d’art de la famille Agnelli.
Elle a fait plusieurs fois la Une de Vogue et fut souvent reprise dans la liste des femmes les plus élégantes.
De son union avec Gianni Agnelli décédé en 2003, elle a eu deux enfants Edoardo (1954-2000) et Margherita (1955).
Margherita a épouse en premières noces Alain Elkann avec qui elle a eu John, Lapo et Ginevra. John aujourd’hui à la tête du consortium familial, est marié à la comtesse Lavinia Borromeo.
Margherita s’est ensuite remariée avec le comte Sergei de Pahlen avec qui elle a eu 5 enfants. (Merci à Corsica et Alberto)
GUY
24 février 2019 @ 08:54
Encore une grande dame élégante qui disparait, le monde de la haute couture est touché en ce moment, trois disparitions en quelques jours.
On avait l’habitude de la voir aux défilés de mode a Paris il y a quelques années.
Menthe
24 février 2019 @ 10:48
Beau couple,… j’ai toujours admiré le profil patricien de Gianni Agnelli.
LOLA
2 mars 2019 @ 15:23
Beau couple certes….mais cette femme a été l’une des plus trompées des princesses voire des femmes de son époque…avec entre autres…Jacky O !
Mais c’est qu’il était craquant le beau Gianni… !
Leclercq
24 février 2019 @ 09:04
Splendide photo de couple. I,s sont magnifiques tous les deux
Baboula
24 février 2019 @ 09:08
Belle et discrète,unie pour la vie au plus séducteur des italiens .
Menthe
25 février 2019 @ 14:11
Le plus séducteur, mais aussi le plus séduisant 😍
Baboula
26 février 2019 @ 13:30
Et excellent plongeur sans carré blanc depuis son bateau .
Guyard
24 février 2019 @ 09:29
Sur l’ascendance de la princesse et son lien avec Roosevelt. http://geneanjou.blog.lemonde.fr/2019/02/23/princesse-marella-caracciolo-veuve-de-giovanni-agnelli-1927-2019/
olivier kell
24 février 2019 @ 09:30
La grande classe de l aristocratie italienne d une époque
Gibbs
24 février 2019 @ 09:42
Merci Régine !
Elle était née le 04 mai 1927.
De beaux traits fins que ce jeune visage et une telle classe.
Galetoun
25 février 2019 @ 19:22
Mais c’est quoi tous ces enfants! 10!!!
Laure-Marie Sabre
26 février 2019 @ 13:34
Non, Gianni et Marella ont eu un fils et une fille, leur fille en a eu 8 (3 du 1er mariage et 5 du 2nd).
LOLA
2 mars 2019 @ 15:24
Et le fils s’est suicidé en 2000 !
Val
24 février 2019 @ 10:06
Cette photo avec son mari est magnifique !
Marie-Francoise
24 février 2019 @ 10:13
Quelle classe , qu’elle beauté ! Je ne connaissais pas cette dame !
Héloïse
24 février 2019 @ 10:22
Elle avait un cou et un nez immenses .on l appelait le cygne.j.elle a été bafouée non stop avec son mari qui a eu une love affaire avec Jackie.
Elle en a avalé des couleuvres et en tant que princesse .never explain ne er complain.
Corsica
25 février 2019 @ 15:29
Elle a épousé un homme très convoité et a été effectivement beaucoup trompée sans discrétion aucune mais, dans une interview, elle a parfaitement résumé la situation « ce qui intéresse Gianni, ce n’est pas d’aimer une femme mais de la conquérir ». Une fois cela établi, soit elle restait, soit elle partait. Elle est restée ce qui laisse supposer qu’elle y a trouvé son compte.
L'Alsacienne
24 février 2019 @ 10:22
Cette photo, on dirait une statue.
Muscate-Valeska de Lisabé
24 février 2019 @ 10:25
Belle à tout âge. … voilà,c’est ce style de femme que je qualifie de « classe » autant que belle.
Aucune des princesses actuelles, en fait, ne peut revendiquer cette élégance de l’être,évidente et innée,qui n’a rien à voir avec ce que l’on porte,mais uniquement avec ce que l’on EST.
Mary de Danemark et Letizia s’y essaient.Mais c’est un exercice,pas une qualité acquise .
Gatienne
25 février 2019 @ 14:08
Une beauté altière que je qualifierais de patricienne :
ni Mary, ni Letizia, en dépit de leurs efforts méritoires pour représenter au mieux une certaine idée de l’élégance, ne peuvent rivaliser avec cette classe inée comme vous le soulignez.
Cela tient à ce je ne sais quoi de magnétique et de mystérieux qu’une garde robe flatteuse, un maquillage soigné où une harmonie de traits ne vous accorderont pas malgré toutes vos tentatives pour briller !
mariejeanne
2 mars 2019 @ 15:27
Grace, Paola pouvait rivaliser voire Soraya…les autres bob, bof !
Menthe
25 février 2019 @ 14:15
Muscate, je lis de plus en plus entre vos lignes et suis plus que d’accord avec vous !
😘
Claude Patricia
25 février 2019 @ 15:10
Bonjour Lisa,
Si, Mary a une grâce, c est la plus classe des princesses, un je ne sais quoi de chaleur retenue qui brille parfois dans ses yeux. Pour la reine d Espagne, je dirais qu elle n est pas toujours constante dans ses tenues.
Val
24 février 2019 @ 10:30
Lorsque vous regardez les photos par exemple de leur mariage mondain, c’est en vieillissant que Gianni son époux est devenu incroyablement séduisant ! Jeune il n’avait que sa fortune et son intelligence de séduisants ! Leur enfants ne furent pas à la hauteur,
Menthe
25 février 2019 @ 18:05
C’est vrai Val,j’ai répondu à Baboula plus haut que c’était le plus séduisant des Italiens, mais effectivement j’aurais dû préciser…. à partir d’un certain âge !
Baboula
26 février 2019 @ 13:31
Et excellent plongeur sans carré blanc depuis son bateau .
Baboula
26 février 2019 @ 13:32
Surtout après son plongeon !
Lorenz
24 février 2019 @ 10:31
Elle a joué avec une grande classe le role de première dame qu’on lui demandait.
Elle a vraiment marqué son epoque en ce qui concerne le raffinement et l’élégance (maintien, vêtements, décoration, jardins, …), mais il y a quand meme un grand « mais »: elle n’aurait plus eu le temps de s’interesser vraiment de ses enfants, avec le consequences tragiques qu’on connait (Edoardo évidemment, mais Margherita aussi aurait une personnalité.. difficile).
Son mari l’a honorée jusqu’au bout: ils choisissait (beaucoup) d’autres pour partager (fugacément) son lit, mais comme « Madame Agnelli » il n’a voulu qu’elle, même quand Jackie Kennedy, veuve, c’était proposée pour le role.
LOLA
2 mars 2019 @ 15:29
« Honorée » jusqu’au bout…euh !
Oui pas très « maman », comme Paola…et un peu Grâce qui déléguait aux gouvernantes dixit Albert…ah les « belles » photos de l’époque..!
Pauline de Roby
24 février 2019 @ 10:35
Une princesse, épouse d’un ponte de l’industrie automobile, d’une grande grâce.Le cygne l’a représentait tout à fait, c’est vrai. Pour moi, un modèle d’élégance à l’italienne et de classe pure. Il semblerait que les relations avec sa fille étaient plus compliquées?
Laure-Marie Sabre
26 février 2019 @ 10:03
Oui, les relations avec sa fille étaient compliquées depuis la mort de GIanni Agnelli et des problèmes autour de l’héritage, qui privilégiaient ses enfants issus du 1er lit.
Agnese
24 février 2019 @ 10:35
Quelle grande dame c’etait….après Lee Radziwill…2 cygnes sont partis. Dona Marella était raffinée et toujours élégante, discrète et avec une éducation parfaite.
La vie ne lui a pourtant pas fait que des cadeaux….
Francois
24 février 2019 @ 11:09
Tout en cette femme respire la classe et le bon ton
Une génération part en emportant ce qui reste de distingué
sur cette terre
Alinéas
24 février 2019 @ 11:25
Bien belle sur cette photo en noir et blanc, pleine de douceur !!!
Vitabel
24 février 2019 @ 11:41
Peu de princesses ont cette élégance aujourd’hui. Comme disait Lagerfeld : »c’est inné », ça ne s’apprend pas.
Laure-Marie Sabre
25 février 2019 @ 17:57
Ce n’est pas tout à fait exact : ce n’est pas inné mais cela s’apprend naturellement, en famille, par imitation.
Robespierre
24 février 2019 @ 11:45
Gianni Agnelli etait en couple avec Pamela, l’ex belle-fille de Churchill quand il rencontra Marella. Les soeurs de Gianni détestaient Pamela et ne la trouvaient pas assez bien pour leur frère. Elles n’étaient pas non plus enthousiastes à propos de Marella (me rappelle plus pourquoi) mais c’était pour elles un moindre mal. La princesse napolitaine était enceinte en se mariant et c’est probablement cela qui décida Gianni, un vrai play boy à l’époque, de sauter le pas. Finalement, tout le monde fut content, sauf Pamela bien sûr. Elle n’avait pas compris qu’un Agnelli n’épouserait jamais une divorcée sans fortune et avec un enfant. Ce qu’on ne dit pas dans cet article, c’est creve-coeur que dut être pour Marella le suicide de son fils Edoardo. Je ne parle pas des nombreuses infidélités de son mari. Il plaisait beaucoup à Jackie Kennedy mais elle comprit vite que les Agnelli ne divorcent pas.
Mayg
25 février 2019 @ 17:57
Merci pour ces précisions Robespierre.
Danielle
24 février 2019 @ 12:12
Une jolie femme, 91 ans est déjà un bel âge.
Mayg
24 février 2019 @ 12:37
Son fils Edoardo est mort jeune.
carlos quinto
24 février 2019 @ 12:45
Marella Agnelli n’était pas une princesse. Elle était la fille du prince de Castagneto. Son nom de jeune fille était Donna Marella Caracciolo dei Principe di Castagneto.
Gérard
28 février 2019 @ 21:25
En effet en version longue : noble des princes de Castagneto.
DENIS
24 février 2019 @ 13:07
Comme quoi, comme toujours , l’élégance est assurée quand elle va avec la minceur et l’opulence …
Lorenz
24 février 2019 @ 13:27
Le message que Giorgio Armani a voulu publier sur le Corriere della Sera:
« J’ai appris avec grand regret la disparition de Marella Agnelli.
C’était une femme au charme rare et à la discrétion absolue, dont j’ai toujours admiré la légèreté des gestes et la profondeur du regard. Son élégance était exemplaire, classique et moderne à la fois. »
Thelma
24 février 2019 @ 13:42
Merveilleuse élégante !
lucile
24 février 2019 @ 14:43
la fin d’une époque, tristesse.
Teresa2424
24 février 2019 @ 15:26
Que fina ,elegante,bonita princesa
Claude Patricia
24 février 2019 @ 15:36
Deuxième disparition d une célébrité de cette café sociéty …comme cette semaine Elle et Point de Vue feront d excellents articles.
Le décès de M Lagerfeld m a beaucoup touchée. Comme m Saint Laurent ils ont beaucoup fait pour les femmes.
Donc en ce moment, je les imagine tous et toutes autour d une table parlant des nouvelles collections à venir. Et de la vie, tout simplement.
J ai découvert cette semaine un monsieur très élégant portant beau ses 80 ans. Un écrivain américain, à priori sans à priori qui me donne l envie de le lire…enfin quand j aurai fini mes lectures en cours dont celle de m. Obama.
J ai adoré Edmond, et avant Guy, et je savais qu Alex lutz gagnerait aux Césars.
J aimerai que « 3 billboards les panneaux de la vengeance » soient récompensés aux Oscars, l intrigue est haletante de bout en bout.
Claude Patricia
25 février 2019 @ 15:14
Bon, mon film américain n était même pas sélectionné, sauf aux Césars et c est bien dommage. Peut-être trop de violence.
Mais honnêtement je n ai pas vu les autres…il en sort tellement que c est difficile de tout voir toutes les semaines même avec des abonnements.
Karabakh
24 février 2019 @ 15:40
Mondaine mais sympathique. Egalement très élégante.
Sincères pensées aux Agnelli-Elkann dont l’histoire n’a pas toujours été simple.
Philibert
24 février 2019 @ 16:48
La première photo est ancienne, c’est le moins qu’on puisse dire…
beji
24 février 2019 @ 16:52
Sur la première photo,toute l’élégance et le long cou de cygne.
josaintvic
24 février 2019 @ 17:07
Un couple magnifique qui a du affronter la mort tragique de son fils Édouard
Richard
24 février 2019 @ 17:14
Elle est là demi sœur du Nobile Ettore Rosboch von Wolkenstein, le père d’Elisabetta Rosboch von Wolkenstein épouse du prince Amedeo
Richard
24 février 2019 @ 17:17
Elle est là demi sœur du Nobile Ettore Rosboch von Wolkenstein père de la princesse Amedeo de Belgique
Capucine 👸
24 février 2019 @ 17:35
Marella était une de ses rares femmes a détenir une allure raffinée.
De plus c’était une femme élégante qui a développé et promu des centres d’intérêts artistiques avec beaucoup d’implications.
Qu’elle repose en paix.
Cosmo
24 février 2019 @ 17:38
Quelle allure ! Sur la deuxième photo, la princesse a un faux air de Silvana Mangano.
Philippe Gain d'Enquin
24 février 2019 @ 20:30
Une beauté et une classe (à couper le souffle), telles que l’on en croise plutôt rarement ces derniers temps in N/R…
Richard
24 février 2019 @ 20:54
C’est une bien triste nouvelle. Je ne savais pas qu’elle son frère le prince Carlo étaient les demi-frère et soeur du Nobile Ettore Rosboch von Wolkenstein, père de la princesse Amédéo de Belgique
Richard
24 février 2019 @ 20:58
C’est une bien triste nouvelle que la mort de cette grande dame du monde.
Je ne savais pas que Donna Marella et son frère le Don Carlo étaient les demi- frère et soeur du Nobile Ettore Rosboch von Wolkenstein, lui même père de la princesse Amédéo de Belgique
Esquiline
24 février 2019 @ 21:12
« The last Swann » pour Truman Capote.
Symbole absolu d’élégance, de chic, de raffinement.
Noble, intellectuelle et cultivée, toujours un peu mélancolique et énigmatique, elle forma avec Gianni Agnelli le plus élégant des couples.
Mary
25 février 2019 @ 00:08
Elle a eu la douleur de perdre son fils, dévoré par la drogue.
Claude
25 février 2019 @ 15:57
Pas le moins du monde.
Eduardo était plus proche de l’ascèse, de la philosophie, de l’islam.
Laure-Marie Sabre
26 février 2019 @ 12:48
Non, Edoardo, effectivement passionné de philosophies orientales, a eu de sévères problèmes de drogue à plusieurs moments de sa vie. Le 1er scandale s’est produit à Malindi, au début des années 80, où son cousin Giovannino, alors âgé de 20 ans, avait été délégué pour le récupérer.
Laure-Marie Sabre
25 février 2019 @ 18:06
Il n’est pas mort d’overdose et ne se droguait plus à l’époque de son décès. Dont les circonstances ne dire.t jamais éclaircies.
Robespierre
26 février 2019 @ 12:46
Il s’est jeté d’un pont d’une autoroute. Il a laissé sa voiture tout près, non verrouillée. Le suicide ne fait aucune doute.
Mary
27 février 2019 @ 22:03
Il vivait reclus et jouait à des jeux vidéos . Tant mieux s’il ne se droguait plus mais le mal était fait, j’ai l’impression : dépression , réclusion volontaire, etc…
C’est un homme d’affaires italien qui nous l’avait dit. Je n’ai pas demandé ses sources…
Robespierre
26 février 2019 @ 12:49
Il s’est jeté du pont d’une autoroute. On a retrouvé sa voiture sur l’autoroute, non verrouillée. Le suicide à l’époque n’a fait aucun doute. Pauvres parents.
Laure-Marie Sabre
26 février 2019 @ 13:38
C’est la version officielle mais il y a pas mal de zones d’ombre et même la presse sérieuse continue de s’interroger sur ce qui s’est réellement passé. Les articles publiés à l’époque posaient au contraire de nombreuses questions et aucun ne validait telle quelle l’analyse présentée par la justice.
Anne-Cécile
25 février 2019 @ 03:05
Un très beau cygne, distingué, gracieux et aristocratique, mais n’ayant pas dédaigné la fortune Agnelli, et finalement fort snob.
Ses enfants ont connu des destinées tragiques ou pour le moins tourmentées. Sa fille Margherita fut littéralement exclue de l’héritage pour préserver son fils aîné et la fortune Agnelli.Les petits-enfants Pahlen n’auront pas les mêmes droits que les petits Elkman, malgré leurs moeurs plus calmes.
Pascal
25 février 2019 @ 17:18
Vous avez je crois parfaitement raison , une affaire assez sordide je le crains .
J’espère néanmoins sincèrement qu’ils auront quand même des miettes substantielles et qu’ils sauront en profiter avec la quiétude que vous évoquez .
Monsieur de Pahlen est le directeur des éditions des Syrtes qui publient des livres très intéressants .
Laure-Marie Sabre
26 février 2019 @ 10:26
Si mes souvenirs sont exacts, Margherita Agnelli a hérité de près de 2 milliards d’euros à la mort de son père : ce n’est pas exactement ce que l’on appelle être exclue d’un héritage. Mais elle avait compris qu’une partie de la fortune paternelle avait été « mise à l’abri » du fisc italien sous la forme d’un placement en Anstalt au Liechtenstein, avec des tuteurs plutôt douteux, dont la garde rapprochée de Gianni Agnelli (Franzo Grande Stevens, Gianluigi Gabetti…). Cette Anstalt ne peut être dissoute sans leur accord et l’héritier, qui serait John Elkann, peut simplement y puiser sans réellement en disposer. Marella Agnelli était certainement au courant mais elle a privilégié la fidélité à la décision de son mari par rapport à la défense des intérêts de sa fille.
Margherita Agnelli a été citée dans les Panama papers, ce qui n’est pas très honorable en soi. Certes, elle est résidente en Suisse depuis une éternité, de même que sa mère – qui vivait pourtant essentiellement en Italie et au Maroc – et n’a donc aucune obligation fiscale envers l’Italie. Mais la bataille qui s’annonce autour de l’héritage de Marella Agnelli cette fois ne devrat pas manquer d’intérêt : un patrimoine estimé autour de 15 milliards d’euros, des biens immobiliers dont certains habités par son fils aîné, une règlementation à cheval sur Italie, Suisse, Liechtenstein, etc.
La suite au prochain épisode.
LOLA
2 mars 2019 @ 15:35
« des biens immobiliers habités par son fils ainé » ??? un seul fils et
il s’est suicidé !
limaya
25 février 2019 @ 07:31
Elle formait avec G.Agnelli un couple hors du commun , assorti , élégant , digne ,classe un très beau couple . On en voit de moins en moins ds l’Europe d’aujourd’hui hélas
Annmaule
25 février 2019 @ 08:32
Tellement belle et tellement beaux tous les deux!!!
Oui cette generation s eteint tout doucement ce qui est naturel….
Qui aujourd hui prend la suite entre beaute fortune et dolcee vita supposee?
Claude Patricia
25 février 2019 @ 15:25
Bien, à chercher notre époque préfère tellement le trash depuis 25 ans que faire des points avec des personnes d aujourd’hui…l époque n est plus au noir et blanc, aux portraits figés. Mais au mouvement perpétuel comme le fait Valeria tedeschi par exemple.
Peut-être que melles Borroméo seraient leurs héritières? Je fouille dans mes Point de Vue et je vous rend ma copie.
Claude Patricia
25 février 2019 @ 15:17
Je verrai un grand film où se croiseraient tous ces personnages, et un seul titre qui lui conviendrait effectivement : café société. Ce sera un joli souvenir.
J aime les destinées peu ordinaires.
Dubédat
25 février 2019 @ 15:54
La princesse a inspiré son ami Truman Capote pour l’héroîne de « breakfast at Tiffany ».
Jean-Christophe
Claude Patricia
26 février 2019 @ 16:22
Oui!! J adore ce film exquis. Et Audrey Hepburn est mon idole cinématographique. Elle avait tout, donnait tout.
Isabelle d'Ottawa
25 février 2019 @ 16:06
Elle portrait souvent un magnifique collier de rubis et émeraudes indiens, autour de son long cou de cygne.
Héloïse
25 février 2019 @ 16:47
Agnelli avait un charme et une beaute d empereur romain.tres coureur et irrésistible.il avait eu la jambe broyée dans un accident de voiture.son fils était devenu musulman et socialiste et trouvait que son père n était jamais la.il s est suicide.sa fille était en révolte permanente contre sa mère.les parents étaient deux mondains qui ne se sont jamais occupés de leurs enfants et pour cela je mets 0.si le père ne pouvait pas,la mère aurait du s en occuper personnellement comme Kate ou letizia
Laure-Marie Sabre
25 février 2019 @ 17:55
Gianni Agnelli avait pour théorie que l’on pouvait tout faire mais qu’on ne quittait pas sa famille. Il avait fortement désapprouvé son frère Umberto, qui avait refusé de vivre plus longtemps dans l’hypocrisie, avait divorcé et s’était remarié avec la princesse Allegra Caracciolo, cousine germaine de donna Marella.
Laure-Marie Sabre
25 février 2019 @ 18:02
Il était par ailleurs exclu que Gianni Agnelli épouse une protestante, même convertie. Marella ne convenait pas à ses futures belles soeurs parce qu’elle n’était, à l’époque, pas très cultivée et, curieusement, un tantinet provinciale. On lui a fait prendre des cours afin qu’elle puisse recevoir pour son mari mais même cela ne s’est pas fait tout seul dans les premiers temps : je crois que c’est Marina Cicogna Mozzoni qui lui avait rappelé qu’on attrapaiy les hommes au lit mais qu’on les gardait en créant un foyer. Elle prit donc aussi des cours… d’économie domestique !!
Laure-Marie Sabre
26 février 2019 @ 12:49
Oulah, mes messages ne sont pas du tout apparus où il fallait.
Robespierre
26 février 2019 @ 13:00
Merci pour ces précisions. C’était donc un manque de culture qui déplaisait aux belles-soeurs. Pour le lit, elle avait compris, puisqu’elle se maria enceinte, et vu son nom je suppose que Gianni s’est dit que quitte à marier autant prendre cette jeune fille de bonne famille, enceinte de surcroît. La mère de Gianni, jeune veuve avec 7 enfants, qu’on appelait dans la famille « la principessa romana » etait la fille d’un prince romain et d’une riche Américaine. Elle eut une histoire avec Malaparte, mais le grand père Agnelli y mit le holà. Malaparte a ecrit un très beau recueil de nouvelles « Donna come me » (une femme comme moi) (Editions du Rocher) qui est dédié à la mère de Gianni. Malaparte était une fripouille sur le plan moral, mais il a peut-être aimé vraiment cette femme inaccessible en un certain sens. Et c’était un grand écrivain.
Gianni et sa fratrie perdirent donc leurs parents trop jeunes. Dans des accidents stupides.
Robespierre
27 février 2019 @ 13:36
Susanna Agnelli parle des relations orageuses de sa mère et de son grand-père et evoque pudiquement Malaparte dans « Nous portions des costumes marins ». Un livre tres agréable à lire, mais sans doute introuvable aujourd ‘hui. Me rappelle plus l’éditeur. Finalement, « la principessa americana » c’était la grand-mère maternelle de Gianni et Susanna.
Laure-Marie Sabre
28 février 2019 @ 13:02
Oui, surnommée Princess Jane. C’est à elle que Gianni Agnelli doit son physique amérindien puisqu’elle avait des ancêtres peau-rouge.
Vestivamo alla marinara, édité en France chez Fayard et disponible à la vente en ligne. Très agréable à lire en effet, mais pas forcément très très sincère.
Gli Agnelli, qui n’a pas été traduit en français je crois, donne une version nettement moins romancée de la légende familiale mais extrêmement documentée et intéressante.
Stéphane G.
28 février 2019 @ 13:57
cher Robespierre, je l’ai lu et c’est un vrai travail d’écrivain où le ressenti domine (elle ne nous bassine pas avec ses ancêtres): je me souviens des passages à la fin de la guerre où tout s’est écroulé, et où l’Italie est en déliquescence complète, le fait d’être tiraillée entre sa patrie – Mussolini- et le bien; je l’avais trouvé-le livre- dans une manette oubliée chez un bouquiniste de Drouot, effectivement introuvable en français
limaya
27 février 2019 @ 07:20
Aucun com de notre célébrissime spécialiste habituelle , en élégance , classe et ses superlatifs exagérés aujourd’hui ? ? ?