Deuxième cuvée Chambord attendue en cette année 2020. Le domaine du château de Chambord dispose de six hectares de vignes replantées en 2015.
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Jean Pierre
29 avril 2020 @ 09:19
Ils replantent alors que beaucoup arrachent !
J’espère que le vin est bon au moins et que cela valait le coup.
particule
29 avril 2020 @ 09:27
On fera sauter le bouchon avec Monsieur le Comte au moment de la naissance attendue !
josaint vic
29 avril 2020 @ 10:40
Monsieur le Comte n est pas propriétaire des lieux..
particule
29 avril 2020 @ 11:00
Cela l’empêche t il de goûter au vin ?
PATRICIA
29 avril 2020 @ 10:56
A qui appartient le domaine ? La ville ? l’Etat ?
Les verres sont jolis même si « qu’ importe le flacon,pourvu qu’on est l’ivresse », le contenant est très important, sa forme notamment et sa matière évidemment !
Les spécialistes du parfum le savent parfaitement !
PATRICIA
29 avril 2020 @ 11:34
Les verres sont jolis. Même si « qu’importe le flacon, pourvu qu’on est l’ivresse », la forme et la matière du contenant sont aussi déterminants évidemment.
Les spécialistes du parfum, en marketing ou non, le savent pertinemment.
Karabakh
30 avril 2020 @ 21:16
Nous sommes quand même dans une autre matière que celle de la parfumerie mais vous avez raison et, bizarrement (ou pas), nous ne savons que peu de choses du contenant ; les seules critiques émanent du cercle royal, aucun avis digne de ce nom n’est publié. Une communication bien verrouillée.
Un vin de vigne jeune ne peut de toute façon pas être extraordinaire.
DEB
29 avril 2020 @ 12:13
Qui -l’a -goûté ?
Est-il bon ?
Karabakh
30 avril 2020 @ 21:14
Le problème est là : nous ne savons pas qui l’a goûté, en dehors de la Cour du Roy de France – laquelle cour, quoique dénuée de maréchal, ne tarit pas d’éloges, sans doute de peur d’y perdre ses oripeaux. Bref. Aucun critique digne de ce nom ne s’est exprimé sur ce vin.
Cela me rappelle vaguement un Champââgne…
Leonor
29 avril 2020 @ 12:44
Normalement, c’est : » Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ».
Là, c’est l’inverse .
Leonor
29 avril 2020 @ 12:59
Normalement, c’est : » Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ».
Là, c’est l’inverse .
Ah, et puis, à l’instant, je suis allée explorer un peu la question – vitale, il va de soi -, et ai atterri sur le site chambord.org , etc .
Et voilà que les yeux me font mal. Mais mal !
Parce que les fautes de grammaire qui me sautent aux mirettes, ça me fait un mal de chien
Eh oui. Dans la toute première ligne du long blabla consacré au picrate royal , une magnifique faute de grammaire. (la deuxième est éventuellement pardonnable).
« En mai 2019 seront dégustés les tous premiers vins de Chambord avec la cuvée des 500 ans ! »
Vous avez bien lu.
Ben, vous savez quoi ?
Ca la fout mal !
Ca la fout mal pour le château de Chambord, ça la fout mal pour Monsieur Machin de Hauteville , et ça la fout mal pour François Ier et Villers-Cotterets.
Non, mais.
Je pardonne facilement les fautes d’orthographe à toute personne dont ce n’est pas le boulot d’écrire , et qui y met un peu du sien.
Mais pas là. Pas à ce niveau. Pas à Chambord.
Va falloir lui dire, à Hauteville ! Lui qui est dit bardé de tant de diplômes et autres peaux d’âne.
Mais après, je veux … des royalties en tant que Consultant. ;-) . Faut pas charrier .
PS :Je n’ai même pas lu la suite du blabla, tellement la première ligne m’a sidérée.
Ghislaine-Perrynn
30 avril 2020 @ 10:06
N’est pas Audiard qui veut
L’argot est une langue tout aussi respectable que le français , elle est difficile à manier car on tombe vite dans la vulgarité et là c’est fait .
Nuage Pâle
30 avril 2020 @ 13:19
Heureusement qu’on avait pas fait un pot de départ .
Menthe
30 avril 2020 @ 14:22
Ouais, ouais, Baboula, je le pense tous les jours !!! 😘
Karabakh
30 avril 2020 @ 21:10
Les fautes grammaticales sont à la hauteur des erreurs œnologiques, tout va de paire. Ce vin est et restera clairement un breuvage de troisième ordre ; 30 euros pour un flacon qui égale à peine un Merlot de table, c’est du délire, c’est risible, c’est même parfaitement c*n.
Annmaule
29 avril 2020 @ 13:35
Une vigne si jeune ne fera pas de miracle..
Reste l etiquette…encore un peu de patience pour une vraie degustation…
Sébastien
29 avril 2020 @ 15:04
Ca me rappelle la piquette qu’Alain Baraton avait planté au Hameau de la Reine… Si peu historique et tellement imbuvable que l’on y a depuis renoncé ! :)
Karabakh 🍷
29 avril 2020 @ 18:56
30 euros le « flacon » pour un vin qui ne se vend que du producteur au consommateur, dont on ne trouve aucune critique indépendante, c’est assez cher et peu engageant. Je passe mon tour.