Lors de la cérémonie des César 2013, le film « Les adieux à la reine » qui raconte l’histoire de Sidonie Laborde, lectrice de la reine Marie Antoinette au moment de la révolution française, a remporté le César du meilleur décor, le César des meilleurs costumes et le César de la meilleure photographie.
marielouise
24 février 2013 @ 08:22
Oui,belle réalisation mais je n’avais pas trop croché!
Valeska
24 février 2013 @ 09:06
Un film dont les talents esthétiques,donc,ont été reconnus…Quant à l’artistique des acteurs,moins… ;)
Pierre-Yves
24 février 2013 @ 11:01
Très beau film, et je me réjouis qu’il ait été récompensé.
Je regrette tout de même que le très tonique et très touchant Camille Redouble n’ait absolument rien eu.
juliette1807
24 février 2013 @ 13:43
jolis costumes, jolie réalisation mais actrices absolument pas crédibles dans ce film….
Nathetvoila
24 février 2013 @ 23:05
Complètement d’accord!
Actarus
24 février 2013 @ 15:47
Des prix « techniques » de consolation, c’est tout ce que ce film de série Z pouvait espérer, et 3 c’est déjà beaucoup.
*gustave de montréal
24 février 2013 @ 18:12
Depuis quelques années la TV5 Monde ne nous offre plus la Nuit des César au Canada. J’en suis très fâché et je leur ai transmis ma frustration.
Francine du Canada
25 février 2013 @ 17:11
Bravo*gustave de montreal; je vous appuierai en leur transmettant également ma frustration. Après tout, nous sommes les usagers…
petit page
24 février 2013 @ 20:08
un film à côté de la plaque pour tout l’aspect historique : un louis XVI quinqua, une reine perverse, une Polignac arrogante, une campan grossière et trop agée et un comte d’Artois lilliputien … simplement ridicule
Quant aux costumes, ma reine est caricaturée et ne ressemble à rien …
Pourtant ces quelques jours de panique générale demeurent une période singulière pour la vie de Cour à Versailles.
Quel dommage ! L’allée du Roi de Nina Companeez était un téléfilm très reussi , Le cinema a la prétention de produire encore des navets décoratifs …
Pierre-Yves
25 février 2013 @ 17:55
Sans doute n’avez-vous pas regardé ce film ave les bonnes lunettes. Benoit Jacquot n’a jamais cherché à faire oeuvre d’historien.
Il a mis en scène avec habileté et subtilité une fiction autour d’un personnage inventé (par Chantal Thomas) et a rendu très palpable l’affolement et le désarroi qui ont dû s’emparer de Versailles à l’annonce de la prise de la Bastille.
Le film n’est pas prétentieux et encore moins un navet.
Quant à le qualifier de série Z, c’est juste stupide.
petit page
25 février 2013 @ 23:00
Je ne critique pas la fiction mais l’inexactitude historique qui dans ce film est insupportable. Le manichéisme simplet, la vulgarité de la campan et de la polignac, la banalité de la reine rendent mauvais ce film …
Apres on s’attachera à la fraîcheur de la lectrice, à certains personnages secondaires assez beau, l’enjeu du récit est gâté par trop de maladresses.
Si ce film est bien réalisé, si le désarroi est effectivement éprouvé chez les courtisans … je dis non au reste … un film comme jefferson à Paris , pourtant mièvre, est plus parlant ….
Valeska
26 février 2013 @ 10:33
Ah,cher petit page, »L’allée du Roi »!!…J’ai vu et adoré ce téléfilm plusieurs fois…émouvant,fidèle,presque un huis clos dont nous étions les seuls témoins,petites souris cachées dans les coulisses de l’Histoire…Dominique Blanc et Didier Sandre y étaient parfaits. :)
Bonne journée à vous.
petit page
2 mars 2013 @ 02:41
Merci, à vous aussi
et cette musique envahissante ….
Marie de Cessy
24 février 2013 @ 23:39
Je n’ai pas vu ce film
Je vais donc me rattraper par la location
Francine du Canada
25 février 2013 @ 04:44
Je n’ai pas vu le film et j’avoues ne pas être trop tentée compte tenu des commentaires précédents quoique je m’intéresse beaucoup à l’histoire de Marie-Antoinette. Lorsque j’étais à Paris à l’automne dernier, je voulais visiter la Conciergerie mais… elle était fermée pour « renovations ». Je devrai donc y retourner ha! ha!
Michel
25 février 2013 @ 09:08
Ce film est tellement passionnant que j’ai fini par m’endormir! Marie-Antoinette y est décrite comme une femme plus que frivole, orgueilleuse et amoureuse folle de la Duchesse de Polignac pour qui elle serait prête à tout sacrifier!
Valeska
26 février 2013 @ 10:35
Ah bon Marie-Antoinette était bi?
Zut,j’ignore même ce que tout le monde sait! ;)
Michel
26 février 2013 @ 21:29
Comme dirais Francine du Canada, je ne sais pas car je n’étais pas là! Néanmoins, ça lui a été reproché à maintes reprises et plus particulièrement lors de son procès (avec la Polignac mais aussi le Princesse de Lamballe), rien ne lui a été épargné, on l’a même accusé d’être une mère incestieuse, on a même forcé son fils (l’éphémère Louis XVII)à dire que sa mère le touchait le soir dans son lit, ces accusations ont anéanties la Reine!
Valeska
27 février 2013 @ 11:05
Merci pour la précision,Michel…Uffff,maintenant je me souviens de cette accusation d’inceste.Je savais la Princesse de Lamballe très proche amie de la Reine,et sa fin fût trop horrible pour être décrite ici,d’ailleurs beaucoup la connaissent…
Bonne journée à vous.
Francine du Canada
28 février 2013 @ 02:26
Hi! Hi! Hi! Ha! Ha! Ha! Michel, je suis morte de rire. N’eut été d’une faute d’orthographe et d’une coquille dans votre commentaire… j’aurais juré que nous nous connaissions mais là… c’est mathématiquement et statistiquement impossible!
Vous y croyez vous à cet inceste? Moi… pas tellement quoique mon bon sens analytique me dit d’être prudente… de me garder une petite gêne, comme on dit, ne serait-ce que pour faire de la place à l’élément scientifique et logique qui veut qu’il y a toujours une exception qui confirme la règle. Toutefois, j’aurais pris la barre et mis la toge pour défendre Marie-Antoinette et… j’aurais gagné; de cela je suis certaine.
En attendant… vous m’avez bien fait rire et c’est le but sur ce site.
Sébastien
25 février 2013 @ 12:51
« qui raconte l’histoire de Sidonie Laborde »… Histoire fictive bien sûr, la Reine n’ayant jamais eu de lectrice ;-)
Francine du Canada
25 février 2013 @ 17:15
Vous étiez là, Sébastien? Racontez s.v.p.
Philippe de Toulouse
25 février 2013 @ 21:19
Ce premier roman de Chantal Thomas est un vrai régal et le XVIII siècle à son apogée, mais Je n’ai pas vu le film…