30ème anniversaire du décès accidentel au Colorado d’Alphonse de Bourbon et Dampierre, duc de Cadix et d’Anjou, fils de l’infante Jaime, petit-fils du roi Alphonse XIII.
Marié à Carmen Martinez-Bordiu, fille du marquis de Villaverde et petite-fille du général Franco, il eut la douleur de perdre son fils aîné Francisco/François dans un accident de voiture en 1984 dans lequel il fut lui-même grièvement blessé.
Après cette grande tragédie et son divorce, Alphonse de Bourbon s’était progressivement reconstruit aurpès de son jeune fils Louis actuel duc d’Anjou.
Au moment de son décès, il était âgé de 52 ans. Il était fiancé à l’archiduchesse Constanza d’Autriche, fille de l’archiduc Carl Ludwig.
JAY
30 janvier 2019 @ 09:03
Quel destin …. l histoire aurai pu être tout autre s il avait vécu plus longtemps ….
aubert
30 janvier 2019 @ 20:25
comment voyez-vous cette tout autre histoire ?
Laurent F
30 janvier 2019 @ 09:19
Un horrible accident !
beji
30 janvier 2019 @ 09:38
Au moment de sa mort,le prince était fiancé à Constanza de Habsbourg. la robe de mariée de Carmen est la dernière qu’a réalisée Balenciaga.
Lady Chatturlante
30 janvier 2019 @ 14:46
Quelle belle robe de mariée.
beji
30 janvier 2019 @ 09:40
je n’avais pas lu l’article en entier d’où mes propos sur Constanza de Habsbourg dont
le fils du duc de Cadix est resté proche.
CHRISTIAN PAPET-VAUBAN
30 janvier 2019 @ 09:51
Un anniversaire toujours douloureux.Une grande personne!
Philippe Gain d'Enquin
30 janvier 2019 @ 13:08
La mort d’un homme dans la force de l’âge est une épreuve et celle de votre prince fut doublée du tragique de cette dernière. Au delà de nos divergences, veuillez croire en mon union de prière. A vous, PGE
Menthe
30 janvier 2019 @ 10:21
30 ans déjà ! je me souviens très bien de cet épouvantable accident de ski.
Antoine
30 janvier 2019 @ 10:36
Bel homme, sympathique, simple, abordable, proche des gens et charismatique. Il avait accepté la présidence d’honneur d’une petite association d’histoire locale dans ma province et y a été très actif, ne manquant aucune assemblée générale et nous ouvrant, par son entregent, bien des portes. Il était beaucoup plus présent sur le sol français que ne l’est son fils. Un souvenir ému.
melimelo
30 janvier 2019 @ 10:40
Quel Bel homme !
De quoi est-il mort ?
Leonor
30 janvier 2019 @ 18:43
Accident sur piste de ski. Décapité par un filin si je me souviens bien. A vérifier.
Corsica
31 janvier 2019 @ 10:11
La piste de ski était barrée par un filin qui n’a laissé aucune chance au duc de Cadix frappé au cou. Certains ont parlé de meurtre mais l’enquête a conclu à un simple accident.
Antoine
31 janvier 2019 @ 10:44
Décapité par un cable tendu (on n’a jamais su par qui) au travers d’une piste de ski. Même Agatha Christie n’y avait pas songé pour ses héros…
Karabakh
31 janvier 2019 @ 13:08
Accident de ski.
Menthe
31 janvier 2019 @ 15:56
Mélimélo, si mes souvenirs sont exacts, le duc a été décapité par un filin tendu en travers de la piste de ski qu’il avait malencontreusement empruntée.
Vitabel
30 janvier 2019 @ 11:19
Destin tragique que le sien.
GUY
30 janvier 2019 @ 11:40
Déja 30 ans, je m’en souviens comme si c’était hier, la dernière vision du duc a l’occasion de la messe annuelle pour le roi Louis XVI a la chapelle expiatoire
J’avais ensuite suivi jusqu’au cercle militaire situé a deux pas Place St Augustin, le duc a posé un instant sur un canapé avant de présider le déjeuner et 8 jours aprés il perdait la vie au ski.
L’année suivante, toujours pour cette même messe,, a la sortie, tout prés de moi, j’ai entendu, et bien entendu, sa mére Dona Emmanuelle de Dampiérre déclarer au micro d’un reporter que ce n’était pas un accident, mais un meurtre…
Karabakh
31 janvier 2019 @ 13:11
Les résultats de l’enquête sont pourtant formels, c’est un accident comme il en arrive chaque année sur les pistes ski, loin de tout couverture médiatique. La réaction de la princesse est néanmoins normal ; c’est douloureux de voir son enfant partir avant soi.
Lorraine 1
30 janvier 2019 @ 11:40
Pour les légitimistes dont je suis, un chagrin qui ne passe pas. Je n’oublierai jamais où j’étais et ce que faisais quand j’ai entendu, tôt le matin, la nouvelle de sa mort. Un homme de bien et un grand prince. Un vrai capétien.
Gatienne
30 janvier 2019 @ 12:00
C’était un bel homme, plutôt bonnet de nuit en privé, du moins c’est ce qu’a laissé entendre sa virevoltante première épouse qui accepta cette union, selon ses dire, afin d’échaper à l’influence d’une famille encore moins drôle que son promis !
PhilippeQc
30 janvier 2019 @ 13:49
Handsome!
Jean Pierre
30 janvier 2019 @ 13:55
Il incarna le renouveau du mouvement légitimiste tombé bien bas.
Comme quoi une belle gueule ça aide.
Quand on regarde les photos de son mariage avec Carmen il faut voir les têtes que font Sofia et Juan Carlos qui se demandent si le vent de l’histoire n’est pas en train de tourner.
Gérard
1 février 2019 @ 11:12
Depuis la mort du comte de Chambord le mouvement légitimiste avec le ralliement de la plupart de ses membres au comte de Paris Philippe était devenu modeste en même temps qu’il changeait de nature, et il faut reconnaître que le duc de Cadix a été à cet égard à l’origine d’une véritable naissance qui a été facilitée par les prises de position centristes ou de gauche du comte de Paris Henri VI, même si ce prince provoquait une certaine fascination de ses interlocuteurs, et par le millénaire capétien.
ML
4 février 2019 @ 17:01
Pourtant , si Franco avait eu l’idée de propulser Alphonse de Bourbon sur le trône espagnol , je pense , mais ce n’est que mon avis , qu’il se serait opposé à son mariage avec sa petite-fille .
Esquiline
30 janvier 2019 @ 14:21
Cet horrible accident m’avais beaucoup marquée à l’époque.
Aujourd’hui on a beaucoup amélioré la sécurité sur les pistes mais les obstacles, quoique bien signalés, représentent encore un réel danger pour les skieurs pas toujours conscients et pour les sportifs qui de nuit s’exercent pour les courses d’endurance.
Mayg
30 janvier 2019 @ 15:04
C’était vraiment un bel homme, malheureusement parti trop tôt.
COLETTE C.
30 janvier 2019 @ 15:51
Quelle vie dramatique !
Anna1
30 janvier 2019 @ 16:04
N’y connaissant rien et essayant de m’instruire via ce site sur les orleanistes, les legimistes , pourriez-vous me conseiller sur les doc ou livres qui ne soient pas intéressés merci
Elisabeth-Louise
30 janvier 2019 @ 16:27
Un prince digne et de valeur…..
Gérard
30 janvier 2019 @ 16:58
Sauf erreur de ma part les fiançailles avec l’archiduchesse n’avaient pas été officielles mais elles pouvaient être considérées comme certaines.
Ghislaine-Perrynn
30 janvier 2019 @ 17:14
Melimelo il testait une piste de ski a Beever Creek dans la Colorado et un cable se trouvait tendu sur la piste , il fut blessé mortellement à la gorge .
Pascal
30 janvier 2019 @ 17:22
Sans vouloir prendre parti je crois que la cause légitimiste devait beaucoup à la personnalité de se prince qui savait semble t’il se gagner les sympathies .
Dans ses Mémoires que j’ai relus dernièrement Jacques Dufilho écrit qu’il est mort » guillotiné par un câble en faisant du ski » … cela illustre me semble t’il la tragédie que sa mort représentai pour ses fidèles.
Gérard
1 février 2019 @ 11:15
La mort du duc de Cadix a été ressentie par tout le monde aussi parce qu’il avait eu deux jeunes enfants et que ce drame venait après la mort de son fils aîné qui fut également accidentelle. Tout le monde pensait à Louis-Alphonse.
clement
30 janvier 2019 @ 17:45
Quelles ont été les causes de leur divorce ?
Noblesse de France
30 janvier 2019 @ 22:00
Un bon prince, aîné de sa famille, et dont le fils a bien continué l’oeuvre. Pour ceux qui regrettent de ne pas voir le Prince Louis plus souvent, n’oubliez pas qu’il a charge de famille et qu’il est bien occupé. Vous le verrez un peu plus quand ses enfants seront plus âgés. Quoi qu’il en soit, l’aîné de cette lignée est « chef de nom et d’armes de la Maison de Bourbon » et – pour qui connaît les Lois Fondamentales – également le roi de France. L’ancienne noblesse, tout en respectant les autre prétendants, ne mélange pas tout, et sait qui mérite sa loyauté.
Gérard
1 février 2019 @ 11:18
Cette position sur l’ancienne noblesse n’engage que vous.
aubert
1 février 2019 @ 11:53
Madame Salens,
Je souhaite vous faire part de mon incompréhension de votre acceptation du pseudonyme » Noblesse de France ».
Cela semble dire que les commentaires parus sous cette signature parviendraient d’une entité qui représenterait les descendants actuels de l’ancienne noblesse française.
Ce fait est d’autant plus regrettable que, même avec quelques précautions, le commentaire ci-dessus semble prendre parti.
aubert
Robespierre
2 février 2019 @ 08:59
Mon cher Aubert, ne vous formalisez pas avec ce pseudo. La loufoquerie préside souvent au choix de ceux-ci. Ce monsieur ne représente que lui-même et c’est tres bien ainsi.
Naucratis
2 février 2019 @ 13:10
Décidément, Aubert, vous versez souvent du côté de la censure ces derniers temps.
Croyez-vous que, quand Gérard intervient, cela engage tous les Gérard de France ? Ou que mes messages aient un quelconque écho dans l’Égypte hellénique ?
Un peu de sérieux ! Je peux comprendre que ce pseudo ne vous plaise pas mais je trouve votre requête assez déplacée.
Caroline
30 janvier 2019 @ 22:51
Melimelo,
Il était accidentiellement ‘ décapité ‘ par un cable dans une piste de ski au Colorado aux U.S.A. !!! Horrible !!!
Value
31 janvier 2019 @ 00:20
Bel hidalgo
Sigismond
31 janvier 2019 @ 10:23
Duarte de Bragance, un des divers prétendants au trône de Portugal, se répand en louanges sur Jean d’Orléans, dans un magazine français classé très à droite. Il est vrai que le rapprochement entre un des prétendants concurrents (ils sont au moins trois, sans compter dom Miguel, 67 ans, le chef de la Maison de Bragance, qui vit aux États-Unis) S.A.R. Mgr le duc de Loulé, et Monseigneur le duc d’Anjou, chef de la Maison de France, a de quoi dépiter Duarte : http://www.casarealdeportugal.com/2017/03/31/almuerzo-real-de-los-pretendientes-a-los-tronos-de-portugal-y-francia-en-madrid/
Mayg
31 janvier 2019 @ 18:34
Merci pour le lien Sigismond,
Je vois que le texte parle de Louis de Bourbon en tant qu’ altesse royale et chef de la Maison royale de France. Voilà qui va faire jaser certains…
Gérard
1 février 2019 @ 17:24
Le duc de Loule est un prétendant que personne ne reconnaît, dès lors ce qu’il peut dire ou écrire…
Mary
2 février 2019 @ 13:54
D’où sort ce monsieur de Loule ? D’un chapeau ?
Sigismond
5 février 2019 @ 09:52
La succession portugaise a toujours été régie par la primogéniture non salique, et à ce titre le duc de Loulé est le premier des descendants actuels de l’infante Anne de Jésus de Portugal, dernière fille du roi Jean VI. Le hic, c’est que de nombreuses branches précèdent celle de Loulé, mais les partisans du duc les estiment toutes exclues pour cause de règne à l’étranger (Brésil) ou de mariages avec des étrangers, ou encore pour cause de bannissement (loi de 1834 excluant les descendants du roi Michel).
Parmi tous les descendants actuels du roi Jean VI que le duc de Loulé estime exclus de la succession (il y en a des dizaines et des dizaines) on trouve en premier le prince d’Orléans et Bragance, mais aussi le prince héréditaire de Serbie, le duc d’Orléans, le duc de Calabre, le duc héritier de Wurtemberg, le duc des Pouilles, Duarte de Bragance, le prince de Hohenzollern, le prince Paul de Roumanie, le prince Michel de Grèce, l’archiduc d’Autriche-Este, le prince Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme, dom Miguel de Bragance (le chef de la Maison de Bragance), le prince de Liechtenstein, le roi des Belges, etc.
La succession portugaise est assez complexe, ce qui explique le nombre de prétendants concurrents. Il faut savoir aussi que le duc de Calabre actuel porte dans ses armoiries (en bonne place et à dextre) l’écu de Portugal, car il descend des Farnèse, ducs de Parme, qui étaient les héritiers légitimes en 1580 du roi-cardinal Henri de Portugal.
Gérard
9 février 2019 @ 20:46
La loi sur le bannissement était tenue pour annulée par le dernier roi, Manuel II qui considérait les Bragance comme ses héritiers à travers les pactes de Douvres et de Paris.
Gérard
1 février 2019 @ 11:23
Sigismond, la prétention récente du duc de Loule au trône portugais n’émeut pas grand monde dans ce pays où la position du duc de Bragance est solide. Comme tous les chefs de maison il soutient bien sûr les Orléans et d’autant plus volontiers qu’il est le neveu d’Isabelle comtesse de Paris.
Kardaillac
31 janvier 2019 @ 10:31
Les circonstances du drame sont lourdes de sous-entendus. Il ouvrait la piste vierge en temps que personnalité de l’olympisme. Le câble en cause était tendu si bas qu’il le frappa à la nuque. L’a-t-il vu au dernier moment et chercha-t-il à passer dessous ?
Il n’y avait aucune raison plausible de tendre un câble perpendiculairement à l’axe de descente et de l’abaisser autant sauf à vouloir blesser ou tuer. A noter quand même que la décapitation des motocyclistes par fil traversant la route est une technique militaire enseignée dans tous les stages commando. D’ailleurs le shérif de Beaver Creek ouvrit aussitôt une procédure d’homicide volontaire. Le technicien de piste s’étant évanoui dans la nature, l’enquête finit en eau de boudin pour conclure à l’accident tragique.
52 ans, en pleine force de l’âge, je pense qu’il aurait fait progresser la cause royaliste en France, d’après ce que l’on avait vu déjà lors du Millénaire capétien de 1987.
Mayg
31 janvier 2019 @ 18:37
Je savais qu’il était mort lors d’une séance de ski, mais je ne connaissais pas tous ces détails sur « l’accident » en question.
aubert
1 février 2019 @ 11:31
Pourquoi donc Dieu qui aime tant la France et sa Maison royale l’a voulu ainsi ?
milou
31 janvier 2019 @ 18:01
Quel fabuleux couple à l’époque de leur mariage!
Extrêmement beaux tous les deux et d’une élégance folle!
Carmen fut la plus belle des fiancées et des mariées!
ml
Gérard
1 février 2019 @ 17:29
Ce soir-là peu avant 16h le prince, excellent skieur et amateur de vitesse, vérifiait les pistes de Beaver Creek avec son ami le champion autrichien Toni Sailer, sa première épouse Gabi et l’agent de sécurité des championnats, le canadien Ken Read, et peut-être le golfeur Gaby Rummeny, avant les épreuves.
Sailer vit qu’un câble d’acier tressé de quatre millimètres de diamètre, qui était destiné à soutenir un panneau publicitaire annonçant la nouvelle ligne d’arrivée, plus proche que la précédente, était placé trop bas et voulut avertir les autres skieurs du danger.
Le prince le suivait à quelques mètres et il lui dit en allemand, que le prince comprenait : « Alfonso, fais attention aux gens qui travaillent en dessous ! », Alfonso passa à sa gauche et heurta le câble de la poitrine ce qui sous le choc le déplaça et l’aurait fait tomber sur sa nuque.
Des personnes sur le bord de la piste avaient crié à Don Alfonso pour lui signaler l’obstacle, il les aurait vues et entendues et aurait fait un geste pour montrer qu’il l’avait remarqué et il aurait effectivement essayé de l’éviter.
On mit en cause le responsable du câble Daniel Conway qui était sur les lieux et n’avait pas signalé le danger. Il aurait semble-t-il remonté le câble à 1,65 m juste avant le passage d’Alfonso qui mesurait 1,85 m. On dit que peu après Conway disparut. Peut-être que cette vérification n’avait pas été signalée au personnel alors qu’en principe la piste était fermée.
On considéra après l’enquête que c’était un homicide involontaire à la suite sans doute d’un manque de coordination. Il y eut ensuite une transaction avec les assurances au profit du fils de la victime représenté par sa mère. Le dossier de l’enquête aurait depuis été détruit.
Le prince respirait encore et quand on l’emporta, on pouvait a-t-on dit encore sentir son pouls.
Mais à l’arrivée tardive au centre médical on constata le décès et le rapport d’autopsie conclut au décès immédiat. On l’aurait d’ailleurs laissé sur la neige assez longtemps. L’autopsie fut longue au Tomford Mortuary d’Idaho Springs. Elle montra en tout cas que le prince n’avait pas consommé d’alcool ni de stupéfiant. L’autopsie précise qu’il présentait une blessure très profonde formant un demi-cercle dans le cou. Il ne fut pas décapité. Le câble s’était brisé en heurtant les cervicales.
Ce n’était pas semble-t-il le premier accident mortel sur cette piste mal balisée selon Hervé Pinoteau.
Il était plus de minuit en Espagne quand le roi fut prévenu, il appela Don Gonzalo son cousin qui téléphona à sa mère à Rome puis partit sur un avion militaire que le roi avait demandé, en compagnie du marquis de Villaverde le beau-père du défunt.
L’actrice argentine Mirta Miller qui a été l’amie du prince pendant de nombreuses années et en parle toujours avec émotion ne croit pas a-t-elle dit ces jours-ci que Don Alfonso devait épouser l’archiduchesse Constance, même si elle pensait que s’il se remariait un jour ce serait avec une aristocrate. Elle insiste aussi sur le drame qu’il avait vécu du fait de la mort de Francisco son fils aîné dont il ne se remit jamais.
Sigismond
2 février 2019 @ 12:06
Eh oui, et aujourd’hui aux obsèques de don Enrique, il y aura don Juan et don Gastón.
Votre maniérisme consistant à hispaniser les noms des princes de la branche aînée de la Maison de France, qui plus est de nationalité française, est tout à fait consternant et ne grandit pas la cause blette des poiristo-juillettistes.
Gérard
3 février 2019 @ 03:21
À mon sens ce qui aurait été consternant c’eut été de franciser des prénoms que la presse et la littérature américaines ont toujours donné en espagnol à juste titre. Vous savez bien d’ailleurs que ce n’est qu’en franchissant les Pyrénées que vos prétendants changent de prénom et pas les océans. La récente naissance du petit Henri de Jésus nous le confirme. Il est né Henrique à New York il vivra Henrique à Madrid et une fois tous les deux ou trois ans il sera Henri en France.
Gérard
9 février 2019 @ 20:50
Enrique…
Mary
2 février 2019 @ 14:17
Il a eu une vie de déceptoins, cet homme . Merci Gérard, de ces renseignements.
Je crois qu’il digérait fort mal -avec raison- son éviction du trône d’Espagne et il a joué son va-tout en épousant la petite-fille de Franco. Ça n’a pas marché. Après, il a fait mumuse comme il a pu, en suivant une poignée de légitimistes, pour lesquels , paraît- il, il n’était d’ailleurs qu’un second choix puisque les légitimistes avaient d’abord sollicité le comte de Bourbon-Busset. surtout, il a eu l’immense chagrin de perdre un fils. L’échec de son mariage était sans doute prévisible, même si son épouse était belle, ils ne s’aimaient sans doute pas vraiment .
Kardaillac
2 février 2019 @ 17:07
Merci de ces détails utiles.
Gérard
3 février 2019 @ 03:42
La mère du prince a semble-t-il toujours cru à un complot qu’elle attribuait à la franc-maçonnerie mais c’était sa mère.