Il y a trois ans, le prince Ali Reza, troisième enfant du Shah et de l’impératrice d’Iran, mettait fin à ses jours miné depuis ses longues années d’exil par la dépression. Un décès qui a profondément meurti l’impératrice Farah qui avait déjà eu la douleur de perdre sa fille la princesse Leïla. Conformément à son souhait, les cendres du prince ont été jetées dans la Mer Caspienne, une manière pour lui de retourner pour l’éternité vers son pays.
Depuis, la famille impériale s’est agrandie avec la venue au monde de la petite Iryana Leïla, fille du défunt prince et de sa compagne Raha Didevar. L’impératrice Farah a également mis en place une fondation qui porte le nom de son fils Ali Reza. (Copyright photo d’archives : DR – Merci à Marie Françoise)
*gustave de montréal
4 janvier 2014 @ 06:13
Rare d’évoquer un suicide.
marielouise
4 janvier 2014 @ 17:35
Nous sommes au 21è siècle, Gustave et si vous faites référence à la religion catholique qui cachait honteusement ses morts par suicides….ce temps,pour les personnes intelligentes et censées, est bien heureusement révolu!
La douleur et la violence de ce geste mérite mon respect!
Il faut beaucoup de souffrances pour arriver à ce geste fatal……personne n’a le droit de juger!Personne!
Voilà des dérives sectaires qu’amènent une foi peu humaine et charitable!
*gustave de montréal
5 janvier 2014 @ 15:16
Je crois que dans le passé, au début du XXè , l’Église refusait les sacrements et l’inhumation des suicidés dans les cimetières catholiques. On réservait un lot isolé pour eux, le cimetière « des maudits » comme on le nommait dans la région de la Beauce au Québec.
marielouise
6 janvier 2014 @ 09:07
Oui Gustave,c’est exact et cela reflète les grandes zones d’ombre des religions et leurs ignominies!
marielouise
4 janvier 2014 @ 07:46
Ce fut effroyable!Le pire pour une mère!
Farah est restée malgré tout d’une grande dignité encore et toujours!
Pensée!
Véronique Y
4 janvier 2014 @ 10:41
Nous pensons à lui et pour l’impératrice aujourd’hui ainsi que Farahnaz , Reza et Yasmine c’est dur.
Honorade
5 janvier 2014 @ 00:48
Bonjour Véronique, je vais vous appeler ces jours-ci, cela fait longtemps que nous n’avons pas échangé toute les deux. Par contre je n’ai pas le numéro de Marie-Françoise, que je salue aussi cordialement. Bonne année à l’une et à l’autre.
marie-Françoise
5 janvier 2014 @ 21:23
Bonne année Honorade, je serai ravie de vous avoir au téléphone pour parler de l’impératrice, voici mon email, je vous donnerai mes coordonnés en message personnelle ;
mf.mattei@aliceadsl.fr
Avec toutes mes amitiés
Danielle
4 janvier 2014 @ 10:44
Une pensée pour sa famille.
Palatine
4 janvier 2014 @ 12:01
Je suis désolée mais on ne me fera pas verser une larme pour cet homme. Il y a des suicides comprehensibles. Une personne âgée qui ne peut plus assurer ses besoins essentiels, et sera dependant dans tous les sens du mot et se suicide, je peux comprendre. Ou quelqu’un qui ne veut plus souffrir d’une maladie terminale.
Montherlant et la mère de Lionel Jospin, déjà âgés on choisi cette solution . Il y a aussi des suicides de personnages âgées causée par la misère parce qu’elles n’ont pas assez pour vivre et devront demander la charité.
Il y a une quinzaine d’année j’avais lu une interview du prince Ali Reza et j’avais été étonnée du ton plus qu’amer de ses propos. Ne plus être prince d’une famille régnante l’ulcérait. Je pense que la perte de son statut primait tout, à tel point qu’il n’a pas pensé quand il s’est suicidé au mal qu’il faisait autour de lui. Et il avait une compagne qui l’aimait.
Je racontais une fois le suicide d’un ancien ambassadeur de France au Vatican qui n’avait pas supporté la perte de son statut quand il a dû rentrer à Paris.
Je lis regulièrement des interviews du fils ainé du Shah. Lui il n’a jamais cette amertume. Lui, c est le contraire. Dejà quelques années après la chute du Shah il disait qu’il était confiant et qu’il y avait en Iran des forces souterraines qui allaient bientôt agir et le faire revenir au pouvoir. Il a continué ce discours optimiste, pendant des lustres mais maintenant il a les cheveux gris, et le temps a passé sans que rien ne se passe. Mais je préfère ses lunettes roses à l’amertume de son frère.
Farah est une personne admirable qui n’a jamais été amère ou semblé regretter les fastes d’antan.
La compagne du prince est la seule qui sait si celui-ci connaissait sa grossesse.
Palatine
4 janvier 2014 @ 12:18
dans son livre « Rien ne s’oppose à la nuit » Delphine de Vigan raconte le parcours de sa mère qui finit par le suicide de celle-ci. Ce suicide m’a vraiment émue. On « comprend »…
Claudia
6 janvier 2014 @ 17:58
Palatine, je pense que le suicide conscient et voulu d’une personne en fin de vie est différent de celui d’une personne désespérée. Je me souviens avoir vu à la télévision un médecin dire que les personnes qui passaient à l’acte trouvaient à un moment la vie tellement insupportable qu’elles ne pouvaient plus du tout se projeter dans l’avenir, même pour les minutes qui suivaient…. Et qu’il n’y avait plus qu’une seule issue, la mort. C’est ce qui a dû se passer pour les deux enfants de l’impératrice, pour lesquels on ne peut pas juste dire que c’est à cause de l’exil ou de perte de statut. On ne sait pas du tout par quel cheminement ils sont arrivés à un degré de désespoir tel qu’ils préfèrent en finir, quitte à plonger leur famille dans le chagrin et la culpabilité.
marielouise
4 janvier 2014 @ 17:28
On ne connaît pas les souffrances d’autrui….que l’on soit riche ou pauvre la souffrance psychique existe et est cruelle et très difficile à supporter!
Claudia
4 janvier 2014 @ 18:22
Je vous trouve bien dure Palatine, le prince souffrait de dépression et c’est une vraie maladie, tout comme le cancer ou autre, qui a également touché sa sœur la princesse Leila. En tout cas personne ne pourra contester la grande dignité de sa mère frappée par le chagrin d’avoir perdu ainsi deux de ses enfants.
Maria Edite
4 janvier 2014 @ 18:35
Palatine, je suis d’accord avec vous.
Ils étaient en exil, c’est vrai, mais je suis sure qu’ils étaient riches et socialisaient avec beaucoup de monde, ce que les aurait dû aider à continuer leur vie.
Une question: est-ce que la princesse Leila était malhereuse en question d’amours? …
*gustave de montréal
4 janvier 2014 @ 19:46
Très juste, ma chère. On se souvient du courage de Madame Kennedy, la mère, qui a perdu 4 de ses enfants, 1 tué à la guerre, 2 assassins, et une tuée dans un crash.
*gustave de montréal
4 janvier 2014 @ 19:47
assassinés*
Pierre-Yves
5 janvier 2014 @ 14:55
Puet-être, mais en ce domaine, comparaison n’est pas raison. Tout le monde n’a pas la même capacité à encaisser les chocs.
Ce qui parait supportable pour les uns ne l’est pas pour les autres. C’est mystérieux mais c’est comme ça. Personne n’est l’exemple de personne. Chaque cas est particulier.
Honorade
5 janvier 2014 @ 00:44
Chère Palatine, l’exil, crée tout un enchaînement de drames personnels et familiaux qui ne sont pas forcément perceptibles de l’extérieur. Le prince Ali Reza avait sans doute de graves raisons d’être désespéré. Son amertume est compréhensible. Comme vous dites : « Ne plus être prince d’une famille régnante l’ulcérait ». En fait, le problème de fond pour le prince Ali Reza était sans doute de s’être forgé sa personnalité dans un palais impérial pendant une dizaine d’années, puis de perdre brutalement tous ses repères familiers. Lorsque l’on vit une chute sociale doublée d’un exil, on se sent obligé de répondre aux exigences du pays d’accueil. C’est donc être une personne à l’intéreur de soi-même, et faire semblant d’en être une autre à l’extérieur pour que les gens nous laissent en paix. Développer une double personnalité, en quelque sorte. C’est insultant, d’être obligé de jouer la comédie au quotidien, de ne pas être accepté tel que l’on est. Dans son cas : prince impérial. Et dans le cas de la princesse Leila : princesse impériale. Pour eux, la vie de palais était leur cadre de vie, celui dans lequel ils ont grandi, où se sont créés leurs souvenirs d’enfance. Que devenir quand sa vie s’est brisée brutalement ? Certains parviennent à se trouver une place dans la société, ce sont surtout ceux qui ont reçu des responsabilités officielles, un rang bien défini. D’autres, malheureusement, sont trop brisés sur le fond pour y parvenir.
J’ai une pensée émue pour le prince Ali Reze et pour Farah, en ce jour de mémoire si difficile pour elle.
Honorade
5 janvier 2014 @ 00:46
Pardon : le prince Ali Reza
Carole
5 janvier 2014 @ 12:50
Je trouve , Honorade , que votre analyse est tout à fait pertinente .
Véronique Y
5 janvier 2014 @ 18:18
Honorade venez nous voir dans notre page sur l’impératrice. On pense à vous.
agnes
5 janvier 2014 @ 09:36
Même s’il savait qu’il allait être père, il n’avait pas eu l’enfant dans ses bras, il n’a pas réalisé sa responsabilité immense en ayant ce petit être sous les yeux.
Ce que vous dites sur cet homme, on l’a dit aussi d’un père de 4 enfants à qui tout souriait et s’est jeté du 5ème étage car il avait des difficultés au boulot avec la nouvelle patronne.
Etait-il victime de harcèlement moral comme le dit son entourage, ou était ce l’orgueil d’un homme qui n’a pas supporté la contradiction, la difficulté, la perte de pouvoir…
Je n’en ai aucune idée, ces gestes sont bien mystérieux quand ils ne sont pas motivés par la maladie ou la misére.
Dorothée
5 janvier 2014 @ 14:13
Effectivement la souffrance de ce type (Avoir été et devoir se contenter d’être sans pouvoir obtenir justice en outre) est souvent liée au domaine du travail. Chacun parvient à surmonter ou pas ces crises profondes selon sa personnalité. Certains parviennent à vivre en dépit du chagrin et du sentiment d’échec et d’injustice, d’autres n’y parviennent pas. C’est un combat très intime, semble-t-il, l’entourage n’a pas grand moyen d’action.
Carole
5 janvier 2014 @ 12:46
Je vous trouve dure parce qu’on ne peut pas se permettre de comparer les gens et surtout leur détresse . N’y avait il que ça ? juste la perte d’un statut , qui a conduit cet homme à se suicider ? nul ne le sait . Il souffrait de dépression depuis des années. Il se savait aimé par sa mère et sa famille mais il n’allait pas bien et les pathologies qui renvoient au psychisme sont difficiles à guérir. Je pense aussi à la soeur de la princesse Létizia . Je ne vois pas les choses comme vous … mais je vous souhaite mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année.
Carole
5 janvier 2014 @ 12:48
mon message s’adresse à Palatine .
marie-Françoise
5 janvier 2014 @ 21:38
chère Palatine, personne ne peut juger une autre personne pour un acte extrême, je n’ai jamais lu cette interview et Dieu sait combien je suis attentive à la famille Pahlavi ! pouvez vous me dire dans quel magazine est parue cette interview et quand ? le prince Alireza était soigné pour une dépression et c’est sous l’effet de ses médicaments qu’il a eu ce geste, autour de moi je connais plusieurs personnes décédées sous l’effet de certains antidépresseurs dont les médecins connaissent ces terribles effets secondaires mais les prescrivent quand même ! les deux derniers enfants du Shah et de l’impératrice étaient très jeunes quand ils ont quitté l’Iran et ont perdu leur père. Ils ne trouvèrent ni l’un ni l’autre leur place dans la société américaine , ils étaient « fuis » à cause de leur nom, Farahnaz n’a jamais pu exercer sa profession d’infirmière pour la même raison mais elle était déjà mature quand elle a quitté son pays. Le prince Alireza a fait de brillantes études aux USA sur l’art ancien de la Perse mais aucun job n’a pu lui être proposé, donc il passait brillamment des diplômes qu’il ne pouvait exploiter. Déjà enfant il était sérieux, nostalgique et pourtant plein d’humour. Son frère Reza quant à lui , dès son plus jeune age a été impliqué par son père dans une vie officielle comme prince héritier et à la mort de son père en 1980, à 20 ans à peine, il a choisi de prendre sa relève et de jouer un rôle actif auprès de la Communauté Iranienne en exil. Cette « place » lui était « réservée » et Alireza quant à lui n’
marie-Françoise
5 janvier 2014 @ 21:40
…n’a jamais eu à eu de rôle à jouer dans ce sens. Tout ça pour vous dire que personne n’a à juger son acte qui a été une tragédie pour sa famille et sa compagne.
Carole
4 janvier 2014 @ 14:46
Une pensée pour l’impératrice qui est heureusement toujours entourée par l’amour de son fils , sa belle fille et ses petites filles
Pierre-Yves
4 janvier 2014 @ 14:59
Qui peut comprendre ce qui a conduit les deux plus jeunes enfants de l’Impératrice Farah au suicide ? Est-ce cette insoutenable douleur de l’exil et du déracinement dont on imaginait qu’ils se remettraient, comme les aînés et Farah elle-même semblent être parvenus à se remettre ?
Ils étaient jeunes encore quand ils sont été chassés d’Iran, on pouvait penser que leur vie n’était pas jouée, qu’ils trouveraient en eux l’énergie et l’optimisme nécessaires pour continuer à se construire ailleurs.
Mais non. Ils ont sans doute essayé, mais ça n’a pas marché. On dirait qu’ils n’ont été bien nulle part. Trop profondément, trop initimement blessés par ce départ dramatique. Et par l’errance qui a suivi.
Quand on relit les mémoires de l’Impératrice, c’est le récit pathétique de cette errance qui atterre. Cette famille en fuite, dont quasiment plus personne ne veut.
Le monde est plein de déracinés que les guerres, les conflits, arrachent à leur terre.
Beaucoup doivent endurer des conditions matérielles bien plus terribles que celles qu’a traversées la famille impériale.
Mais cela n’enlève rien à la tristesse qu’on ressent devant les résultat fatal de cet exil. Et l’admiration et la tendresse qu’on éprouve pour Farah, digne et droite, n’en sont que plus vives.
marielouise
4 janvier 2014 @ 17:29
Très belle réflexion,Pierre-Yves et si vraie!
Palatine
4 janvier 2014 @ 19:20
Difficile de dire à quel point j’admire Farah, d’ailleurs nous l’aimons tous, ici. Je l’admirais avant de lire son livre, et je l’admire encore plus après;
Marriane amélie
4 janvier 2014 @ 20:52
Je ne peux qu’approuver ce que vous exprimez,. je suis totalement en accord avec vous.
*gustave de montréal
4 janvier 2014 @ 23:31
les douleurs de l’exil, comme les Orleans, les Savoie, les Habsbourg, les Bonaparte, les Glucksbourg-Grèce,. les Romanov, les Hohenzollern-Roumanie, les Bourbon-Espagne , les Cobourg-Bulgarie etc ??????
Vous nous faites pleurer.
Pierre-Yves
5 janvier 2014 @ 15:02
Règle de base: Toujours avoir des kleenexs à portée de m:ain quand on se connecte sur N&R.
Je prends soin de dire dans mon post que le destin des deux enfants Pahlavi cadets aurait pu être supportable. D’autres avant eux l’ont vécu sans trop de dommage, en s’en remettant plus ou moins. Mais pas eux. Ils étaient moins forts que certains.
Il n’y a pas à s’en moquer. Chacun fait ce qu’il peut avec les moyens psychologiques dont il dispose.
Danielle
4 janvier 2014 @ 17:56
Nous ne pouvons pas juger les personnes qui se suicident, seuls les écrits qu’ils laissent permettent de comprendre leur geste.
Jean Pierre
5 janvier 2014 @ 12:52
C’est vrai Danielle que tout le monde cherche à comprendre ce geste tellement il est violent. Et puis il y a la culpabilité par rapport à ce qu’on aurait dû – ou pu – faire.
Mais justement devant un tel geste, il n’y a peut être rien à comprendre, nous sommes dans l’insondable des cœurs et de l’âme humaine. Pour moi c’est un geste ni lâche ni courageux, c’est par contre un geste inutile.
Maguelone
5 janvier 2014 @ 18:31
Un geste inutile et douloureux aussi pour l’entourage,c’est tout à fait ça. Nous avons tous croisé des persones mal dans leur peau et incapables de mettre des mots sur leurs maux. Un mal-être qui trouve certainement racine dans la prime enfance.
Il ne faut pas se résigner et savoir qu’il existe aussi beaucoup de personnes suicidaires ayant fait un travail d’introspection et s’en sont totalement remises.
Liza
4 janvier 2014 @ 18:31
Si certains cessaient de juger et de faire des raccourcis d’un ton dictatorial.
« Moi je moi je………..je peux comprendre dans ce cas, je ne peux pas comprendre dans ce cas là……………. »
Le suicide est une chose terrible…………et personne n’a le droit de juger.
Vouloir en finir avec la vie n’a rien a voir avec le montant du compte en banque, le statut social……………..Savez vous combien de jeunes mettent un terme à leur vie? le suicide n’est pas l’ultime solution réservée aux malades et aux vieillards.
Quelques uns auraient le droit d’en finir et d’autres non?
Le suicide est considéré par les ignorants comme un acte lâche.
Personnellement, je trouve justement qu’il faut avoir du courage pour passer à l’acte. Mais la souffrance de vivre est telle, que rien ne les arrête, plus rien n’a plus d’importance.
Pierre-Yves
5 janvier 2014 @ 15:06
Je ne pense absolument pas que le suicide soit considéré comme un acte lâche.
Mais comme un acte incompréhensible, qui désarme et désempare totalement.
Et qui culpabilise aussi. Car face à un suicide, il y a toujours un moment où on se reproche de ne pas avoir su en saisir et prévenir les signes annonciateurs.
COLETTE C.
4 janvier 2014 @ 20:15
Des souvenirs douloureux pour l’Impératrice.
Véronique Y
5 janvier 2014 @ 10:49
Alireza était moralement affaibli par cette situation ainsi que Leïla voir critiquer leurs parents par tous les médias et perdre leur repères cela doit être très dur.
Marie de Cessy
5 janvier 2014 @ 15:29
Tendres pensées pour l’impératrice Farah et sa famille en ces moments douloureux.
Un suicide est une chose incompréhensible surtout pour ceux qui restent et qui tentent de comprendre le geste de la personne disparue si celle ci laisse un message.
Ce n’est pas à prendre à la légère et personne ne peut juger.
A bon entendeur.
bianca
5 janvier 2014 @ 15:51
Je partage votre avis Marie de Cessy et je plains très sincèrement les familles qui ont vécu de tels drames,
je compatis au sentiments d’impuissance, de culpabilité
qu’elles doivent éprouver pour le reste de leur vie, je ne
sais, si je pourrais avoir le courage de leur survivre…
Bien à vous.
Marie de Cessy
6 janvier 2014 @ 14:19
Merci pour votre message Bianca.
Je vous souhaite une bonne journée.
Cordialement
Marie
Lefol
5 janvier 2014 @ 16:18
« Le suicide est le courage de ceux qui n’en ont plus. »
Maupassant