Le grand duc Vladimir Kirillovitch Romanov est né à Borga en Finlande le 13 août 1917. Ses parents le grand-duc Cyril de Russie et son épouse née princesse Victoria-Mélita de Grande Bretagne venaient de fuir la Russie. Vladimir était le premier fils et le troisième enfant du couple. Il avait deux sœurs ainées : Marie née en 1907 et Kira née en 1909.
Il passe sa toute petite enfance en Finlande . En 1922, Vladimir a 5 ans lorsque la famille quitte la Finlande pour s’installer en France, à Saint Briac, un petit village de pêcheurs, en Bretagne près de St Malo. C’est la grande duchesse Victoria qui a pris la décision de venir vivre en France, c’est elle qui aide Cyril à oublier les horreurs de la guerre en Russie. C’est elle en fait le véritable moteur du couple qui s’aime passionnément.
Le jeune prince étudie à domicile avec des professeurs russes. La villa « Ker Argonid » à St Briac devient un lieu d’accueil pour les émigrés russes et le symbole de la monarchie en exil.
En 1925, la grande-duchesse Marie, sœur aînée de Vladimir, épouse le prince Karl de Leiningen. La vie continue, Kira et Vladimir mènent une existence simple. La grande-duchesse Victoria s’éteint le 2 mars 1936. Le grand-duc Cyril et son fils Vladimir se retrouvent bien seuls à st Briac surtout que la seconde fille Kira quitte à son tour le domicile familial pour épouser en 1938, le prince Louis-Ferdinand de Prusse.
Le jeune grand-duc mène une existence un peu terne auprès de son père qui se meurt des suites d’une gangrène et qui s’accroche désespérément à lui. Le grand-duc Cyril meurt à son tour en 1938 à Neuilly sur Seine.
Après quelques mois de solitude, Vladimir qui est le nouveau chef de la famille impériale russe, décide de partir en Angleterre pour suivre des études universitaires. Il travaillera aussi dans une usine de fabrication d’automobiles.
Mais la Seconde Guerre Mondiale arrive et le grand-duc Vladimir va refuser de publier un manifeste appelant les émigrés russes à soutenir les nazis. Il habite alors à Paris. Les Allemands viendront l’arrêter pour le conduire à Vittel puis finalement c’est en Allemagne qu’ils le conduisent. Il restera sous surveillance dans le château de Amorbach en Bavière.
En 1945, après la défaite allemande, craignant une capture par l’armée soviétique, le grand-duc Vladimir fuit en Autriche. Le Liechtenstein et la Suisse lui refusent le visa de sortie. C’est sa tante maternelle, la princesse Béatrice d’Orléans, duchesse de Galliera qui lui obtient un visa espagnol. Vladimir quitte l’Autriche pour s’installer en Andalousie avant de revenir vivre à Saint Briac et à Paris.
C’est en Espagne qu’il rencontre sa future épouse. La princesse Léonida Bagration Moukhrani, fille du prince Georges et de Helena Zlotnika. La jeune femme est un peu plus âgée que lui, elle est née à Tbilissi en 1914. Elle est divorcée et veuve d’un américain d’origine écossaise Sumner Kirby avec qui elle a eu une fille Hélène née en 1935. Le couple se fiance à Saint Briac et se marie à Lausanne le 13 août 1948.
C’est à Madrid le 23 décembre 1953 que naît leur fille unique, la grande duchesse Maria. Elle aura comme parrains les infants Fernando et Luis de Bavière et comme marraines la reine Jeanne de Bulgarie et sa sœur aînée Hélène Kirby.
La famille rejoint Saint Briac où elle vivra définitivement. En février 1952, le grand-duc Vladimir publie « l’appel au Monde libre » dans lequel il exprime ses sentiments et ses positions.
En 1976, les fiançailles puis le mariage de sa fille unique Maria avec le prince Franz Wilhelm de Prusse devenu grand-duc Michel de Russie, est pour Vladimir et son épouse un grand moment de bonheur. Il confie alors sa joie à Arnaud Chaffanjon, journaliste à Point de Vue. « Je dois dire que cet évènement (le mariage de Maria) nous comble de joie. Notre fille ne pouvait faire de meilleur choix. »
A cette occasion, il confie également au journaliste français qu’il ne croit pas du tout à l’affaire Anastasia et que le « trésor » russe à la banque d’Angleterre est une légende.
A la chute de l’union soviétique en 1991, il sera le premier membre de la famille impériale à revenir sur le sol russe. Très ému il émet alors le souhait d’être enterré à Saint Petersbourg dans la Forteresse St Pierre et St Paul. Ce voyage en Russie l’a beaucoup secoué, sa santé s’en ressent. Le grand-duc Vladimir décède lors d’un voyage à Miami le 21 avril 1992 d’une crise cardiaque. Il sera enterré conformément à ses vœux à St Petersbourg le 29 mai 1992. Il aura eu le temps de connaître son petit-fils Georges, né à Madrid le 13 mars 1981, fils unique de sa fille Maria et du prince Franz Wilhelm de Prusse. (merci à Corentine – Copyright photos : Point de Vue & DR)
racyma
25 juin 2015 @ 06:33
merci pour ces photos qui pour certaines m etaient inconnues.je suis frappee par la ressemblance du grand duc georges avec son grand pere.qu est devenue la maison de st briac .en avez vous une photo
Nicole Elisabeth
25 juin 2015 @ 16:40
Le grand-duc Georges est très attaché à la villa de Saint-Briac, sa mère la grande-duchesse Maria me l’a dit….
Aussi allons à l’exposition organisée cet été à Saint-Briac.
Severina
25 juin 2015 @ 06:43
Merci Correntine et Régine, j’aime beaucoup les portraits publiés sur N&R et celui est très émouvant. Que des existences ravagées par l’histoire: le grand-duc Vladimir semble heureux seulement près de sa fille et son épouse.
Antoine
25 juin 2015 @ 09:26
Merci pour cet article très complet. Il permet de comprendre les raisons pour lesquelles le prince Georges de Prusse n’est pas reconnu comme prétendant au trône des tsars (occupé d’ailleurs pour longtemps par Poutine 1er).
Gérard
25 juin 2015 @ 13:48
L’article est très bien mais il ne permet pas vraiment de comprendre pourquoi en droit la fille ou le petit-fils de Vladimir ne sont pas considérés par un certain nombre de monarchistes russes comme les héritiers légitimes et pourquoi un grand nombre d’autres considèrent qu’ils sont les héritiers légitimes. C’est une question fort complexe qui a déjà été abordée un certain nombre de fois ici.
Antoine
26 juin 2015 @ 10:04
Ce n’est pas si compliqué que cela. En épousant par amour le princesse Léonida BAGRATION (une illustre maison) le grand-duc Wladimir a perdu ses droits dynastiques pour lui et sa descendance : la princesse était divorcée, et dans la famille ROMANOV on était pas plus indulgent que dans les autres familles royales sur le chapitre. Puis la fille née de cette union, la princesse Maria a donné un fils à son mari. Ce fils n’est donc pas un ROMANOV mais un prince de Prusse. Or, comme l’écrit une distinguée lectrice, la règle de succession chez les ROMANOV se fait impérativement en ligne agnatique. D’où incompatibilité. Peut-être un jour cela évoluera t-il…
HRC
26 juin 2015 @ 15:15
Catherine et Elisabeth n’ont donc pas règné ? sans compter Catherine I, veuve de Pierre le Grand, 2 ou 3 ans de mémoire.
Antoine
27 juin 2015 @ 09:21
Comme vous le savez elles ont régné : la première (qui était une princesse allemande) en faisant assassiner son mari ; la deuxième (qui était une Romanov) en renversant le tsar en place qui était tout jeune et en prenant sa place.
Gérard
26 juin 2015 @ 16:12
Le premier mariage de la princesse Léonide fut purement civil et non religieux. Son époux qui était d’origine juive en était à son troisième mariage. Comme on le sait il mourut près du camp de concentration dans lequel il avait été déporté. À ce moment-là sa femme et lui étaient déjà divorcés. Par conséquent quand Léonide rencontra Vladimir elle était célibataire ou dans une certaine mesure veuve, en tout cas d’un point de vue religieux tout était clair et le deuxième mariage de la princesse ne pouvait susciter aucune opposition de la part de l’Église russe.
Par ailleurs la famille de la princesse était d’origine souveraine même si dans sa branche il fallait remonter assez haut pour trouver un roi de Géorgie. Le statut royal de la Maison des Bagration a été reconnu par la Russie dans le traité de Georgievsk de 1783 et a été confirmé par le décret du 5 décembre 1946 de Vladimir, chef de la Maison impériale de Russie. Après tout qui peut le mieux décider de ce qui est légitime ou pas sinon le chef de la maison ? En l’espèce il donnait sa position, à la demande du comte de Barcelone, à propos non pas de ce qui serait son propre mariage mais de celui célébré entre la princesse María de las Mercedes de Bavière, infante d’Espagne, qui avait épousé à Saint-Sébastien le 29 août 1946 le prince Irakli Bagration-Mukhrani. Et maintenant que la Géorgie est redevenue indépendante et que la maison des Bagration dans ses deux branches (réunies aujourd’hui en la personne d’un enfant) est à nouveau considérée par le patriarche de Géorgie et par l’État comme la maison royale il paraît difficile de s’en tenir au statut princier qui fut le sien en Russie au XIXe siècle.
Francine du Canada
28 juin 2015 @ 02:35
Intéressant, merci Gérard! FdC
Nemausus
28 juin 2015 @ 09:42
Non Gérard, la famille Bagration-Moukhransky n’a jamais eu le statut de famille anciennement souveraine en Russie car écartée depuis longtemps de la branche royale de Géorgie et ne fut donc pas comprise dans le statut donnée par l’empereur de Russie à cette famille royale.
Mais légalement, le prince Vladimir pouvait épouser la princesse Léonida sans perdre ses droits sauf si on considère qu’il était grand duc, ce qu’il n’était pas. Néanmoins, la valeur légale du mariage de Vladimir n’enlève aucune valeur légale également aux mariages des autres princes Romanov qui n’étaient pas plus tenu que Vladimir d’épouser une princesse de maison souveraine ou anciennement souveraine.
Un chef de maison ne peut changer unilatéralement les règles légales, quand il ne règne plus, sauf avec le consentement unanime des membres de la famille. Aucun autre Romanov n’a accepté les nouvelles règles imposées par Cyrille et Vladimir uniquement aux autres membres de la famille. Cyrille et Vladimir ont agi égoïstement dans leur propre intérêt (et surtout dans l’espoir de récupérer à leur seul profit le pseudo trésor des Romanov !)
Philippe gain d'enquin
25 juin 2015 @ 10:53
Une famille impériale intéressante et digne!
Charles
25 juin 2015 @ 11:14
Merci Régine et Corentine pour ce portrait consacré au Grand-Duc Vladimir de Russie, un prince discret et humble.
patricio
25 juin 2015 @ 11:51
Merci Régine et Corentine pour ce portrait très intéressant du Grand Duc Wladimir, prince très attachant.
amitiés
patricio
Mayg
25 juin 2015 @ 12:34
Merci à Corentine pour se portrait. Son petit fils Georges lui ressemble beaucoup.
Albane
25 juin 2015 @ 12:46
Merci Régine et Corentine; c’était vraiment intéressant. Encore un prince qui n’a pas vu son pays d’origine pendant des décennies.
Des personnes attachantes, d’autant plus qu’elles sont moins connues que d’autres royaux.
Germain
25 juin 2015 @ 13:02
Je connais St-Briac (plus proche de Dinard que de St-Malo) mais j’ignorais cette histoire. J’irai faire un tour cet été, tiens !
COLETTE C.
25 juin 2015 @ 13:17
Merci, Corentine. J’avoue ne pas très bien comprendre qui est vraiment l’héritier des Romanov, devant tous les prétendants, et surtout lequel est légitime.
Francine du Canada
25 juin 2015 @ 13:36
Merci Régine et Corentine pour ce magnifique portrait d’un homme bien solitaire. Ça n’a pas dû être facile de naître en exil, voir mourir sa mère et son père, voir ses sœurs se marier et quitter le domicile et se retrouver seul et loin de son pays. On peut comprendre qu’il ait été bouleversé par ce voyage en Russie à l’âge de 74 ans… quand même? Un homme fidèle à ses valeurs et qui a refusé de faire alliance avec les allemands… plutôt admirable! Je me demande d’où il tenait ses certitudes concernant l’affaire Anastasia et le trésor russe? FdC
Mary
27 juin 2015 @ 01:26
Francine,
Sans même parler du fait que les ossements de Nicolas II et des siens ont été retrouvés,l’affaire Anastasia n’existe pas. C’était une ouvrière polonaise ou allemande qui était dépressive et qui s’était jetée à l’eau . On la repêche,on l’hospitalise et elle refuse de dire son nom ;c’était dans les années 20 je crois,et la rumeur a couru que ,miracle,une grande-duchesse avait survécu ! La repêchée ,trop contente ,n’a jamais démenti et pour cause : fini l’usine !
Bref,pour résumer l’essentiel : la véritable Anastasia parlait russe bien sûr,français et anglais ( le tsar et son épouse se parlaient en anglais ),mais pas allemand que l’impératrice ne parlait pas à ses filles et qui ne l’étudiaient pas.
Or,notre baigneuse ne parlait…qu’allemand (et polonais).
Conclusion : qu’un plongeon vous fasse oublier TROIS langues,passe encore,mais qu’il vous en fasse apprendre une quatrième ???
Ou alors il aurait fallu qu’elle tombât dans le Jourdain , autant dire dans l’eau bénite !
Cette histoire a branché quelques romanesques allumés mais jamais la proche famille impériale. La plus jeune sœur du tsar a vu ainsi un tas de prétendus « neveux » (il y a eu un Alexis imposteur,d’autres nièces ),mais hélas tous faux !
Francine du Canada
28 juin 2015 @ 02:39
Merci Mary; je ne connaissais pas les détails de l’affaire Anastasia. Bon dimanche, FdC
Pierre-Yves
25 juin 2015 @ 14:01
Concernant la grande duchesse Maria, la suite a montré que son choix matrimonial, quoique de haute volée, n’était pas, malgré la déclaration de son père, le meilleur possible. Le mariage s’est dissout comme neige au soleil.
Aujourd’hui, la grande-duchesse semble faire couple avec son fils.
Caroline
25 juin 2015 @ 14:13
Corentine,merci beaucoup pour cet article historique et généalogique à la fois!Le grand-duc actuel George est donc l’arrière-petit-fils de la petite-fille de la reine Victoria du Royaume-Uni!Un peu compliqué,n’est-ce-pas?Il a actuellement 34 ans,on ne sait pas s’il aura une descendance!
clement
25 juin 2015 @ 17:26
je connais la maison de St Briac car c’est proche de chez moi….c’est une belle bâtisse , assez cossue et un peu à l’écart dans un quartier chic au milieu de la verdure et qui n’appartient d’ailleurs plus à la famille impériale ; à St Briac également ,il y a un monument dédié à la grande duchesse Mélitta , la mère du Grand- duc en remerciement de ses bienfaits à la commune .
jo de st vic
25 juin 2015 @ 17:47
Maria etait trés belle lors de son mariage…
Nelly
25 juin 2015 @ 17:53
la loi salique s’appliquant en Russie, la fille du grand duc n’est donc pas l’héritière du trône, d’où la querelle dynastique de la famille
Gérard
26 juin 2015 @ 10:57
En Russie les femmes pouvaient comme on le sait devenir impératrices à défaut de postérité masculine ou lorsque la postérité masculine avait été exclue pour des mariages morganatiques par exemple de la succession au trône et c’est tout le problème ici encore aujourd’hui.
Nemausus
28 juin 2015 @ 09:45
La succession est redevenue agnatique à partir du tsar Paul I. Marie Vladimirovna Romanov n’est pas plus grande duchesse de Russie que chef de la maison impériale alors même qu’il existe des princes Romanov, tout à fait dynastes malgré les mensonges de Cyrille et Vladimir.
framboiz07
26 juin 2015 @ 00:47
Amusant Antoine, avec son Poutine Ier!
Silvia
26 juin 2015 @ 04:20
Une autre petite précision: Le mariage des parents du grand duc Vladimir a fait le scandal en 1905. Sa mère, née princesse Victoria Melita de Grande Bretagne, sous la pression de sa grand-mère la reine Victoria, s’était mariée en premières noces avec le grand duc de Hesse, Ernst Louis. Mais elle avait été toujours amoureuse d’un autre de ses cousins germains, le grand duc Cyril de Russie. Donc elle quitte son mari pour épouser Cyril en 1905… quand le divorce n’était pas du tout « the done thing ».
clement
26 juin 2015 @ 07:07
il ne doit pas y avoir de loi salique en Russie puisque des tsarines ont régné (Catherine ,Elisabeth etc ….)
Antoine
26 juin 2015 @ 19:52
Catherine n’était pas née Romanov (c’était une princesse d’Anhalt) et a pris le pouvoir en faisant assassiner son tsar de mari. Elisabeth était une Romanov. Elle a renversé le tsar légitime qui était tout jeune pour prendre sa place. Son règne fut grand. Deux fortes personnalités.
Nemausus
28 juin 2015 @ 09:45
faux, une loi le prévoit depuis le règne du tsar Paul I
Gérard
26 juin 2015 @ 11:16
L’un des problèmes était qu’Ernest Louis de Hesse s’était marié lui aussi par convenance et que ce mariage n’était librement consenti ni d’un côté ni de l’autre d’autant que le prince comme chacun le savait était homosexuel. Toutefois cette homosexualité ne l’empêcha pas de se marier deux fois et d’avoir au total quatre enfants et d’être un père de famille extrêmement aimant. Au demeurant sa vie fut souvent marquée par la tragédie avec la mort de son frère de cinq ans Frédéric alors qu’il jouait avec lui puis la mort de sa jeune sœur May de la diphtérie puis celle de sa mère la princesse Alice, il avait 10 ans, et plus tard la mort terrible de sa fille Élisabeth victime d’une typhoïde virulente quand elle avait huit ans, outre la naissance d’un fils mort-né. Il ne devait jamais se remettre de la mort d’Élisabeth.
Anne-Cécile
26 juin 2015 @ 21:36
On m’expliquera pourquoi une Romanov a du sous un Tsar renoncer au trône pour épouser un Bagration alors qu’un autre non pour épouser une Bagration mais il est vrai qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même.
On m’expliquera aussi comment on peut privilégier une famille géorgienne à une famille tatare de même rang. Et comment on va accueillir impérialement une Italienne sans sang bleu alors que jusqu’à aujourd’hui on a déclaré morganatique les mariages des génants cousins avec des descendantes de l’ancienne dynastie royale Ru’s ou de la très vieille noblesse.
Les Russes s’ils veulent une monarchie voteront pour un ou une Tsar le jour voulu comme ils l’ont déjà fait avant.
Nemausus
28 juin 2015 @ 09:47
Exact …nous connaissons tous le dicton : faites ce que je dis mais pas ce que je fais ! cela s’applique parfaitement à la branche de Cyrille !
alobo
27 juin 2015 @ 11:41
Il est amusant aujourd’hui de voir beaucoup de familles royales en exil combattre les mariages morganatiques, alors que les familles régnantes, elles marient leurs enfants à leur convenance (qui n’est peut être pas un bien ?? mais…)