Parution du livre « Les secrets de Waterloo » de Jacques Garnier, spécialiste de l’histoire militaire et des guerres napoléoniennes. Les dessous du désastre, raconté à hauteur d’homme, heure par heure.
En voici le résumé : « À Waterloo, rien ne s’est passé comme prévu. L’issue de la bataille fut une surprise pour les vainqueurs comme pour les vaincus. Pourquoi Napoléon a-t-il cette fois failli ? A-t-il eu tort de confier une partie du commandement à son frère Jérôme ? Avait-il suffisamment reconnu le terrain ? Comment expliquer que les Anglo-Prussiens, en dépit de leur recul initial, aient finalement pris le dessus ? Pourquoi Grouchy n’arriva-t-il jamais en renfort ? La pluie eut-elle vraiment un rôle déterminant ?
Si des générations d’historiens ont donné leur interprétation de la défaite et participé à la construction du mythe, Jacques Garnier se penche ici sur les mille et un détails qui ont fait basculer l’Histoire. Son récit aussi précis que vivant de la bataille, éclairée par ses à-côtés et par des témoignages d’acteurs de premier plan, nous plonge au coeur de la fureur des combats et décrypte les raisons de la grande déroute. Il nous montre que, le 18 juin 1815, le sort de l’Europe s’est joué à bien peu de choses. »
« Les secrets de Waterloo », Jacques Garnier, Librairie Vuibert, 2015, 228 p.
Zeugma
15 mai 2015 @ 08:34
« Les dessous du désastre » (sic) ; non, Waterloo ne fut pas un « désastre » puisqu’il débarrassa définitivement l’Europe de Buonaparte.
flabemont8
15 mai 2015 @ 15:32
Tout dépend du parti auquel on adhère !
Cosmo
15 mai 2015 @ 19:46
Les souverains russes, prussiens, anglais et autrichiens étaient des anges qui ne pensaient jamais à la guerre, n’opprimaient pas leurs peuples et ne songeaient qu’à épargner la vie de leurs soldats et plus généralement celles de leurs sujets qu’ils n’accablaient pas d’impôts…
Si vous aviez un peu d’objectivité, Zeugma, cela nous changerait de votre anti-bonapartisme primaire, voire enfantin.
Cosmo
Zeugma
16 mai 2015 @ 10:55
La « réalité objective » appartient à la vulgate marxiste.
Cosmo
17 mai 2015 @ 11:15
??????????????
Zeugma
17 mai 2015 @ 16:12
La vulgate marxiste fait souvent appel à la notion d’objectivité ou de « réalité bjective ».
Si on est objectif, on aime Buonaparte.
Cosmo
17 mai 2015 @ 22:25
Zeugma,
Chacun aime qui il veut. Point n’est besoin d’être objectif ou subjectif pour aimer ou ne pas aimer.
Pourquoi s’être arrêté à Bonaparte et ne pas avoir débarrassé de l’Europe de tous les tyrans qui opprimaient les peuples ?
Cosmo
Gibbs
15 mai 2015 @ 10:51
Un simple exemple : la cavalerie du maréchal Ney a « oublié » d’emporter des clous afin de neutraliser les canons temporairement pris à l’artillerie anglaise !
La logique du grain de sable !
HRC
15 mai 2015 @ 16:02
encore ! il n’y a pas une revue d’histoire militaire qui n’ai pas écrit sur Waterloo cette année
DEB
16 mai 2015 @ 06:50
Et Grouchy qui mangeait des fraises aux alentours de midi à Walhain, chez le notaire Hollert, et ne se soucia pas des avertissements de Gérard, qui l’informait qu’on entendait le bruit d’une canonnade au lointain.
Ok. De toute façon, il était trop loin du champ de bataille et n’aurait pas pu être à temps à Waterloo.
Quand les grains de sable s’accumulent, la machine s’enraye.
Yannick
16 mai 2015 @ 15:05
L’Europe a dû s’y prendre comme un seul bloc pour terrasser l’Empire.