Le musée national du château de Fontainebleau accueillera du 17 octobre 2015 au 25 janvier 2016 l’exposition « Le Dauphin, l’artiste et le philosophe. Autour de l’allégorie du dauphin de Lagrenée l’Aîné ».
La Dauphin est ici le fils de Louis XV, ses trois fils (les futurs Louis XVI, Louis XVIII et Charles X) sont représentés au pied du lit. Leur ainé Louis (1751-1761) ouvre le chemin de l’au-delà à son père.
À propos de la toile : Le Dauphin mourant entouré de sa famille, le duc de Bourgogne lui présente la couronne de l’immortalité, le 20 décembre 1765 de Louis-Jean-François Lagrenée dit l’Aîné (Paris 1724-Paris 1805), hauteur 129, largeur 97 cm, qui fut présentée au Salon de 1767 :
Le fils aîné du Dauphin, Louis-Joseph-Xavier, duc de Bourgogne, « chou
d’amour » comme sa mère l’appelait tellement il était gentil, est mort le 22 mars 1761 à 2 heures 30 du matin au château de Versailles à l’âge de neuf ans. En 1759, Louis-Joseph avait fait une mauvaise chute d’un cheval de bois à cause d’un camarade de jeu mais pour que son ami ne soit pas réprimandé il n’avait pas parlé de sa chute. Petit à petit sa santé se dégrada. Le médecin, du nom de Barbier, et d’autres opérèrent le prince plusieurs fois à la cuisse pour « faire sortir le mauvais pus ». Il supporta avec beaucoup de courage ces interventions durant lesquelles on creusait parfois jusqu’à l’os.
Bientôt, il ne plus pu quitter le lit. Son caractère se modifia et cet enfant très intelligent s’inquiéta pour la suite de ses études. On permettait à son frère le duc de Berry de jouer avec lui mais désormais le duc de Bourgogne le traitait comme un sujet. Le futur Louis XVI ne se plaignait pas et ne lui en voulait pas mais il tomba malade et désormais fut éloigné de la chambre de son aîné. Il garda toute sa vie la vision traumatisante de ce frère qu’il aimait, qui souffrait et qui n’était plus lui-même.
Les médecins avaient diagnostiqué une coxalgie tuberculeuse que le manque d’asepsie avait favorisée et Louis-Joseph savait qu’il allait mourir. Dans cette épreuve il sembla se résigner à la mort et la regarda avec courage. Le 22 mars 1761 il poussa un grand cri : « Maman ».
La Dauphine, Marie-Josèphe de Saxe, ne se remit jamais de cette épreuve. Louis XVI en 1781 quand il eut enfin ce fils tant attendu lui donna les prénoms du duc de Bourgogne.
Le Dauphin lui, meurt quatre ans plus tard de la tuberculose au château de Fontainebleau à 36 ans le 20 décembre 1765 à 8 heures. Le Dauphin menait une existence paisible et discrète, s’occupant beaucoup de ses enfants, de lecture, de musique, de chant et de religion, ne chassant pas et il avait pris du poids, mais à partir de 1762 il commença à maigrir curieusement. Il était très pâle, avait de brusques accès de faiblesse. On lui soigna le foie mais il était atteint de tuberculose. Des cures firent alterner des retours de santé et des aggravations de la maladie qui furent constantes à partir de 1765 sauf une brève rémission au printemps et jusqu’en août. En août il s’échauffa au cours d’un exercice guerrier et rejoignit le Conseil sans prendre le temps de se changer. Il s’enrhuma, fut pris de fièvre et dut s’aliter, au bout de quelques jours il put se lever mais il restait une vilaine toux. En septembre de retour à Versailles il toussait toujours et fut pris de dysenterie. Le roi lui envoya son premier médecin le docteur Jean-Baptiste Sénac, écuyer, auquel il dit courtoisement : « Je serai toujours fort aise de vous voir, pour causer littérature et histoire avec vous ; mais mon appartement vous sera fermé si vous me parlez de ma santé ». Son père lui avait proposé d’annuler le séjour d’automne à Fontainebleau mais il refusa affirmant que le bon air lui serait salutaire. Le 20 octobre le roi écrivait à son petit-fils Ferdinand dont le père, le duc de Parme, était mort le 18 juillet quelques cinq ans après la mère, Élisabeth de France : « Mon fils est mieux qu’il n’était, mais il n’est pas encore comme je le désirerais ». Il ne fait bientôt plus de doute pour le Roi et son entourage que le prince est malade, au mieux de bronchite ou de pneumonie et au pire de tuberculose, et déjà il crache du sang. On rassure la Reine mais le Dauphin se sait condamné. Le Roi passe des journées auprès de lui qui est allongé dans un fauteuil. Ils parlent d’astronomie avec Cassini de Thury (Cassini III). Chacun essaie de faire comme si de rien n’était. Le prince fut d’une étonnante fermeté et piété dans cette épreuve. Le 13 novembre le Dauphin qui est très mal demande l’extrême-onction. Le 19 décembre les médecins condamnent sa porte aux visites. Il a des accès de délire mais revient à lui et dit à l’un des médecins : « Croyez-vous qu’il n’y ait rien à redouter pour la poitrine de Madame la Dauphine ? » Il mourut assisté par son ami le cardinal Paul de Luynes, archevêque de Sens, premier aumônier de la Dauphine et également astronome. Il avait espéré fêter Noël avec sa femme et ses enfants. Dès la mort du Dauphin conformément à l’étiquette le Roi et la famille royale quittèrent Fontainebleau pour Versailles. Louis XV était très différent de son fils qu’il trouvait un peu lourd, un peu polonais disait-il, mais qu’il l’aimait beaucoup et respectait, comme père et comme roi il fut très atteint par ce décès. Les obsèques à Sens furent présidées par le duc d’Orléans, premier prince du sang.
Dans le tableau, la France casquée à la Minerve se lamente derrière le malade.
Les princes portent l’écharpe du Saint-Esprit.
La Dauphine est assise aux côtés de son époux. C’est pendant qu’elle le veillait qu’elle fut atteinte à son tour par la tuberculose dont elle devait mourir deux ans après. La présentation au Salon de 1767 alors que la toile avait été terminée avant la mort de la Dauphine survenue le 13 mars 1767 commente : « On lit sur son visage la perte que la France alloit faire de cette auguste Princesse, honorable victime de l’amour conjugal. »
Les filles du dauphin, Clotilde, Madame (la vénérable Clotilde, reine de Sardaigne) et Élisabeth, ne sont pas là. Le commanditaire Antoine de Quélen de Stuer de Caussade, prince de Carency, comte puis 1er duc de La Vauguyon, pair de France (1706-1772), lieutenant général était gouverneur des Enfants de France, mais il n’avait pas la charge des princesses. Le globe terrestre et les autres attributs des sciences et des arts font aussi référence à son activité, comme aux intérêts du Dauphin. La couronne de l’immortalité est une couronne d’étoiles.
On ne voit pas non plus Xavier-Marie-Joseph, duc d’Aquitaine, qui était mort à cinq mois le 22 février 1754 vers midi de convulsions à Versailles.
De son premier mariage avec l’infante Marie-Thérèse le Dauphin avait eu Marie-Thérèse, Madame, qui mourut à moins de deux ans victime peut-être d’une poussée de dents mal soignée, de sa seconde épouse il avait eu aussi Marie-Zéphyrine, Madame, qui mourut de convulsions à cinq ans, il aurait eu aussi une fille en 1752 ou bien cette année-là la Dauphine aurait fait une fausse couche le 9 mars. Il y eut aussi un fils mort-né en 1756 et un autre en 1762.
Lagrenée s’est ici inspiré de La Mort de Germanicus de Poussin. L’on pourrait songer aussi à la toile Saint Vincent assiste Louis XIII à sa mort
de de Troy qui était à Paris à l’église Saint-Lazare et dont l’original est peut-être au Musée des Beaux-Arts de Copenhague.
Le sujet a été représenté également en 1766 sur une gravure de Gilles Demarteau l’Aîné d’après Charles-Nicolas Cochin le Jeune : La mort a révélé le secret de sa vie. Le dessin pour la gravure est conservé au Metropolitan Museum de New York et dans ce dessin la mort déchire le voile derrière lequel se place le cortège des vertus du Dauphin symbolisées par divers attributs et des armoiries du Dauphin qui somment les vertus se dégage un halo de lumière.
Dans ce même registre Lagrenée a peint La mort de la femme de Darius (Louvre), Darius III, roi de Perse, Stateira, morte jeune et dont la fille qui portait le même nom épousa Alexandre.
Pour ce qui est de l’exposition et du tableau de Fontainebleau, « À partir de ce tableau, nous allons faire le lien avec l’artiste et Diderot, explique à L’Yonne Marine Kisiel, conservatrice du patrimoine au château de Fontainebleau. Le mausolée a été réalisé par Coustou sur des dessins de Cochin et des propositions de Diderot. Le philosophe a d’abord été critique, puis il a accepté de participer à la conception du mausolée. »
L’exposition comportera trois parties : la vie du Dauphin, sa mort et l’évocation de son « immortalité » à travers le mausolée. Celui-ci ne pouvant être déplacé, le château de Fontainebleau a décidé de le présenter virtuellement. La prise de vue a été réalisée par l’agence Sisso. Les techniciens ont pris quelque 150 photos numériques, sur trois niveaux, tout autour du monument.
Mais il ne faut guère qu’une petite heure pour aller de Fontainebleau à Sens et pour admirer in situ dans ce cadre admirable de la cathédrale le mausolée du Dauphin et de la Dauphine.
Lisabé
5 août 2015 @ 07:31
Fontainebleau….Ouvre-moi les bras et me voilà !
Guyard
5 août 2015 @ 18:14
La Dauphin est ici le fils de Louis XV, ses trois fils (les futurs Louis XVI, Louis XVIII et Charles X) sont représentés au pied du lit. Leur ainé Louis (1751-1761) ouvre le chemin de l’au-delà à son père.
aubert
6 août 2015 @ 13:00
« Fils de Saint Louis montez au ciel ». Cette couche parait plus confortable que l’échafaud pour un tel voyage.
Gérard
7 août 2015 @ 13:17
À propos de la toile : Le Dauphin mourant entouré de sa famille, le duc de Bourgogne lui présente la couronne de l’immortalité, le 20 décembre 1765 de Louis-Jean-François Lagrenée dit l’Aîné (Paris 1724-Paris 1805), hauteur 129, largeur 97 cm, qui fut présentée au Salon de 1767 :
Le fils aîné du Dauphin, Louis-Joseph-Xavier, duc de Bourgogne, « chou
d’amour » comme sa mère l’appelait tellement il était gentil, est mort le 22 mars 1761 à 2 heures 30 du matin au château de Versailles à l’âge de neuf ans. En 1759, Louis-Joseph avait fait une mauvaise chute d’un cheval de bois à cause d’un camarade de jeu mais pour que son ami ne soit pas réprimandé il n’avait pas parlé de sa chute. Petit à petit sa santé se dégrada. Le médecin, du nom de Barbier, et d’autres opérèrent le prince plusieurs fois à la cuisse pour « faire sortir le mauvais pus ». Il supporta avec beaucoup de courage ces interventions durant lesquelles on creusait parfois jusqu’à l’os.
Bientôt, il ne plus pu quitter le lit. Son caractère se modifia et cet enfant très intelligent s’inquiéta pour la suite de ses études. On permettait à son frère le duc de Berry de jouer avec lui mais désormais le duc de Bourgogne le traitait comme un sujet. Le futur Louis XVI ne se plaignait pas et ne lui en voulait pas mais il tomba malade et désormais fut éloigné de la chambre de son aîné. Il garda toute sa vie la vision traumatisante de ce frère qu’il aimait, qui souffrait et qui n’était plus lui-même.
Les médecins avaient diagnostiqué une coxalgie tuberculeuse que le manque d’asepsie avait favorisée et Louis-Joseph savait qu’il allait mourir. Dans cette épreuve il sembla se résigner à la mort et la regarda avec courage. Le 22 mars 1761 il poussa un grand cri : « Maman ».
La Dauphine, Marie-Josèphe de Saxe, ne se remit jamais de cette épreuve. Louis XVI en 1781 quand il eut enfin ce fils tant attendu lui donna les prénoms du duc de Bourgogne.
Le Dauphin lui, meurt quatre ans plus tard de la tuberculose au château de Fontainebleau à 36 ans le 20 décembre 1765 à 8 heures. Le Dauphin menait une existence paisible et discrète, s’occupant beaucoup de ses enfants, de lecture, de musique, de chant et de religion, ne chassant pas et il avait pris du poids, mais à partir de 1762 il commença à maigrir curieusement. Il était très pâle, avait de brusques accès de faiblesse. On lui soigna le foie mais il était atteint de tuberculose. Des cures firent alterner des retours de santé et des aggravations de la maladie qui furent constantes à partir de 1765 sauf une brève rémission au printemps et jusqu’en août. En août il s’échauffa au cours d’un exercice guerrier et rejoignit le Conseil sans prendre le temps de se changer. Il s’enrhuma, fut pris de fièvre et dut s’aliter, au bout de quelques jours il put se lever mais il restait une vilaine toux. En septembre de retour à Versailles il toussait toujours et fut pris de dysenterie. Le roi lui envoya son premier médecin le docteur Jean-Baptiste Sénac, écuyer, auquel il dit courtoisement : « Je serai toujours fort aise de vous voir, pour causer littérature et histoire avec vous ; mais mon appartement vous sera fermé si vous me parlez de ma santé ». Son père lui avait proposé d’annuler le séjour d’automne à Fontainebleau mais il refusa affirmant que le bon air lui serait salutaire. Le 20 octobre le roi écrivait à son petit-fils Ferdinand dont le père, le duc de Parme, était mort le 18 juillet quelques cinq ans après la mère, Élisabeth de France : « Mon fils est mieux qu’il n’était, mais il n’est pas encore comme je le désirerais ». Il ne fait bientôt plus de doute pour le Roi et son entourage que le prince est malade, au mieux de bronchite ou de pneumonie et au pire de tuberculose, et déjà il crache du sang. On rassure la Reine mais le Dauphin se sait condamné. Le Roi passe des journées auprès de lui qui est allongé dans un fauteuil. Ils parlent d’astronomie avec Cassini de Thury (Cassini III). Chacun essaie de faire comme si de rien n’était. Le prince fut d’une étonnante fermeté et piété dans cette épreuve. Le 13 novembre le Dauphin qui est très mal demande l’extrême-onction. Le 19 décembre les médecins condamnent sa porte aux visites. Il a des accès de délire mais revient à lui et dit à l’un des médecins : « Croyez-vous qu’il n’y ait rien à redouter pour la poitrine de Madame la Dauphine ? » Il mourut assisté par son ami le cardinal Paul de Luynes, archevêque de Sens, premier aumônier de la Dauphine et également astronome. Il avait espéré fêter Noël avec sa femme et ses enfants. Dès la mort du Dauphin conformément à l’étiquette le Roi et la famille royale quittèrent Fontainebleau pour Versailles. Louis XV était très différent de son fils qu’il trouvait un peu lourd, un peu polonais disait-il, mais qu’il l’aimait beaucoup et respectait, comme père et comme roi il fut très atteint par ce décès. Les obsèques à Sens furent présidées par le duc d’Orléans, premier prince du sang.
Dans le tableau, la France casquée à la Minerve se lamente derrière le malade.
Les princes portent l’écharpe du Saint-Esprit.
La Dauphine est assise aux côtés de son époux. C’est pendant qu’elle le veillait qu’elle fut atteinte à son tour par la tuberculose dont elle devait mourir deux ans après. La présentation au Salon de 1767 alors que la toile avait été terminée avant la mort de la Dauphine survenue le 13 mars 1767 commente : « On lit sur son visage la perte que la France alloit faire de cette auguste Princesse, honorable victime de l’amour conjugal. »
Les filles du dauphin, Clotilde, Madame (la vénérable Clotilde, reine de Sardaigne) et Élisabeth, ne sont pas là. Le commanditaire Antoine de Quélen de Stuer de Caussade, prince de Carency, comte puis 1er duc de La Vauguyon, pair de France (1706-1772), lieutenant général était gouverneur des Enfants de France, mais il n’avait pas la charge des princesses. Le globe terrestre et les autres attributs des sciences et des arts font aussi référence à son activité, comme aux intérêts du Dauphin. La couronne de l’immortalité est une couronne d’étoiles.
On ne voit pas non plus Xavier-Marie-Joseph, duc d’Aquitaine, qui était mort à cinq mois le 22 février 1754 vers midi de convulsions à Versailles.
De son premier mariage avec l’infante Marie-Thérèse le Dauphin avait eu Marie-Thérèse, Madame, qui mourut à moins de deux ans victime peut-être d’une poussée de dents mal soignée, de sa seconde épouse il avait eu aussi Marie-Zéphyrine, Madame, qui mourut de convulsions à cinq ans, il aurait eu aussi une fille en 1752 ou bien cette année-là la Dauphine aurait fait une fausse couche le 9 mars. Il y eut aussi un fils mort-né en 1756 et un autre en 1762.
Lagrenée s’est ici inspiré de La Mort de Germanicus de Poussin. L’on pourrait songer aussi à la toile Saint Vincent assiste Louis XIII à sa mort
de de Troy qui était à Paris à l’église Saint-Lazare et dont l’original est peut-être au Musée des Beaux-Arts de Copenhague.
Le sujet a été représenté également en 1766 sur une gravure de Gilles Demarteau l’Aîné d’après Charles-Nicolas Cochin le Jeune : La mort a révélé le secret de sa vie. Le dessin pour la gravure est conservé au Metropolitan Museum de New York et dans ce dessin la mort déchire le voile derrière lequel se place le cortège des vertus du Dauphin symbolisées par divers attributs et des armoiries du Dauphin qui somment les vertus se dégage un halo de lumière.
Dans ce même registre Lagrenée a peint La mort de la femme de Darius (Louvre), Darius III, roi de Perse, Stateira, morte jeune et dont la fille qui portait le même nom épousa Alexandre.
Pour ce qui est de l’exposition et du tableau de Fontainebleau, « À partir de ce tableau, nous allons faire le lien avec l’artiste et Diderot, explique à L’Yonne Marine Kisiel, conservatrice du patrimoine au château de Fontainebleau. Le mausolée a été réalisé par Coustou sur des dessins de Cochin et des propositions de Diderot. Le philosophe a d’abord été critique, puis il a accepté de participer à la conception du mausolée. »
L’exposition comportera trois parties : la vie du Dauphin, sa mort et l’évocation de son « immortalité » à travers le mausolée. Celui-ci ne pouvant être déplacé, le château de Fontainebleau a décidé de le présenter virtuellement. La prise de vue a été réalisée par l’agence Sisso. Les techniciens ont pris quelque 150 photos numériques, sur trois niveaux, tout autour du monument.
Mais il ne faut guère qu’une petite heure pour aller de Fontainebleau à Sens et pour admirer in situ dans ce cadre admirable de la cathédrale le mausolée du Dauphin et de la Dauphine.
aubert
8 août 2015 @ 13:21
c’est beaucoup mieux que dans les musées nationaux.
Francine du Canada
8 août 2015 @ 14:25
Merci beaucoup pour cette page d’histoire Gérard. Bon w-e, FdC
Gérard
9 août 2015 @ 14:38
Merci à vous aussi.