D’où vient l’appellation « chateaubriand » pour cette préparation de viande ? De l’écrivain Châteaubriand. Lorsque le roi Louis XVIII arrive sur le trône, le vicomte François-René de Chateaubriand revient en grâce et reprend un style de vie plus fastueux. Son cuisinier un dénommé Montmireil prépare alors des grillades de viande plus épaisses et larges par opposition à la période sous l’ère napoléonienne où Chateaubriand en disgrâce connut une période de vaches maigres.
racyma
2 octobre 2015 @ 06:55
j aimerai avoir des nouvelles de sa sœur peut etre que nanou est en mesure de me renseigner
Gustave de Montréal
2 octobre 2015 @ 11:51
quelle soeur ?
JAusten
2 octobre 2015 @ 19:48
des nouvelles de la sœur de qui ? de la vache maigre ? de Chateaubriand ? de Louis XVIII ? du Vicomte ? et nanou connaît toutes les sœurs de ces gens là ?
Zeugma
2 octobre 2015 @ 07:56
Avant de lire ce reportage de « Noblesse & royautés », je n’avais jamais pensé faire le lien entre cette pièce de viande et l’ écrivain (dont j’ai prévu de lire les « Mémoires d’outre-tombe »).
C’est évidemment un plat de luxe puisque le filet de boeuf coûte environ cinquante euros le kilo.
Ce n’est pas pour tous les jours.
Avec une Béarnaise maison (à propos, quelle est l’origine de la Béarnaise ?) et des pommes soufflées (ou de bonnes frites) c’est déjà le paradis.
limaya
2 octobre 2015 @ 16:51
Comme vous , je ne voyais pas notre vicomte sous cet angle , parlant filet de bœuf on le savoure également avec une sauce vigneronne – c’est extra – dégusté mais jamais préparé
Zeugma
3 octobre 2015 @ 11:51
La « sauce vigneronne » plutôt appelée « marchand de vin » à Paris.
Je veux bien mais il n’y a pas de comparaison avec une Béarnaise évidemment beaucoup plus difficile à faire.
maman monique
2 octobre 2015 @ 10:22
Rien de meilleur qu un bon morceau de filet de boeuf.
patricio
2 octobre 2015 @ 16:57
Bien d’accord avec vous !
amitiés
patricio
Danielle
2 octobre 2015 @ 19:17
Maman monique, bien d’accord avec vous.
Claudia
2 octobre 2015 @ 17:55
Ce plat nécessite absolument une pièce de viande de première qualité, car sinon c’est absolument immangeable.
Tessa
3 octobre 2015 @ 09:59
Une bonne viande , comme dans mon enfance !
Cela existe – t- il encore aujourd’hui ?
Zeugma
3 octobre 2015 @ 12:00
Y avait-il vraiment de la « bonne viande » avant ? Est-ce si sûr ? Pour la nourriture, iI ne faut pas trop avoir la nostalgie des temps anciens.
En trouve-t-on aujourd’hui ? Ce n’est pas si facile.
J’ai acheté il y a quelques jours deux tranches de rumsteak au rayon « boucherie » d’un grand magasin alimentaire de luxe du sixième arrondissement (Où c’est la peau des fesses et qui est très fréquenté par la grande bourgeoisie parisienne et la noblesse la plus authentique.) :
mes rumsteak ont rendu de l’eau …….
JAusten
3 octobre 2015 @ 13:58
aller dans des endroits fréquentés par la grande bourgeoisie et la noblesse la plus authentique n’est pas toujours visiblement un gage d’y trouver la qualité :)allez chez mon boucher Zeugma, c’est un peu loin certes puisque direct dans le sud de la France, mais sa viande après passage au four ou à la poêle à la même taille qu’avant cuisson et ses steaks ne rendent aucune eau sauf celle qui faut pour le gout. S’il ferme boutique je deviens végétarienne.
Myriam
3 octobre 2015 @ 12:12
Hmm, ça me fait saliver! Que ça a l’air bon!
Alain Golliot
3 octobre 2015 @ 12:17
Chateaubriand n’était pas un ascète, ces dames ne l’auraient admis. Et cette viande, servie à la vallée aux loups, avec des pommes à la dauphine, je prends.
Violette
3 octobre 2015 @ 22:08
A Paris, certains bouchers sont devenus des « stars », les deux plus connus Hugo Desnoyer et Yves-Marie Le Bourdonnec qui sont sans aucun doute d’excellents professionnels mais qui se prennent un peu trop au sérieux, car très médiatisés.http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2013/09/24/30004-20130924ARTFIG00516-desnoyerle-bourdonnec-le-match-des-bouchers-stars.php
framboiz07
4 octobre 2015 @ 03:33
Chateaubriand , puis les tournedos Rossini pour bientôt ?