Ce cliché de la défunte Comtesse de Paris a été posé dans les salons du couturier Christian Dior à Paris. Madame porte la tenue que le couturier a créé spécialement pour elle en janvier 1957 pour le mariage religieux de sa fille la princesse Hélène et du comte Evrard de Limburg Stirum.
Pour l’occasion, la broche en diamants « la Croix du Sud », venant de la princesse de Joinville, avait été fixée sur le couvre chef de la princesse. La Comtesse de Paris portait également de précieux pendants d’oreilles en perles et diamants et un collier de perles fines, dont les perles viendraient selon toute vraisemblance de Madame Adélaïde, sœur de Louis-Philippe. (Merci à Charles – Copyright photo : DR)
Anne-Cécile
14 janvier 2016 @ 06:56
Comme quoi, si elle ne définit pas l’individu et sa valeur intrinsèque, l’apparence est importante lorsqu’on a ou l’on veut une existence publique étatique ou de représentation.
Jean Pierre
14 janvier 2016 @ 10:16
Très juste.
Superbe, la comtesse de Paris et de fait on comprend qu’elle ait eu des admirateurs.
DEB
14 janvier 2016 @ 07:27
La grâce et l’élégance.
YVELISE
14 janvier 2016 @ 07:38
Très belle photo de Madame!
beji
14 janvier 2016 @ 07:39
Quelle beauté et quelle classe!c’est un plaisir de voir des photos de la grande époque
de la comtesse de Paris,celle du mariage de ses enfants;pour les noces de son fils aîné
avec Marie-Thérèse de Wurtemberg Madame était aussi d’une grande élégance.merci Charles.
beji
14 janvier 2016 @ 07:41
Pour l’anecdote,le jour du mariage de la princesse Hélène il faisait très froid(-17°).
racyma
14 janvier 2016 @ 07:54
l ensemble est sublime
clementine1
14 janvier 2016 @ 08:42
Madame : superbe à tout âge !
clementine1
14 janvier 2016 @ 08:45
Ce jour-là il faisait un froid de canard. La Princesse Hélène était magnifique dans la robe de Dior
Laurent F
14 janvier 2016 @ 08:47
Les boucles d’oreilles qui ont appartenu à la reine Marie-Amélie proviennent de sa mère Marie-Caroline, soeur de Marie-Antoinette.
marie.françois
14 janvier 2016 @ 09:51
Bonjour Laurent F
Je croyais qu’elles venaient de la princesse de Joinville qui était une Bragance qui les tenait de sa mere Leopoldine d’Autriche.
Laurent F
14 janvier 2016 @ 11:52
Les BO étaient dans l’héritage de la duchesse de Chartres en 1925. Morel dans son livre « les joyaux de la Couronne de France » dit qu’ils viennent de la reine Marie-Caroline.
Laurent F
14 janvier 2016 @ 12:00
Vous ne confondez pas avec ces BO qui proviennent de la princesse de Joinville ?
http://diamantsdelacouronne.free.fr/Bijoux%20des%20Orleans/slides/Broche%20Croix%20du%20Sud%20et%20boucles.jpg
Laurent F
14 janvier 2016 @ 12:00
La page du Morel
http://diamantsdelacouronne.free.fr/Bijoux%20des%20Orleans/slides/Bijoux%20de%20la%20Cts%20de%20Paris.jpg
Charles
14 janvier 2016 @ 12:40
La Comtesse de Paris avait coutume de dire que ces pendants d’oreilles avaient appartenu à la reine Marie-Caroline de Naples, puis à sa fille la reine Marie-Amélie.
marie.françois
15 janvier 2016 @ 08:58
Il me semble tenir cette information de Vincent Meylan.
marie.françois
14 janvier 2016 @ 10:03
Leopoldine, petite fille par sa mere de Marie Caroline de Naples; Que l’on retrouve donc !
clementine1
14 janvier 2016 @ 08:48
décidément mes doigts ont encore dérapé.
Le vent avait soulevé son voile, c’est une image/photo que je n’ai jamais oubliée.
chicarde
14 janvier 2016 @ 09:15
Elégance raffinée, le tout grand chic, et quel collier !
JAY
14 janvier 2016 @ 09:49
Tout à fait d accord avec Anne-Cécile.
Le chic, la prestance, le gout ne s’invente pas mais son absolument nécessaire quand on est une personnalité médiatique de plus aristocratique et et politique; en effet 90% des personnes ne vous rencontrerons JAMAIS et donc vous jugerons que et seulement sur l image dégagée.
Depuis Isabelle, Comtesse de Paris, aucune femme de la famille n a eu ce charisme; Ni la duchesse de Wurtemberg, ni la seconde épouse de Duc de France, et certainement pas la femme de l’actuel fils du prétendant au trône de France. président des Gens de France.
Gérard
14 janvier 2016 @ 21:13
Les temps ont changé. Pie XII et le général de Gaulle sont morts. Grace de Monaco, Audrey Hepburn, Clark Gable ne sont plus. La grande-duchesse Charlotte et la princesse Liliane de Belgique ont terminé leur course terrestre. Chacun apporte aujourd’hui sur cette terre ses propres qualités et ses propres vertus dans le temps qui est le sien, qui est le nôtre. Mais il est vrai que Monseigneur et Madame formaient un couple d’une rare majesté. Ils étaient des phares et parfois quand nous avons eu le privilège de les connaître nous pouvons encore imaginer l’éclat de leur sourire malicieux.
andré
14 janvier 2016 @ 22:05
absolument d’accord, la fin
marriane amélie
14 janvier 2016 @ 09:55
Cette femme avait beaucoup d’élégance et une grande personnalité en plus de sa beauté.
J’aimais beaucoup des articles que faisait Point De Vue sur elle, pourtant je ne suis pas orléaniste.
Arielle
14 janvier 2016 @ 09:59
La comtesse de Paris avait la réputation d’être d’une grande élégance. Les tenues Dior étaient-elles prêtées ou véritablement payées ???
J’ai toujours trouvé les défunts comte et comtesse de Paris profondément antipathiques.
Charles
14 janvier 2016 @ 11:29
Arielle,
Les tenues Dior étaient réglées par le Comte de Paris. On dit aussi que Christian Dior, en grand seigneur, faisait une remise particulière au Prince alors que ce dernier ne lui avait rien demandé. Christian Dior considérait que habiller les Princesses de la Maison de France était un honneur pour sa maison de couture c’est pourquoi il avait coutume de diminuer le prix de chaque pièce commandée.
Détrompez-vous le défunt Comte de Paris était un Prince délicieux, particulièrement chaleureux avec tous, quant à la Comtesse de Paris, elle incarnait parfaitement le rôle avec panache mêlé de simplicité et de beaucoup de drôlerie.
Ils étaient attachants, l’un et l’autre.
Arielle
14 janvier 2016 @ 16:57
Merci, Charles, merci beaucoup de me répondre avec votre tact habituel. Merci pour la précision sur Christian Dior.
A vrai dire, je n’ai toujours entendu que des éloges sur les défunts comte et comtesse de Paris. Je n’ai pas trop le droit de les juger, et je ne détiens pas les éléments suffisants pour me faire une idée objective de leur personne. Cependant, le livre de Diane, duchesse de Wurtemberg, m’a incitée à penser que les enfants ont véritablement souffert. Je prends donc le parti de la jeunesse.
Bien à vous.
Gérard
14 janvier 2016 @ 21:24
Oui Charles évidemment. Ils avaient un charme fou et je pense qu’ils aimaient plaire même avec leur franchise familière. Le prince avait une intelligence et une clairvoyance peu communes. Madame était plus enjouée mais tous les deux s’intéressaient aux autres, étaient attentifs à chacun et l’on se sentait plus fin et plus altruiste à leur contact.
Antipathiques oh non. On voyait bien que le Prince pouvait se mettre en colère comme notre propre père le pouvait mais on avait pour lui un respectueux attachements. Les qualités du comte et de la comtesse de Paris nous pouvons aussi les retrouver parfois et dans un contexte différent chez leurs descendants.
Charles
14 janvier 2016 @ 10:06
La Comtesse de Paris était Royale, elle est restée digne jusqu’au bout.
Une Princesse également cultivée, férue d’histoire qui s’apprêtait à écrire un livre sur sa grand-mère la Comtesse d’Eu au moment de son décès. Dommage, elle connaissait certaines anecdotes, qui sont aujourd’hui perdues à tout jamais.
Je regrette qu’elle soit partie un peu tôt, la Princesse nous manque.
Pour les fidèles de la Maison de France, Royals de janvier publie une très belle photo du Prince Gaston entouré du Duc et de la Duchesse de Vendôme et des petites Princesses, à l’occasion de sa première communion célébrée à Dreux le 6 décembre dernier.
pinto
14 janvier 2016 @ 17:41
Tout a fait d’accord! La Comtesse de Paris etait vraiment une Grande Dame, tres belle et distinguee. Elle etait aussi un trait d’union pour toute la famille. Irremplaçable!
Stella
14 janvier 2016 @ 19:30
Merci, Charles
Tout comme vous, je regrette vivement que la Comtesse ne puisse plus nous conter les anecdotes(dont, d’ailleurs, elle était friande) et qu’elle seule connaissait.
Sa faconde était sans égale à cet effet.
Albane
14 janvier 2016 @ 20:57
Je vous remercie, Charles, pour l’information, et j’essaierai de me procurer cette photo.
Le Prince Gaston a donc communié pour la première fois à l’âge de six ans. C’est une bonne chose que de recevoir un sacrement comme celui-là le plus tôt possible; cela fait mieux comprendre à l’enfant le sens de la messe. J’ai remarqué que les petits enfants sont plus prêts à aimer le Seigneur et à le recevoir avec joie car ils ont un cœur encore bien rempli d’amour et d’innocence.
J’imagine que ce petit prince a préparé sérieusement sa première communion et a reçu Jésus Hostie peut-être avec d’autres enfants.
Peut-être servira-t-il la messe ? Je connais des petits garçons qui ont fait leur première communion très tôt aussi, et sont devenus servants d’autel peu après.
Gérard
14 janvier 2016 @ 21:51
Elle avait une mémoire prodigieuse et pouvait parler des heures sans la moindre note. C’est vrai que l’histoire la passionnait.
bianca
15 janvier 2016 @ 15:13
Une grande dame cultivée ? A la lecture du nombre de fautes d’orthographe de son courrier, LOL !!! Cette dame était comme le commun des mortels avec ses qualités et ses défauts !
Gérard
16 janvier 2016 @ 19:53
Pour moi alors elle devait s’appliquer…
La culture ne se cantonne pas à l’orthographe et heureusement car nos grands diplômés frais émoulus de l’Université font beaucoup de fautes d’orthographe !
Enfin il va sans dire que Madame avait des qualités et des défauts car elle était une personne humaine et on peut donc le dire pour chaque personne dont on évoque la vie peut-être en exergue comme une sorte d’imprimatur.
bianca
20 janvier 2016 @ 21:07
Cependant l’orthographe reste toujours un critère lorsque l’on recherche un emploi ! Ce que vous dites est exact concernant les universitaires, les ingénieurs, heureusement les « petites » secrétaires sont là pour corriger leurs fautes ! J’ai connu des correcteurs qui relevaient trente cinq fautes dans des copies de baccalauréat ! Les générations qui nous ont précédées savaient bien souvent écrire sans faute tout en étant titulaire du certificat d’études, cherchons l’erreur ….! Bien cordialement Gérard
bianca
20 janvier 2016 @ 21:12
J’ajoute que cette belle personne a eu, dès son plus jeune âge des précepteurs chargés de son instruction et n’est pas allée à l’école communale ! C’est pourquoi je suis étonnée !
clement
14 janvier 2016 @ 10:06
Madame était très belle et distinguée .
Lady Chatturlante
14 janvier 2016 @ 10:08
Quelle belle robe et quel beau mannequin au temps où les top models avaient de l’allure, on dirait du Jacques Fath.
Alain Golliot
14 janvier 2016 @ 10:30
Madame est intemporelle… L’elegance pure.
Roch
14 janvier 2016 @ 11:47
Magnifique et radieuse Comtesse de Paris
Nicole B
14 janvier 2016 @ 12:34
Elégance physique, élégance morale, une très grande dame . Irremplaçable.
Zeugma
14 janvier 2016 @ 12:55
Quelle photographie merveilleuse !
J’avance l’hypothèse que cette robe du grand soir était prévue pour le dîner de contrat.
(Je me demande si la notion de « dîner de contrat » parle encore aux jeunes internautes de « Noblesse & royautés ».)
Charles
14 janvier 2016 @ 16:05
Cette tenue était celle que portait la Comtesse de Paris lors du mariage religieux de la princesse Hélène à Dreux puis lors de la réception du Coeur Volant.
A cette époque, lors des cérémonies d’un mariage habillé les membres du Gotha, que la Princesse qualifiait malicieusement de grosses légumes, portaient du long.
Bien entendu, pour le dîner de contrat, la Princesse portait une robe longue de soirée comme toutes les invitées.
Alain Golliot
14 janvier 2016 @ 18:52
A moi, oui, mais suis plus si jeune … Pour la jeune generation, il y a tjrs Beaumarchais et Mozart …
Gérard
14 janvier 2016 @ 21:59
A l’époque tout s’enchaînait très vite, le contrat, le mariage civil et le mariage religieux. Maintenant il y a souvent des semaines et des mois entre ces événements et on tend à privilégier les fiançailles et le mariage religieux il me semble avec une déjeuner pour les très proches pour le mariage civil, enfin il me semble.
Danielle
14 janvier 2016 @ 13:27
Madame est fort élégante et on remarquera que les plumes déposées sur les chapeaux des reines et princesses actuellement étaient déjà à la mode en 1957 ; une fois de plus la mode n’est qu’un éternel recommencement.
Myriam
14 janvier 2016 @ 13:29
C’est beau tout ça! Mais ne trouvez-vous pas que ça transpire l’argent? Le fric?
marriane amélie
14 janvier 2016 @ 17:52
Si vous ne voulez pas que les infos ne transpirent pas l’argent, vous vous ètes trompée de site , il faut aller sur le site de ‘ l’huma’
Antoine
14 janvier 2016 @ 18:36
Disons que ce fut surtout de l’évaporation à grande échelle au regard de ce qui a été transmis à la génération suivante…
Leonor
15 janvier 2016 @ 17:43
Oui, pour ça….
Le précédent Comte de Paris a allègrement claqué toute la fortune qui lui avait été transmise .
Il a également été d’une légèreté incroyable , confiant tout ou partie à un malandrin qui s’est révélé être un aigrefin . Résultat : pfuit, plus rien, ou plus grand’chose.
De cela ont témoigné et la Comtesse de Paris elle-même, et le neveu du Comte, Michel de Grèce.
Neveu, dont la part d’héritage venant de sa mère la soeur du Comte, a disparu comme le reste : le Comte de Paris, son tuteur, avait la responsabilité de sa gestion.
Cependant, ni la Comtesse, ni le prince Michel, élégants, ne semblent en avoir tenu rigueur au Comte, du moins officiellement.
Philippe Gain d'Enquin
14 janvier 2016 @ 18:44
Une telle question n »honore ni ne grandit celle ou celui qui pose la question ! Manifestement 1°) vous vous êtes trompée de site ; 2°) l’envie mène toujours à une mauvaise aigreur ; 3°) vous ne connaissiez pas Madame la comtesse de Paris. Madame que j’ai eu le plaisir, l’honneur et la chance, de rencontrer à l’occasion d’événements privés auxquels Elle comme moi étions invités par de très proches- et de fait très exactement à « égalité »; Elle avait le sien et j’avais le mien) était grande avec les grands et humbles avec les humbles sans jamais être démagogue, ni tenter de dissimuler (par délicatesse pour son/sa interlocuteur/trice) qui et ce qu’Elle était ! Il me semble l’avoir déjà livré ici, mais sans me dire – si je vous comprends ceci a beaucoup d’importance !!! – que Madame était « une privilégiée, échanger en toute simplicité évangélique « la Paix du Christ » avec Elle, demeure, entre plusieurs autres, l’un de mes plus beaux souvenirs. Ne cherchant pas à vous convertir, je m’autoriserai tout simplement à ouvrir les yeux sur le scandaleux de certain (e) s de nos hommes/femmes politiques auxquels ( les) votre fielleuse et fausse interrogation, qui écrasant « les gens » de leur superbe réduisent à néant le superbe idéal d’égalité! Madame, Serviteur.
Philippe Gain d'Enquin
14 janvier 2016 @ 18:46
autoriserai à « vous » ouvrir…
Antoine
15 janvier 2016 @ 10:50
Manifestement, PGE, il serait de première nécessité que vous échangiez plutôt « la Paix du Christ » avec Myriam…
laure2
14 janvier 2016 @ 19:57
Non pas vraiment , juste l’élégance . Une dame avec du charisme et un couturier inspiré .
Albane
14 janvier 2016 @ 21:00
Myriam, cela vous choque-t-il tellement ? Après tout, on peut bien s’attendre à cela dans une famille royale. Moi, en tout cas, ça ne me surprend pas.
Gérard
14 janvier 2016 @ 22:02
L’argent était moins omniprésent que maintenant et surtout plus classe moins clinquant et les écarts de fortune étaient moins grands qu’aujourd’hui. Et puis que les princes soient riches paraissait normal.
Berthold
15 janvier 2016 @ 11:52
Bien juste.
Ils depensaient aussi beaucoup et permettaient de faire travailler beaucoup de monde
Si on regarde proportionnellement à maintenant c’est pas pareil.
JB.
bianca
15 janvier 2016 @ 15:20
D’accord avec vous Gérard, il y avait beaucoup de classe chez les riches de cette époque que l’on ne retrouve pas chez eux actuellement (nouveaux riches certainement)
Gérard
16 janvier 2016 @ 21:59
Hélas Bianca.
Jakob van Rijsel
14 janvier 2016 @ 14:20
Un air de sultane ottomane sur ce beau cliché.
COLETTE C.
14 janvier 2016 @ 14:25
Indéniable élégance !
patricio
14 janvier 2016 @ 15:32
Quelle classe !!!
merci Charles
amitiés
patricio
Corentine
14 janvier 2016 @ 15:40
Merci Charles . Inoubliable Madame !
kalistéa
14 janvier 2016 @ 16:17
la toilette signée Christian Dior était une vraie merveille.La princesse aussi était incomparable à cette époque.Lorsqu’on la voyait en compagnie de la princesse Napoléon (leurs deux maris étaient cousins ) l’on pensait: « quelle reine ou quelle impératrice, ces deux princesses auraient fait! »
bianca
15 janvier 2016 @ 15:21
J’ai toujours eu une préférence pour la Princesse Napoléon, c’est indéfinissable !
Gérard
16 janvier 2016 @ 21:58
La princesse Napoléon a toujours été parfaite. La comtesse de Paris a toujours été naturelle.
Nous avions les plus belles princesses d’Europe.
CAPUCINE
14 janvier 2016 @ 17:17
Ses filles n’ont par hérité de son élégance et de son charme…
Mayg
15 janvier 2016 @ 13:48
Entièrement d’accord avec vous Capucine.
bianca
15 janvier 2016 @ 15:22
C’est dommage, je le regrette aussi ! Très communes !
mary71
14 janvier 2016 @ 17:22
la comtesse de Paris était et restera INEGALBLE;
Mayg
14 janvier 2016 @ 18:16
On peut dire ce que l’on veut mais elle avait une certaine élégance, ce qui est loin d’être le cas des autres femmes présentes actuellement dans cette famille…
Sylvie-Laure
14 janvier 2016 @ 18:24
Madame savait être élégante jusqu’au bout des ongles. Elle mettait un soin très chic à ses tenues et accessoires, à plus forte raison pour un mariage dans ses enfants.
Pour le style de cette photographie, je crois qu’il serait bien allé aussi à la reine Margrethe de Danemark qui aurait porté avec beaucoup de grace, tous les vêtements ici présents, la robe, l’étole de fourrure, à moins que ce ne soit les manches de cette robe, le collier de perles (la reine s’est vue offrir par son époux, pour ses 40 ans, un collier de perles à 4 rangs) le petit bibi mis en avant, et le plumet… Aussi Maxima des Pays Bas, n’aurait pas rechigné à porter cette tenue, et pourtant elle n’était pas princesse à l’origine. En tous cas, très belle photo, et aussi pour savoir tous ces détails des bijoux , il faut être de la famille, un fils, une fille, ou un petit fils… et signer Charles.
Ghislaine
14 janvier 2016 @ 18:51
Isabelle Comtesse de Paris était une Grande Dame .
J’ai à l’instant sous les yeux le bristol qu’elle m’avait adressé en Février 1979 (aux armes Orléans – Bragance)
Une grande écriture fine , penchée , d’une force assez étonnante , au trait vif
d’une simplicité totale –
Mademoiselle , de tout coeur , je vous exprime mes vifs remerciements pour votre lettre si sympathique et vivante . Je suis très touchée que vous ayez pensé à m’écrire et je vous demande pardon de vous répondre si tard.
Je vous prie de me croire
votre affectionnée
Isabelle
Comtesse de Paris
signature soulignée .
l'Alsacienne
14 janvier 2016 @ 19:13
Charles parle du défunt comte de Paris comme « d’un prince délicieux…… »
Or il semble qu’à la fin de sa vie le délice et la chaleur se soient évaporés.
Charles
15 janvier 2016 @ 09:47
Non l’Alsacienne, tous ses enfants et petits-enfants qui ont rendu visite régulièrement au Comte de Paris vous confirmeront que le Prince est demeuré délicieux jusqu’au bout.
Ami des Bataves
15 janvier 2016 @ 13:05
Délicieux jusqu’au bout, sous la supervision de Madame Friesz ?
Leonor
15 janvier 2016 @ 17:49
Charles, votre passion vous aveugle.
Votre dévotion n’en reste pas moins sympathique.
Mais permettez à d’autres d’être un peu plus … critiques.
Il est tout de même des faits parlants.
Mayg
15 janvier 2016 @ 13:52
« Un prince délicieux » qui ne vivait plus avec sa femme mais avec sa « gouvernante »…
Gérard
16 janvier 2016 @ 05:40
Il y a toujours des couples qui se séparent après de longues années et Madame n’avait peut-être pas la vocation d’être une garde-malade malgré l’amour qu’elle porta toujours au prince son époux.
Mayg
16 janvier 2016 @ 12:21
Quand on est marié, c’est pour le meilleur… et pour le pire…
Gérard
17 janvier 2016 @ 20:40
Je ne doute pas Mayg qu’il y ait des êtres parfaits comme vous ou Naucratis qui est peut-être votre époux d’ailleurs…
Naucratis
16 janvier 2016 @ 17:13
Exactement, Mayg.
bianca
20 janvier 2016 @ 14:27
Oui Mayg et la force d’un couple c’est lorsqu’il y a le pire à assumer !
Pierre-Yves
14 janvier 2016 @ 19:30
Moi, qu’est-ce que vous voulez, une femme comme ça, avec cette allure et ce panache, m’aurait presque donné envie de devenir royaliste …
Si, si.
Leonor
15 janvier 2016 @ 17:49
Pierre-Yves, attention…..
Vous savez ce qui est arrivé à Struensee…..
beji
14 janvier 2016 @ 19:46
Dans un de ses livres,Diane raconte que sa robe de mariée était un cadeau de la maison Dior et qu’elle ne lui plaisait pas mais que la comtesse de Paris lui avait dit : »à cheval
donné,on ne regarde pas les dents ».
Leonor
15 janvier 2016 @ 17:52
J’ai lu cela aussi.
Diane ajoutait , à propos de sa robe de mariée : » on ne m’a pas demandé mon avis. »
claudie
14 janvier 2016 @ 19:57
Myriam vous oubliez que ça pue le fric mais pensez vous que cela fait travailler beaucoup de personnes, couturières, vendeuses, brodeuses etc. Je dis heureusement qu’il y a encore des gens qui peuvent se le permettre et de ce fait donner du travail à beaucoup de gens.
vieillebranche
14 janvier 2016 @ 23:17
L’élégance d’une personne, mais aussi d’une époque.. souvenez-vous, les anciennes, nos couturières de province , avec leurs antiques machines et leurs doigts de fée trouvaient des patrons imitant toutes ces tenues royales et princières.. et paraient de tenues approchantes ( chapeaux compris!) grand-mères et tantes pour des sorties pourtant bien ordinaires.
Arielle
15 janvier 2016 @ 12:06
Exact !!!
bianca
15 janvier 2016 @ 15:38
Complètement d’accord vieillebranche, elles faisaient des merveilles, et pas seulement celles de province mais aussi près de Paris ! Elles s’inspiraient des créations de grands couturiers comme vous le dites. La venue de confectionneurs de prêt à porter plus ou moins bon marché les a tuées.
Je garde de mes souvenirs d’enfant les somptueuses robes de mariées de cette époque qu’elles confectionnaient…Les enfants de mon quartier se précipitaient pour voir sortir la mariée du domicile de ses parents !
Francine du Canada
15 janvier 2016 @ 04:58
Merci Régine et Charles pour ce très beau reportage; elle était vraiment élégante et très belle. FdC
Naucratis
15 janvier 2016 @ 09:58
Cette femme est incontestablement élégante sur cette photo.
Le fait qu’elle se soit crue ce qu’elle n’était pas est une autre question.
aubert
15 janvier 2016 @ 12:50
Toutes celles qui pouvaient se croire Reine de France en effet ne l’étaient pas puisque la France était déjà! une République.
Mais avec des » si » elle pouvait très « légitimement » se prendre pour » la reine des Français « … d’autant plus, qu’à cette époque, on se demande qui pouvait se prendre pour la Reine de France.
Gérard
16 janvier 2016 @ 05:36
Évidemment elle n’avait de rivale ni en droit ni en fait.
Naucratis
16 janvier 2016 @ 17:12
Aubert, il est à espérer qu’elle fut assez lucide pour savoir ce qu’elle était réellement.
Toutefois, la présence de courtisans flagorneurs (comme un certain intervenant de ce site) a pu la bercer de chimères aussi irréalistes qu’illégitimes.
Gérard
17 janvier 2016 @ 20:37
Ah je vois là une remarque pour ceux qui entourent dans leurs visites en France Louis et Margarita de Bourbon.
mary71
15 janvier 2016 @ 14:31
ça veut dire quoi, votre commentaire ?
Mayg
15 janvier 2016 @ 15:19
+ 100
bianca
15 janvier 2016 @ 15:45
Je suis comme vous Naucratis, un peu « mitigée » au sujet de cette personne…
A-t-elle été une bonne mère ? Avoir autant d’enfants demande bien des sacrifices, de l’abnégation si l’on veut apporter à chacun son amour et son dévouement…Les domestiques ne peuvent remplacer cela ! « Je crois » qu’elle aimait paraître avant tout.
Je me trompe peut-être….?
Gérard
16 janvier 2016 @ 05:45
Madame aima infiniment ses enfants et ses petits-enfants et ils savaient pouvoir compter sur elle dans les moments difficiles comme dans les moments de joie. Elle ne pouvait admettre malgré les difficultés que les enfants se retournent contre leur père et dans leur enfance elle savait que son mari serait plus attentif qu’elle aux études. Elle avait aussi l’aide des gouvernantes dévouées. C’était un autre siècle.
Leonor
16 janvier 2016 @ 15:54
Oui, c’était un autre siècle ( avant le XXe…) , et un milieu très spécifique.
J’ai encore entendu ma bien-aimée (?) belle-mère , quoique d’un milieu non équivalent mais fort aisé, énoncer : » Les enfants, il ne faut pas que ça dérange » .
Paix à son âme.
Mais ….
Leonor
15 janvier 2016 @ 18:00
La » Famille » a fait rêver quantité de gens; j’aimais comme d’autres suivre leurs amours, leurs fêtes, leurs péripéties, et admirer les toilettes de ces dames.
Cependant, il semble bien , à lire les interviews données au fil du temps par les uns ou les autres, que la réalité de la vie quotidienne des » enfants » n’était guère royale. Que ce soit dans les conditions de vie matérielle, ou par l’attention qui leur était portée.
Je précise qu’évidemment, je n’en sais rien moi-même,; rien d’autre que ce que j’ai lu , rapporté par l’un ou l’autre d’entre eux.
Gérard
16 janvier 2016 @ 05:53
Les enfants ne manquaient de rien mais devaient respecter la discipline et ne vivaient pas dans un luxe effréné et ce n’était pas le style de la famille ni de l’époque. Michel de Grèce a bien décrit cet univers et la tournée des chambres le soir du comte de Paris quand ils étaient enfants, eux et souvent lui et parfois les Magenta.
Leonor
16 janvier 2016 @ 16:00
Oui, j’ai lu cette interview de Michel de Grèce. Elégant, comme toujours.
Mais les conditions de vie des enfants étaient quand même spartiates.
Certes, ils n’en sont pas morts, et on fait pire dans l’autre sens aujourd’hui.
Mais le contraste avec la vie luxueuse et mondaine de leurs parents était tout de même grand.
Oui, le prince Michel décrit bien comment le Comte de Paris s’occupait relativement bien des garçons, avec la tournée des chambres le soir, le suivi des études, etc, mais souligne que la Comtesse, elle , ne s’occupait guère des fils. Sa – relative- attention était réservée aux filles, qu’elle recevait dans sa chambre pour des palabres féminines.
Leonor
16 janvier 2016 @ 16:00
Oui, j’ai lu cette interview de Michel de Grèce. Elégant, comme toujours.
Mais les conditions de vie des enfants étaient quand même spartiates.
Certes, ils n’en sont pas morts, et on fait pire dans l’autre sens aujourd’hui.
Mais le contraste avec la vie luxueuse et mondaine de leurs parents était tout de même grand.
Oui, le prince Michel décrit bien comment le Comte de Paris s’occupait relativement bien des garçons, avec la tournée des chambres le soir, le suivi des études, etc, mais souligne que la Comtesse, elle , ne s’occupait guère des fils. Sa – relative- attention était réservée aux filles, qu’elle recevait dans sa chambre pour des palabres féminines.
kalistéa
15 janvier 2016 @ 12:45
Une remarque aussi inepte que celle faite par naucradoré, il n’y a qu’une chose à faire: ignorer….mais je crois que le farceur a voulu « lancer une bombe H »,( comme les nord -Coréens et comme kalistéa !)
Naucratis
16 janvier 2016 @ 17:08
Mémé K, encore une fois vous n’avez pas compris ce que j’ai écrit.
Mayg
17 janvier 2016 @ 16:06
lol
Myriam
15 janvier 2016 @ 13:48
Oh là là, je ne pensais pas que ma remarque aurait un tel impact.
En ce qui me concerne il n’y a pas de jalousie, pas d’envie ni méchanceté.
Juste une constatation. Beaucoup sur ce site donnent leur avis, j’ai pensé
que je pouvais aussi le faire. Toutes mes excuses et pardonnez-moi!
Je ne recommencerai pas, promis juré!
Ghislaine
15 janvier 2016 @ 17:53
Naucratis savez vous qu’il existe mieux que paraître c’est être .
Naucratis
16 janvier 2016 @ 19:41
Et ?
misa
15 janvier 2016 @ 18:25
Une princesse comme on en r^eve…
Milena K
16 janvier 2016 @ 03:09
Quelle unanimité!
Elle avait,si j’en juge par les photos que j’ai pu voir ,un charme dont aucune de ses filles n’a hérité sauf peut-être, la comtesse de Limburg-Stirum .Pour autant,je ne la trouve pas belle.Mais elle était élégante,certainement.
Gérard
16 janvier 2016 @ 06:01
On ne pouvait ne pas l’aimer, elle avait un charme fou et je crois un véritable amour des autres mais elle vivait aussi pour elle-même avec cette joie de vivre et cet amour de la fête, des réunions familiales et amicales. Elle aimait les longues soirées.
Oui elle était royale et c’était sa nature. Sa culture, son bon sens, sa franchise et son humour sans méchanceté étaient très attractifs.
Leonor
16 janvier 2016 @ 15:51
L’un de ses petits-fils, X de Limbourg-Stirum ( oublié son prénom), décrit Madame de façon très drôle .
Dé mémoire à peu près ainsi ( termes sans aucune garantie) :
Ma grand-mère pouvait débouler à n’importe quelle heure du jour, ou plutôt de la nuit. Elle conduisait elle-même, et ne pouvait imaginer perdre du temps à faire la route de jour. Il lui arrivait de débarquer à deux heures du amtin, mettant toute la maisonnée sens dessous-dessus.
Ensuite, c’était un festival d’excursions, de pèlerinages, de sorties, de visites de musées, sans répit. Quand elle avait fait le tour des possibilités du moment, elle repartait chez une autre de ses filles, nous laissant tous sur les rotules.