Le duc et la duchesse de Cambridge ont visionné à Kensington Palace un documentaire avec des témoignages dans le cadre de leur engagement dans la prévention au suicide. (Copyright photos : getty images)
Ce tissu aux couleurs tristes porté par Catherine traduit-il un vague à l’âme ou bien simplement une adaptation cohérente avec un sujet tel que suicide
Je n’ai pas cette impression, le sujet semble au contraire, les affecter…
Comme quoi chacun est libre de percevoir ce qu’il ressent devant leur attitude ! bianca
Avec vous les jugements sont expéditifs mais il est vrai que si on veut tuer son chien, il suffit de dire qu’il a la rage !
Vous devriez peut-être leur donner leurs instructions : à 12h42, il faudra sourire, à 14h19, il faudra avoir l’air intéressé mais pas trop pour ne pas pas paraître hypocrite, à 17h53, il faudra regarder à droite et à 17h54, il faudra regarder à gauche.
Je ne les apprécie pas particulièrement mais ça devient lassant de lire ces jugements à l’emporte-pièce. Pour ce qui me concerne, je trouve que sur la première photo ils me semblent au contraire très attentifs.
Et vous pourrez me rétorquer alors que ce n’est qu’un jugement sans preuve et sans fondement … comme le vôtre !
Vous n’avez peut-être pas bien lu mais « ils visionnent un documentaire ».
Primo vous ne savez certainement pas ce qui était diffusé au moment très précis où la photo a été prise.
Secundo vous ne savez pas quelle mine elle arborait une seconde avant et une seconde après.
Vous savez, Claudia, les récits de suicides sont terribles Difficile de garder l’air neutre.
Il faut avoir décroché un jour un pendu pour réaliser à quel point on peut être secoué.
Le lot des policiers, des gendarmes, des pompiers. Au bout de quelques interventions de ce type, ou sur des lieux d’accidents lourds, il est bon de les faire suivre par un médecin généraliste à l’écoute, voire par un psychologue
Quelles têtes d’enterrement ! Je sais bien que le sujet n’est pas rigolo, mais tout de même, quand on veut inciter les gens à choisir la vie, il faut la voir en rose soi-même…
Je veux bien admettre que la prévention du suicide est un thème grave, mais je trouve qu’ils surjouent un peu avec leur air attristé sur la première photo…
On peut porter un jugement sur la coiffure, la tenue etc… Mais sur une mimique, une posture etc. Et en déduire l’ennui, la tristesse, le mépris ou quelques autres sentiments, ça m’a toujours bluffée. Une photo est un instantané donc peu fiable sauf à avoir un visage figé naturellement . Ah la difficulté de savoir être juste dans ses propres rictus ou coup d’œil est un art que ne maîtrisent pas encore tous les « royaux » … Mais qui au fait ?
Je ne vois pas pour quelle raison, ils devraient laisser éclater leur joie ! Le sujet est suffisamment triste… . De toute façon, s’ils souriaient, les mêmes personnes y trouveraient à redire !!
Sans aucun doute, j’ai eu un sourire narquois ou un léger rictus, quand des personnes ont raconté la tentative ou réussite de suicide de proches ou quand des connaissances m’ont narré leur envie de disparaître de la terre, mais qu’elles se sont loupées.
J’ai même failli être hilare. Mais paraît que cela ne se fait pas.
J’aime bien : « adaptation cohérente, mine affligée ».
Du beau monde sur N&R.
Tout de même, bon WE, adapté aux circonstances, la mine avec.
Faut-il souhaiter que vous soyez un jour confrontée à la chose, pour vous remettre les idées d’aplomb ?
Je confirme : c’est très drôle.
A se rouler par terre de rire. A s’en dilater la rate. A pisser de rire. A se décrocher les mandibules.
Et puis, c’est vrai, tout dépend du temps qu’on met à le trouver, le suicidé. Quand ça date un peu, c’est encore plus drôle. Là, c’est carrément désopilant. On se gondole, on se tirebouchonne. On se fend la pêche, on rigolboche.
Sans compter la famille autour, quand le suicidé ne les a pas carrément suicidés avec lui ( chose vue et vécue ). Là, on se marre, on se poile, on s’esclaffe, on se boyaute.
Allez, Fleurnice, prenez quelques années sur le paletot .
Et puis, vivez si m’en croyez, comme disait le poète
Léonor, vous me surprenez, vous qui avez beaucoup de finesse ! Vous ne lisez pas le second degré dans le post de Fleurnice ? Elle se moque, dans son commentaire, des personnes qui disent que William et Catherine auraient du arborer une mine moins triste ! Relisez, vous verrez, c’est clair :) Bien amicalement :)
J’ai ressenti le même sentiment que vous emy en lisant le commentaire de Fleurnice…Je ne pense pas qu’elle pourrait dire des choses aussi odieuses.
Bonne continuation à vous, Bianca.
Je crois, en effet, Dominique-GIbbs, que vous ne m’avez pas du tout comprise.
Je me moquais, avec humour, des commentaires de Pauline et de Claudia.
Ce que vous n’avez pas, (l’humour) à priori.
Quant à la compassion, j’en ai certainement plus que vous, mais là, il faudrait que vous me connaissiez.
Une autre chose, vous n’avez aucun ordre à me donner, surtout d’un tel autoritarisme.
« N’ECRIVEZ RIEN »
Que vous puissiez exprimer votre avis, c’est une chose, mais que vous ordonnez, cela en est une autre.
Votre ancienneté et votre adhésion à N & R ne vous autorisent pas tout.
Soyez humble et tout le monde s’en portera mieux.
Et aussi, un peu d’éducation et de savoir-vivre : BON WEEK END.
Ça se fait chez moi.
Votre post était odieux, Fleurnice. Il n’y transparaissait aucun humour.
En l’occurrence, je partage entièrement l’apostrophe de Dominique-Gibbs à votre endroit.
En effet, un peu de … savoir-vivre (!) serait bienvenu de votre part.
Le mieux je pense est d’ignorer cette personne qui n’est que dans la provocation. Elle cherche apparemment la polémique et s’y complaît. Ne répondons plus, elle se lassera
Fleurnice, je viens d’écrire mon commentaire ci-dessus à Léonor, avant d’avoir lu le vôtre : en effet, le second degré de votre post était, selon moi, parfaitement clair :)
C’est un sujet si difficile à aborder…tant qu’on y est pas confronté de près, cela me touche parce que beaucoup de choses peuvent y conduire, et malheureusement certaines personnes n’ont pas l’écoute dont elles pourraient avoir besoin. Je me suis sincèrement demandé si, il ne fallait pas créer dans chaque ville de vrais centres d’accueil avec des psy en nombre suffisant pour venir en aide à tous ceux qui souffrent. La souffrance en elle-même peut venir de chocs à répétition depuis la plus tendre enfance, l’abus de substances nocives, la non-reconnaissance sociale, l’alcoolisme, et bien d’autres sources non-négligeables, comme les conjoints qui se mettent à devenir violents (femme comme homme)…Il faut essayer de prendre le mal à la racine quand la personne en face veut bien parler.
Je vais faire une confidence publique car je suis moi même aidée, et ayant réussi à comprendre ce qui ne pouvait pas fonctionner en mon sens, mieux que je le voudrai, j’ai compris, en m’auto-analysant que je devais trouver aussi les moyens de m’en sortir par moi-même. J’ai eu l’immense chance de rencontrer cette aide il y a 20 ans, et à chaque fois que je vois cette personne, je lui redis toute ma gratitude. Car sinon je ne serai pas là en train de vous en parler. Il ne faut pas avoir honte de saisir la main qui vous est tendue. Bien sûr cela est parfois difficile le premier pas coûte. Mais lui m’a sauvé la vie. Et à mon tour j’aurai souhaité aidé d’autres personnes. J’ai dit tout de go, que j’aimerai donc devenir psychanaliste. Poser une plaque et passer de l’autre côté pour sauver d’autres âmes. Quand je suis venue sur ce site, à la recherche de mes ancêtres, je ne savais pas qu’en même temps j’essayer de « réparer » mes proches qui ont été abandonnés. Comme le grand-père de mon propre grand-père maternel, dont la maman était partie avec son époux au Brésil. Ma quête avait un sens par rapport à l’abandon ou au déshonneur ayant moi failli être, chose honteuse une bâtarde. Oui. Mais j’ai eu un père qui m’a reconnu et dont je porte le nom. Alors, en essayant de me « réparer », au passage, j’en ai « réparé » d’autres!! Comment j’ai réussi à comprendre cela? Eh oui, la généalogie, l’astrologie (thèmes de naissance), numérologie, tout ce que j’avais à portée de main. Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’Univers et les Dieux ». Et en plus il m’est arrivée cette chose bien étrange qui m’a ouvert les portes d’un autre monde puisque j’étais dans un passage entre celui-ci et le monde des vivants. Croyez-moi, j’ai eu peur, mais aujourd’hui ça va mieux, même si l’idée de quitter un jour cette planète tant aimée ne me ravit pas…Alors autant en profiter pour faire le bien. Je donne quand je peux un coup de main au Secours Catholique qui vit aujourd’hui une grande mutation, car il nous est demandé quelque peu de changer le monde et le regard des uns sur les autres en créant un lien social autour d’une boisson. Qui vient nous voir doit d’attendre à être présenté à l’autre en face!! Il n’y a plus de hiérarchie sociale. Nous sommes tous à égalité dans ce cadre.
Merci à vous chère J Austin!! Mais oui, ça ira encore mieux. J’ai aussi juste fait une mauvaise chute qui me prive pour le moment d’exercer mon métier de guide…Je vais essayer cette semaine de m’entraîner un peu, en faisant une visite de ville.
Votre commentaire m’a émue Claude Patricia car j’ai eu dans le passé trois collègues en souffrance comme vous…Elles étaient issues d’un milieu très priviligié pourtant,contrairement à vous ! Malgré toute ma bonne volonté je me sentais impuissante à leur donner le goût de vivre et de travailler correctement ! Mais vous êtes différente car vous avez en vous la force nécessaire pour vous aider et aider ceux qui sont dans le besoin…Je vous félicite car ce que vous faites est remarquable et je souhaite avoir souvent l’occasion de vous lire…Courage, Bianca
Même réponse à Léonor que pour Dominique-Gibbs..
Vous ne connaissez pas ma vie et vous ne savez pas ce que j’ai enduré.
Vous ne connaissez pas ma vie et vous ne savez pas ce que j’ai vu, ce que j’ai découvert, depuis mon enfance. Vous ne savez rien de moi. Je vous prierais donc de ne pas interpréter.
Vous m’avez obligée, par vos stupidités, vos minables remarques, à dévoiler le pseudo de deux internautes qui m’avaient amusée par leurs commentaires.
Je suis rarement sur N&R, mais, mis à part quelques valeurs, le niveau est bien bas, (j’exclus le niveau d’études, cela n’a rien à voir) même si certaines se donnent des airs de duchesses.
Je précise bien : certaines et pas certains. Les hommes sont beaucoup plus réservés et font fi des querelles de bonnes femmes.
Il n’est pas nécessaire de raconter sa vie « de malheur » pour se faire valoir.
Je vous salue, Madame Léonor, et je vous rassure, je vis pleinement ma vie, car justement, je sais ce que c’est, une vie.
Léonor, chassez le naturel, il revient au galop : prenez quelques années sur le paletot. C’est bien vous qui l’avez écrit.
Cela me rappelle les » chiottes » d’une ministre de l’éducation.
Pauvre Léonor, qui essaie, en vain, de passer pour ce qu’elle n’est pas.
Puis-je vous retourner le compliment ?
Arrêtez donc de vous enfoncer.
Malheureusement, et heureusement, j’ai fréquenté des personnes dites du « 3 ème âge, 4ème âge, 5ème âge » vous savez, ces femmes qui, lors d’une sortie, se comparent à sa voisine de table pour savoir si sa petite boîte de pilules est plus importante que la sienne : « oui, mais moi, mon docteur m’a dit » ou alors si, dans son assiette, il n’y avait pas un morceau de mouton ou de veau en moins par rapport à la quantité que pourrait avoir la copine du moment, juste en face d’elle. .
Si, si, je l’ai vécu, ça valait son pesant d’or.
A 30 ans, j’étais présidente d’un club du 3ème âge, pendant 2 ans.
Même vos compatriotes ne voulaient pas en prendre la responsabilité. Pour dire !
Ah ! les messieurs des madames (en tout bien, tout honneur) étaient ravis de voir une jeune femme, blonde, cheveux au vent et longs, souriante, passer de table en table, ou dans les rangs des bus. Ça les changeait de la soupe à la grimace de leur femme.
Je me suis jurée que, jamais, je ne vous ressemblerai.
Léonor, ce n’est pas parce que vous avez de l’humour « copier/coller » que le, comment dites-vous ? déshonneur n’est pas dans vos écrits.
Et puis, si vous avez besoin d’explication de texte, faites-moi signe. Il y a un problème dans vos compréhensions.
Allez, le paletot, pour moi, attendra encore. Le vôtre doit être bien étriqué.
Je remercie Madame Salens d’avoir passé mes messages, ce qui n’a pas été toujours le cas, et pourtant, je ne crois pas avoir écrit de paroles désobligeantes, genre « vieilles rombières » mais, ce site ne me correspond pas.
Je pensais que l’on décortiquait QUE les N&R, mais il y a beaucoup de vantardise, de mesquineries, de mots mis à tort et à travers, qui n’ont rien à voir avec leur définition, de sujets très personnels, et chacune y en rajoute encore plus. Même si certaines d’entre vous m’ont émue. Et comme personne n’est indispensable!!!
Madame Salens, je vous souhaite une bonne continuation et, vous le savez comme moi, qu’un site, ça se remet en question, pour un de supprimé, il y en a 50 qui fleurissent.
Léonor, je vous souhaite une bonne vie, mais avec de la modestie.
Vous verrez, ça fonctionne.
Bonne continuation à toutes et tous. Fleurnice.
Pauline
11 mars 2016 @ 08:08
Ce tissu aux couleurs tristes porté par Catherine traduit-il un vague à l’âme ou bien simplement une adaptation cohérente avec un sujet tel que suicide
mary71
11 mars 2016 @ 09:30
sur la première photo, ils n’ont vraiment pas l’air passionnés par le sujet, c’est le moins que l’on puisse dire.
Philquebec
11 mars 2016 @ 13:11
Ils ne pouvaient quand même pas écouter des témoignages sur le suicide en riant aux éclats. Ridicule comme commentaire.
bianca
11 mars 2016 @ 13:51
Je n’ai pas cette impression, le sujet semble au contraire, les affecter…
Comme quoi chacun est libre de percevoir ce qu’il ressent devant leur attitude ! bianca
Anastasia A
11 mars 2016 @ 15:23
Ils écoutent avec attention . Sa robe va avec le sujet … Tout est étudié.
Marc
11 mars 2016 @ 20:46
Avec vous les jugements sont expéditifs mais il est vrai que si on veut tuer son chien, il suffit de dire qu’il a la rage !
Vous devriez peut-être leur donner leurs instructions : à 12h42, il faudra sourire, à 14h19, il faudra avoir l’air intéressé mais pas trop pour ne pas pas paraître hypocrite, à 17h53, il faudra regarder à droite et à 17h54, il faudra regarder à gauche.
Je ne les apprécie pas particulièrement mais ça devient lassant de lire ces jugements à l’emporte-pièce. Pour ce qui me concerne, je trouve que sur la première photo ils me semblent au contraire très attentifs.
Et vous pourrez me rétorquer alors que ce n’est qu’un jugement sans preuve et sans fondement … comme le vôtre !
Leonor
11 mars 2016 @ 23:38
C’est sûr, Mary71 : ils auraient dû rire aux éclats.
Caroline
11 mars 2016 @ 12:15
On voit bien l’expression peinée de William et de Kate! Les revoilà au boulot!
Claudia
11 mars 2016 @ 12:32
Bon le thème est triste, mais la mine affligée surtout celle de la princesse me parait un peu trop appuyée….
Marc
11 mars 2016 @ 21:03
Vous n’avez peut-être pas bien lu mais « ils visionnent un documentaire ».
Primo vous ne savez certainement pas ce qui était diffusé au moment très précis où la photo a été prise.
Secundo vous ne savez pas quelle mine elle arborait une seconde avant et une seconde après.
Leonor
11 mars 2016 @ 23:42
Vous savez, Claudia, les récits de suicides sont terribles Difficile de garder l’air neutre.
Il faut avoir décroché un jour un pendu pour réaliser à quel point on peut être secoué.
Le lot des policiers, des gendarmes, des pompiers. Au bout de quelques interventions de ce type, ou sur des lieux d’accidents lourds, il est bon de les faire suivre par un médecin généraliste à l’écoute, voire par un psychologue
Actarus
11 mars 2016 @ 13:26
Quelles têtes d’enterrement ! Je sais bien que le sujet n’est pas rigolo, mais tout de même, quand on veut inciter les gens à choisir la vie, il faut la voir en rose soi-même…
annie
11 mars 2016 @ 13:44
je les trouve fatigués
Trianon
14 mars 2016 @ 17:11
c’est une blague??
Mayg
11 mars 2016 @ 13:53
Je veux bien admettre que la prévention du suicide est un thème grave, mais je trouve qu’ils surjouent un peu avec leur air attristé sur la première photo…
Nathetvoila
11 mars 2016 @ 14:46
On peut porter un jugement sur la coiffure, la tenue etc… Mais sur une mimique, une posture etc. Et en déduire l’ennui, la tristesse, le mépris ou quelques autres sentiments, ça m’a toujours bluffée. Une photo est un instantané donc peu fiable sauf à avoir un visage figé naturellement . Ah la difficulté de savoir être juste dans ses propres rictus ou coup d’œil est un art que ne maîtrisent pas encore tous les « royaux » … Mais qui au fait ?
bianca
12 mars 2016 @ 15:36
Je souscris à votre commentaire intelligent Nathetvoila ! bianca
Marc
12 mars 2016 @ 20:54
On ne saurait mieux dire. Bravissimo !
bernadette
11 mars 2016 @ 17:20
Je ne vois pas pour quelle raison, ils devraient laisser éclater leur joie ! Le sujet est suffisamment triste… . De toute façon, s’ils souriaient, les mêmes personnes y trouveraient à redire !!
kalistéa
11 mars 2016 @ 17:53
1e photo , kate a l’air compatissant et peiné de Diana devant les misères du monde!
Fleurnice
12 mars 2016 @ 05:38
Sans aucun doute, j’ai eu un sourire narquois ou un léger rictus, quand des personnes ont raconté la tentative ou réussite de suicide de proches ou quand des connaissances m’ont narré leur envie de disparaître de la terre, mais qu’elles se sont loupées.
J’ai même failli être hilare. Mais paraît que cela ne se fait pas.
J’aime bien : « adaptation cohérente, mine affligée ».
Du beau monde sur N&R.
Tout de même, bon WE, adapté aux circonstances, la mine avec.
Leonor
13 mars 2016 @ 00:14
Fleurnice, votre post est odieux.
Faut-il souhaiter que vous soyez un jour confrontée à la chose, pour vous remettre les idées d’aplomb ?
Je confirme : c’est très drôle.
A se rouler par terre de rire. A s’en dilater la rate. A pisser de rire. A se décrocher les mandibules.
Et puis, c’est vrai, tout dépend du temps qu’on met à le trouver, le suicidé. Quand ça date un peu, c’est encore plus drôle. Là, c’est carrément désopilant. On se gondole, on se tirebouchonne. On se fend la pêche, on rigolboche.
Sans compter la famille autour, quand le suicidé ne les a pas carrément suicidés avec lui ( chose vue et vécue ). Là, on se marre, on se poile, on s’esclaffe, on se boyaute.
Allez, Fleurnice, prenez quelques années sur le paletot .
Et puis, vivez si m’en croyez, comme disait le poète
emy
15 mars 2016 @ 12:16
Léonor, vous me surprenez, vous qui avez beaucoup de finesse ! Vous ne lisez pas le second degré dans le post de Fleurnice ? Elle se moque, dans son commentaire, des personnes qui disent que William et Catherine auraient du arborer une mine moins triste ! Relisez, vous verrez, c’est clair :) Bien amicalement :)
bianca
15 mars 2016 @ 21:16
J’ai ressenti le même sentiment que vous emy en lisant le commentaire de Fleurnice…Je ne pense pas qu’elle pourrait dire des choses aussi odieuses.
Bonne continuation à vous, Bianca.
Dominique-Gibbs
12 mars 2016 @ 10:56
Fleurnice,
S’il vous plaît, un peu de compassion ou alors n’écrivez rien.
Vos propos me révoltent.
J’oserais espérer qu’il s’agit d’humour très noir !
Fleurnice
12 mars 2016 @ 14:20
Je crois, en effet, Dominique-GIbbs, que vous ne m’avez pas du tout comprise.
Je me moquais, avec humour, des commentaires de Pauline et de Claudia.
Ce que vous n’avez pas, (l’humour) à priori.
Quant à la compassion, j’en ai certainement plus que vous, mais là, il faudrait que vous me connaissiez.
Une autre chose, vous n’avez aucun ordre à me donner, surtout d’un tel autoritarisme.
« N’ECRIVEZ RIEN »
Que vous puissiez exprimer votre avis, c’est une chose, mais que vous ordonnez, cela en est une autre.
Votre ancienneté et votre adhésion à N & R ne vous autorisent pas tout.
Soyez humble et tout le monde s’en portera mieux.
Et aussi, un peu d’éducation et de savoir-vivre : BON WEEK END.
Ça se fait chez moi.
Leonor
14 mars 2016 @ 00:01
Votre post était odieux, Fleurnice. Il n’y transparaissait aucun humour.
En l’occurrence, je partage entièrement l’apostrophe de Dominique-Gibbs à votre endroit.
En effet, un peu de … savoir-vivre (!) serait bienvenu de votre part.
Baya
15 mars 2016 @ 15:53
Le mieux je pense est d’ignorer cette personne qui n’est que dans la provocation. Elle cherche apparemment la polémique et s’y complaît. Ne répondons plus, elle se lassera
emy
15 mars 2016 @ 12:17
Fleurnice, je viens d’écrire mon commentaire ci-dessus à Léonor, avant d’avoir lu le vôtre : en effet, le second degré de votre post était, selon moi, parfaitement clair :)
Brian
12 mars 2016 @ 14:15
ils auraient sûrement dû rire aux éclats? Les commentaires su répondre ce site sont souvent du « n’importe quoi ».
Claude-Patricia
12 mars 2016 @ 17:22
C’est un sujet si difficile à aborder…tant qu’on y est pas confronté de près, cela me touche parce que beaucoup de choses peuvent y conduire, et malheureusement certaines personnes n’ont pas l’écoute dont elles pourraient avoir besoin. Je me suis sincèrement demandé si, il ne fallait pas créer dans chaque ville de vrais centres d’accueil avec des psy en nombre suffisant pour venir en aide à tous ceux qui souffrent. La souffrance en elle-même peut venir de chocs à répétition depuis la plus tendre enfance, l’abus de substances nocives, la non-reconnaissance sociale, l’alcoolisme, et bien d’autres sources non-négligeables, comme les conjoints qui se mettent à devenir violents (femme comme homme)…Il faut essayer de prendre le mal à la racine quand la personne en face veut bien parler.
Je vais faire une confidence publique car je suis moi même aidée, et ayant réussi à comprendre ce qui ne pouvait pas fonctionner en mon sens, mieux que je le voudrai, j’ai compris, en m’auto-analysant que je devais trouver aussi les moyens de m’en sortir par moi-même. J’ai eu l’immense chance de rencontrer cette aide il y a 20 ans, et à chaque fois que je vois cette personne, je lui redis toute ma gratitude. Car sinon je ne serai pas là en train de vous en parler. Il ne faut pas avoir honte de saisir la main qui vous est tendue. Bien sûr cela est parfois difficile le premier pas coûte. Mais lui m’a sauvé la vie. Et à mon tour j’aurai souhaité aidé d’autres personnes. J’ai dit tout de go, que j’aimerai donc devenir psychanaliste. Poser une plaque et passer de l’autre côté pour sauver d’autres âmes. Quand je suis venue sur ce site, à la recherche de mes ancêtres, je ne savais pas qu’en même temps j’essayer de « réparer » mes proches qui ont été abandonnés. Comme le grand-père de mon propre grand-père maternel, dont la maman était partie avec son époux au Brésil. Ma quête avait un sens par rapport à l’abandon ou au déshonneur ayant moi failli être, chose honteuse une bâtarde. Oui. Mais j’ai eu un père qui m’a reconnu et dont je porte le nom. Alors, en essayant de me « réparer », au passage, j’en ai « réparé » d’autres!! Comment j’ai réussi à comprendre cela? Eh oui, la généalogie, l’astrologie (thèmes de naissance), numérologie, tout ce que j’avais à portée de main. Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’Univers et les Dieux ». Et en plus il m’est arrivée cette chose bien étrange qui m’a ouvert les portes d’un autre monde puisque j’étais dans un passage entre celui-ci et le monde des vivants. Croyez-moi, j’ai eu peur, mais aujourd’hui ça va mieux, même si l’idée de quitter un jour cette planète tant aimée ne me ravit pas…Alors autant en profiter pour faire le bien. Je donne quand je peux un coup de main au Secours Catholique qui vit aujourd’hui une grande mutation, car il nous est demandé quelque peu de changer le monde et le regard des uns sur les autres en créant un lien social autour d’une boisson. Qui vient nous voir doit d’attendre à être présenté à l’autre en face!! Il n’y a plus de hiérarchie sociale. Nous sommes tous à égalité dans ce cadre.
Bien à vous tous!!
Claude
JAusten
13 mars 2016 @ 11:13
Vous dites allez bien maintenant, je vous souhaite d’aller encore mieux que maintenant chère Claude :)
Claude-Patricia
13 mars 2016 @ 17:57
Merci à vous chère J Austin!! Mais oui, ça ira encore mieux. J’ai aussi juste fait une mauvaise chute qui me prive pour le moment d’exercer mon métier de guide…Je vais essayer cette semaine de m’entraîner un peu, en faisant une visite de ville.
bianca
15 mars 2016 @ 21:52
Votre commentaire m’a émue Claude Patricia car j’ai eu dans le passé trois collègues en souffrance comme vous…Elles étaient issues d’un milieu très priviligié pourtant,contrairement à vous ! Malgré toute ma bonne volonté je me sentais impuissante à leur donner le goût de vivre et de travailler correctement ! Mais vous êtes différente car vous avez en vous la force nécessaire pour vous aider et aider ceux qui sont dans le besoin…Je vous félicite car ce que vous faites est remarquable et je souhaite avoir souvent l’occasion de vous lire…Courage, Bianca
Fleurnice
13 mars 2016 @ 11:46
Même réponse à Léonor que pour Dominique-Gibbs..
Vous ne connaissez pas ma vie et vous ne savez pas ce que j’ai enduré.
Vous ne connaissez pas ma vie et vous ne savez pas ce que j’ai vu, ce que j’ai découvert, depuis mon enfance. Vous ne savez rien de moi. Je vous prierais donc de ne pas interpréter.
Vous m’avez obligée, par vos stupidités, vos minables remarques, à dévoiler le pseudo de deux internautes qui m’avaient amusée par leurs commentaires.
Je suis rarement sur N&R, mais, mis à part quelques valeurs, le niveau est bien bas, (j’exclus le niveau d’études, cela n’a rien à voir) même si certaines se donnent des airs de duchesses.
Je précise bien : certaines et pas certains. Les hommes sont beaucoup plus réservés et font fi des querelles de bonnes femmes.
Il n’est pas nécessaire de raconter sa vie « de malheur » pour se faire valoir.
Je vous salue, Madame Léonor, et je vous rassure, je vis pleinement ma vie, car justement, je sais ce que c’est, une vie.
Léonor, chassez le naturel, il revient au galop : prenez quelques années sur le paletot. C’est bien vous qui l’avez écrit.
Cela me rappelle les » chiottes » d’une ministre de l’éducation.
Leonor
14 mars 2016 @ 00:02
Vos écrits, Fleurnice, ne déshonorent que vous.
So long.
Fleurnice
14 mars 2016 @ 11:09
Pauvre Léonor, qui essaie, en vain, de passer pour ce qu’elle n’est pas.
Puis-je vous retourner le compliment ?
Arrêtez donc de vous enfoncer.
Malheureusement, et heureusement, j’ai fréquenté des personnes dites du « 3 ème âge, 4ème âge, 5ème âge » vous savez, ces femmes qui, lors d’une sortie, se comparent à sa voisine de table pour savoir si sa petite boîte de pilules est plus importante que la sienne : « oui, mais moi, mon docteur m’a dit » ou alors si, dans son assiette, il n’y avait pas un morceau de mouton ou de veau en moins par rapport à la quantité que pourrait avoir la copine du moment, juste en face d’elle. .
Si, si, je l’ai vécu, ça valait son pesant d’or.
A 30 ans, j’étais présidente d’un club du 3ème âge, pendant 2 ans.
Même vos compatriotes ne voulaient pas en prendre la responsabilité. Pour dire !
Ah ! les messieurs des madames (en tout bien, tout honneur) étaient ravis de voir une jeune femme, blonde, cheveux au vent et longs, souriante, passer de table en table, ou dans les rangs des bus. Ça les changeait de la soupe à la grimace de leur femme.
Je me suis jurée que, jamais, je ne vous ressemblerai.
Léonor, ce n’est pas parce que vous avez de l’humour « copier/coller » que le, comment dites-vous ? déshonneur n’est pas dans vos écrits.
Et puis, si vous avez besoin d’explication de texte, faites-moi signe. Il y a un problème dans vos compréhensions.
Allez, le paletot, pour moi, attendra encore. Le vôtre doit être bien étriqué.
Je remercie Madame Salens d’avoir passé mes messages, ce qui n’a pas été toujours le cas, et pourtant, je ne crois pas avoir écrit de paroles désobligeantes, genre « vieilles rombières » mais, ce site ne me correspond pas.
Je pensais que l’on décortiquait QUE les N&R, mais il y a beaucoup de vantardise, de mesquineries, de mots mis à tort et à travers, qui n’ont rien à voir avec leur définition, de sujets très personnels, et chacune y en rajoute encore plus. Même si certaines d’entre vous m’ont émue. Et comme personne n’est indispensable!!!
Madame Salens, je vous souhaite une bonne continuation et, vous le savez comme moi, qu’un site, ça se remet en question, pour un de supprimé, il y en a 50 qui fleurissent.
Léonor, je vous souhaite une bonne vie, mais avec de la modestie.
Vous verrez, ça fonctionne.
Bonne continuation à toutes et tous. Fleurnice.
Leonor
14 mars 2016 @ 14:21
Apparemment, pensant décrire les autres , c’est votre autoportrait que vous dressez, Fleurnice.
Un grand classique.
So long.