A Bruxelles, la reine des Belges a présidé la cérémonie commémorant le 100ème anniversaire de l’exécution de l’infirmière et résistante belge Gabrielle Petit lors de la Première Guerre Mondiale. (Copyright photos : Palais royal)
Bonjour,
J’étais présent comme porte-drapeau de Pro Belgica asbl (association patriotique). Ce fût une très belle cérémonie à une grande dame de la résistante. Merci à S.M. la Reine de sa présence à la Place Saint Jean à Bruxelles, à quelques pas de Petit Sablon direction la Grand’Place. Pour info, ce fût sa première sortie officielle depuis cette horrible journée du 22 mars.
Voici un lien photos sur cette belle cérémonie. Merci à Félicien Thiry. https://www.facebook.com/groups/288528617841606/
merci monsieur Roland Y. C’est un bel endroit pour y ériger une statue qui ma foie, ne m’a pas franchement frappée quand j’y suis passée. La prochaine fois je ferais attention, maintenant que je sais de qui il s’agit.
À l’école, au cours d’histoire, nous apprenions les faits de résistance d’Edith Cavell et de Gabrielle Petit.
Je me demande si on en parle encore aux jeunes générations.
Il y a aussi Marguerite Bervoets dont un athénée royal porte le nom à Mons.
Marguerite Bervoets, née à La Louvière, 6 mars 19141 et morte exécutée à Wolfenbüttel le 7 août 1944, est une résistante belge pendant la Seconde Guerre mondiale.
Gabrielle Petit, née le 20 février 1893 à Tournai et morte, fusillée, le 1er avril 1916 à Schaerbeek, est une infirmière et résistante belge qui a fait de l’espionnage pour le compte des Alliés au cours de la Première Guerre mondiale.
Gabrielle Aline Eugénie Marie Ghislaine PETIT, est née à Tournai le 20 février 1893 à 21h30. Elle est la fille de Jules Charles Marie PETIT, clerc de notaire, âgé de 27 ans, né à Bruges et d’Aline Irma Victorine Eugénie Ghislaine SÉGARD, âgée de 24 ans, née à Tournai.
Gabrielle Petit fait ses études au couvent des Sœurs de l’Enfant-Jésus (actuellement Institut médico-pédagogique Sainte-Gertrude) de Brugelette. Elle a 21 ans lors de l’invasion soudaine de la Belgique par les troupes allemandes en 1914. Elle doit surseoir à son mariage. Tandis que Maurice Gobert, son fiancé, rejoint son régiment, Gabrielle s’engage comme infirmière. Blessé lors des premiers combats, le jeune homme est fait prisonnier, mais s’évade presque aussitôt. Il se cache dans le pays désormais occupé. Convalescent, il veut rejoindre l’armée belge retranchée derrière l’Yser. Cependant, il faut passer par les Pays-Bas, restés hors du conflit, l’Angleterre et, enfin, le nord de la France. Gabrielle l’accompagne et le soutient.
En terre alliée, après une courte formation en espionnage, on lui propose une mission, qu’elle accepte. De retour à Bruxelles dès la fin juillet 1915, elle recueille et transmet aux états-majors alliés les positions et les mouvements des troupes ennemies dans le secteur de Maubeuge et de Lille.
Une première fois, la police secrète allemande la suspecte. Elle est arrêtée, questionnée puis, faute d’indices, libérée. Elle prend une fausse identité sous le nom de Mlle Legrand et poursuit ses missions jusqu’à ce qu’elle se fasse à nouveau arrêter en janvier 1916. Le 3 mars, elle est condamnée à mort par un tribunal militaire allemand et est fusillée le 1er avril au Tir national de Bruxelles. Elle prononce : « Vive le Roi ! Vive la… » mais n’a pas le temps d’achever sa phrase.
Un Te Deum est donné en son honneur en la collégiale Saints-Michel-et-Gudule1 en pleine occupation. L’événement est annoncé par cartes postales et il y a foule. C’est l’abbé Cardijn qui officie ; plus tard il fondera la Jeunesse ouvrière chrétienne et sera créé cardinal.
La guerre finie, les restes de Gabrielle Petit sont exhumés. Des funérailles nationales ont lieu en mai 1919 en présence de la reine Élisabeth de Belgique, qui dépose la croix de l’ordre de Léopold sur le cercueil dans un grand moment d’émotion populaire. Elle repose maintenant au cimetière de Schaerbeek.
Statue de Gabrielle Petit place Saint-Jean à Bruxelles
Mémoire
L’article de Dominique-Gibbs n’est qu’un copier-coller de Wikipédia. Les informations qui s’y trouvent ne manquent évidemment pas d’intérêt, mais rendons à César ce qui appartient à Wikipédia.
Mais je n’écris jamais le contraire.
Dernièrement, j’ai précisé, lors d’un remerciement, que l’article n’était pas de moi car je ne suis pas historienne.
Les prochaines fois, je n’oublierai pas de mentionner les sources.
Je ne me prends pas pour Alain Decaux.
Si vous souffrez d’un complexe, ne le soignez pas sur mes interventions.
Chacun, ici, sait que j’ajoute souvent des infos Wiki.
En accord sur l’allusion à Wikipedia…il est vrai qu’on peut se contenter de citer le lien,sans copier-coller.Mais je crois que Dominique-Gibbs pense bien faire…et puis on est libre de lire ou pas.
Pour votre info, lors d’une cérémonie patriotique et surtout en cette période nous ne portons une tenue militaire, une tenue de ville sombre et digne. Comme dit si bien un commentaire, il ne s’agit pas d’un défilée de mode. Roi, Reine ou pas il y à un protocole à suivre lors des différentes cérémonie et encore heureux que cela existe en Belgique. Allez à Londres, vous verrez l’exigence en ce qui concerne la tenue lors des cérémonies.
Ca c’ est la meilleure : vous ne connaissez pas le contenu de vos copié/collé Wikipédia !!! Vous imaginez en jeter plein la vue mais les personnes intelligentes ne sont pas dupes .
Malheureusement non, mais il faut dire que dès qu’une cérémonie est organisée en mémoire du Roi Léopold c’est un scandale. Pour votre info, une messe et une cérémonie est chaque année organisée en décembre en l’Eglise et la Crypte Royale de Laeken.
Statue Gabrielle Petit à Bruxelles
place Saint-Jean
1000 Bruxelles (Pentagone)
Sculpteur : Egide Rombaux
Inauguration : 21 juillet 1923
Le monument Gabrielle Petit – des précisions. Il fut inauguré en juillet 1923, au moment des fêtes nationales. Il a été élevé par la Ligue des Patriotes. Parmi les personnalités qui assistèrent à la cérémonie d’inauguration – la reine Elisabeth – la princesse Marie-José – José Hennebicq, président de a ligue donatrice – Albert Devèze – Adolphe Max – Maurice Herbette, ambassadeur de France.
Sur un socle hait de deux mètres, une femme en bronze – en pied – une et demie fois grandeur nature. C’est Gabrielle Petit – debout, sans apprêt, tête nue, saisie dans une attitude de défi. Tête inclinée sur l’épaule droite. Bras droit tendu vers le sol. La main droite serrée avec force. Statuaire, Egide Rombaux.
Le point de vue des artistes. Note critique. On considère que ce monument est une oeuvre de second plan d’un des meilleurs sculpteurs belges contemporains. Comme beaucoup de statues patriotiques, celle-ci sert une cause noble et élevée, par des moyens qui, du point de vue esthétique, sont assez pauvres – en tout cas sans originalité. La grandeur et la pureté des sentiments héroïques sont d’ailleurs – semble-t-il – d’une façon générale – d’une expression artistique très périlleuse. Paraphrasant une image bien connue, qui a servi à désigner une fleur rose, délicate, nous pourrions qualifier les monuments patriotiques « le désespoir du statuaire ».
Extrait d’un Guide Pierre Anspach (6ème édition, vers 1950).
J’apprécierais beaucoup que , lorsqu’on cite un texte, on le mette entre guillemets, et qu’on en indique la source. , autant que possible. Merci.
Il peut arriver qu’on oublie, certes. Mais la règle généralement admise demeure.
Généralement je le fais mais il m’arrive d’oublier et oui : je ne suis pas parfaite.
Tout simplement, dorénavant, je n’ajouterai plus d’informations complémentaires et les amateurs se débrouilleront avec Wikipedia ou tout autre outil de recherche.
Désolée pour celles et ceux à qui cela faisait plaisir.
Il y a réellement trop de mauvaises personnes sur ce site.
Fort heureusement, il y en a aussi beaucoup qui sont très sympathiques et intelligentes.
Cela rehausse le niveau et rend le site plus plaisant.
Je suis de ces personnes qui appréciaient vos recherches sur Wikipédia ou autre site n’ayant pas trop de temps à consacrer à celles-ci (à mon grand regret…). Je ne peux qu’approuver la deuxième partie de votre commentaire malheureusement. Que cela n’atteigne pas votre moral surtout, pensons aux personnes de grande qualité et de bonne éducation qui nous permettent de nous divertir, de nous instruire sur ce site, le reste ne mérite pas la moindre attention. Je suis venue faire un petit tour avant d’aller me coucher, je vous souhaite une très bonne et douce nuit Gibbs, à bientôt ! Bianca.
Dominique-Gibbs, j’apprécie beaucoup les commentaires que vous faites sur N ET R qui sont très souvent accompagnés d’un copié-collé WIKIPEDIA.
Connaissant vos habitudes, il ne peut s’agir que d’un oubli lorsque vous ne faites pas mention de votre source.
Les oublis peuvent arriver à tout un chacun…..
Roland Y.
4 avril 2016 @ 07:37
Bonjour,
J’étais présent comme porte-drapeau de Pro Belgica asbl (association patriotique). Ce fût une très belle cérémonie à une grande dame de la résistante. Merci à S.M. la Reine de sa présence à la Place Saint Jean à Bruxelles, à quelques pas de Petit Sablon direction la Grand’Place. Pour info, ce fût sa première sortie officielle depuis cette horrible journée du 22 mars.
Voici un lien photos sur cette belle cérémonie. Merci à Félicien Thiry.
https://www.facebook.com/groups/288528617841606/
JAusten
4 avril 2016 @ 20:52
merci monsieur Roland Y. C’est un bel endroit pour y ériger une statue qui ma foie, ne m’a pas franchement frappée quand j’y suis passée. La prochaine fois je ferais attention, maintenant que je sais de qui il s’agit.
Roland Y.
4 avril 2016 @ 07:55
Liens photos de cette cérémonie.
Merci à Félicien Thiry très présent lors des cérémonies.
Album n°1 https://www.facebook.com/media/set/?set=a.10208086337748862.1073743536.1612388860&type=3
Album n°2 https://www.facebook.com/media/set/?set=a.10208086555754312.1073743537.1612388860&type=3
DEB
4 avril 2016 @ 08:00
À l’école, au cours d’histoire, nous apprenions les faits de résistance d’Edith Cavell et de Gabrielle Petit.
Je me demande si on en parle encore aux jeunes générations.
Dominique-Gibbs
4 avril 2016 @ 12:18
DEB,
Je l’ignore !
Il y a aussi Marguerite Bervoets dont un athénée royal porte le nom à Mons.
Marguerite Bervoets, née à La Louvière, 6 mars 19141 et morte exécutée à Wolfenbüttel le 7 août 1944, est une résistante belge pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dominique-Gibbs
4 avril 2016 @ 12:19
née en 1914 bien évidemment !
ghighi
5 avril 2016 @ 17:24
Merci Wikipedia .
Dominique-Gibbs
4 avril 2016 @ 08:11
Gabrielle Petit, née le 20 février 1893 à Tournai et morte, fusillée, le 1er avril 1916 à Schaerbeek, est une infirmière et résistante belge qui a fait de l’espionnage pour le compte des Alliés au cours de la Première Guerre mondiale.
Gabrielle Aline Eugénie Marie Ghislaine PETIT, est née à Tournai le 20 février 1893 à 21h30. Elle est la fille de Jules Charles Marie PETIT, clerc de notaire, âgé de 27 ans, né à Bruges et d’Aline Irma Victorine Eugénie Ghislaine SÉGARD, âgée de 24 ans, née à Tournai.
Gabrielle Petit fait ses études au couvent des Sœurs de l’Enfant-Jésus (actuellement Institut médico-pédagogique Sainte-Gertrude) de Brugelette. Elle a 21 ans lors de l’invasion soudaine de la Belgique par les troupes allemandes en 1914. Elle doit surseoir à son mariage. Tandis que Maurice Gobert, son fiancé, rejoint son régiment, Gabrielle s’engage comme infirmière. Blessé lors des premiers combats, le jeune homme est fait prisonnier, mais s’évade presque aussitôt. Il se cache dans le pays désormais occupé. Convalescent, il veut rejoindre l’armée belge retranchée derrière l’Yser. Cependant, il faut passer par les Pays-Bas, restés hors du conflit, l’Angleterre et, enfin, le nord de la France. Gabrielle l’accompagne et le soutient.
En terre alliée, après une courte formation en espionnage, on lui propose une mission, qu’elle accepte. De retour à Bruxelles dès la fin juillet 1915, elle recueille et transmet aux états-majors alliés les positions et les mouvements des troupes ennemies dans le secteur de Maubeuge et de Lille.
Une première fois, la police secrète allemande la suspecte. Elle est arrêtée, questionnée puis, faute d’indices, libérée. Elle prend une fausse identité sous le nom de Mlle Legrand et poursuit ses missions jusqu’à ce qu’elle se fasse à nouveau arrêter en janvier 1916. Le 3 mars, elle est condamnée à mort par un tribunal militaire allemand et est fusillée le 1er avril au Tir national de Bruxelles. Elle prononce : « Vive le Roi ! Vive la… » mais n’a pas le temps d’achever sa phrase.
Un Te Deum est donné en son honneur en la collégiale Saints-Michel-et-Gudule1 en pleine occupation. L’événement est annoncé par cartes postales et il y a foule. C’est l’abbé Cardijn qui officie ; plus tard il fondera la Jeunesse ouvrière chrétienne et sera créé cardinal.
La guerre finie, les restes de Gabrielle Petit sont exhumés. Des funérailles nationales ont lieu en mai 1919 en présence de la reine Élisabeth de Belgique, qui dépose la croix de l’ordre de Léopold sur le cercueil dans un grand moment d’émotion populaire. Elle repose maintenant au cimetière de Schaerbeek.
Statue de Gabrielle Petit place Saint-Jean à Bruxelles
Mémoire
Domilys
4 avril 2016 @ 19:21
Merci Dominique-Gibbs pour votre article qui m’a beaucoup intéressé.
Je trouve très important d’honorer cette héroïne.
Philibert
5 avril 2016 @ 00:25
L’article de Dominique-Gibbs n’est qu’un copier-coller de Wikipédia. Les informations qui s’y trouvent ne manquent évidemment pas d’intérêt, mais rendons à César ce qui appartient à Wikipédia.
Dominique-Gibbs
5 avril 2016 @ 08:26
Philibert,
Mais je n’écris jamais le contraire.
Dernièrement, j’ai précisé, lors d’un remerciement, que l’article n’était pas de moi car je ne suis pas historienne.
Les prochaines fois, je n’oublierai pas de mentionner les sources.
Je ne me prends pas pour Alain Decaux.
Si vous souffrez d’un complexe, ne le soignez pas sur mes interventions.
Chacun, ici, sait que j’ajoute souvent des infos Wiki.
Je vous souhaite une bonne journée !
Dominique-Gibbs
5 avril 2016 @ 08:27
Avec plaisir Domilys.
Les prochaines fois, je mentionnerai mes sources car certains semblent susceptibles !
Bien à vous,
Dominique-Gibbs
5 avril 2016 @ 10:42
Source : Wikipedia pour certains ego.
Dominique-Gibbs
4 avril 2016 @ 08:12
Détail eu égard à l’hommage mais le manteau de Mathilde est d’une laideur…
ghighi
4 avril 2016 @ 14:36
Il ne s’ agit pas d’ un défilé de mode .
Dominique-Gibbs
5 avril 2016 @ 12:24
ghighi,
Le jour où je lirai un commentaire aimable de votre part tous azimuts, il faudra décréter un nouveau jour férié.
ghighi
6 avril 2016 @ 15:06
Oui, et ce jour férié vous donnera l’ occasion d’ apprendre par coeur le WIKEPEDIA . Vous vous moquez de qui ???
ghighi
4 avril 2016 @ 14:41
Il ne s’ agit pas d’ un défilé de mode . Et tout le monde est capable de lire et de recopier WIKIPEDIA.
Milena K
6 avril 2016 @ 18:49
En accord sur l’allusion à Wikipedia…il est vrai qu’on peut se contenter de citer le lien,sans copier-coller.Mais je crois que Dominique-Gibbs pense bien faire…et puis on est libre de lire ou pas.
Roland Y.
4 avril 2016 @ 21:38
Pour votre info, lors d’une cérémonie patriotique et surtout en cette période nous ne portons une tenue militaire, une tenue de ville sombre et digne. Comme dit si bien un commentaire, il ne s’agit pas d’un défilée de mode. Roi, Reine ou pas il y à un protocole à suivre lors des différentes cérémonie et encore heureux que cela existe en Belgique. Allez à Londres, vous verrez l’exigence en ce qui concerne la tenue lors des cérémonies.
Roland Y.
4 avril 2016 @ 21:39
Pardon, « nous portons une tenue »
Dominique-Gibbs
4 avril 2016 @ 08:16
Régine,
Puis-je savoir où s’est déroulée cette cérémonie ?
Est-ce bien Charles Picqué sur la droite ?
Il est Président du parlement bruxellois.
Merci
Régine
4 avril 2016 @ 11:42
Place Saint Jean (près de la Grand Place) où se trouve sa statue.
Oui c’est bien Charles Picqué, président du Parlement bruxellois
Dominique-Gibbs
4 avril 2016 @ 12:20
Merci Régine !
Dominique-Gibbs
4 avril 2016 @ 12:22
La réponse était dans mon commentaire !!
ghighi
5 avril 2016 @ 14:01
Ca c’ est la meilleure : vous ne connaissez pas le contenu de vos copié/collé Wikipédia !!! Vous imaginez en jeter plein la vue mais les personnes intelligentes ne sont pas dupes .
Philibert
4 avril 2016 @ 08:21
Cérémonie patriotique et protocolaire, avec drapeaux, décorations, etc.
Gabriel Petit (23 ans à peine) aura davantage été honorée pour le centenaire de sa mort que le roi Léopold II. Cela est-il bien équitable ?
Roland Y.
4 avril 2016 @ 11:48
Malheureusement non, mais il faut dire que dès qu’une cérémonie est organisée en mémoire du Roi Léopold c’est un scandale. Pour votre info, une messe et une cérémonie est chaque année organisée en décembre en l’Eglise et la Crypte Royale de Laeken.
Dominique-Gibbs
4 avril 2016 @ 12:23
Philibert,
Gabrielle !
Philibert
5 avril 2016 @ 00:28
En effet ! Comment ai-je pu masculiniser le prénom de Gabrielle Petit ?
Robespierre
4 avril 2016 @ 19:00
Elle a donné sa vie pour la Belgique et Leopold II est mort dans son lit.
Actarus
4 avril 2016 @ 12:47
Mon ancien quartier. Nostalgie…
Roland Y.
4 avril 2016 @ 16:40
Statue Gabrielle Petit à Bruxelles
place Saint-Jean
1000 Bruxelles (Pentagone)
Sculpteur : Egide Rombaux
Inauguration : 21 juillet 1923
Le monument Gabrielle Petit – des précisions. Il fut inauguré en juillet 1923, au moment des fêtes nationales. Il a été élevé par la Ligue des Patriotes. Parmi les personnalités qui assistèrent à la cérémonie d’inauguration – la reine Elisabeth – la princesse Marie-José – José Hennebicq, président de a ligue donatrice – Albert Devèze – Adolphe Max – Maurice Herbette, ambassadeur de France.
Sur un socle hait de deux mètres, une femme en bronze – en pied – une et demie fois grandeur nature. C’est Gabrielle Petit – debout, sans apprêt, tête nue, saisie dans une attitude de défi. Tête inclinée sur l’épaule droite. Bras droit tendu vers le sol. La main droite serrée avec force. Statuaire, Egide Rombaux.
Le point de vue des artistes. Note critique. On considère que ce monument est une oeuvre de second plan d’un des meilleurs sculpteurs belges contemporains. Comme beaucoup de statues patriotiques, celle-ci sert une cause noble et élevée, par des moyens qui, du point de vue esthétique, sont assez pauvres – en tout cas sans originalité. La grandeur et la pureté des sentiments héroïques sont d’ailleurs – semble-t-il – d’une façon générale – d’une expression artistique très périlleuse. Paraphrasant une image bien connue, qui a servi à désigner une fleur rose, délicate, nous pourrions qualifier les monuments patriotiques « le désespoir du statuaire ».
Extrait d’un Guide Pierre Anspach (6ème édition, vers 1950).
Caroline
4 avril 2016 @ 23:06
Dominique-Gibbs et Roland Y. , merci pour vos explications complémentaires !
Leonor
5 avril 2016 @ 08:17
J’apprécierais beaucoup que , lorsqu’on cite un texte, on le mette entre guillemets, et qu’on en indique la source. , autant que possible. Merci.
Il peut arriver qu’on oublie, certes. Mais la règle généralement admise demeure.
Dominique-Gibbs
5 avril 2016 @ 12:28
Certainement Leonor.
Généralement je le fais mais il m’arrive d’oublier et oui : je ne suis pas parfaite.
Tout simplement, dorénavant, je n’ajouterai plus d’informations complémentaires et les amateurs se débrouilleront avec Wikipedia ou tout autre outil de recherche.
Désolée pour celles et ceux à qui cela faisait plaisir.
Il y a réellement trop de mauvaises personnes sur ce site.
Fort heureusement, il y en a aussi beaucoup qui sont très sympathiques et intelligentes.
Cela rehausse le niveau et rend le site plus plaisant.
Permettez-moi de ne pas vous saluer ?
bianca
7 avril 2016 @ 20:06
Je suis de ces personnes qui appréciaient vos recherches sur Wikipédia ou autre site n’ayant pas trop de temps à consacrer à celles-ci (à mon grand regret…). Je ne peux qu’approuver la deuxième partie de votre commentaire malheureusement. Que cela n’atteigne pas votre moral surtout, pensons aux personnes de grande qualité et de bonne éducation qui nous permettent de nous divertir, de nous instruire sur ce site, le reste ne mérite pas la moindre attention. Je suis venue faire un petit tour avant d’aller me coucher, je vous souhaite une très bonne et douce nuit Gibbs, à bientôt ! Bianca.
Dominique-Gibbs
5 avril 2016 @ 08:31
Caroline,
Celles-ci semblent avoir l’heur de perturber certains esprits chagrins.
« Les chiens aboient, la caravane passe » et ce n’est pas de moi !
Numérobis.
5 avril 2016 @ 12:55
Dominique-Gibbs, j’apprécie beaucoup les commentaires que vous faites sur N ET R qui sont très souvent accompagnés d’un copié-collé WIKIPEDIA.
Connaissant vos habitudes, il ne peut s’agir que d’un oubli lorsque vous ne faites pas mention de votre source.
Les oublis peuvent arriver à tout un chacun…..
Dominique-Gibbs
5 avril 2016 @ 08:32
Le manteau de Mathilde est moche et ne convient pas à sa morphologie.
Lorsque je fais mes courses, je ne m’affuble pas de la sorte.
Dominique-Gibbs
5 avril 2016 @ 08:35
Je constate que le bashing Letizia et Charlène est permanent mais pas question d’écrire quoi que ce soit sur sainte Mathilde !
aubert
5 avril 2016 @ 16:13
sur Google vous trouverez la définition de fâcherie puis de bouderie.
Iris
6 avril 2016 @ 12:06
J’ adore!