Le 7 juin 2016, le prince Albert de Monaco sera en visite à la cité Saint-Thiébaut à Thann en Alsace. Le prince de Monaco est également comte de Thann. A noter que les petits chanteurs de Thann s’étaient produits lors du mariage du prince Rainier et de la princesse Grace. (Merci à Anne)
framboiz 07
19 avril 2016 @ 03:56
C’est par l’héritage de Mazarin , qu’Albert est comte de Thann .Il va visiter la ville de Scheurer -Kestner , vice -Président du Sénat, qui comme Albert Ier de Monaco, fut dreyfusard .
bernadette
19 avril 2016 @ 07:55
Question du jour : Charlène l’accompagnera t elle ? lol
JAY
19 avril 2016 @ 13:27
Mais pour quoi faire ?
Un homme d’état n a nullement besoin d être accompagné de son épouse dans le cadre de son travail !
Seul lors de visites d Etat, il est admis que son épouse soit présente.
Severina
19 avril 2016 @ 08:26
Il fera cette visite tout seul?
j21
19 avril 2016 @ 13:06
Evidemment!
Question: Concernant les 70 ans du roi Carl Gustav de Suède, Albert s’y rendra-t-il seul ou accompagné de……Caroline?
marielouise
20 avril 2016 @ 05:27
j21 comme j’aime cet humour!
ml
j21
19 avril 2016 @ 08:27
Ne vient-il pas aussi à Belfort (40 km de Thann)?
Claude-Patricia
19 avril 2016 @ 08:47
Bonjour à tous,
Je suis très contente, ma ville quasi-natale du sud-ouest est jumelée avec Thann, et en plus Mon nom est Thibaud!! Voilà de quoi me réjouir dès le matin!! Merci à Monseigneur le prince Albert II de venir visiter ses fiefs français.
Les deux comités de jumelage se rencontrent là-bas cette année il me semble.
Bonne journée à vous tous que j’espère ensoleillée.
Philippe
19 avril 2016 @ 15:52
Oui enfin, fiefs français, c’est vite dit !
Albert n’est pas plus comte de Thann que je ne suis le Pape. Je vous rappelle
que les titres français des princes de Monaco sont éteints depuis la mort
du prince Louis II, en 1949.
Et cela parce qu’il n’a pu les transmettre à Charlotte, sa fille naturelle
et adoptive …
Claude-Patricia
19 avril 2016 @ 18:42
Bonsoir Philippe,
D’accord, je ne savais pas que Louis II n’avait pu les transmettre. Mais bon, j’aime bien voir le sympathique prince Albert venir nous rendre visite.
Gérard
21 avril 2016 @ 17:22
En effet mais par courtoisie on considère habituellement désormais que tous ces titres sont des recréations monégasques.
framboiz 07
20 avril 2016 @ 03:15
Quel dommage , Vous n’êtes pas pape, c’eût été pratique pour Lady Chatturlante , dans ses démarches d’ annulation de mariages …
Pierre-Yves
19 avril 2016 @ 10:40
Il a de la veine, Albert, car c’est Leonor qui fera la tambouille !
Leonor
19 avril 2016 @ 12:06
Ca y est, v’là Pierre-Yves qui me met aux fourneaux !
Bon, pourquoi pas ?
Le menu se composera donc ainsi :
+ Apéritif : kougelhopf tradition ou bretzel frais, Muscat
+ Entrée : tarte à l’oignon traditionnelle, Pinot gris
+ Plat principal : Albert apporte le poisson, moi le chou cuit : ça sera choucroute d’Alsace aux poissons de la Méditerranée, chou cuit au Riesling et aux baies de genièvre, sans graisse. Riesling.
+ Fromage : Munster de la vallée de Thann
+ Dessert : Glace à la vanille Bourbon, quetsches chaudes à la cannelle, arrosées d’eau-de-vie de quetsche
+ Café torréfié par la maison Reck, Strasbourg
+ Alcools du pays : Eaux de vie de quetsches, mirabelle, kirsch, framboise, poire, sureau, marc de gewürtztraminer.
Liqueurs de même pour les dames.
Vous survivez ? Ca va ? :-))
Claude-Patricia
19 avril 2016 @ 18:44
J’arrive!!
ML
19 avril 2016 @ 19:10
Vous m’invitez ? J’accours ! :-)
framboiz 07
19 avril 2016 @ 19:45
Leonor , quel menu, avec les nappes & les serviettes brodées par Vous ! Et dire que je me surveille …Vous me donnez envie d’aller à Thann ,mais la veille ,je vais à un concert rock !
Le Prince viendra peut-être à Chilly (08) ou à Rethel (08) , autres héritages de Mazarin .
Pour les drapeaux , il y a aussi la Pologne & l’Indonésie …Je note un Alsacien peu ravi de fusionner avec les Ardennes , je crois que les Alsaciens préféraient rester entre eux , définitivement !
Leonor
20 avril 2016 @ 09:50
Framboiz, on pourrait entamer tout un chapitre sur la nouvelle c… de région qui nous est imposée.
L’Alsace est vent debout contre cette ânerie .
Nous connaissons tous les raisons qui ont poussé Paris à s’imposer par la force (…).
Car c’est un déni absolu de démocratie : tous les députés alsaciens, TOUS, tous partis confondus sont montés au créneau à l’Assemblée pour refuser la chose.
Framboiz, en tant qu’Alsaciens, nous n’avons rien CONTRE les Ardennes. Un refus de la Lorraine, ça oui (*) . Mais nous n’avons rien » pour » . Rien, historiquement, socialement, économiquement, culturellement, ne nous lie aux Ardennes, à la Haute-Marne ou que sais-je.
Et non, Framboiz, nous ne » préférons (pas) rester entre nous. » Bien au contraire. En effet l’attractivité naturelle, non seulement historique et culturelle, mais aussi et surtout économique , fait de nous une région beaucoup plus tournée vers les régions limitrophes de Suisse au sud, et d’Allemagne à l’est et au nord. C’est avec ces régions que se font les échanges de tous ordres, les contrats, etc. Je ne sais poas très bien où est Châlons-sur-Marne ou Bar-sur-Aube, et je m’en fiche, mais je sais très bien où sont Bâle, Berne, Lucerne, Stuttgart , Karlsruhe , Francfort, Cologne et Bonn, parce que j’y vais tout le temps.
Nous sommes donc beaucoup plus tournés vers l’international , donc largement ouverts, que vers le franco-français-franchouillard, bien fermé et bien replié, lui, sur lui-même.
C’est entre autres cela, que le jacobinisme parisien ne peut pas et ne veut pas comprendre.
Ce qui est stupide à tous égards, et insultant pour nous, Alsaciens.
De surcroît, aucune étude sérieuse n’avait été faite, pour aucune de ces nouvelles super-régions, , quant aux économies qu’elles sont supposées permettre de faire.
Nous, en Alsace, on sait quel mouton va être tondu.
Exemple entre moult autres : notre Sécu est excédentaire. Excédentaire, vous avez bien lu.
Ce n’est qu’un exemple.
Framboiz, je vous sais sérieuse, et historienne, donc en mesure de vous extraire si ce n’était fait de l’Histoire officielle française telle que délibérément transmise dans les écoles de la République. Cette Histoire-là est partiale, partielle, incomplète, et en tout cas, n’inclut pas l’Alsace. C’est tout dire de l’ignorance des réalités du terrain dans laquelle se complaît le parisianisme centralisateur à l’oeuvre .
L’un de nos écrivains a émis ceci : » L’Alsace est un cas pour Amnesty International ».
Toutes proportions gardées, j’y souscris.
C’est gentil, Framboiz, de m’avoir donné l’occasion de m’ exprimer ici sur le sujet.
Il en reste beaucoup à dire.
Bisou.
(*) le concept d’Alsace-Lorraine n’existe que dans l’esprit parisien, issu de la défaite de 1870. Il n’a aucune réalité d’aucune sorte en Alsace.
Marie de Bourgogne
20 avril 2016 @ 12:35
« franco-français-franchouillard bien fermé et bien replié, lui, sur lui-même. » ?????????????
———-
N’est ce pas insultant envers les français ?
Nicole
20 avril 2016 @ 13:33
Magnifique exposé Leonor!
Pour le « refus de Lorraine », le subconscient populaire a gardé en mémoire les passages (et destructions) du duc de Lorraine en Alsace pendant la guerre de 30 ans, et avant aussi, si je me souviens bien.
Concernant les grandes régions, nous sommes nombreux a avoir vu une méga région très logique composée de l’Alsace, de la Corse, des Pyrénées Atlantiques et de la Bretagne…. Qui dit que nous manquons d’ouverture ?
Leonor
20 avril 2016 @ 22:01
Insultant envers les Français ( avec F majuscule pour une orthographe française exacte) ? Ce n’était pas mon intention, mais si vous le prenez comme ça, Marie de Bourgogne…
Pas insultant, juste un constat :
La France est un finisterre, par rapport à l’Eurasie, mais les Français ne s’en rendent pas compte, et se croient au centre de tout : de l’Europe, du monde, etc.
L’Alsace, elle, n’est pas » au bout » de quelque chose, elle est dans ce que géographes et économistes considèrent comme l’équivalent du croissant fertile , càd. le couloir rhénan : l »eurégion la plus densément peuplée, la plus densément industrialisée, la plus densément traversée de voies et noeuds de circulation.
Nous sommes pas seulement tournés vers cela, nous sommes DANS cela.
Or, le centralisme et le jacobinisme français font que tout, en France, est plié et replié vers Paris.
Quant à la pratique des langues de la plupart des Français : une catastrophe.
Alors, oui, le constat pour qui est un tant soit peu tourné vers l’international , c’est que la France est franco-française-franchouillarde, repliée sur elle-même.
C’est mon avis de frontalière, de multi-culturelle, et c’est malheureusement aussi l’opinion que la plupart des nations et des presses étrangères ont de la France et des Français. Ca n’aide pas au commerce extérieur, soit dit entre parenthèses, et ça fait rire de nous.
Marie de Bourgogne
21 avril 2016 @ 16:45
Et bien moi Léonor je ne me revendique pas comme multi-culturelle mais comme Française et uniquement FRANÇAISE.
A vos yeux je suis donc une « franco-française-franchouillarde bien fermée et bien repliée, elle, sur elle-même. » mais ce n’est que VOTRE avis et aucunement un constat si ce n’est que c’est VOTRE constat.
MON constat est différend du votre. Et il le vaut largement.Ni le votre ni le mien ne sont donc des VÉRITÉS. Je n’aurais pas employé les termes injurieux que vous vous êtes permis d’employer.
Si ce n’est un léger détail. Je suis mi française et mi marocaine. Donc sans aucun doute plus « multi-culturelle » que vous. En tout cas dans mes gênes.
C’est donc assez amusant, à mes yeux, que de lire votre mépris sur les « franco-français-franchouillard » alors que vous l’êtes infiniment plus que moi et que vous le reniez alors que moi je le revendique totalement le fait d’être FRANCAISE (je n’ai bien entendu qu’une seule nationalité même si l’autre m’est offerte sur un plateau), d’aimer la France, sa Culture, sa Gastronomie, son Histoire, etc…
Et si j’en crois les dires de Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg, ce n’est plus « d’ouverture » qu’il s’agit en Alsace mais carrément de soumission :
« Nous servons de la viande halal par respect pour la diversité, mais pas de poisson le vendredi par respect pour la laïcité. »
Édifiant.
Je préfère nettement être une » franco-française-franchouillarde » que de m’abaisser à CA.
Milena K
23 avril 2016 @ 16:30
Leonor: »franco-française-franchouillarde »:OUI!Vous avez ,hélas,entièrement raison et de plus en plus…et on pourrait ajouter frileuse,peureuse et j’en passe et des pires.
Marie de Bourgogne
26 avril 2016 @ 16:56
@ Milena K
Je suis métisse :-)
C’est ballot pour vous.
Pierre-Yves
20 avril 2016 @ 09:04
Albert a un mois et demi pour se mettre à la diète, afin de préparer son tour de taille à l’absorption d’un tel menu. On sait que la cuisine alsacienne n’est pas pour les fillettes, mais là, quand même, c’est du brutal, comme disent les tontons flingueurs …
Leonor
20 avril 2016 @ 22:08
:-D Bof… C’est juste normal, Pierre-Yves ! ;-) Le minimum syndical.
framboiz 07
19 avril 2016 @ 14:42
Et ses petites-filles vont venir avec des chaussettes blanches brodées aux armes de Monaco & Thann ! Les petites se disputent , car elles veulent la même broderie , on répartira à Droite ,Thann , à gauche ,Monaco ! Leonor prépare déjà la banderole de bienvenue , commandée par la Mairie , qui a repéré ses talents ,sur notre site. Si Elle a le temps , elle imagine préparer un costume d’Alsacienne & un de Monégasque . Framboiz07 est prête à aller l’assister …coupe de champagne en main , elle apportera son livre sur les vieilles voitures pour le mari de Léonor , qui trouve , que la table de Salle à manger est bien occupée ,par ces travaux d’aiguille ,les deux compères ,ayant toujours de nouvelles idées .Elles révisent même les chants ,pour le Prince & se sont mises au monégasque.
Le mari de Leonor craint un exil vers Monaco ,où elles pourraient faire belle concurrence à Chanel , que les autochtones trouvent trop « olé olé « , ce qui pour un « Teuton » , dénote. Elles feront connaître leurs créations , en les portant au bar du virage de la Rascasse et à la terrasse du Café de Paris , où leurs moyens leur autorisent juste un café … Marie-Françoise jouera avec brio les attachés de presse & Agnès fera de talentueuses photos avant une visite guidée de la cathédrale russe de Nice.
Les petits-enfants s’imaginent déjà, à la plage du Sporting, jouant avec les petits-enfants princiers & les 2 stars de la couture , aux bals de la Rose & de la Croix Rouge ,où elles ne manqueront pas de briller !
Vous serez mis au courant de notre vie mondaine , regardez à gauche & à droite du Prince , c’est nous qui remplacerons Charlène & Stéphanie…On commence un petit régime , car à Monaco, la taille timbre-poste (c’est normal ) s’impose !
PS : A propos de timbres, si Vous les collectionnez, dites-le, nous choisirons pour Vous les plus beaux ! A bientôt !
framboiz 07
19 avril 2016 @ 14:44
Vous avez la recette des barbajuans pour notre Léonor ?
Leonor
19 avril 2016 @ 20:57
Eh bé , Framboiz, quelle inspiration ! Le pire, dans la description que vous faites, c’est que, surtout dans le premier §, vous n’êtes pas bien loin de la réalité ! :-D
OK, si on s’y met tous et toutes, comme vous l’hypothésez ( ben quoi, on n’a plus le droit d’inventer des mots, dans une langue ? en allemand, on invente tout le temps, puisqu’on compose les mots au fur et à mesure qu’on en a besoin , c’est comme les notes au violon) , donc, si on s’y met tous, on ferait effectivement un fameux boulot.
Mais ça risque quand même de tenir davantage du cadavre exquis au final que d’un reportage ! ;-)
C’est quoi, déjà, els barbajuans ? Je me souviens qu’il en avait été question, et que ça avait l’air fameux ( la mémoire des papilles…) , mais je ne sais plus ce que c’est. Bis repetita, siouplait.
framboiz 07
20 avril 2016 @ 14:04
Car, nous , Léonor, on a à faire , broder , les barbajuans & répéter pour the Queen !
Stella
19 avril 2016 @ 15:08
( Une choucroute, peut-être?…)
framboiz 07
20 avril 2016 @ 03:16
Tambouille ? Pardon, Pierre-Yves , repas 3 étoiles !
Leonor
22 avril 2016 @ 12:05
Euh…. il est vrai que je suis plus douée pour les tambouilles genre grandes tablées que pour les petites choses raffinées. Sauf quand je m’applique, quand même, bien sûr. Mais un couscous, une choucroute, un Baeckeoffe , des bouchées à la Reine , ou autres osso-bucco, lasagne, boeuf aux carottes, etc pour 40 personnes, c’est dans mes cordes. Petites mains requises pour les pluches.
massi
19 avril 2016 @ 12:04
Le prince Albert est souverain d’un tout-petits état, mais il est riche en titres ce qui lui permet de se déplacer sur toute la France sur les différentes terres de ses ancêtres
Leonor
19 avril 2016 @ 12:49
Apparemment, Albert aime bien venir visiter ses terres australes au printemps.
L’an dernier, il était à Ferrette en avril , le voilà qui débarque à Thann.
Pour ceux qui ne sauraient pas que l’Alsace est , en ce moment, en France, apprenez que ces deux lieux se trouvent tout au sud de l’Alsace, Ferrette à la frontière suisse, et Thann à 49 km de là, plus à l’ouest, tout au sud du massif des Vosges, à l’entrée d’une vallée qui monte vers les crêtes.
Ferrette = Pfirt en allemand.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Thann
Les princes de Monaco sont comtes de Ferrette, par héritage des Mancini ( Mazarin).
La seigneurie de Thann a longtemps appartenu aux comtes de Ferrette, lesquels avaient contribué à sa fondation, ou même en avaient décidé, on ne sait très bien.
D’où Albert à Thann, retour aux sources de ses aïeux : le prince Albert de Monaco est bel et bien comte de Ferrette, seigneur de Thann.
Tout et le reste sur le Comté de Ferrette : https://fr.wikipedia.org/wiki/Comt%C3%A9_de_Ferrette ( descendre jusqu’au chapitre « La succession », dernier alinéa).
Thann possède une très belle église, la Collégiale Saint Thiébaut; le saint est le fondateur légendaire de la cité
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coll%C3%A9giale_Saint-Thi%C3%A9baut_de_Thann.
L’édifice vaut vraiment le déplacement, comme dirait Michelin. C’est un chef d’oeuvre, voyez le lien.
Thann a eu une histoire contemporaine plus dramatique encore, pendant la Première Guerre Mondiale :
La petite ville, donc, est située à l’entrée de la vallée du même nom qui monte vers la crête des Vosges, frontière France-Allemagne jusqu’en 1918. Elle était donc un verrou d’importance stratégique. Elle gouvernait l’accès du Hartmannswillerkopf, en français ( Mont de la Tête du ) Vieil-Armand.
Voyez la petite carte pour situer la chose :
https://www.google.fr/webhp?sourceid=chrome-instant&ion=1&espv=2&ie=UTF-8#q=thann%20hartmanswillerkopf
La bataille de tranchées ( 45 km) et les duels d’artillerie se sont essentiellement déroulés en 1915. 25000 morts surtout français si j’ai bien compris ( à vérifier). A certains endroits, il n’y avait que 22 mètres entre les lignes ennemies.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hartmannswillerkopf
Plus de détails sur la bataille même :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_du_Hartmannswillerkopf
Je ne saurais dire de quel côté aurait penché mon coeur : mes deux grands-pères combattaient dans les armées allemandes ( mais pas sur ce site). Ni Poincaré ni le Kaiser ne leur avaient demandé leur avis sur le sujet.
Pour en revenir à notre ami le prince Albert, et à des choses plus drôles :
il a failli y avoir un incident diplomatique entre Monaco et l’Alsace, l’an passé, 2015. :-))
L’Alsace a un drapeau blanc et rouge ( que ne le brandissons-nous davantage) et … Monaco aussi.
D’où l’embrouillamini suivant :
http://www.dna.fr/culture/2015/04/01/le-quiproquo-de-monaco
Il est permis d’en rire.
Bon, c’est pas tout ça.
Va falloir que je m’y trotte , à Thann ? C’est que ça fait une trotte !
Faut que je demande son avis à ma 2CV, je n’ai que ça sous la main en ce moment, le reste de la cavalerie est dispersé ailleurs.
Au fait, il parle l’alsacien, Albert, comte de Ferrette et seigneur de Thann ?
Nicole
20 avril 2016 @ 13:01
Leonor, concernant l’incident diplomatique du drapeau rouge et blanc, remarquez que le journal ayant publié l’article est daté du …1er Avril.
Bonne journée
Leonor
20 avril 2016 @ 22:09
Elle l’a remarqué, Nicole ! Splendide.
C’est pour cela que ‘javais noté : » Il est permis d’en rire . » ! :-))
Nicole
19 avril 2016 @ 13:23
Dans la région, Albert II de Monaco est comte de Ferrette, de Belfort, de Thann et de Rosemont, baron d’Altkirch et seigneur d’Issenheim.
D’après la presse régionale « Pour l’heure, la venue de son épouse, la Sud-Africaine Charlène Wittstock, ex-championne de natation, n’a pas été précisée. »
Pauline.G
19 avril 2016 @ 14:33
Très mignon sur cette photo le prince Albert.
Françoise 2
19 avril 2016 @ 15:36
allons bon ! lançons les paris ! la princesse Charlène ou le fantôme de Monaco sera-t-elle présente ?? à 99% non … comme d’habitude ! je serais curieuse de connaître les modalités du contrat de mariage !! sans doute 3 apparitions dans l’année et hop le reste du temps en villégiature loin loin de Monaco quel beau job ! elle a attendu mais quelle victoire ! ses belles soeurs doivent enrager de l’avoir aidée pour voir le résultat aujourd’hui ! on voit plus Stéphanie et Caroline en deux mois que la Princesse sur toute l’année ! bon je sens que je vais avoir des avis défavorables …
j21
19 avril 2016 @ 20:05
« le fantôme de Monaco » j’adore!
Une anecdote: un magasine allemand a titré à propos du Bal de la Rose « Charlène absente….,elle n’a manqué à personne! »
framboiz 07
21 avril 2016 @ 00:50
L’Arlésienne irait mieux que Princesse des Baux !
marielouise
20 avril 2016 @ 05:31
C’est aussi mon avis…Françoise 2…mais c’est plus sain pour le site quand c’est vous qui le dites!
ml
Danielle
19 avril 2016 @ 15:43
J’espère que le prince dégustera de très bons vins alsaciens.
marielouise
19 avril 2016 @ 16:00
Albert a été fait aujourd hui citoyen d’honneur de Portofino, petit coin de paradis!
Charlène mais surtout Caroline et ses enfants y font toujours un court séjour durant l’été!
ml
beji
19 avril 2016 @ 16:20
pierre-yves,mais alors il ne va pas mincir!
Leonor
19 avril 2016 @ 20:47
Hé, ho, une choucroute aux poissons, c’est tout ce qu’il y a de plus diététique ! ;-)
Bon, d’accord, on ne parle pas de ce qu’il y a avant et après.
Ah au fait, j’ai oublié un truc dans le menu, au milieu : trou alsacien à savoir SORBET DE GEWÜRTZTRAMINER . Alors ça, c’est à se damner. Et je ne vais pas le faire faire en sorbet, tiens, je vais le faire faire en granité, par mon petit pâtissier préféré de derrière les fagots. Hé, hé….
Marie de Bourgogne
20 avril 2016 @ 18:36
Soit dit en passant Léonor, le « trou alsacien » n’est qu’une pale copie du trou normand.
Et, si je puis me permettre, il me semble que l’Alsace a suffisamment de spécialités pour ne pas avoir à copier celles des autres.
Le fameux « trou » est normand. Ce sont eux qui l’ont inventé et popularisé. Je vous dis cela car, en tant que bourguignonne franchouillarde, j’avais été offusquée que les alsaciens (oui, j’ai vécu en Alsace), se permettent de dire que le Kir était alsacien ce qui est à mourir de rire lorsque l’on sait que le chanoine Kir était tout ce qu’il a a de plus bourguignon (député maire de Dijon et follement amoureux de la Bourgogne).
Je suis navrée Léonor car, comme vous le savez, s’apprécie vos écrits.
Mais entre le » franco-français-franchouillard bien fermé et bien replié, lui, sur lui-même » dont je fait partie (et dont je suis fière) et les petites récupérations dont les alsaciens sont coutumiés de faire sur le patrimoine culinaires d’autres régions françaises il y a une certaine distorsion qui n’est pas à votre avantage.
Ceci dit, si les bourguignons rajouteraient à votre kougelhopf un peu de pain d’épice et l’appelait le « kougelhouph bourguignon » je ne crois pas que les alsaciens apprécieraient. Mon mari Normand, n’apprécie pas non plus votre « trou alsacien ».
Ceci dit, j’ai également renvoyé dans ses buts ma belle-sœur bretonne et son « kir breton ». N’importe quoi lorsque l’on sait que le Chanoine Kir était bourguignon et n’aimait que la Bourgogne.
Donc, Léonor, puisque l’Alsace est « ouverte » sur autre chose que le pauvre » franco-français-franchouillard bien fermé et bien replié, lui, sur lui-même » je vous conseil d’aller piquer ailleurs des recettes de cuisine. Pourquoi pas la chorba alsacienne, la saucisse de Francfort-alsacienne, le couscous alsacien ou le kébab alsacien. Cela prouverait encore plus votre ouverture très loin de celle du « franco-français-franchouillard bien fermé et bien replié, lui, sur lui-même ».
Comme vous pouvez le voir, vous m’avez blessé Léonor. J’ai trouvé vos propos injurieux envers la France et les français.
Ma famille (franco-français-franchouillard bien fermée et bien repliée, elle, sur elle-même) a recueilli, hébergé et nourri (pendant la 2ème guerre mondiale) une famille d’alsaciens (originaire de Haguenau) ils fuyaient le trop plein « d’ouverture » à l’Allemagne.
Cordialement
Leonor
20 avril 2016 @ 22:29
Merci d’apprécier mes écrits, Marie.
Mais je crains de trouver cette fois votre écrit à vous passablement de mauvaise foi dans vos , comment dire, vos accusations culinaires un peu déjantées.
Par ailleurs, je crains de devoir vous contredire, quoique je trouve tout cela plutôt ridicule. .
Pour ce qui est de la cuisine, l’Alsace n’a pas besoin de » récupérer » ou de « piquer » quoi que ce soit comme vous dites, et nous savourons volontiers , en plus, des cuisines autres.
Pour ce qui est du kir, je vous concède tout cela bien volontiers, et n’ai jamais pour ma aprt enlevé à César ce qui est à César et au Chanoine Kir ce qui est à lui. Quoique, en ce qui me concerne, je préfère savourer le Cassis et un bon Aligoté séparément plutôt que mélangés.
Je remercie votre famille d’avoir hébergé une famille d’Alsaciens pendant la WW2. Par contre, vous insultez l’l’Alsace de la période de guerre en parlant pour ce temps d' »ouverture » à l’Allemagne. On voit là la méconnaissance française générale de l’Histoire réelle. La France avait perdu la guerre en 39, et le régime nazi a froidement annexé l’Alsace. Pas occupé. Annexé. » Ouverture », dites-vous ? Butin de guerre, oui. Sans que le gouvernement français lève le petit doigt.
L »Alsace a chèrement payé l’impéritie de la France, et les hommes alsaciens ont payé un lourd tribut, cf. le drame des Malgré-Nous.
Chaque fois qu’on me cherchera sur le sujet, je monterai au créneau, Marie.
Mais cordialement à vous quand même, car amitiés aussi à mes copains bourguignons, Bourguignons de la Bourgogne, Mâcon, Saint-Amour, , Châlons, etc.
Sarita
21 avril 2016 @ 13:16
Mon grand-père Malgré Nous et moi-même vous remercions, Leonor!
Leonor
22 avril 2016 @ 12:37
De tout mon coeur, Sarita.
Nos Malgré-Nous ont tant souffert , eux et leurs familles.
Ils ont aussi , en, sus, tant souffert du refus de compréhension et du rejet de responsabilité de la France d’après-guerre, gouvernements en tête. Refus et rejets qui ne sont pas encore dépassés, j’en atteste, pour séjourner une grande partie de l’année en » vieille France » .
Marie de Bourgogne
26 avril 2016 @ 17:19
Oradour sur Glane (sans doute peuplé de « franco-français-franchouillards ») garde un très mauvais souvenir de certains « malgré-nous ».
Marie de Bourgogne
21 avril 2016 @ 16:28
Je n’ai fait que reprendre vos propos « d’ouverture » tout simplement pour constater qu’à une époque l’Alsace n’a pas manifesté d’envie spéciale d’ouverture avec l’Allemagne puisque beaucoup d’alsaciens ont fuis et ont été bien contents que des franco-français-franchouillard bien fermés et bien repliés, eux, sur eux-mêmes leurs ouvrent leurs portes.
Et, désolée mais le « trou alsacien » n’est qu’une copie du trou normand. Vous piquez donc des recettes de franco-français-franchouillards.
Et lorsque quelqu’un se permet d’insulter les français je monterai également toujours au créneau.
Cordialement
PS : pour le Kir, je ne ment absolument pas en disant que beaucoup d’alsaciens revendiquaient sa paternité. Mais il suffisait que je le dise : « sans blague. Alors dites moi qui était Mr Kir ? « . Et là, silence radio.
Leonor
22 avril 2016 @ 12:33
Fui ? Fui ?
Marie de Bourgogne, vous ne connaissez rien à l’histoire de ma région.
Et quant à l’accueil des départements français réquisitionnés en 39 lorsque les Alsaciens ont subi ce qui s’appelle « l’évacuation », il y a de quoi dire
Pour votre gouverne, Marie de Bourgogne :
En 39, l’évacuation de TOUS les villages et villes alsaciennes proches du Rhin a été décidée par les autorités françaises, dans un but certes louable, mais. L’Etat-Major s’attendait benoîtement et stupidement à ce que les troupes nazies viennent se cogner à la ligne Maginot, considérée comme une muraille imprenable. On sait ce qu’il en a été.
Dans les TROIS jours, tous les habitants devaient être prêts à partir , avec chacun il me semble 10 ou 20 kgs de bagages maximum ( poids à vérifier). Il fallait tout laisser, animaux y compris, y compris le bétail des fermes.
Transport en wagons à bestiaux, jusque vers les départements de Charente, Dordogne, Haute-Vienne entre autres.
C’est ça que vous appelez fuir , Marie ? Les habitants n’ont pas eu le choix. Comme d’habitude. Il y avait obligation, encvadrée par la Préfecture , la Police et la Gendarmerie.
Une fois répartis à l’arrache dans les différents départements dits d’accueil, désignés eux aussi par voie autoritaire, les gens , surtout personnes âgées, femmes, enfants – les hommes avaient été mobilisés – ont d’abord été parqués là où on pouvait, puis les Maires ont été chargés de leur trouver des toits.
Si les Maires ont bien fait leur boulot, on ne peut pas dire, contrairement à votre récit exceptionnellement heureux , que ‘laccueil ait été grandiose, ni même bienveillant, sauf exception rare. On peut le comprendre, mais c’est une réalité.
Les » toits » dévolus étaient du type grange, masure désaffectée, gare de campagne désaffectée, etc. Sans eau courante ni chauffage ni sanitaires.
Si , entre les uns et les autres, des amitiés se sont créées, cela a été une exception. Une exception heureuse, mais une exception.
La plupart du temps, l’incompréhension et la méfiance étaient de mise, et pire : l’exploitation des » évacués ».
30 ans après, ma mère, retournant sur les lieux ( j’étais avec elle), a aperçu de loin une vieille dame. Elle s’est figée ( ma mère ) , sévère, a serré les dents : » Celle-là, là-bas, c’était l’épicière. Elle appuyait sur la balance. Si le puits avait été à elle, elle aurait même été capable de nous faire payer l’eau qu’on tirait du puits. » Appuyer sur la balance, ça veut dire, pour qui n’aurait pas compris, faire payer un poids supérieur que ce qu’il y a réellement sur la balance.
Les deux femmes se sont saluées aussi sèchement l’une que l’autre. Mais l’ancienne épicière a fini par baisser les yeux.
Tout cela n’a servi à rien : Pas si bête, la Wehrmacht a passé par la Belgique.
Et Hitler a annexé l’Alsace et une partie de la Lorraine ( Metz).
Marie de Bourgogne, personne n’insulte la France. Mais on est , dit-on, en pays de liberté.
Donc, en droit d’exprimer son opinion dans ce pays, et sur ce pays.
Loin de l’insulte, mon opinion ne saurait en effet être aveuglément louangeuse sur la France, ni en ce qui concerne le passé, ni en ce qui concerne le présent .
Et qui aime bien châtie bien.
Leonor
22 avril 2016 @ 12:43
Ah au fait, je viens seulement de m’en rendre compte. Dites, Marie, heureusement qu’à l’époque « l’Alsace n’a pas manifesté d’envie spéciale d’ouverture avec l’Allemagne » , comme vous l’écrivez si bien vous-même !
Et vous nous le reprochez ? Vous nous reprochez de ne pas avoir manifesté de volonté d’ouverture sur l’Allemagne nazie ? Vous nous le reprochez ?
Je crois rêver.
Franchement, on va arrêter là .
Parce qu’on s’enfonce dans les malentendus et dans vos contresens historiques. Ca ne rime plus à rien.
Marie de Bourgogne
26 avril 2016 @ 17:03
@ Léonor
Il me semble que maintenant vous appréciez fortement l’Allemagne. Vous êtes tellement ouverte au contraire des « franco-francais-franchouillards » .
Libre à moi de rappelez que ce ne fut pas toujours le cas des alsaciens :-)
Et, si ne savez pas lire mes écrits (ou plutôt faites semblant de ne pas les avoir compris :-) ) parce qu’ils rappellent une époque où les alsaciens ont été bien contents de trouver lesdits « franco-français-franchouillards » ce n’est pas mon problème.
Gardez donc vos déclarations insultantes pour vous.
Moi j’aime mon pays, la FRANCE et si ses habitants vous déplaisent, et bien, allez voir ailleurs si l’herbe est plus verte. La FRANCE, comme vous le dite est un pays de liberté (liberté dont vous profitez pour insulter ses habitants) , personne ne vous retient.
Vicky
19 avril 2016 @ 17:06
Régine,
Ne s’agirait-il pas plutôt du cercle Saint-Thiébaut ?
Leonor
19 avril 2016 @ 20:49
Je n’en sais rien, Vicky, mais je pense qu’il s’agit tout simplement de la petite ville de Thann, dite » la cité de Saint Thiébaut », parce que ce saint homme l’a fondée, selon la légende ou l’histoire, je ne sais plus.
A ma connaissance, il n’y a pas spécifiquement une partie de la ville qui s’appellerait » cité Saint Thiébaut ». Mais je ne connais pas très bien l’endroit, et les choses peuvent avoir changé.
Vicky
21 avril 2016 @ 07:22
A ma connaissance non plus, Leonor. Mais, j’habite non loin de là, et il existe bien un cercle Saint Thiébaut. Il s’agit d’un ensemble de bâtiments où sont organisées formations et conférences. Mais, plus prosaïquement, je pense que le prince Albert va circuler dans le centre ville.
Muscate
19 avril 2016 @ 17:23
Sa jeune femme en a marre de se faire critiquer,qu’elle soit là ou pas;ça ne va jamais, de toute façon.
Elle dit zut à l’Alsace,à Monaco,à Albert et à la terre entière, en préférant rester dans sa pouponnière.
Leonor
19 avril 2016 @ 21:12
Vous n’avez pas tort, Muscate.
Et puis, pour les timides, paraître en public est une véritable épreuve.
bianca
21 avril 2016 @ 13:35
Certainement des raisons pour ne presque plus paraître, ses détracteurs seront en manque assurément Muscate !
Sa pouponnière est bien plus intéressante…Qu’elle en profite pour donner toute sa tendresse à ses enfants !
Jean Pierre
19 avril 2016 @ 19:52
Aujourd’hui Thann c’est la grande banlieue de Mulhouse on peut même y aller en tram. Cette ville a perdu sa gloire industrielle tout comme la vallée de la Thur, la rivière qui traverse Thann.
Comme l’a dit Leonor Thann fût reconquise par les troupes françaises dés le mois d’août 1914 et devint ainsi un symbole dans toute la France. A tel point que les journaux pour enfants s’en emparèrent, Bécassine vint à Thann par exemple.
Leonor
20 avril 2016 @ 09:55
Bécassine ? Ca, je ne le savais pas. Dites-m’en davantage, Jean Pierre, s’il vous plaît.
Jean Pierre
20 avril 2016 @ 14:38
De mémoire c’est dans « Bécassine pendant la guerre » qu’elle visite les vallées de la Thur et de la Doller reconquises.
Vous pouvez trouver chez les bouquinistes ou sur les sites vendeurs de livres anciens un autre ouvrage de bandes dessinées pour enfant de Madeleine Hermet : « la petite fille de Thann » .
Leonor
20 avril 2016 @ 22:10
Merci Jean-Pierre, je retiens l’info.
framboiz 07
21 avril 2016 @ 00:53
Il me semble qu’Atlas réédité ce numéro ,il y a quelques années , j’en ai peut-être encore un !
Caroline
19 avril 2016 @ 22:41
Bien que je sois de souche alsacienne, je n’ai jamais su que Albert de Monaco est comte de Thann! Je n’en reviens pas!
Leonor et Nicole, merci pour vos explications complémentaires!
Carole 007
21 avril 2016 @ 13:32
Merci à Leonor et Marie de Bourgogne pour leurs échanges pimentés.
Je ne sais trop dire qui est « franco-français-franchouillard… », mais vous avez en commun le besoin de défendre vos régions et vos recettes, et j’aime bien ça.
Leonor
22 avril 2016 @ 12:46
:-D
Merci Carole 007, de finir sur une chouette note d’humour.
PS : Mon auguste époux est franco-français-franchouillard, et se l’entend balancer de temps en temps , quand il ose manger de la french baguette avec MA choucroute ! ;-)
Marie de Bourgogne
26 avril 2016 @ 18:25
Merci Carole pour votre post.
Mon mari est Normand et il est donc un « franco-français-franchouillard (la Normandie ayant été l’agneau sacrificiel du débarquement) et n’apprécie pas que d’autres régions piquent leur célèbre « trou normand » et je lui rappelle que eux appellent une mixture « kir Normand » (hérésie).
Et, en ce qui me concerne je suis fière d’être, aux yeux de certaines, une franco-française-franchouillarde. Cela prouve simplement que j’aime mon pays. Et que je laisse à d’autres les joies de « l’ouverture » dont dernièrement, à Cologne, des centaines de pauvres jeunes femmes et jeunes filles ont fait les « frais ».
Cordialement.
HELENA
31 mai 2016 @ 20:04
Je suis trop contente qu’une personne assez importante vienne dans ma ville qui n’ai pas la plus connut du monde, de la France, de l’Alsace et même du Haut-Rhin