Carmen Martinez-Bordiu, mère du prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, narre sur son blog la première communion de sa petite-fille la princesse Eugénie samedi dernier à Madrid. Carmen explique que la fillette aurait normalement dû faire sa communion avec ses compagnons de classe mais que ses parents ont souhaité qu’elle puisse se dérouler à las Descalzas reales où sont inhumés le prince Alphonse, duc de Cadix et d’Anjou et le prince François.
Un geste que Carmen a trouvé très touchant. Une cérémonie en sobriété qui comptait la présence également de la duchesse de Franco, arrière-grand-mère paternelle de la princesse Eugénie. Cliquez ici pour lire l’article sur le blog de Carmen Martinez-Bordiu.
jul
7 juin 2016 @ 05:07
Grand merci Régine pour ce lien.
Comme le dit une lectrice de son blog :
Que Dieu bénisse ta famille !
Vassili
7 juin 2016 @ 05:45
Qui est le barbu a la troisieme photo?
Anis
7 juin 2016 @ 08:01
Bonjour,
Il s’agit de Benjamin Rouget, époux de Cynthia Rossi (fille de Jean Marie Rossi et Carmen Martinez-Bordiu).
Cordialement,
Anis
Gérard
7 juin 2016 @ 08:07
Le Dr Benjamin Rouget, le mari de Cynthia Rossi me semble-t-il.
Maïthée
7 juin 2016 @ 09:06
C’est Benjamin ROUGET, époux de Cynthia ROSSI (sœur de prince Louis de Bourbon). Il est urologue à BORDEAUX. Bonne journée
Vassili
8 juin 2016 @ 18:10
Merci, merci, merci! Pas mal ce jeune urologue.
Cosmo
7 juin 2016 @ 05:47
Comme les filles du duc et de la duchesse de Castro ! On peut comprendre la portée symbolique de ces gestes mais on peut aussi s’étonner de voir ces princesses séparées de leurs amis le jour de leur communion.
aubert
7 juin 2016 @ 11:27
c’est en effet absurde de communier seul et fort peu dans l’authenticité chrétienne.
jul
7 juin 2016 @ 11:43
Bonjour Aubert
La Princesse Eugénie n’était pas seule
Un autre garçon de sa famille, probablement son cousin (fils de Maria Victoria Vargas Santaella) faisait aussi sa première communion.
Ses frères étaient présents, de même que ses parents, grands-parents, arrière-grand-mère, tante, oncle.
Actarus
7 juin 2016 @ 13:38
Je me souviens avoir fait ma première communion, aussi appelée « communion privée », dans une ambiance familiale, donc seul.
Différente était la « communion solennelle », également appelée « profession de foi », qui fut un moment de communion, si je puis dire, avec tous les autres enfants de mon âge.
ciboulette
8 juin 2016 @ 17:11
Moi de même , Actarus .
Baia
7 juin 2016 @ 12:53
Aubert, on peut communier sans avoir mille personnes autour de soi …
Il n’y a rien d’absurde à communier seul.
aubert
8 juin 2016 @ 18:08
Bien sûr que l’on peut communier seul et qu’il n’y a là rien d’absurde.
Mais il ne s’agit pas ici d’une messe matinale en semaine à laquelle on est le seul participant !
Il s’agit d’une première communion. Or, le Christ a institué l’Eucharistie lors d’un repas pris avec ses 12-1 apôtres représentant la communauté des hommes tout entière. Le nom même de communion indique bien qu’il s’agit d’un sacrement plus communautaire qu’individuel d’où l’encouragement de l’Eglise pour la communion fréquente en particulier aux messes du dimanche, moment où une communauté de chrétiens est réunie.
Cette enfant est une privilégiée à qui un partage dans un acte communautaire ne peut-être qu’exemplaire, d’où mon commentaire.
Mayg
7 juin 2016 @ 13:16
C’est une façon rendre hommage au grand-père et à l’oncle de la princesse Eugénie, en les associant à cette cérémonie.
De plus, la petite n’était pas seule puisqu’elle était entourée de sa famille: père, mère, frères, oncle et tante, grand-mère et arrière grand-mère…
framboiz 07
7 juin 2016 @ 06:32
Superbe enfant & des jumeaux bien élevés, respectueux !
Bab
7 juin 2016 @ 08:07
Merci à Carmen-Martinez-Bordiu de nous avoir fait partager ce moment .La communion de la princesse Eugenie dans cette église où sont inhumés son grand-père et son oncle est un choix bien émouvant.Que de tristes souvenirs ont dû envahir le Duc D’Anjou. Mais la gravité de sa fille en cet instant solennel ,son sourire,la présence de sa charmante épouse et de ses fils ont dû être pour lui d’un grand réconfort.j’eprouve toujours beaucoup d’émotion en me souvenant de la vie et de la mort tragique du Duc De Cadix.et je souhaite à cette petite fille et à ses parents beaucoup de joie.Bab
clement
7 juin 2016 @ 09:04
dans ce cas précis ,on peut comprendre que le prince ait choisi la proximité de son père et de son frère décédés pour associer spirituellement toute sa famille en ce grand jour ,je ne crois pas que ce soit par discrimination sociale ,dans ce cas ce serait contraire à l’enseignement de l’Evangile et cela les princes l’auraient sans doute bien compris !
Bab
7 juin 2016 @ 16:40
Je pense que le Duc et la Duchesse D’Anjou ont su trouver avec affection et tendresse les mots pour expliquer à Eugenie le choix de ce lieu si émouvant qui fait maintenant partie de l’histoire de sa famille. Effectivement sa robe de communion est magnifique à la fois simple belle .Sa maman l’a très bien choisie.J’ai toujours apprécié le bon goût et l’élégance de cette jeune femme.qui porte avec noblesse son titre .Bab
clement
7 juin 2016 @ 09:08
suite ….quant aux filles du prince des Deux-Siciles là c’est différent,la duchesse Camilla bien que très sympathique ,est un peu moins simple et peut-être plus imbue de sa position !
amaia
7 juin 2016 @ 14:30
Ce n’est pas peu de le dire !!!
Nania
7 juin 2016 @ 10:55
La roe de communion que portait la petite Eugénie est magnifique.
Nania
7 juin 2016 @ 10:55
La robe de communion que portait la petite Eugénie est magnifique.
aubert
7 juin 2016 @ 11:01
Zeugma est au comble du ravissement.
l'Alsacienne
7 juin 2016 @ 11:02
Je suis de votre avis, Cosmo.
Pourquoi ne pas faire sa communion avec les autres enfants qui ont suivi le même catéchisme ? Mobiliser des célébrants et accompagnants rien que pour une enfant.
C’est vraiment « sortir du lot ».
Cosmo
7 juin 2016 @ 12:32
Je ne crois pas que cette décision ait été dictée par la volonté de sortir cette enfant du lot. Je pense que c’est par attachement à la mémoire de son père et de son frère que le prince Louis a pris cette décision. Mais selon moi, comme il est écrit dans les Evangiles, « les morts avec les morts et le vivants avec les vivants », faire porter le poids d’une histoire triste sur les épaules d’une enfant en ce jour joyeux de communion ne semble pas être un bon choix.
Cordialement
Cosmo
Antoine
7 juin 2016 @ 19:04
Il est probable que les célébrants ne se seraient pas mobilisés pour la fille du cantonnier… D’après le carton, la messe était célébrée par un prélat des « Légionnaires du Christ », mouvance très à droite de la droite très traditionnelle. La cérémonie du pensionnat devait être trop conciliaire… Il est vrai que pour avoir participé à une préparation de ce genre dans une institution très catholique, les parents de communiants ont parfois des idées étranges en matière de liturgie !
Trianon
8 juin 2016 @ 07:46
oui enfin , la liturgie traditionnelle ( j’imagine que vous parlez du rit St Pie V) n’a jamais été interdit, ni considéré comme « étrange ».
il est juste ancien
Antoine
8 juin 2016 @ 13:29
Vous pensez bien, Trianon, que lorsque je parle « d’idées étranges » ce sont justement celles qui feraient se retourner dans sa tombe le vénérable pontife que vous citez.
Trianon
9 juin 2016 @ 09:12
:):)
nous avons le même point de vue!
bonne journée Antoine
Lorenz
7 juin 2016 @ 11:19
La Duchesse de Franco, à 90 ans, a l’air bien juvenile et élégante!
Caroline
7 juin 2016 @ 11:22
La grand-mère de Eugénie de Bourbon est heureuse d’exprimer ses sentiments de ‘ bonne mamie ‘ en écrivant dans son blog !
Merci pour cette belle photo chaleureuse!
framboiz 07
7 juin 2016 @ 13:43
Elle est décoiffée ! Est -elle une grand mère aimante ?
Michael
7 juin 2016 @ 12:11
Elle porte le nom de: Eugenia de Borbon Vargas! pour la fille d’un prétendant au trône de France, ça me fait sourire…
Mayg
8 juin 2016 @ 15:04
Et bien riez un bon coup alors, faites vous plaisir.
Karl
18 octobre 2016 @ 08:41
Mayg vous devriez vous detendre, l’aigreur semble etre votre ADN…
Mayg
7 juin 2016 @ 13:13
La petite Eugénie est vraiment magnifique dans sa robe de communion.
Zeugma
7 juin 2016 @ 13:36
Un grand merci à « Noblesse & royautés » de nous avoir communiqué ce reportage de la reine-mère Carmen qui confirme sa participation – ainsi que celle de sa mère, madame la duchesse de Franco, grande d’Espagne – à la première communion de la petite Eugenia de Borbón Vargas.
Rappelons que l’impétrante est née le 5 mars 2007 à Miami.
Ses deux frères sont nés à New-York en 2010. (Leur père est né à Madrid et leur mère à Caracas.)
J’espère que toute le petite famille prépare maintenant une fête pour les quatre vingt dix ans de madame la duchesse de Franco, grande d’Espagne
pierre
8 juin 2016 @ 14:45
Elle n’est plus duchesse d’Anjou et de Cadix depuis 1986, date de l’annulation de son mariage par le Vatican.
Il en a été de même entre Henri IV et Marguerite de Valois en 1599.
Gérard
9 juin 2016 @ 17:13
Observation doit être faite qu’Henri IV était roi de France tandis que Louis de Bourbon à ma connaissance n’est pas roi de France ou d’Espagne. Ensuite Marguerite de France dite de Valois obtint de conserver à vie son titre royal.
Gérard
9 juin 2016 @ 17:19
Cette charmante enfant avait en effet une tenue très royale pour se rendre chez les déchaussées.
Jean Pierre
7 juin 2016 @ 18:23
J’ai jeté un coup d’œil au blog.
Le moins que l’on puisse dire c’est que la grand-mère n’est pas begueule. Tout le monde l’appelle Carmen et c’est bonne enfant. Aucun duchesse de Franco, de Cadix, d’Anjou et du Calvados réunis.
Moi j’aime bien.
pierre
8 juin 2016 @ 14:44
Elle ne peut plus porter les titres de son ex mari, puisque elle n’ont seulement divorcé mais le mariage a été annulé en 1986. Depuis 1986, elle ne peut plus porter le titre de duchesse d’Anjou et de Cadix.
Elle ne peut porter le titre de duchesse de Franco puisque c’est sa mère qui le porte, (ce titre sera transmis au fils aîné, Fransisco et frère cadet de Carmen)
Catoneo
9 juin 2016 @ 08:51
Carmen Martinez Bordiu est une femme impulsive, naturelle et très espagnole, mais vit à Paris. Elle détonne dans le microcosme royaliste, « sans voilette et gants blancs, l’air modeste et compassé ». Elle pète le feu : Cépabien !
Et qui pis est, elle se méfie des légitimistes français, leurs docteurs de la loi et dresseurs de prétendants jusqu’à demander à son fils de prendre ses distances. Seule sa belle-fille semble avoir obéi, qui ne vient plus au cirque commémoratif.
Lui a été repris par la farandole Bauffremont :) Ca lui passera.
La petite Eugénie est adorable.
jul
9 juin 2016 @ 11:35
Bonjour Catoneo
Si le légitimisme s’appuie sur le Christianisme, ce n’est pas le Christianisme.
Les lois légitimistes ne sont pas la Loi de Dieu (10 commandements).
Comme dans toute science humaine, il est donc légitime pour le légitimisme d’avoir des docteurs de ses lois.
Jésus condamnait les docteurs de la Loi juifs qui pensaient s’arroger leur salut par leurs efforts pour acquérir des connaissances ou des efforts dans l’application de la Loi. Jésus se sentait plus proche des humbles de coeur, des repentis, qui ne comptait ni sur leurs connaissances ni sur leurs actes, qui espéraient un pardon gratuit.
Bonne journée à vous.
Cosmo
11 juin 2016 @ 12:24
Jul,
Si les lois légitimistes ne sont pas la loi de Dieu – jusqu’à présent, vous sembliez penser le contraire – elles peuvent donc être modifiées par les hommes qui les ont créées. C’est ainsi que la renonciation de Philippe V a pu être valide car elle a été autorisée, non seulement par le roi mais aussi par le Parlement de Paris, en toute connaissance de cause et en l’état du droit public de l’époque, alors que jusque là elle semblait contraire aux lois fondamentales du royaume.
Je partage complètement votre opinion sur Jésus, qui peut-être en 1712 aurait aussi conseillé à Philippe V la renonciation, mettant fin à une guerre meurtrière et ne changeant pas l’ordre du monde, mettant en accord l’esprit et la lettre. D’ailleurs le même Philippe V posant la question au Saint-Père, vicaire du Christ sur terre, voulait s’assurer de sa position quant à un éventuel parjure.
Bon weekend
Cosmo
jul
13 juin 2016 @ 19:31
Bonsoir Cosmo
Les lois légitimistes ne sont pas la Loi de Dieu mais
L’ordre des naissances vient de Dieu.
Désolé…
Jul
Cosmo
14 juin 2016 @ 14:34
Jul,
Mais qui décide qu’il est impossible de renoncer ? Dieu ou les hommes ? Le Christianisme ne laisse-t-il pas à l’Homme la liberté du choix de faire ou ne pas faire, accepter ou ne pas accepter ?
Désolé…
Cosmo
jul
15 juin 2016 @ 12:14
Bonjour Cosmo,
On ne peut renoncer qu’à ce qu’on possède. Le Royaume de France n’est pas un bien immobilier. C’est un pays et des Hommes. Un ensemble de familles qui n’en forme qu’une sur un territoire.
La question de renoncer est donc inappropriée concernant la France.
Cosmo
17 juin 2016 @ 13:20
Jul,
Tout ce discours est digne d’un philistin. Car la réalité est que Philippe V a renoncé et que nul ne peut être tenu d’accepter quelque charge que ce soit, y compris la couronne de France.
D’ailleurs les lois fondamentales ne parlent jamais de la renonciation possible ou non du successeur mais de l’impossibilité pour le roi de choisir son successeur. La nuance est de taille.
Et Jeanne de France a bien dû renoncer à la couronne de ses pères, alors que rien n’était dit au sujet de la loi salique jusqu’à ce qu’on la forge pour évincer la fille de Louis X du trône.
Charles X a abdiqué et le duc d’Angoulême renoncé.
Alors, deux poids, deux mesures ?
Cosmo
Sigismond
14 juin 2016 @ 07:55
C’est désolant que les grosses ficelles d’Albion vous bernent à ce point, Cosmo. Vous marchez à fond dans la combine anglaise qui a voulu, dans un ahurissant renversement des valeurs, faire passer la Légitimité pour un « parjure » et le traficotage dynastique pour l’acmé du droit international ! Et enrôler Jésus dans cette sinistre farce du vicomte Bolingbroke ne vous fait pas peur !
Philippe V savait où était le Droit et puisque vous parlez du parlement de Paris, Philippe leur fit connaître de manière ferme, claire et admirable, sa volonté de succéder le cas échéant à Louis XV, en sa qualité d’héritier présomptif, qualité qu’aucun chiffon de papier ne pouvait modifier. Louis XX comme ses père, grand-père et arrière-grand-père, s’inscrit dans les pas de leur ancêtre Philippe V, de qui ils tiennent leur Droit intangible de succéder aux rois de France et aux rois de Navarre, tant à Versailles qu’à Saint-Palais (édit de Louis XVI en 1784 : Saint-Palais « étant la Capitale de notre Royaume de Navarre ») et « de jure » à Pampelune. « Restauration, oui ; mais la bonne, la légitime », disait Alphonse XIII le 8 décembre 1940 à Genève, en parlant de la France et en se désignant du geste. Louis XX est dans la droite ligne de son bisaïeul paternel.
Cosmo
14 juin 2016 @ 14:59
C’est désolant, Sigismond, que vous rappeliez la fausseté de Philippe V qui jure sur les Evangiles en se disant que cela n’avait aucune valeur et qui attend, tel un vautour, la mort de son neveu pour récupérer son héritage. Bref, vous montrez un personnage qui ne mérite aucun respect. D’ailleurs mettre l’Europe à feu et à sang, des centaines de milliers de mort, pour recueillir un héritage, puis ensuite cracher dessus, c’est faire peu de cas de la vie des autres et les sacrifier à son orgueil. Là aussi aucun respect.
En tous cas, les Anglais que vous semblez mépriser, eux, sont encore en monarchie avec un immense respect pour l’institution et pour celle qui est à sa tête. Henri d’Orléans ou Louis de Bourbon ne sont plus que les ombres d’un régime que la bêtise congénitale des Bourbons a partout mené à sa perte. Et si les Bourbons sont encore sur le trône en Espagne, c’est grâce à Franco qui en a décidé ainsi.
Les révolutions n’arrivent pas par la faute des peuples mais par l’incurie des monarques.
Pour en revenir au Christ, qui n’avait certainement rien à faire d’Utrecht et de Philippe V, les Bourbons se sont suffisamment servis de lui pour justifier leurs exactions, à commencer par jurer sur les textes de Sa Parole, sans aucune honte, si l’on vous suit. Belle mentalité !
Merci à vous Sigismond, et à vos amis, de m’avoir ouvert les yeux sur la bêtise de la monarchie bourbonienne partout en Europe ! Dire qu’il n’y a pas si longtemps, je pensais comme vous.
jul
15 juin 2016 @ 12:23
Cosmo
votre haine vous emporte : « la bêtise congénitale des Bourbons » ! « la bêtise de la monarchie bourbonienne »
Vous savez que vous devez vous relire avant d’écrire des horreurs !
Les humains sont pécheurs, vous et moi compris.
Il arrive qu’ils jurent des choses qu’ils comprennent plus tard qu’ils n’auraient pas dû jurer. L’erreur est humaine. Bravo à Philippe V de l’avoir corrigée.
D’autres depuis n’ont pas respecté un serment autrement plus sacré : celui du mariage. Ces personnes méritent autant votre indignation.
Cosmo
16 juin 2016 @ 11:25
Jul,
Ce n’est pas du tout de la haine, et ce ne sont pas des horreurs, c’est la constatation d ‘un fait. Si les Bourbons avaient été intelligents, ils n’auraient pas perdu tous leurs trônes. La branche aînée a laissé faire deux révolution et a fini dans l’inconséquence. La branche d’Espagne a été éjectée puis rétablie grâce à une dictature. Même les Bourbons de Naples auraient pu sauver le leur. Seul le minuscule état de Parme ne faisait pas le poids.
Et vous ne les trouvez pas bêtes ? Etre à la tête de pays aussi puissant que la France, l’Espagne ou les Deux-Siciles et finir ainsi…
Lousi XIV a ruiné la France dans une guerre absurde, Louis XV a bradé l’empire colonial, Louis XVI n’a pas été capable de répondre à la gronde du peuple, Charles X a signé les ordonnances, Louis-Philippe n’a pas répondu aux aspirations politiques du pays et le comte de Chambord a joué les absents. Je vous passe Ferdinand VII, Isabelle II et Alphonse XIII ainsi que François II.
Et ne me parlez pas de complots qui n’ont jamais existé que dans l’imagination de ceux qui ne veulent pas voir la réalité en face.
Et bien, si Philippe V ne savait pas ce qu’il faisait en jurant, après une année de tractation de paix et douze ans de guerre, cela ne fait que confirmer qu’il était bête.
Mon opinion sur lui est plus respectueuse que la vôtre. Je ne le voyais pas comme un idiot mais si vous le dites, vous devez avoir raison.
Cosmo
jul
16 juin 2016 @ 18:30
Mais c’est un festival anti-bourbon Cosmo ! :D
voyons, ne persévérez pas dans votre énervement.
Vous savez bien que personne ne peut trouver raisonnables vos propos réducteurs.
Cosmo
17 juin 2016 @ 13:14
Une fois de plus, Jul, ce n’est pas un festival anti-bourbon, c’est l’énoncé de faits, sans énervement. Je ne fais que rappeler au laudateur totalement partial, à la limite de la flagornerie, que vous êtes, certaines vérités.
Vous pensez sans doute que la critique est un crime de lèse-majesté.
Dieu merci, pas tout le monde n’a votre attitude devant les princes.
Et je suis certain que la grande majorité des intervenants sur N&R partage mes propos.
Naucratis
14 juin 2016 @ 11:49
Cosmo fait parler le Christ, bientôt il prétendra parler en son nom…
Son message est grotesque.
Cosmo
14 juin 2016 @ 21:13
Le jour où vous aurez une once d’humour, vous serez moins ridicule dans vos interventions.
Naucratis
16 juin 2016 @ 08:41
Invoquer l’humour quand on a écrit une bêtise est digne d’une cour d’école ! Votre message n’était pas du tout écrit avec un ton humoristique, chacun en conviendra.
En l’occurrence, et comme très souvent, c’est vous qui vous ridiculisez et doublement, par votre message grotesque et par votre piètre défense.
Cosmo
16 juin 2016 @ 11:26
Et patati et patata, Naucratis !
Mary
9 juin 2016 @ 13:12
La farandole Bauffremont,comme vous dites joliment,doit lui monter le bourrichon et il se laisse envoûter par les voix de ces vieux tritons…
Tous n’étant pas « Heureux,qui,comme Ulysse … » Luis-Alfonso a les sirènes qu’il peut !
Sigismond
14 juin 2016 @ 09:39
Quelle vulgarité pour parler des plus dignes personnes de notre pays. On se demande qui trouve grâce à vos yeux en ce bas monde…
Et toujours cette rengaine si orléaniste d’un soi-disant envoûtement du Roi par son entourage. Ce qui est cocasse c’est que maintenant, les orléano-jeanistes usent de la même rengaine pour insinuer que le duc d’Orléans et de Valois serait sous influence lui aussi… Tout cela parce qu’il a si admirablement défendu les Droits de son fils aîné ! Tout cela sent à plein nez le faux royalisme dévoyé, qui est en fait un choisisme : ils choisissent un roi comme ils choisissent une marque de yaourt ! L’aîné ne leur plaît pas (1883), allez, ils choisissent l’hypercadet. Mais l’histoire se répète et de nouveau l’aîné de l’hypercadet ne leur plaît pas (2016), allez, ils choisissent le cadet.
Gérard
16 juin 2016 @ 14:51
Étonnant hommage au comte de Paris sous votre plume Sigismond.
D’autre part je ne discute pas des mérites de Monsieur le duc de Bauffremont qui au demeurant a une petite-fille charmante à tous points de vue. Mais quel est votre critère pour dire qu’il est la personne la plus digne du pays ?
Gérard
16 juin 2016 @ 19:57
Sa conduite lors du mariage de sa petite-fille ne fut pas celle d’un gentilhomme.
Sigismond
17 juin 2016 @ 06:08
Je ne parlais pas spécialement du duc de Bauffremont (mais il est vrai que son titre de duc, titre si important dans la noblesse française, lui donne des devoirs envers le Roi qu’il a admirablement remplis, et on ne peut hélas pas en dire autant de beaucoup d’autres ducs) mais je parlais plus généralement de tous les éminents fidèles du duc d’Anjou, dont beaucoup ont été tout récemment décorés par le duc de Calabre.
Quant à Henri d’Orléans, je trouve admirable sa défense des droits de son fils aîné, le futur duc d’Orléans, de Valois, de Chartres, de Nemours et de Montpensier.
Sigismond
14 juin 2016 @ 15:02
Mme Martínez-Bordiú Franco ne détonne pas dans le microcosme royaliste, puisqu’elle n’en fait plus partie depuis vingt-neuf ans et cinq mois. Elle vit sa vie comme bon lui chante et nul ne saurait l’en blâmer, elle n’a plus de rôle dynastique à remplir, tout comme Mme Licer García depuis vingt et un ans et deux mois ou comme Mme Herzogin von Württemberg depuis sept ans et sept mois. D’autre part, Mme Martínez-Bordiú a fermement et dignement défendu les droits dynastiques de son fils, lors de l’ignoble procès que lui fit et perdit un Capétien hypercadet en 1989. Enfin, sa présence à Paris lors de la présentation officielle des ducs de Bourgogne et de Berry le 30 juin 2012, montre bien qu’elle soutient toujours les droits de son fils, et on se souvient ce jour-là d’une belle photo de l’ex-duchesse d’Anjou et de Cadix au côté du baron Pinoteau un verre de champagne à la main, dans les salons du gouverneur militaire de Paris, en l’hôtel royal des Invalides.
Gérard
16 juin 2016 @ 20:06
Comparer Madame Licer avec la duchesse de Montpensier il fallait oser !
Sigismond
17 juin 2016 @ 06:00
Effectivement, l’épouse d’un fils de France était protocolairement bien au-dessus de l’épouse d’un Capétien hypercadet, le duc de Saint-Simon m’aurait gourmandé d’avoir fait une telle comparaison, j’en demande bien pardon à monsieur le duc, car j’espère que de Là-Haut, ce si brillant observateur de la Royauté lit nos commentaires ;-)
Karl
18 octobre 2016 @ 08:46
Le duc de saint simon ne vous aurait pas accordé le moindre intéret vu la platitude de vos propos
Sigismond
14 juin 2016 @ 15:41
Catoneo,
Vos imaginaires « farandole », « cirque » (sic) et « dresseurs » (re-sic), et encore plus ahurissant, une prétendue « obéissance » (!) de la Reine à une ex-reine (on croit rêver, ou plutôt cauchemarder), relèvent d’un humour que chacun appréciera… ou pas.
La question derrière tout cela est : faut-il préférer les « docteurs de la loi » (ainsi que vous les appelez) ou bien les adeptes du « premier arrivé à Reims », ce choisisme qui ravale le royalisme au rang d’un simple choix entre deux marques de yaourt, comme si on allait faire son marché parmi les cent trente-cinq princes capétiens de 2016 ?
Chacun répondra à sa façon à cette question. Une proposition de réponse : plutôt la République que la moindre velléité de parvenir au début du commencement de l’idée d’imaginer de mettre un Capétien CADET (ou un Bonaparte) fût-il Orléans, fût-il Parme, fût-il même Séville, sur le trône de France ! Vive Louis XX !
Cosmo
15 juin 2016 @ 09:58
Sigismond,
Votre vive Louis XX est, je l’imagine, au second degré après votre déclaration d’amour à la République.
Cela dit, votre esprit discriminatoire quant à la position de cadet risque de vous voir traîné devant la Halde car
« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs moeurs, de leur orientation ou identité sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
A votre place, je n’en mènerais pas large…mais bon, on n’en est pas encore là.
Et si restauration, il devait y avoir, je doute que la position que vous défendez soit suivie par le peuple souverain qui aurait demandé, telles les grenouilles à avoir un roi. Pour aller si loin se choisir un souverain ?
« Les grenouilles se lassant
De l’état démocratique,
Par leurs clameurs firent tant
Que Jupin les soumit au pouvoir monarchique.
Il leur tomba du ciel un roi tout pacifique :
Ce roi fit toutefois un tel bruit en tombant,
Que la gent marécageuse,
Gent fort sotte et fort peureuse,
S’alla cacher sous les eaux,
Dans les joncs, les roseaux,
Dans les trous du marécage,
Sans oser de longtemps regarder au visage
Celui qu’elles croyaient être un géant nouveau.
Or c’était un soliveau,
De qui la gravité fit peur à la première
Qui, de le voir s’aventurant,
Osa bien quitter sa tanière.
Elle approcha, mais en tremblant ;
Une autre la suivit, une autre en fit autant :
Il en vint une fourmilière ;
Et leur troupe à la fin se rendit familière
Jusqu’à sauter sur l’épaule du roi.
Le bon sire le souffre et se tient toujours coi.
Jupin en a bientôt la cervelle rompue :
« Donnez-nous, dit ce peuple, un roi qui se remue. »
Le monarque des dieux leur envoie une grue,
Qui les croque, qui les tue,
Qui les gobe à son plaisir ;
Et grenouilles de se plaindre.
Et Jupin de leur dire :« Eh quoi ? votre désir
A ses lois croit-il nous astreindre ?
Vous avez dû premièrement
Garder votre gouvernement ;
Mais, ne l’ayant pas fait, il vous devait suffire
Que votre premier roi fut débonnaire et doux
De celui-ci contentez-vous,
De peur d’en rencontrer un pire.»
Mais, je me répète, on n’en est pas encore là…
Cosmo
Sigismond
15 juin 2016 @ 12:18
Vous me faites bien rire, Cosmo. Toutes les monarchies européennes actuelles sont fondées sur le droit d’aînesse, et même maintenant l’aînesse absolue. Vous voulez revenir aux temps mérovingiens du partage entre tous les fils ? C’est original :-)
Je n’ai aucun « amour » pour la république, rassurez-vous. Mais la République est toujours préférable à l’Usurpation. Un quidam président est toujours préférable à un usurpateur couronné, car la monarchie n’a de sens que si elle est LÉGITIME.
Naucratis
16 juin 2016 @ 08:43
Je souscris à ce que vous écrivez, Sigismond.
Plutôt la République que l’usurpation orléaniste.
Cosmo
16 juin 2016 @ 18:07
En clair, Sigismond, vous n’êtes pas monarchiste car la monarchie ce n’est pas une famille, c’est un principe de gouvernement. Et la notion de légitimité ne vaut que pour le lien qui unit le souverain et le peuple et non dans la transmission du pouvoir. La monarchie française n’a-t-elle pas été élective à ses débuts, comme le Saint-Empire tout au long de son existence ? Cela les a-t-il rendus moins légitimes ? Non.
Cosmo
Gérard
16 juin 2016 @ 20:01
Droit d’aînesse tempérée par exclusions et renonciations au Royaume-Uni, en Espagne, en Belgique…
Sigismond
17 juin 2016 @ 06:20
Cosmo, vous confondez monarchie et tyrannie ou dictature. « La monarchie ce n’est pas une famille », votre affirmation vaut son pesant de cacahouètes, surtout appliquée à la France (et à beaucoup d’autres pays). Les monarchies électives sont l’exception, ce sont des particularités historiques. En France, la monarchie s’incarna dans la même famille pendant huit siècles, ce qui ne se retrouve que dans très peu d’autres pays. Comment imaginer un roi de France Dupont ou Durand ?
Et que feriez-vous pour défendre les droits des fils cadets ? Partager le royaume entre tous les fils ? Mais n’oubliez pas les filles, car sinon votre Halde vous dira : « Cépabien » ;-)
Cosmo
17 juin 2016 @ 13:07
Sigismond,
Je n’ai pas parlé des filles pour ne pas vous faire défaillir.
Je ne confonds absolument pas monarchie, tyrannie et dictature. Exception ou pas, la monarchie peut être élective. Et il y a des pays où les dynasties se sont succédées. En effet, la France avec la monarchie capétienne est une exception.
Mais s’il n’y avait pas eu la défaite de Sedan, il eût possible que le monarque actuel fut un Bonaparte, que vous détestez tant et il serait aussi légitime qu’un Bourbon. Ou si la restauration avait eu lieu en en 1873, le monarque serait un Orléans, tout aussi légitime. Les deux, Bonaparte ou Orléans, auraient des courtisans autour d’eux.
Donc Bourbon, Bonaparte ou Orléans, c’est blanc bonnet ou bonnet blanc. Seules les circonstances dans ces cas-là font la légitimité. Et aujourd’hui la légitimité est républicaine. Pour le meilleur et pour le pire, comme du temps de la monarchie.
Cosmo
Sigismond
15 juin 2016 @ 19:08
Vous êtes impayable, Cosmo. Si j’aimais la république, je n’appellerais pas Madame la duchesse d’Anjou, la Reine, Monseigneur le duc d’Anjou, le Roi, et je ne défendrais pas le Drapeau blanc et le Vive Henri IV.
Naucratis
16 juin 2016 @ 08:48
Quant au drapeau, je crois que le sujet est plus discutable. Je pense que l’histoire ne permet plus d’évacuer le drapeau tricolore comme cela était encore possible en 1873 (mais déjà difficile, la preuve…). Les deux guerres mondiales ont créé un lien entre la France, les Français et leur drapeau tricolore. Lui associer la fleur de lis serait sans doute un bon compromis. Ce n’est que mon avis.
Cosmo
16 juin 2016 @ 11:11
Sigismond,
Perdriez-vous le sens de l’humour ? Je sais très bien où sont vos amours…
Cosmo
Gérard
16 juin 2016 @ 20:03
Le drapeau blanc au demeurant récent était déjà impossible il y a plus d’un siècle alors maintenant !
Sigismond
17 juin 2016 @ 06:37
Certes Cosmo, gardons toujours notre humour (comme Madame et son fils puîné, qui n’en manquaient point), mais je suis chatouilleux sur ce point, ayant toujours été fidèle à l’aîné des Capétiens depuis les cours d’histoire de l’école primaire. La galerie des Glaces, les perruques grand siècle ou celles poudrées du siècle suivant, les pourpoints, les jabots, la couronne fleurdelisée, voilà la France, et non le lambel ni les faisceaux de licteurs ou pire, l’aigle aux abeilles !
Cosmo
17 juin 2016 @ 12:57
Mais non, Sigismond ! La France, c’est aussi le lambel, les faisceaux de licteur et les abeilles.
Vous pouvez aimer « La galerie des Glaces, les perruques grand siècle ou celles poudrées du siècle suivant, les pourpoints, les jabots, la couronne fleurdelisée » mais vous ne pouvez limiter la France à cette imagerie d’Epinal.
On pourrait croire que vous n’avez pas grandi depuis l’école primaire.
Cosmo
Sigismond
18 juin 2016 @ 06:39
Je suis bien d’accord avec vous, Naucratis : pour le drapeau et pour l’hymne, les avis sont très partagés, et seul le prince Louis pourrait prendre la décision de conserver ou non les symboles actuels (qui rappellent sans cesse le martyre du marquis de Launay, de la princesse de Lamballe, de Louis XVI, de Marie-Antoinette, du duc d’Orléans, de Madame Élisabeth, de Louis XVII, du duc d’Enghien et de tant d’autres, les monstrueuses profanations de 1793 à Saint-Denis, et la tyrannie de Paille-au-Nez et de son neveu « le Petit »). Mais le drapeau blanc sans lys, le blanc plain d’Henri V, se heurterait aux conventions internationales, car il est devenu un symbole de cessation des hostilités ! Ironie de l’histoire…
La solution serait le blanc avec les grandes armoiries de France, sur le modèle du magnifique drapeau des Deux-Siciles.
Sigismond
19 juin 2016 @ 09:03
Cosmo, loin de moi l’idée de limiter la France au décorum de Versailles, ce que je voulais dire c’est que c’est ce décorum qui m’a séduit à l’époque, alors que rien ne me destinait à m’inféoder aux rois de France et au drapeau blanc. Et toujours à l’époque, c’est la découverte de la monstruosité révolutionnaire qui m’a détourné du tricolore et d’un chant de haine et de destruction. La France, c’est le blanc, et la France, c’est Louis et Marie-Marguerite. Vive Henri IV, vive ce roi vaillant !
Cosmo
19 juin 2016 @ 10:13
Sigismond,
Je comprends parfaitement l’horreur de la Révolution, horreur que nous partageons tous sur ce site. Et comme vous, je suis très dubitatif quant à la Marseillaise, et là aussi, nous sommes nombreux.
Mais cela ne justifie en rien, à mes yeux, d’avoir à triturer l’Histoire de France et de l’Europe, pour faire appel à Louis de Bourbon, en cas de restauration.
Henri IV a été le premier Bourbon sur le trône mais aussi le plus grand, car le seul vraiment préoccupé du sort de la France divisée qui était son héritage. Les suivants n’en ont pas été dignes à mes yeux.
Cosmo
Cosmo
19 juin 2016 @ 10:56
Sigismond,
Paille-au-nez et le « petit », comme vous les appelez, ont plus fait pour la grandeur de la France que le gros eunuque de Gand et son imbécile de frère. Ils ont laissé l’un des institutions sur lesquelles nous vivons encore et l’autre les conditions du développement industriel de notre pays. Gros Louis n’a dû son trône qu’aux étrangers, et encore par défaut, et Charles le Bête n’a même pas été fichu de le garder.
Belle famille que voilà !
Cosmo
Sigismond
17 juin 2016 @ 07:59
Cosmo,
Je ne méprise en aucun cas les Anglais, nous leur devons une fière chandelle car ils nous ont libérés de la tyrannie en 1815 et en 1944, et ils ont une civilisation et un art de vivre raffinés que nous en France avons tant perdu depuis la ‘évolution. Ils ont d’ailleurs beaucoup de chance d’avoir bientôt un roi intelligent et charismatique qui ne sera pas une potiche fluorescente, et qui est doté d’une bru au regard fier et moqueur qui sera une nouvelle « Grande Catherine » (en plus pacifique, tout de même) tant elle éclipse son mari par son aura (et sa chevelure ;-))
Cosmo
17 juin 2016 @ 12:54
Sigismond,
Nous libérer de la tyrannie en 1815 pour avoir dans une chambre introuvable suivie de la terreur blanche, avec un régime policier, comme le précédent, en prime et un monarque (Charles X) incapable ? Bof.
Une remarque, Louis XVIII n’a pas changé un iota dans les institutions établies par le « tyran ». Pourquoi ? La tyrannie ne devait pas être si terrible.
Je partage votre avis sur le prince de Galles et je commence à apprécier celle que vous appelez la « Grande Catherine ».
Cosmo
jul
17 juin 2016 @ 16:12
Bonsoir Sigismond
Ne trouvez-vous pas le regard de la Duchesse de Cornouailles aussi fier et moqueur ? :D
Sigismond
19 juin 2016 @ 08:43
Bonjour Jul,
Ah là là, vous mettez les pieds dans le plat :-)))
Quelqu’un sur N&R parlait il n’y a pas longtemps de mollusque à propos du manque de charisme d’un cétacé, mais « j’dis ça, j’dis rien » :D
Ceci dit, les méandres de l’anglicanisme m’échappent, pourquoi Camilla a-t-elle reçu le titre de duchesse de Cornouailles si son mariage religieux avec Andrew est toujours valide, et dans le cas contraire, pourquoi n’a-t-elle pas reçu le titre de princesse de Galles ? Il y a là soit de la mesquinerie de la part de belle-môman, soit au contraire un étrange accommodement avec la doctrine de l’Église dont belle-môman est la cheftaine. Quel est votre avis ?
Pour répondre à votre question, je préfère de très loin Camilla à Diana (je n’ai jamais compris la « dianamania »), non seulement Camilla et Charles sont unis par un grand amour et une grande complicité, et elle saura très bien le seconder quand ils régneront, mais Camilla a beaucoup plus l’image d’une reine que Diana, qui semblait tout droit sortie du « showbiz » comme Letizia.
Passez un bon dimanche.
Cosmo
19 juin 2016 @ 10:17
Sigismond,
L’église anglicane reconnait le divorce et si Camilla n’a pas reçu le titre de princesse de Galles, c’est par respect pour la mémoire de Diana, et pour ne pas trop échauffer les esprits à l’époque. Je partage pas non plus la Dianamania et je suis persuadé, comme la grande majorité des Anglais que la duchesse de Cornouailles, reine consort ou pas, saura remplir son rôle.
La reine s’accommode de tout quand ils ‘agit de ses enfants.
Cosmo