Le musée des arts décoratifs à Paris, présente jusqu’au 18 septembre 2016 une exposition consacrée à la poupée Barbie. Des centaines de poupées sont ainsi exposées.
Le visiteur y découvre l’évolution physique de Barbie qui était initialement brune de cheveux. Barbie au fil des ans, Barbie qui suit la mode, Barbie représentée sous toutes ses formes : infirmière, nageuse, pilote, hôtesse de l’air, cavalière,…
Et puis aussi tout le monde de Barbie : sa maison, sa voiture, son camping car, ses amis, ses animaux,…
Une très belle scénographie immortalise tout le processus de la présentation d’une collection de robes de haute couture avec les ateliers, les essayages et le défilé.
De nombreuses maisons de couture ont joué le jeu et ont confectionné des tenues pour Barbie, rappelant les robes parfois mythiques de la marque. Dior, Chanel, Montana, Vera Wang, Balenciaga, Diane von Fürstenberg, Lanvin ou encore Paco Rabanne ont habillé Barbie pour cette exposition.
Des poupées qui défilent les unes derrière les autres sur un mécanisme tournant du plus bel effet.
Et puis, il y a bien évidemment « Barbie » en mode princesse avec la duchesse de Cambridge le jour de son mariage.
Mais aussi des reines de légende comme Elizabeth I ou Cléopâtre.
Barbie princesse et son prince dont aussi partie de la gamme.
Au final de l’exposition, des centaines de vêtements de Barbie sont présentés dans des vitrines, donnant une touche finale très colorée.
framboiz 07
13 juillet 2016 @ 03:36
Beaucoup d ‘astuces de présentation , mais où est Ken ?
Pour les fans de James Bond, autre personnage mythique , exposition à La Villette .
Marnie
13 juillet 2016 @ 14:33
Ken et d’autres versions masculines sont bien là. Il y a même une sorte d’arbre généalogique avec de nombreux personnages de la galaxie Barbie dont j’ignorais l’existence.
Muscate
13 juillet 2016 @ 09:13
Quel business juteux!.Enfant, je préférais les peluches aux poupées, et adulte,je fais la part belle à mes animaux. En fait. ..on change peu.
Pauline
13 juillet 2016 @ 09:47
Les premiers habits de Barbie (années soixante) étaient de vrais objets Haute-couture, ma mère et ma tante étaient abasourdies par leur confection, les détails tels que boutons, accessoires, etc. Du coup, elles m’en offraient volontiers, bien plus que j’en désirais.
Ma nièce à qui j’ai tout donné vingt-ans plus tard à tout bousillé, alors nostalgie oblige, j’aimerai bien visiter cette exposition.
amaia
13 juillet 2016 @ 17:59
Vous avez été courageuse !!!
Leonor
13 juillet 2016 @ 10:42
Peux pas, peux pas.
Mais la dernière photo est hilarante !
L’ambition de toutes les Barbies du monde : un dressing room plein à craquer.
Ca m’étonnerait bien que l’expo présente les barbies détournées, si j’ose dire, de Tommy Ungerer. Pas moyen de vous les montrer via le net : introuvables. Car immontrables . Réservées aux enfers des musées, mais tellement éroto-scatologiquement drôles !
Marnie
13 juillet 2016 @ 14:32
Non, les Barbie détournées ne sont pas présentes dans l’expo qui, de ce point de vue, reste politiquement correcte.
Caroline
13 juillet 2016 @ 10:52
Bien que je n’aime pas spécialement les poupées Barbie, je suis certaine que cette exposition très bien présentée nous ravirait y compris les enfants et les femmes plus agées!
Point de nouvelles poupées Barbie rondes, petites, grandes et métisses dans cette exposition?
Marnie
13 juillet 2016 @ 14:31
Si les nouveaux modèles sont présentés. Mais à vrai dire, je ne leur ai trouvé aucun intérêt… ce qu’on aime c’est la perfection et la beauté des Barbie, pas qu’elles nous rappellent notre propre normalité !
Quant aux types noires/métisses, je crois qu’il y en a déjà eu par le passé, dès les années 70 au moins, comme on le voit dans l’expo.
bianca
13 juillet 2016 @ 11:14
Je connais une collectionneuse de cette poupée, je vais lui signaler cette exposition qui l’enchantera sûrement !!!
Jacqueline
13 juillet 2016 @ 13:18
Je suis souvent déçue par les expositions de jouet. Hormis celles organisées directement par des collectionneurs, qui savent recréer ambiances et magies, ces expositions me paraissent froides et n’apportent pas le recul critique que l’on attendrait de musées ayant pignon sur rue.
Licorne
13 juillet 2016 @ 13:18
Nous les garçons, nous avions des « Big-Jim », des grosses brutes bodybuildées, au regard particulièrement peu éveillé, et dont le principal intérêt était d’offrir d’énormes biceps caoutchouteux, dans lesquels il était plaisant de planter ses quenottes..
Baboula
13 juillet 2016 @ 17:31
Assimiler Barbie à une œuvre d’art !!! Il y a plus d’une petite fille saccageuse, aujourd’hui trentenaire qui va en entendre parler d’avoir découper sa dote en confettis .
JAusten
13 juillet 2016 @ 17:40
je n’ai connue Barbie que très tardivement, ma première poupée s’appelait Sindy qui était une poupée anglaise qui était bien plus pourvue en accessoires, vêtements, habitations, meubles, etc., que Barbie.
Danielle
13 juillet 2016 @ 18:47
Je suis allée à une expo sur la mode qui se tenait en même temps que celle-ci, il y avait foule ! mais celle ci ne m’intéressait pas du tout.
JAusten
13 juillet 2016 @ 19:13
je sais maintenant d’où vient cette mode des mariés qui jettent les bras en l’air à la sortie de l’église : 3ème photo en partant du bas
ciboulette
13 juillet 2016 @ 19:37
Tout cela donne le tournis ! C’est une très belle exposition , mais j’ai toujours préféré les nounours réconfortants !