En parallèle de la prochaine exposition qui se tiendra au musée d’Orsay à Paris, parution de cet ouvrage « Fastes et rayonnement du Second Empire. Mode- arts décoratifs – architecture » par Françoise Ravelle aux éditions Parigramme.
En voici le descriptif : « Dans tous les domaines – mode, architecture, arts décoratifs, sculpture, musique… – le Second Empire imprime sa marque, magnifiant l’opulence, pastichant et mélangeant les styles du passé comme ceux d’un Orient lointain ou proche. Cette volonté de tout embrasser dit l’appétit d’une bourgeoisie triomphante et son plaisir non dissimulé de s’approprier des styles auxquels les rois de France ont attaché leur nom. Mais, au-delà d’une quête de légitimité historique et du souci de paraître, c’est aussi une part intime et rêveuse qui se manifeste, trouvant de nouveaux modes d’expression dans la manière de se vêtir, de se loger ou d’aménager son intérieur. »
« Fastes et rayonnement du Second Empire. Mode- arts décoratifs – architecture », Françoise Ravelle, Editions Parigramme, 2016, 128 p.
10 septembre 2016 @ 11:38
Bien envie de le lire
10 septembre 2016 @ 11:51
quand aura lieu cette exposition ?
11 septembre 2016 @ 00:22
L’exposition est programmée du 27/09/2016 au 16/01/2017.
11 septembre 2016 @ 14:13
Je vais essayer d’aller voir cette exposition car j’aime cette période de l’histoire !
11 septembre 2016 @ 19:59
D’un côté Bouguereau. De l’autre , Monet .
Un condensé des tiraillements de cette époque.
Ici Bouguereau , Les Oréades, 1902.
Ici Monet, Impression Soleil levant, 1872.
12 septembre 2016 @ 11:26
Moi, je veux bien une crinoline.
D’ailleurs, j’en ai une. Brocantée dans ma friperie préférée, enfin, le jupon, le machin, l’armature, quoi. Trouvée au rayon » robes de mariée », sous-catégorie meringues.
Le problème, c’est que je ne sais pas où la fourrer. A elle toute seule, elle occupe toute ma penderie.
Mais quand même : je rêve du jour où, grâce à cette chose, je pourrai jouer à Scarlett O’Hara. Aaaaah, Rhett …………………….!
14 septembre 2016 @ 12:43
Je vous suggère de donner un bal où le dress code sera de cette époque et vous pourrez porter votre crinoline sous d’opulents jupons et robe en taffetas de soie ! J’espère y être invitée…je ne dénoterai pas !