Parution aux éditions Tallandier le 4 novembre 2016 des mémoires de l’empereur Napoléon déclinées en trois parties : la campagne d’Italie 1796-1797, la campagne d’Egypte 1798-1799 et l’île d’Elbe et les cent Jours 1814-1815.
Je ne suis de loin pas bon connaisseur de l’histoire napoléonienne.
Donc, je n’ai jamais très bien compris ce qu’il était allé fabriquer en Italie et en Egypte , sans parler du reste.
Sauf à considérer ( ?) qu’il était allé y chercher la gloire qu’il lui fallait pour ensuite s’en servir pour conquérir le pouvoir.
Un peu comme Jules The Cesar avec sa guerre des Gaules, Guerre des Gaules qu’il a , justement, pris soin de sténographier lui-même afin que nul n’en ignore . Un grand communicant, le Jules.
Moi, dans c’t’histoire, j’aime bien la Mamma.
Mamma Laetizia, et son » pourvou que ça doure », historique ou non.
En tout cas, la Mamma, elle, seule dans toute l’Europe, a su résister à Fiston, même devenu imperator :
» Non, fistounet chéri, pas question, je ne participerai pas au carnavalé de quand tou te mettras oune couronne sur ta p »tite tête, et encore moins quand tou mettras une couronne sur la tête de ta nana que je ne soupporte pas , qui te trompe, et qui n’est même pas une Corse-de-chez-nous ».
Une Mamma, ça a presque toujours raison.
Eh ,bien: ce sont ceux qui ne savent pas qui doivent lire ces livres! Pour apprendre !
Et pouvoir discerner dans par exemple un film , ce qui est du domaine de la légende et ce qui fut vrai…car c’est du passé naturellement et par conséquent invérifiable.
Cette phrase attribuée à madame mère et qui fit florès , se trouve dans un film (celui d’Abel Ganse je crois ) et n’a naturellement jamais été prononcée par elle .Nous dirons que sa façon de vivre , toute en simplicité et en économisant sou à sou , fit penser qu’elle aurait pu dire cela .De même que la légèreté de Marie-Antoinette fit qu’on lui attribua la phrase: « s’ils n’ont pas de pain , qu’ils mangent de la brioche! »
grannydc
17 octobre 2016 @ 07:40
Encore !!!
Zeugma
17 octobre 2016 @ 19:34
Je suis un peu surprise qu’on puisse encore s’intéresser aux mémoires de Buonaparte. Enfin, ça ne mange pas de pain.
framboiz 07
18 octobre 2016 @ 12:40
Napoléon est l’homme ,qui a inspiré le plus de films …Pour les livres, ça doit être pareil …
Leonor
19 octobre 2016 @ 09:01
Je ne suis de loin pas bon connaisseur de l’histoire napoléonienne.
Donc, je n’ai jamais très bien compris ce qu’il était allé fabriquer en Italie et en Egypte , sans parler du reste.
Sauf à considérer ( ?) qu’il était allé y chercher la gloire qu’il lui fallait pour ensuite s’en servir pour conquérir le pouvoir.
Un peu comme Jules The Cesar avec sa guerre des Gaules, Guerre des Gaules qu’il a , justement, pris soin de sténographier lui-même afin que nul n’en ignore . Un grand communicant, le Jules.
Moi, dans c’t’histoire, j’aime bien la Mamma.
Mamma Laetizia, et son » pourvou que ça doure », historique ou non.
En tout cas, la Mamma, elle, seule dans toute l’Europe, a su résister à Fiston, même devenu imperator :
» Non, fistounet chéri, pas question, je ne participerai pas au carnavalé de quand tou te mettras oune couronne sur ta p »tite tête, et encore moins quand tou mettras une couronne sur la tête de ta nana que je ne soupporte pas , qui te trompe, et qui n’est même pas une Corse-de-chez-nous ».
Une Mamma, ça a presque toujours raison.
Kalistéa
21 octobre 2016 @ 18:12
Eh ,bien: ce sont ceux qui ne savent pas qui doivent lire ces livres! Pour apprendre !
Et pouvoir discerner dans par exemple un film , ce qui est du domaine de la légende et ce qui fut vrai…car c’est du passé naturellement et par conséquent invérifiable.
Cette phrase attribuée à madame mère et qui fit florès , se trouve dans un film (celui d’Abel Ganse je crois ) et n’a naturellement jamais été prononcée par elle .Nous dirons que sa façon de vivre , toute en simplicité et en économisant sou à sou , fit penser qu’elle aurait pu dire cela .De même que la légèreté de Marie-Antoinette fit qu’on lui attribua la phrase: « s’ils n’ont pas de pain , qu’ils mangent de la brioche! »