C’est sous un beau soleil qu’a débuté à Malte le 37ème Rolex Middle Sea Race. A bord du voilier Maserati Multi70, Pierre Casiraghi et ses co-équipiers ont quitté le port de la Valette en direction de la Sicile, à l’assaut des 608 miles nautiques qui les attendent . Nombreux étaient les membres du Yacht-club de la Principauté présents à Malte pour encourager le fils de la princesse Caroline. (Copyright photo :T.Puglia – Merci à Bertrand Meyer)
JOSEPHINE
23 octobre 2016 @ 14:02
Qu’il ne prenne pas trop de risques !
beji
23 octobre 2016 @ 14:18
A part ça que fait-il dans la vie?
Baboula
23 octobre 2016 @ 15:03
Il a droit à des RTT ,comme tout le monde !
*Gustave de Montréal
23 octobre 2016 @ 15:15
il imite son père
Corsica
23 octobre 2016 @ 18:22
Et bien, comme il est indiqué sur le site, il est le skipper du magnifique bateau du yatch club monégasque, la Malizia. Un catamaran de nouvelle génération à foils ( ailes sous-marines) qui concourt sur le circuit 2016 du GC32 Racing Tour. Pierre Casiraghi, qui depuis plusieurs années participent à des courses, est entouré d’un équipage ayant une solide expérience dans la course au large et l’America Cup. Ces nouveaux bateaux, véritables pur-sangs conçus pour réduire au maximum la traînée aérodynamique et augmenter la vitesse, sont grâce à leurs foils propulsés hors de l’eau. Ils peuvent dépasser les 90 km/heure et ne peuvent donc être confier qu’à un skipper et un équipage expérimenté et talentueux. On reproche souvent aux enfants de la princesse Caroline leur dilettantisme mais une chose est certaine, Pierre Casiraghi, en nautisme, n’est pas un dilettante, sinon il ne pourrait barrer des bateaux de course de ce niveau. L’argent et la naissance ne font pas tout, il faut aussi avoir du talent et de l’entraînement.
Corsica
23 octobre 2016 @ 18:23
Il fallait lire : être confiÉS
Marie1
24 octobre 2016 @ 07:21
D’accord avec vous, par contre j’avais été déçue en lisant cette interview avant la 4e étape du CG32, où il indique que « ça faisait 45 jours que je n’avais pas navigué » mais depuis je pense qu’il a compris que l’entrainement est important, il a perdu 2 places au classement dans les 2 dernières courses.
http://voileactu.blog.lemonde.fr/2016/09/24/pierre-casiraghi-en-gc32-je-me-suis-dit-pourquoi-je-ny-arriverais-pas/
Corsica
25 octobre 2016 @ 13:42
Merci Marie pour cette précision. Avec ce style de bijou nautique, le manque d’entraînement ne peut que se faire sentir.
Roselila
23 octobre 2016 @ 18:31
Réponse sur Internet. Il est actionnaire dans 2 sociétés. Tout est indiqué sur son site Internet.
Robespierre
24 octobre 2016 @ 09:39
Ca doit être épuisant !
Muscate-Valeska de Lisabé
24 octobre 2016 @ 13:54
…Mais si ces privilégiés ne menaient pas la Dolce Vita,en ne suivant que leurs inclinaisons naturelles,qui pourrait le faire?
Ils n’ont aucun effort à fournir pour accéder au meilleur de la condition matérielle, pourquoi se forceraient-ils?
C’est tellement humain,naturel, que ça va de soi. ..ça ne me choque pas.
Muscate-Valeska de Lisabé
24 octobre 2016 @ 14:27
…Paradis pour les uns,pas un radis pour les autres… ;-))
Danielle
23 octobre 2016 @ 17:16
Digne fils de son père mais j’espère qu’il n’aura pas le même destin dans ses aventures de la mer.
Kayleen
23 octobre 2016 @ 19:26
Danielle entièrement d’accord avec vous, j’espère qu’il aura le courage se s’arrêter en temps voulu avant un drame
Marie1
24 octobre 2016 @ 07:06
Le skipper du Maserati Multi70 est Giovanni Soldini, membre également du Yacht Club de Monaco , pour cette course Pierre était équipier.
Par contre Pierre est le skipper de son voilier le Malizia , pour la 1re fois ce voilier a participé à la CG32, il termine 6e sur 10, le vainqueur étant Franck Cammas , un nom de la voile ayant participé à la Route du Rhum, au Trophée Jules Verne etc…
La semaine dernière pour le retour du Malizia à Monaco, une rencontre a été organisé avec les jeunes régatiers du club qui ont eu la possibilité de naviguer sur ce bateau.
Article sur cette aventure :
http://www.monacochannel.mc/Chaines/Yacht-Club-de-Monaco/ACTUS-PHOTOS/Pierre-Casiraghi-et-son-equipage-a-la-rencontre-des-jeunes-de-la-Section-Sportive-du-Yacht-Club-de-Monaco
Pierre-Yves
24 octobre 2016 @ 12:51
Le risque le plus élevé qu’il prend, c’est de rencontrer des embarcations pleines à ras bord de migrants. Si Pierre C et son équipage foncent dessus parce qu’elles lui barrent la route, ça risque de faire désordre.