Voici le menu du banquet d’Etat au Palais royal d’Amsterdam en l’honneur du roi et de la reine des Belges. (Source : Place Royale)
Mousse de truite et saumon mariné, hareng frais, cressonnette de daikon (radis blanc japonais), sauce au raifort et aneth
Bouillon de bœuf avec légumes à la chinoise et à la royale avec des épices
Perdrix braisée, sauce Calvados, mélange de légumes et purée de topinambours
Poire caramélise, glace aux épices, fond de riz soufflé et chocolat au lait
Moka
Robespierre
29 novembre 2016 @ 09:55
Les ingrédients sont moyens, tout est dans les chichis de la préparation.
Muscate-Valeska de Lisabé
29 novembre 2016 @ 14:22
Et de la dénomination! ;-))
Philibert
6 décembre 2016 @ 17:08
La « Perdrix braisée, sauce Calvados » n’est pas l’idée d’ingrédient moyen que je me fais habituellement…
Lars de Winter
29 novembre 2016 @ 10:26
Delicieux et original!
Muscate-Valeska de Lisabé
29 novembre 2016 @ 11:01
Je ne les plains pas! ;-))
aggie
29 novembre 2016 @ 11:18
pas très fan de ce menu moi
JOSEPHINE
29 novembre 2016 @ 12:49
Bouillon de boeuf et topinambours, c’est ce que l’on mange quand on est à la diète !
framboiz 07
29 novembre 2016 @ 13:04
Bouillon pour un diner de gala , je n’aimerais pas …
Très bons vins …
Moka , Est-ce un 2ème gâteau ou le café ?
MIKA
29 novembre 2016 @ 17:52
Le café très certainement….
framboiz 07
30 novembre 2016 @ 17:48
Oui, mais comme le moka , c’est aussi un gâteau …je préférais une précision , Merci ,Mika (et pas Moka !)
beji
29 novembre 2016 @ 13:14
Il fût un temps où ,dans les cours ,les menus étaient écrits en français…
A part l’entrée et le moka,le reste n’est pas à mon goût.
Cosmo
29 novembre 2016 @ 13:18
Les vins semblent supérieurs aux mets.
Gibbs ?
29 novembre 2016 @ 13:33
Je laisse très volontiers ce menu qui manque de raffinement…
l'Alsacienne
29 novembre 2016 @ 13:33
Je ne me disputerais pas pour partager ce repas.
Tout y est en chinoiseries pour finalement, pas grand-chose.
JOSEPHINE
29 novembre 2016 @ 14:12
A la diète ou fauché !!
Muscate-Valeska de Lisabé
29 novembre 2016 @ 14:24
…Ou pendant la guerre 39-45..topinambours,le retour!!
C’est la mode paupériste.
AnneLise
29 novembre 2016 @ 21:44
Les légumes anciens reviennent en force. Mes parents qui en ont usé et abusé n’en étaient pas fans et je dois avouer n’en n’avoir jamais vu sur la table.
Mais aujourd’hui dans un autre contexte accommodés différemment cela peut passer.
Le pot au feu à la chinoise ne me parait pas avoir été indispensable, le reste bof, surtout pour le chocolat au lait.
Les vins je n’ai pas vu la liste, sur un autre site certainement.
Phénomène de mode tout cela
clement
29 novembre 2016 @ 14:27
Menu pas très alléchant !
Dominique d'amico
29 novembre 2016 @ 14:43
Je ne sais pas si j aimerai ?
mary71
29 novembre 2016 @ 18:35
pas très raffiné !
Danielle
29 novembre 2016 @ 19:02
Seul le dessert le plait, ainsi que le Puligny Montrachet et la Veuve Cliquot pour les vins.
JAusten
29 novembre 2016 @ 19:51
Ben normal temps de crise = économie de bouffe = ingrédients les plus cheap = silhouette non altérée = bilan sanguin dans les clous.
En revanche les pinards et les bijoux …..
Muscate-Valeska de Lisabé
30 novembre 2016 @ 11:03
Tout demeure une question de priorités,chère Jane,n’est-ce-pas? ^^
Actarus
29 novembre 2016 @ 22:00
Beurk. Menu incompréhensible.
Je ne me donnerai pas la peine de lire la traduction.
Muscate-Valeska de Lisabé
30 novembre 2016 @ 11:01
Actarus-le-gourmet !
Actarus
1 décembre 2016 @ 13:39
Si le menu n’est pas en français, je change de restaurant. Ou j’exige qu’on m’apporte la tête de veau du cuisto sur un plateau d’argent ! ^^
Muscate-Valeska de Lisabé
2 décembre 2016 @ 17:34
La tête,seulement? ^^
Faites un tour aux arènes et vous serez mieux servi,mon bel Ami. ;-))
Actarus
3 décembre 2016 @ 14:01
Ma chère Lisabé, vous avez un grain ! ;-)
Mais un grain de grande cuisine, du « Taureau Ailé », donc, puisqu’il est question ici de gastronomie et de tout ce qui touche au domaine cul-inaire. ^^
Corsica
30 novembre 2016 @ 15:02
Le bouillon a de quoi surprendre pourtant c’est dans la même veine que le consommé au sherry servi dans des dîners anglais. D’ailleurs ce n’est pas pour rien que dans certains services, il y a des bols à consommé.