Iconoclaste et fière de l’être ! La princesse Constance de Polignac publie aux éditions Albin-Michel un livre témoignage sous le titre » Ma vie en révolution ».
Issue d’une des plus anciennes lignées de l’aristocratie française, elle a refusé une vie d’insouciance et de luxe et a vite démontré une personnalité hors du commun.
Ainsi, au cours de ses activités humanitaires, elle entre en contact avec les Peuples « premiers » d’Afrique et d’Amérique. Elle ne cesse de transmettre une relation intime à la Terre. Elle a aussi converti les domaines familiaux (la Fortresse de Polignac, le château de Kerbastic) à l’agriculture biologique avec l’aide de ses amis Pierre Rabhi et Jean-Marie Pelt).
Le livre se divise en trois parties: délier : découvrir la vraie noblesse; relier : le monde du vrai et allier : la souveraineté intérieure. Côté bonnes ondes, la princesse affiche sa spiritualité !
« Ma vie en révolution », princesse Constance de Polignac, Albin Michel, 2017, 240 p.
Lorenz
15 janvier 2017 @ 11:33
La princesse ferait-elle son outing en tant que « écosexuelle »? :)
Les peuples premiers ne sont pas ma tasse de thé, mais l’agriculture biologique est un choix qui peut être intéressante et partageable. Je suis donc heureux qu’elle a transformé les domaines familiaux en fermes biologiques et non pas dans des endroits appropriés pour les peuples premiers ..
Pierre-Yves
15 janvier 2017 @ 16:02
Elle n’a pas oublié son titre. La question n’est pas d’en avoir honte ou pas; c’est qu’en tant qu’ auteur, en faire état est plutôt incongru.
Robespierre
15 janvier 2017 @ 19:35
Vous m’enlevez les mots de la plume ou du clavier. Cette dame toute simple aurait pu mettre comme nom d’auteur « Constance de Polignac », mais elle tenait à mentionner le titre de « princesse ». Donc pour moi il y a quelque chose de frelaté dans la démarche.
C’est comme Stephanie de Monaco qui fait la grande fille tout simple mais qui encaisse sa liste civile jusqu’au dernier sou.
Trianon
15 janvier 2017 @ 23:33
même pensée que vous!
un soi disant désir de s’affranchir de ce à quoi votre naissance vous prédestine, mais en même temps on souligne son titre…
Damien B.
16 janvier 2017 @ 07:34
En effet Pierre-Yves, c’est paradoxal …
Corsica
16 janvier 2017 @ 19:17
Peut-être que d’associer princesse et révolution sur une page de titre attire l’attention et fait vendre.
Gérard
15 janvier 2017 @ 17:36
C’est pour le contraste je suppose et puis les éditeurs ont leurs exigences.
Lorenz
16 janvier 2017 @ 10:18
Comme vous, Gérard, je tend à penser que ce fut l’éditeur qui a imposé ce « princesse ».
ciboulette
15 janvier 2017 @ 18:56
Un livre qui doit être très intéressant , pas tellement pour l’identité de l’auteur , mais pour ses actes .
Gérard
15 janvier 2017 @ 19:30
Constance de Polignac est la quatrième fille du prince Guy de Polignac qui fut à la tête de la branche française de l’ordre de Malte, et de son épouse Gladys Dupuy, aujourd’hui décédés. Elle est veuve de Guilhem, comte de Nattes (1935–1994), chevalier d’honneur et dévotion de Malte, fils de Béranger, marquis de Nattes et de Catherine de Bernis.
Elle est mère de Jean-Béranger, marquis de Nattes et de Soubeyrane.
La princesse est dame d’honneur et dévotion de l’ordre de Malte.
Guy était fils d’Henri qui était lui-même le frère cadet d’Armand, sixième duc de Polignac, père de Jean Héracle, septième duc, père de Charles Armand, huitième et actuel duc qui est divorcé et sans enfant.
Le prochain duc devrait être le fils d’Edmond et de Ghislaine Brinquant, Alain, époux de la princesse Nathalie de Ligne, père de Ludovic.
La princesse Constance est directeur marketing et digital des Galeries Lafayette et de BHV Marais. Elle est présidente de la Fondation Forteresse de Polignac créée par elle-même et de la Fondation Polignac–Ker-Jean fondée par son oncle le prince Louis, qui ont évidemment vocation à entretenir et animer ces châteaux du Velay et de Bretagne (Kerbastic, Morbihan, dont elle s’occupe depuis le décès de son frère cadet Henri Melchior, secrétaire général des champagnes Pommery, dont l’avion s’écrasa en 1991 sur la pelouse du château de Liversan en Gironde).
Lorenz
16 janvier 2017 @ 10:29
Gérard, je crois que Costance de Polignac qui travaille pour les Galeries Lafayette, après avoir travaillé pour Camaieu, est la princesse François-Melchior de Polignac et non pas la comtesse douairière de Nattes.
Gérard
16 janvier 2017 @ 12:27
Oui bien sûr Lorenz vous avez raison, j’étais distrait. Il s’agit en effet de Constance Mysyrowicz.
AUDOUIN
16 janvier 2017 @ 13:28
Cette Constance qui travaille est née Mysyrowicz…
Jean Pierre
16 janvier 2017 @ 11:52
Elle travaille encore à 72 ans ?
Sylvie-Laure
16 janvier 2017 @ 06:55
Gérard, vous éclaircissez toujours les personnalités titrées, peu connues dans le site de NR. Je vous en remercie, grâce à vous, il est possible de lire les ascendances d’une princesse, duchesse, ou comte, vicomte (parité oblige pour mon commentaire).
Je vous en remercie bien, vous semblez à l’aise dans cette fontion assez difficile, mais combien très nécessaire pour le site de Régine. Tout le monde y trouve son compte.
Gérard
16 janvier 2017 @ 12:29
Merci beaucoup Sylvie-Laure mais il m’arrive de commettre des erreurs comme ici justement en ce qui concerne une occupation professionnelle.
Ghislaine
16 janvier 2017 @ 09:59
Kerbastic en Guidel (56)
Encore une fois à l’agriculture biologique , je préfère l’agriculture raisonnée car Kerbastic est comme toute la région survolée par des avions de l’aéronavale , entre autres, alors
je ne suis pas assurée que la qualité des sols soit totalement pure .
Mon beau frère était propriétaire de vignobles dans le bordelais , adepte de la culture bio mais son voisin,non et quand celui-ci traitait ses vignes le vent déposait bien les produit sur les cepages.
Mais il est certain que la princesse est exigeante quant à la qualité de ses terres
Ogier le Danois
17 janvier 2017 @ 00:16
Drôlement, « ar priñsez » peut trouver « un pobl kentañ » (premier peuple) dans sa propre « porzh-izelañ » (basse-cour) – ar Vretoned (les Bretons) !
LORENTZ
15 septembre 2023 @ 11:54
bonjour je souhaiterais savoir si il est possible d’avoir une adresse de correspondance pour son fils ou sa fille , j’ai des documents pour eux de famille que j’ai trouvé. Très important. Merci pour votre retour