Un avis d’homme :
C’est une très belle femme .
Pas de celles qui font la une de vogue ou je ne sais quoi , mais une femme féminine (si j’ose dire) et séduisante dont la séduction et le charme échapperont à l’usure du temps .
Qu’elle se « mémérise » ou pas demandez son avis au prince son époux .
Je gage que beaucoup de femmes souhaiteraient ( -ront ou auraient souhaité ) se « mémériser » de la sorte .
Cela dit amicalement ,
Pascal
Ok Pascal …il est bien rare que j’émette une petite critique sur Mary…mais ici c’est chose permise pour moi…car vraiment sa tenue est d’une tristesse…mais ne remet aucunement en question sa beauté deux choses bien différentes!
Cela dit en ayant quelques années de plus…je n’ai jamais été mémère de la sorte …vous avez regardé les femmes de notre temps!!!
Je suis très heureux de lire ici la formule « femme entrepreneur de l’année »
On aurait pu avoir hélas : femme entrepreneuse , entrepreneure (c’est ce qui est le plus au goût du jour car ajouter un « e » à tout c’est beaucoup moins fatigant pour des esprits étroits) ou entreprenderesse …
Pour cette brève formule je vous prie d’agréer , Madame Salens , l’hommage de mon profond respect et de ma sincère admiration.
Et afin de dissiper toute ambiguïté , j’entends pas « esprits étroits » tous ceux et celles qui veulent faire passer la juste défense de la condition des femmes dans les sociétés humaines (elles même encore , Dieu merci , très diverses) par le viol à coup de boutoir de notre langue.
Je sais très bien que notre langue , nos langues ne font qu’évoluer et leur orthographe avec , toutefois , en bon conservateur que je suis , j’entends que cette évolution soit progressive , comme il en a toujours été (sauf peut être en de rarissimes exceptions dans le Monde) , par une sorte d’osmose entre le parlé courant et l’œuvre des grands littérateurs.
Tout cela sous l’autorité normative d’une institution dont notre Académie Française est l’un des plus remarquables exemples.
(et certainement pas par l’oukase d’un quelconque autant qu’éphémère ministre , fût-il une femme )
Justement vous soulevez une question qui m’a titillé :
Doit on écrire « parler » ou « parlé » ?
Il semble que sur ce sujet non plus nous ne soyons pas d’accord.
Pour le reste , je n’ai jamais été très en vogue auprès de mes professeurs de Français , pour bien des raisons mais aussi sans doute celle que vous évoquez.
Il faut écrire « parler » parce que c’est le cas du verbe employé comme substantif. On dit et écrit aussi, » le boire », » le manger », » le parler » , « le savoir » . On peut aussi employer comme substantif un adverbe ou un adjectif. Exemples, » le pourquoi, « le comment », « le bien » ou » le beau », » le laid », » le ridicule ».
Et quand on parle d’une langue, il vaut mieux employer les minuscules. « Je parle français » et pas Français. Mais je trouve qu’en comparaison de ce qu’on lit sur internet, vous êtes encore d’un bon niveau.
Et nous faisons tous des fautes d’inattention. Moi j’en fais souvent quand je ne me relis pas.
Baboula
30 janvier 2017 @
19:36
C’est-y que vous auriez fait vos humanités .? Réthorique,orthographe ,lorsque c’est bien assimilé ça fait de beaux écrits ! Merci de nous éclairer.
Mary
30 janvier 2017 @
16:39
On écrit »la langue parlée » mais vous le savez déjà,en revanche,on écrit » le parler « , comme » le boire et le manger » (sans guillemets bien sûr).
Raison toute simple : si on met un article devant un infinitif,il devient un nom »la douleur du partir » et autres exemples,
.
Vous êtes tout excusé, parce qu’il y a des substantifs qui sont faits avec des participes passés. Par exemple, « un repenti ». Donc ce cas était un peu épineux.
Dans ce domaine, nous sommes loin de l’égalité entre hommes et femmes et il serait souhaitable que de telles remises de prix soient de plus en plus nombreuses.
Mary
29 janvier 2017 @ 03:11
Hollywoodienne,la blonde !
marielouise
29 janvier 2017 @ 07:35
Elle se mémérise un peu, belle Mary!
ml
Pascal
29 janvier 2017 @ 11:57
Un avis d’homme :
C’est une très belle femme .
Pas de celles qui font la une de vogue ou je ne sais quoi , mais une femme féminine (si j’ose dire) et séduisante dont la séduction et le charme échapperont à l’usure du temps .
Qu’elle se « mémérise » ou pas demandez son avis au prince son époux .
Je gage que beaucoup de femmes souhaiteraient ( -ront ou auraient souhaité ) se « mémériser » de la sorte .
Cela dit amicalement ,
Pascal
JAusten
29 janvier 2017 @ 13:03
oui j’adorerais faire mémère comme elle !
marielouise
30 janvier 2017 @ 21:13
Ok Pascal …il est bien rare que j’émette une petite critique sur Mary…mais ici c’est chose permise pour moi…car vraiment sa tenue est d’une tristesse…mais ne remet aucunement en question sa beauté deux choses bien différentes!
Cela dit en ayant quelques années de plus…je n’ai jamais été mémère de la sorte …vous avez regardé les femmes de notre temps!!!
ml
Pascal
29 janvier 2017 @ 08:13
Je suis très heureux de lire ici la formule « femme entrepreneur de l’année »
On aurait pu avoir hélas : femme entrepreneuse , entrepreneure (c’est ce qui est le plus au goût du jour car ajouter un « e » à tout c’est beaucoup moins fatigant pour des esprits étroits) ou entreprenderesse …
Pour cette brève formule je vous prie d’agréer , Madame Salens , l’hommage de mon profond respect et de ma sincère admiration.
Robespierre
29 janvier 2017 @ 16:52
Et pourquoi pas une « femme entreprenante », il y aurait pas mal de victimes consentantes.
Pascal
29 janvier 2017 @ 08:27
Et afin de dissiper toute ambiguïté , j’entends pas « esprits étroits » tous ceux et celles qui veulent faire passer la juste défense de la condition des femmes dans les sociétés humaines (elles même encore , Dieu merci , très diverses) par le viol à coup de boutoir de notre langue.
Je sais très bien que notre langue , nos langues ne font qu’évoluer et leur orthographe avec , toutefois , en bon conservateur que je suis , j’entends que cette évolution soit progressive , comme il en a toujours été (sauf peut être en de rarissimes exceptions dans le Monde) , par une sorte d’osmose entre le parlé courant et l’œuvre des grands littérateurs.
Tout cela sous l’autorité normative d’une institution dont notre Académie Française est l’un des plus remarquables exemples.
(et certainement pas par l’oukase d’un quelconque autant qu’éphémère ministre , fût-il une femme )
Robespierre
29 janvier 2017 @ 22:42
Quel parler ampoulé ! Vous ne pourriez pas dire cela plus simplement ?
Pascal
30 janvier 2017 @ 07:59
Justement vous soulevez une question qui m’a titillé :
Doit on écrire « parler » ou « parlé » ?
Il semble que sur ce sujet non plus nous ne soyons pas d’accord.
Pour le reste , je n’ai jamais été très en vogue auprès de mes professeurs de Français , pour bien des raisons mais aussi sans doute celle que vous évoquez.
Robespierre
30 janvier 2017 @ 11:35
Il faut écrire « parler » parce que c’est le cas du verbe employé comme substantif. On dit et écrit aussi, » le boire », » le manger », » le parler » , « le savoir » . On peut aussi employer comme substantif un adverbe ou un adjectif. Exemples, » le pourquoi, « le comment », « le bien » ou » le beau », » le laid », » le ridicule ».
Et quand on parle d’une langue, il vaut mieux employer les minuscules. « Je parle français » et pas Français. Mais je trouve qu’en comparaison de ce qu’on lit sur internet, vous êtes encore d’un bon niveau.
Robespierre
30 janvier 2017 @ 11:36
Et nous faisons tous des fautes d’inattention. Moi j’en fais souvent quand je ne me relis pas.
Baboula
30 janvier 2017 @ 19:36
C’est-y que vous auriez fait vos humanités .? Réthorique,orthographe ,lorsque c’est bien assimilé ça fait de beaux écrits ! Merci de nous éclairer.
Mary
30 janvier 2017 @ 16:39
On écrit »la langue parlée » mais vous le savez déjà,en revanche,on écrit » le parler « , comme » le boire et le manger » (sans guillemets bien sûr).
Raison toute simple : si on met un article devant un infinitif,il devient un nom »la douleur du partir » et autres exemples,
.
Baboula
30 janvier 2017 @ 19:40
« Et ne connaître de saisons que par la douleur du partir »
C’est beau quand c’est triste .
Pascal
30 janvier 2017 @ 18:01
Et bien je vous remercie de ces précisions , pour ne pas dire de cette leçon !
Robespierre
31 janvier 2017 @ 11:10
Vous êtes tout excusé, parce qu’il y a des substantifs qui sont faits avec des participes passés. Par exemple, « un repenti ». Donc ce cas était un peu épineux.
Muscate-Valeska de Lisabé
29 janvier 2017 @ 09:22
Je ne conçois pas qu’on puisse encore faire le distingo entre hommes et femmes, en ce domaine. ..^^
adriana
29 janvier 2017 @ 09:27
toujours un plaisir de voir cette jolie princesse
maman monique
29 janvier 2017 @ 10:22
Je ne suis pas féministe mais mes sincères felicitations a cette femme entrepreneur.
Mary comme toujours élégante
Arielle
29 janvier 2017 @ 11:01
« la femme entrepreneur de l’année » : parfaitement bien dit.
Danielle
29 janvier 2017 @ 11:13
Dans ce domaine, nous sommes loin de l’égalité entre hommes et femmes et il serait souhaitable que de telles remises de prix soient de plus en plus nombreuses.
ciboulette
29 janvier 2017 @ 17:40
Bravo , Pascal , je partage entièrement votre avis !
Sarita
29 janvier 2017 @ 18:11
Sans mes lunettes, j’ai cru qu’elle avait décerné un prix à Marc Lavoine ;-)
Carole 007
30 janvier 2017 @ 22:02
Ha ha, moi aussi Sarita.
Je l’ai croisé au Starbucks du Louvre il y a quelques mois, charmant ce monsieur.
Sarita
1 février 2017 @ 23:16
Chanceuse…Le genre d’hommes qui vieillit bien :-)