Dans la famille Sayn-Wittgenstein, tous les lecteurs de Noblesse et Royautés connaissaient le prince Richard, époux de la princesse Benedikte de Danemark, décédé le mois dernier. Désormais, il faut compter avec un autre membre de cette illustre famille : le prince August de Sayn-Wittgenstein-Berleburg, qui a démarré il y a une dizaine d’années une carrière d’acteur sous le nom d’August Wittgenstein.
On peut le voir en ce moment dans une mini-série diffusée sur Arte intitulée Kudamm 56. L’histoire est concentrée autour des figures d’une mère autoritaire, propriétaire d’une académie de danse de salon, et de ses trois filles, sommées par leur mère de faire des mariages respectables et de se conduire en épouses parfaites. August Wittgenstein incarne l’époux de la fille ainée, Helga, un jeune magistrat, prisonnier, comme une partie des personnages de la série, du conformisme social (nous sommes dans la bourgeoisie berlinoise du milieu des années 50) et qui tente de combattre son homosexualité.
Né en 1981, August est le fils du prince Ludwig Ferdinand de Sayn-Wittgenstein-Berleburg et de la comtesse Yvonne Wachmeister af Johannishus. Une de ses sœurs, la princesse Anna, est l’épouse du prince Manuel de Bavière.
Les trois premiers épisodes de Kudamm 56 ont été diffusés jeudi 6, (mais visibles une semaine sur Arte replay) et les trois suivants le seront le jeudi 13 avril 2017. (Merci à Pierre Yves pour cet article)
Carole 007
7 avril 2017 @ 08:31
Ah oui, merci Pierre-Yves, c’est agréable tout au matin de se retrouver en tête à tête avec ce prince.
Voilà une très jolie façon de porter la barbe.
Pierre-Yves
7 avril 2017 @ 13:38
Ce joli prince, c’est cadeau pour tout le monde, pas que pour vous !
marielouise
8 avril 2017 @ 14:17
Oui , Pierre-Yves …il me paraît fort sympathique et tellement beau…la génération de mes fils!!!!! J’adore!
J’ai enregistré la série…mais pas encore visionné!
ml
Carole 007
8 avril 2017 @ 22:00
J’espère qu’il n’est pas tatoué comme The Prince of Venice…
Robespierre
10 avril 2017 @ 19:56
A vrai dire, nous n’en savons rien.
JAY
7 avril 2017 @ 09:33
Très bel homme.
Beaucoup d’ aristocrates se sont essayer au cinéma ou théâtre ….
Princesse Théodora de Grèce, Princesse Soraya d Iran, Princesse de Ira Fürstenberg, Princesse Marie Christine de Belgique, Lady Frederick Windsor, Sophie Winkleman (belle fille du Prince Mickael de Kent), etc
Régine
7 avril 2017 @ 11:00
http://www.noblesseetroyautes.com/princesses-au-cinema/
Caroline
7 avril 2017 @ 14:15
Egalement, une princesse allemande ayant joué dans un remake romantique de Cendrillon, je ne me souviens plus de son nom ! Il n’y a pas longtemps qu’elle a fait un beau mariage.
Ontheroadagain
8 avril 2017 @ 08:40
Et la Princesse Grace de Monaco, ou encore Clothilde Courau, Princesse de Venise…
Alinéas
7 avril 2017 @ 10:04
Quel homme charmant avec qui j’aimerais jouer dans une série !!!
Vitabel
7 avril 2017 @ 10:16
Cette série est tout à fait sympa avec de bons acteurs, comme le futur procureur joué par le prince August…
CAROLINE VM
7 avril 2017 @ 10:48
Plutôt beau garçon ! …en tout cas à mon goût!
Maridje
7 avril 2017 @ 10:51
Petite précision, la mini série en France porte le titre de Berlin 56. Intéressant de voir une famille, mentalité, évolution de la femme dans une période post nazi.
Robespierre
7 avril 2017 @ 14:54
J’aime bien les séries allemandes, et je conseille Deutschland 83. J’aurais aimé voir Berlin 56 mais j’ai regardé Macron hier sur France 2.
Robespierre
7 avril 2017 @ 18:18
je viens de visionner sur Arte deux episodes de cette miniserie, Berlin 56, c’est bien fait.
Marie de Cessy
9 avril 2017 @ 20:19
Sur votre conseil, je suis allée réserver Deutschland 83 à la médiathèque, je vous en dirais des nouvelles !
Mister M
7 avril 2017 @ 11:21
Wouaaah ! Voilà un prince plus que charmant !!!
Robespierre
7 avril 2017 @ 21:24
Très bon acteur aussi. Cela aurait été dommage de laisser gâcher ce talent .
Gauthier
7 avril 2017 @ 13:14
Amusant de voir comment le métier d’acteur peut être valorisant pour certains et dévalorisant pour d’autres (princesse Theodora de Grèce…)
Quant au synopsis de cette trilogie, découpée en 6 par Arte, c’est encore une fois l’idéologie dominante qui s’exprime, à travers des personnages caricaturaux et la sempiternelle lute des anciens contre les modernes!
Pierre-Yves
8 avril 2017 @ 09:57
Je n’avais pas vu les choses ainsi, Gauthier, mais si vous le dîtes …
Je me demande néanmoins ce qu’aurait été cette histoire baignée d’une éventuelle idéologie »alternative » ou »marginale ».
Ceci dit, les tensions entre anciens et modernes sont aussi vieilles que le monde, à l’oeuvre partout aujourd’hui encore, et ici même, sur toutes sortes de sujets. Nous les faisons vivre, les entretenons en permanence. Elles sont consusbstantielles à la marche du monde et à la vie des hommes. Dans ces conditions, pourquoi et comment les évincer ?
Gauthier
10 avril 2017 @ 13:18
Cher Pierre-Yves, si cette série avait été baignée de ce que vous appelez une idéologie « alternative » ou « marginale », certains auraient hurlé au loup en criant à l’œuvre de propagande, vantant des valeurs « rétrogrades » ou « dévalorisantes ». Je vous renvoie à certains commentaires ci-dessous, qui renvoient une bien piètre image du rôle pourtant primordial de la femme dans la société il y a encore cinquante ans.
Quant aux tensions entre anciens et modernes, ne trouvez-vous pas, vous que je devine très proche du circuit culturel, qu’une œuvre de fiction comme cette série aurait pu faire preuve d’originalité et ne pas utiliser, encore une fois, cette ficelle qui en devient grossière à force d’avoir été utilisée?
Pierre-Yves
10 avril 2017 @ 23:01
Ce qui aurait été transgressif, si je vous suis bien, c’était de montrer des jeunes femmes épanouies dans leur obéissance à une mère nullement castratrice mais au contraire bienveillante, ravies de leur condition d’épouse et de future mère, totalement à l’aise avec le passé récent.
Soit; mais on n’aurait pas vu grand chose de ce qui s’est joué dans la société allemande des années 50 et 60 et du coup, la crédibilité du film en aurait été très affectée. Sans compter que du point de vue dramatique, ce côté Alice au pays des merveilles nous aurait terrassé d’ennui au bout de 10 minutes de film.
Le principe de faire se confronter des personnages éprouvant des aspirations contraires, des gens qui voudraient que l’ordre établi le reste et d’autres qui s’y sentent entravés et qui désirent que les coutures s’assouplissent ou pètent, est par essence plausible, vraisemblable, car la vie est faite de cela.
Les personnages pris dans un carcan qui les étouffe existaient à cette époque (et peut-être aujourd’hui encore) et sont presque toujours intéressants à observer. Ceux qui, à côté des premiers, sont incapables de concevoir cet étouffement sont tout aussi fascinants d’ailleurs.
Donc, non, je ne trouve pas qu’il s’agisse a priori d’une ficelle grossière, mais au contraire d’un ressort dramatique souvent pertinent, sous réserve, évidemment, que le scénario et que la réalisation tiennent la route.
Robespierre
11 avril 2017 @ 07:26
Laissez tomber, Pierre-Yves. Comme je l’ai écrit ci-dessous, il y a des gens critiquent un film qu’ils n’ont pas vu et un livre qu’ils n’ont pas lu. Pour montrer qu’ils sont plus intelligents que tout le monde. Finalement, pas besoin d’argumenter parce que ça se résume à ça.
Gauthier
11 avril 2017 @ 11:08
Cher Pierre-Yves, ne pouvez-vous vraiment concevoir l’Art que comme transgression? Ce n’est pas la première fois que vous partez de ce postulat, qui personnellement me rappelle avant tout les « errances » (appelons cela comme ça pour faire bref) de la politique culturelle de Jack Lang….
Vous reconnaîtrez avec moi que le tableau peint par cette série n’est qu’une énième resucée, dans le fond, et même s’il y a quelques variantes, de ce que la fiction française a produit en qualité industrielle sur la « formidable » année 1968, la « libération » qu’elle a produit, et le bonheur total qui est le nôtre depuis lors comparé aux pauvres êtres humains qui ont vécu « pendant des siècles » dans le « carcan » des conventions!
Vous pouvez être ébloui par cette trame maintes et maintes fois utilisée, mais pour moi je peux également bailler d’ennui. D’autant plus qu’ici rien n’a été oublié: la spoliation des biens juifs, le père disparu qui réapparaît dans un cénacle de nostalgiques du nazisme, la belle-mère forcément psycho-rigide, le gendre forcément homosexuel refoulé, le fils de famille frustré de ne pouvoir se mesurer à son père, etc.
Pierre-Yves
11 avril 2017 @ 14:04
D’abord, pour apporter une juste nuance à votre propos qui en manque singulièrement, cette série n’est pas, pour moi, éblouissante. Simplement, et ça n’est pas du tout la même chose, je la trouve dans l’ensemble solide, intéressante, et honnêtement réalisée.
Ensuite, pourquoi serait-ce une faute, ou une faiblesse, d’y aborder les sujets qui traversaient la société allemande de ce temps-là, sujets que, d’une phrase désinvolte, vous réduisez à l’état de pesants clichés ?
Pourquoi ne le ferait-on pas ? Qu’est-ce qui vous ennuie tellement là-dedans ?
De quoi vous semblerait-il juste et opportun que cette fiction sur les années d’après-guerre parle ? De la grandeur de l’Allemagne, de son splendide redressement, de ce goût de l’ordre, de cette discipline sereine propre à ce peuple, qui suppose que les hommes soient industrieux et apportent le confort au foyer et les femmes de parfaites mères et maîtresses de maison ?
Mais qui va croire et s’intéresser à un film tout occupé à dépeindre cette vision idéalisée, ripolinée des choses ? Il se trouve, même si vous le déplorez, que cette organisation sociale bien rangée a de facto été chahutée dans les années 60 et 70, et il faudrait ne pas le montrer ?
Ce qui rend compliqués les échanges avec vous, c’est qu’une seule chose semble ressortir de vos propos: votre détestation de tout ce qui, de près ou de loin, vous parait marqué par l’empreinte bobo, l’héritage de 68 en somme, ce fourre-tout si commode pour y enfourner tout ce qui vous hérisse. Au point que ça ressemblerait presque à une idée fixe.
Voyez-vous, Gauthier, c’est un peu court; je crois que si l’on prétend aimer l’échange et le rechercher, on ne peut pas se contenter de fustiger, de vilipender, de dénoncer. Daignez nous Instruire de ce que, à côté de votre catholicisme bien trempé, vous aimez dans la vie et dans l’art, de ce qui vous fait vibrer et vous enthousiasme. Confrontons nos goûts, c’est cela qui est enrichissant. Mais cela, je crois vous l’avoir déjà suggéré.
Dernière chose, pour mettre de l’eau à votre moulin: en matière d’art, j’aime assez, en effet, être un peu bousculé, et je crois aux vertus d’une ceraine dose de transgression. Si les Impressionnistes n’avaient pas, dans les années 1870, transgressé les règles picturales, et dans un premier temps voués aux gémonies pour cela, on aurait pu continuer longtemps à souper de l’art académique du XIXème et on se serait bêtement privé d’un courant habité par la beauté. Donc, oui, secouer les habitudes et l’ordre établi, je suis loin d’être contre.
Stéphane G.
12 avril 2017 @ 12:22
Robespierre, vous avez vu juste concernant ce triste sire de Gauthier qui reprend le lexique des néo-conservateurs plaqué sur tout sujet « idéologie dominante », « politiquement correct », « errance de la politique culturelle », « mépris du sacré » que sais-je encore.
Le jour où il apprendra qu’il existe des conservateurs éclairés il tombera de sa chaise. Passéiste pour passer pour bourgeois et se faire valoir et exister.
Gauthier
13 avril 2017 @ 10:38
Cher Pierre-Yves, ai-je parlé de faute ou de faiblesse au sujet de cette série? Non, j’ai juste parlé de caricature plutôt orientée. Et c’est cette orientation qui me chagrine, car cette série semble être prise par certains commentateurs ici comme un véritable témoignage de première main, un documentaire sur l’Allemagne des années 50, et non comme l’œuvre de fiction qu’elle est. Un documentaire et une œuvre de fiction, ce sont pourtant deux choses bien différentes, mais bon….
Je me doutais que mon évocation du joli mois de mai vous ferait réagir. Je vous avoue même l’avoir fait comme un clin d’œil amical, eh oui. Donc non, nous ne sommes pas là dans l’idée fixe. J’ai évoqué l’absolue nécessité dans la fiction française de célébrer mai 68, et la nécessité corollaire d’en camoufler les conséquences moins positives. Vous-même, Pierre-Yves, qui avez convenu comme moi de la nécessité que l’Etat réaffirme son autorité, ne me donnerez pas tort sur ce point.
Je ne crois pas me contenter de fustiger, vilipender ou dénoncer ici, pas plus que la moyenne des commentateurs en tous cas. Nous avons déjà échangé sur ce point cher Pierre-Yves, et je continue à croire que ni vous ni moi ne songions un seul instant à nous crêper le chignon au sujet des tailleurs Chanel de la princesse de Hanovre ou des absences de la princesse de Monaco. Une question, si vous le permettez: que vient faire mon catholicisme, que vous estimez bien trempé, dans votre discours? Je ne vois guère pourquoi j’étalerais mes enthousiasmes artistiques ici. D’autres commentateurs le font bien mieux que moi…
Bousculer les habitudes peut parfois être sain, en effet. Mais bousculer les habitudes ne veut pas dire détruire les fondements d’une société sous prétexte de les railler, et surtout sans proposer aucune alternative crédible pour reconstruire ensuite. C’est là la spécificité de l’époque contemporaine, et je suis loin d’être le seul à le dire.
Je vais quand même terminer sur une note amusante: j’aime beaucoup les Impressionnistes, moi aussi. Vous voyez que nous sommes probablement beaucoup plus proches que vous ne l’imaginez! :-)
Gauthier
13 avril 2017 @ 10:40
Nous sommes probablement fort nombreux ici, cher Stéphane G., à attendre avec grande impatience la publication de votre thèse consacrée au conservatisme éclairé. De grâce, cher ami, ne nous faites pas languir trop longtemps….
ambre
10 avril 2017 @ 10:20
Je suis de votre avis : le scénario et le jeu des acteurs ne sont pas très subtils.
Stéphane G.
10 avril 2017 @ 12:02
c’est mieux pour Gauthier croyez moi!
Gauthier
10 avril 2017 @ 13:19
J’ai vu cette série, et j’en pense la même chose, Ambre. Même si je reconnais que les décors et accessoires sont parfaitement et superbement maîtrisés.
ambre
11 avril 2017 @ 13:59
C’est vrai que c’est joli et plein de couleurs. Mais les personnages sont vraiment des caricatures. Et pour moi, ça nuit à l’intérêt du scénario.
Gauthier
13 avril 2017 @ 10:40
Ambre, je partage entièrement votre avis sur cette fiction.
j21
7 avril 2017 @ 13:31
J’ai regardé les 3 premiers épisodes de cette série Berlin 56, hier au soir sur Arte et j’attends avec impatience les 3 autres jeudi prochain. Cette série est très intéressante et émouvante. J’ai été particulièrement émue par la jeune épouse du « prince » pleine d’illusions avant son mariage et de désillusions après. On ne peut imaginer ce qu’était la soumission de la femme à la maison il y a 50 ans, même en Allemagne dans les milieux aisés. Cette série pointe aussi d’autres thèmes comme le traitement des malades en psychiatrie, les électrochocs comme traitements ordinaires, l,homosexualité, les anciens nazis redevenus des citoyens ordinaires, les débuts du rock avec Elwis Presley. J’ai vraiment aimé.
Robespierre
9 avril 2017 @ 10:16
Cher(e) j21, je vous conseille de voir le film « Fritz Bauer », je l’ai vu dans un ciné club mais c’est le genre de film qui doit passer sur Arte.
Gauthier
10 avril 2017 @ 13:12
J21, faire d’une femme au foyer une femme soumise est un jugement de valeur vraiment caricatural. Les travaux ménager seraient-ils à ce point déshonorants??
j21
10 avril 2017 @ 20:26
déshonorants certes non, mais en 1950 les travaux ménagers étaient aliénants avec pour conséquence l’impossibilité pour de nombreuses femmes mariées de travailler à l’extérieur et de ce fait de dépendre du bon vouloir de leur époux. C’est cette dépendance que j’ai voulu évoquer en parlant de soumission.
Robespierre
11 avril 2017 @ 07:33
Ce qui était intéressant dans cette serie, c’était de voir les séquelles des doctrines nazies sur les femmes juste bonnes à procréer et mitonner des petits plats à leur mari. Et comment trois jeunes femmes réagissent à cela. Et quand on voit que la population allemande a diminué, on voit le lien entre la situation actuelle et une idéologie qui a vraiment imprégné les mentalités. En France, la démographie se porte bien parce que les femmes peuvent travailler et avoir des enfants en même temps. Quant à l’homosexualité, les generations d’aujourd ‘hui ne se rendent pas compte que c’était un réel problème dans un pays qui pénalisait cette orientation. Ce qui mène au chantage, comme le film « Fritz Bauer » dont j’ai parlé le montre. Question sociologie, Berlin 56 est une série intéressante.
Gauthier
11 avril 2017 @ 12:03
Vous appliquez à une situation qui a perduré plusieurs siècles une grille de lecture contemporaine: partant, il semble outrageant que la femme soit « soumise » à son mari.
Muscate-Valeska de Lisabé
7 avril 2017 @ 13:38
Est-il gay dans la vraie vie?Beau et fin comme il l’est,ça se pourrait. ..^^
Baya
8 avril 2017 @ 16:43
Non je ne pense pas, vu dans la presse il s’est séparé de sa compagne récemment, mais cela ne prouve rien ☺
Actarus
9 avril 2017 @ 12:03
Ça prouve seulement qu’il va peut-être imiter Lady Chatturlante. ;-)
Lady Chatturlante
10 avril 2017 @ 12:02
Quelle belle robe de mariée.
Marie de Cessy
12 avril 2017 @ 21:06
Oui je trouve aussi chère Lady Chatturlante !
Elle est très belle
Olivier d'Abington
9 avril 2017 @ 01:29
Chère Muscate-Valeska,
Faites attention avec ce genre d’a priori!
Je peux vous dire que je connais un paquet de garçons « beaux et fins » comme vous dites, et qui ne sont pas du tout gays (hélas)!
De même que j’en connais un paquet plutôt « rugby men » et trèèèèès gays!
Mais, bon, j’avoue, comme vous, je serais curieux de savoir!
Muscate-Valeska de Lisabé
9 avril 2017 @ 10:41
Cher Olivier,pour avoir croisé la route d’hommes aussi divinement beaux que résolument gays,je me suis posé la question en voyant ce visage très fin et séduisant qui doit plaire aux deux sexes…ce n’est pas choquant, comme vous dites,c’est juste de la curiosité où je ne mets rien de malsain,car pour moi les amours homosexuelles sont admises et comprises sans jugement depuis longtemps. ..;-))
L’important,c’est d’aimer!
Bon Dimanche à vous♡.
Actarus
9 avril 2017 @ 21:35
Il est beau (sans être divin) sur la photo en noir et blanc, mais plutôt quelconque sur celle du jour de son mariage. Comme quoi, il vaut mieux rester célibataire ! ;-)
Muscate-Valeska de Lisabé
10 avril 2017 @ 12:46
Vous prêchez pour quelle paroisse,bel Actarus? ;-)
Olivier d'Abington
10 avril 2017 @ 13:35
Cher Actarus,
La photo de mariage est tirée de la série dans laquelle il joue!
Il est donc maquillé pour « ressembler » à son personnage!
jeanne
10 avril 2017 @ 14:13
C’est une photo tirée de la série : son mariage de fiction ;)
ambre
10 avril 2017 @ 14:16
En effet, il n’est pas très à son avantage dans la série, tout plein de coinçure qu’il est ;-)
Actarus
11 avril 2017 @ 12:37
Ah bon, j’ignorais que c’était un mariage de cinéma. Excusez mon ignorance, à force de vivre sous d’autres latitudes j’en perds le fil et la jarretière. ;-)
Olivier d'Abington
10 avril 2017 @ 13:38
Chère Muscate,
Qu’il plaise aux deux sexes, ça à n’en pas douter!
Et, ne vous méprenez pas, mon post ne visais qu’à vous avertir de vous méfier des apparences!
Je suis en première ligne (avec vous!) dans l’attente de « découvrir le pot aux roses » quand à ce prince qui cumule les atouts!
Roze
9 avril 2017 @ 11:35
Consternant votre commentaire! Digne d’un autre âge mais cela ne m’étonne guère…
Muscate-Valeska de Lisabé
10 avril 2017 @ 10:09
Vous êtes dans l’erreur et c’est regrettable,Roze.
Roze
10 avril 2017 @ 20:45
Ce qui est regrettable c’est votre jugement hâtif!
Muscate-Valeska de Lisabé
11 avril 2017 @ 13:00
Justement non,car il n’y avait aucun jugement, juste une interrogation, que certains esprits bien tournés ont parfaitement saisie ici.Si vous n’en êtes pas,tant pis.Pour vous,car j’ai ma conscience pour moi.
Pepsi
10 avril 2017 @ 14:08
Lamentable….
Olivier d'Abington
7 avril 2017 @ 14:46
Alors, comme on dit par chez moi…
Ce prince-là ne dormirait pas dans la baignoire.
Il dégage une présence qui augure bien pour sa carrière.
Jean Pierre
7 avril 2017 @ 14:53
Qu’en aurait donc pensé le fameux grand père?
maman monique
7 avril 2017 @ 15:36
Quel bel homme craquant.
Bernadette
7 avril 2017 @ 15:47
Le prince Ludwig Ferdinand est il un frère du prince Richard ?
Juliette
7 avril 2017 @ 18:16
Et dire qu’hier je regardais cette série sans le savoir.
Ce jeune homme est donc aussi le frère de la princesse Anna de Bavière. Cette dernière était présente aux Mariages des 3 enfants du roi de Suède et à la célébration de ses 70 ans l’an dernier. Tous deux ont une mère suédoise, la comtesse Yvonne Wachmeister af Johannishus.
Merci à Régine de répondre indirectement à ma demande d’information concernant les membres de la famille du prince Richard Sayn-Wittgenstein-Berleburg.
Marie de roanne
7 avril 2017 @ 19:27
Beau garçon sourire ravageur….
Antoine
7 avril 2017 @ 20:02
Visage aux traits réguliers et au sourire radieux …..
Annmaule
7 avril 2017 @ 21:26
Mais vous voyez bien que les princes charmants existent!!!!!
Muscate-Valeska de Lisabé
8 avril 2017 @ 12:07
Oui,mais je crois qu’il ne serait pas pour nous,les filles, celui-là. ^^
Pepsi
10 avril 2017 @ 14:10
Et vous persévérez! Vraiment les a priori d ‘un autre age ne sont pas synonymes d’intelligence. Merci de vous illustrer une nouvelle fois par vos commentaires stupides.
Antoine
10 avril 2017 @ 22:31
Pepsi, on peut dire les choses sans agresser !
Muscate-Valeska de Lisabé
11 avril 2017 @ 13:04
Ces pseudos qui ne commentent pas souvent^^ me font un procès de mauvaise foi,car ce qui semble être pour eux un point tabou et gênant, pour moi ce n’en est pas un,justement. De nos jours,on a souvent la simple curiosité de se poser la question. Il faut vivre avec son temps.
Pepsi
11 avril 2017 @ 13:34
Je n’agresse pas, rassurez vous, je suis juste atterré par tant de bêtise…
Baya
14 avril 2017 @ 11:15
Pepsi je vous conseille de partir vous noyer dans vos bulles, vous êtes pathétique
Sylvie-Laure
8 avril 2017 @ 05:12
Lire le reportage sur Anna, la soeur de ce prince, dans rubrique Joyaux, ou Bavière, en date du 7/9/2015.
Robespierre
8 avril 2017 @ 06:47
C’est amusant de voir dans cette minisérie la bonne Hausfrau, menagère modèle allemande, qui mitonne de bons petits plats pour son mari. On voit les restes des enseignements du nazisme avec la femme au foyer, et sans profession. Je ne connais pas bien l’Allemagne, mais je sais qu’il y a peu de solutions d’accueil de jeunes enfants pour les femmes qui travaillent. Parfois je me demande si le bas taux de natalité en Allemagne n’est pas dû à l’absence de crèches. La description de la classe moyenne allemande au lendemain de la Guerre dans la minisérie est intéressante. On voit que presque tous les gens âgés sont d’anciens nazis. L’homosexualité est encore considérée comme un délit et une déviance à cette époque.
En France, après le Pétainisme, on n’a pas vu dans les années cinquante exalter autant qu’en Allemagne le rôle de la mère au foyer, bonne ménagère. Les Nazis ont bien imprégné la société allemande de leurs valeurs . Hitler ne voulait pas que les femmes mariées aillent travailler, et avec Erdogan, on voit la même chose.
Un des meilleurs films que j’aie vus ces dernieres années est un film allemand qui aborde le problème de l’homosexualité = délit. « Fritz Bauer » un procureur qui traque Eichman mais à qui sa hierarchie, restée antisémite, met des bâtons dans les roues. Il finit par s’adresser aux Israeliens pour l’aider, ce qui est un délit. Son adjoint est homosexuel et on le piège pour ensuite lui faire dénoncer Fritz Bauer. L’adjoint préfère aller en prison que céder à ce chantage sur son homosexualité. Cela se passait trois ans avant la mini serie Berlin 56.
Robespierre
8 avril 2017 @ 06:53
Non, cela se passait trois ans APRES la mini serie
Marie de Bourgogne
9 avril 2017 @ 08:20
L’absence de crèches plus les horaires des écoles sont effectivement de sérieux freins pour les allemand(e)s en terme de maternité.
Rien n’est fait pour les encourager à avoir des enfants.
Robespierre
9 avril 2017 @ 10:20
On cite toujours l’Allemagne en exemple sur un tas de sujets, dont l’économie et la gestion du pays, mais ils n’ont pas su gérer la gestion de leur population en décourageant les femmes à procréer. Quand dans un pays une femme doit choisir entre travailler et procréer, c’est organiser la diminution d’une population. J’ai connu un Allemand dont la femme très diplomée, avait dû renoncer à travailler parce qu’elle n’avait pas de solution pour garder ses enfants. Elle était très frustrée et en plus n’a pas eu de pension.
ambre
10 avril 2017 @ 14:19
Et les infrastructures ne sont pas les seules en cause : les jugements du plus grand nombre quant à ce que doit être une mère et comment elle doit se comporter sont aussi en cause.
Résultat : le taux de natalité en Allemagne est en chute libre.
Gauthier
10 avril 2017 @ 13:10
Robespierre, rassurez-moi, vous ne considérez quand même pas que les femmes au foyer sont d’office gagnées aux théories nazies? Je me permets de vous rappeler que, jusqu’aux années 60, la plupart des femmes n’avaient pas de profession, et étaient même très fières de s’occuper de leur famille à temps plein. Ce n’est qu’à partir des années 70 qu’on s’est senti obligé de considérer qu’une femme au foyer avait forcément raté sa vie, et qu’on a ressenti du dédain envers les femmes qui n’avaient pas d’activité professionnelle.
Dans le même ordre d’idée, faire de tous les Allemands majeurs lors de la IIème Guerre mondiale des nazis me semble ridiculement caricatural. Il y avait des nazis convaincus, certes, des opposants au nazisme également, et surtout une majorité qui ne prenait pas parti. Faut-il leur jeter la pierre? Je rappelle également que, à la même époque, tous els Français n’étaient pas d’office ou collaborateurs ou résistants….
HRC
8 avril 2017 @ 10:39
juste pour soutenir les messages de J21 et Robespierre, et je repars chez moi….
mes premiers séjours scolaires en RFA en 59 et 61, vraiment très jeune….
Hilde
8 avril 2017 @ 10:44
Berlin 56 est une série trés interresante à découvrir .
Robespierre
9 avril 2017 @ 10:15
C’est surtout une série qui fait réfléchir.
Milena K
8 avril 2017 @ 11:19
Il est fort séduisant.Rien à voir avec ses cousins.
Marie de Cessy
8 avril 2017 @ 13:48
En effet il est beau garçon.
Il a aussi joué dans le film « Anges et Démons » le rôle d’un garde suisse et il sera dans la 2ème saison de The Crown.
Je dois dire que la série Berlin 56 est excellente et très intéressante d’un point de vue historique de voir cette génération post 2ème guerre mondiale qui demande des comptes à ses aînés et tente de mener une vie différente.
Peu importe que cet homme dans sa vie privée il soit gay on le lui demande pas d’être gay mais d’être bon acteur.
C’est son choix de vie et cela nous ne regarde pas.
jo de st vic
9 avril 2017 @ 11:11
Olivier d’A.. vous avez entierement raison…je connais des gros baléses fort sympas qui sont gays ….Voici un jeune homme fort seduisant (gay ou pas) et bon acteur
jeanne
10 avril 2017 @ 09:06
Merci Pierre-Yves pour l’information sur cette mini-série. J’ai vu les 3 premiers épisodes hier, et j’ai beaucoup aimé. Vivement jeudi pour la suite.
Régine : ne pourriez-vous créé une rubrique « série » ou « films » reprenant Doowton abbey, the Crown, Berlin 56, ou comme aujourd’hui « la reine blanche » … ?
Merci beaucoup.
Robespierre
10 avril 2017 @ 20:20
A Gauthier
Vous voulez vraiment en découdre avec nous qui aimons cette mini série, et vous montrez surtout une chose : vous ne l’avez pas visionnée. Vous êtes comme ces gens qui veulent faire les intellos et qui critiquent des films qu’ils n’ont pas vus et des livres qu’ils n’ont pas lus. La jeune femme dont on parle est une femme soumise non parce qu’elle est femme au foyer mais parce qu’elle accepte tout de son procureur de mari, qu’elle considère si intelligent et d’une si bonne famille. Elle en est amoureuse et accepte ses sautes d’humeur. . Maintenant si une femme amoureuse qui accepte tout de l’homme qu’elle aime fait bien ou mal, je ne trancherai pas. On voit que vous n’avez vu le film ni lu des livres sur la société civile allemande sous Hitler. Une jeune femme avant de se marier devait suivre une formation de ménagère pour être une bonne mère et bonne épouse. Il y avait des ecoles, des internats, je crois pour cela; Il est normal qu’après la guerre, les mentalités n’aient pas évolué tout de suite. Vous avez si peu vu la série que vous ne savez pas qu’on évoque une spoliation de biens juifs par les nazis. L’entreprise qui est au coeur de l’histoire est dans ce cas. Vous faites le pédant personnage qui critique ce qu’il n’a pas examiné, et veut étaler des théories fumeuses, mais nous les gens moins intelligents, les peu évolués , nous nous sommes instruits d’une situation qui régnait en Allemagne à une certaine époque. Evoquer l’homosexualité réprimée, qui relève encore du délit, le post-nazisme et son amnésie ambiante, le besoin de justice que réclame une jeune fille cela nous a suffi à nous les pauvres d’esprit pour passer une bonne soirée.
Je suis bien sûr beaucoup moins intelligent que vous, moins cultivé, moins instruit, moins raffiné, mais quand je visionne une série européenne, c’est pour apprendre quelque chose, et quand le générique défile devant moi, être moins ignorant qu’avant. J’ai éprouvé cela avec le film allemand dont j’ai parlé à une intervenante et après la série Berlin 56.
Gauthier
11 avril 2017 @ 12:17
Robespierre, je ne souhaite en découdre avec personne. Vous semblez apprécier énormément cette série, c’est votre droit le plus strict; permettez néanmoins que je modère votre enthousiasme en rappelant certains éléments occultés dans votre analyse de cette série.
Contrairement à ce que vous avancez, sans la moindre preuve, j’ai vu la série; je considèrerais comme intellectuellement malhonnête d’en parler sans même l’avoir regardée! Et c’est parce que je l’ai regardée que je peux écrire, en toute légitimité, que les personnages sont outrés: la mère de famille forcément castratrice, la fille aînée réduite à l’esclavage d’un mariage prestigieux, le jeune marié forcément homosexuel refoulé, le père disparu en 1944 réapparaissant forcément au sein d’une assemblée de nostalgiques du nazisme, le bellâtre violeur qui, par son attitude envers les femmes entend se venger d’être « brimé » par son propre père, l’infirmière forcément amoureuse de son patron, etc.
Les cours d’économie domestique, que vous semblez prendre pour une marque de l’influence du nazisme sur la société allemande, étaient la norme dans la société occidentale jusque bien après 1945, et il n’y avait aucune idéologie d’extrême-droite derrière à l’origine.
Comme vous semblez chercher la polémique, je ne répondrai pas aux sous-entendus de votre réponse me concernant, sous-entendus que je considère comme hors de propos et indignes du niveau que vous voulez donner, en règle générale, à vos interventions sur ce site.
ambre
11 avril 2017 @ 14:39
Personnellement, je l’ai vue : du moins les 3 1ers épisodes et je l’ai trouvée caricaturale et pas intrigante du tout.
Je ne sais si c’est la direction d’acteurs mais je n’ai personnellement rien appris, et pourtant j’ai vu comme vous Fritz Bauer et lu quelques livres sur l’Allemagne nazie, notamment de personnes qui ont résisté à cette terrible période et qui l’ont décrite. Je trouve que leur témoignage est passionnant.
Mais là, je n’accroche pas. Une jeune fille qui étouffe et qui n’arrive pas à se faire respecter, la jeune épouse conditionnée par son éducation (personnellement, je ne l’ai pas vue amoureuse, simplement ravie de devenir une femme mariée à un jeune procureur et qui veut bien faire, ce qui n’est pas la même chose), l’infirmière volontaire et raide mais qui ne se pose finalement pas beaucoup de questions sur son métier, la mère tyrannique jusqu’à l’outrance et au ridicule, et des hommes quasiment tous falots (sauf… le danseur et le violeur !) : ça ne m’a pas dit grand chose de la vie à Berlin dans les années 50. Au mieux, c’est divertissant. Mais ça manque de profondeur et de suite dans les idées pour en faire quelque chose qui vaille la peine que j’y consacre encore 3 heures de mon temps libre.
Mais ce n’est pas grave, il y aura d’autres programmes !
Robespierre
12 avril 2017 @ 13:01
Mais Ambre, je trouve votre point de vue tout à fait respectable, car il est argumenté. Vous n’êtes pas méprisante et vous donnez vos arguments. Merci.
Cette série est faite pour divertir, et elle n’arrive pas au niveau du film « Fritz Bauer », mais c’est toujours le problème de la vulgarisation. Pour des jeunes qui ne connaissent rien du tout, la minisérie ouvre un pan de connaissances sur le passé. Et on peut aller plus au fond par la suite. J’ai lu quand j’étais tres jeune des bandes dessinées qui parlaient de personnages historiques, et j’ai voulu en savoir plus. Je ne saurais pas qui était par exemple Surcouf, si je n’avais lu des bandes dessinées. Elles ont été la clé de mon intérêt pour le Passé.
ambre
12 avril 2017 @ 21:43
Effectivement, vu sous cet angle, ça a probablement son intérêt. Peut-être que vous avez raison, qu’il faut commencer sur certains sujets par des choses plus simples avec des personnages plus stéréotypés.
Je me demande quand même pourquoi parfois la direction d’acteurs est aussi forcée. Plus j’y repense et plus je vois que c’est ça qui m’a gênée.
J’aime bien le cinéma allemand en général, y compris certaines comédies. Dernièrement (il y a un ou 2 ans ?), j’avais beaucoup aimé le Labyrinthe du Silence. Et avant ça, La Vague, et Sophie Scholl, les Derniers Jours. A montrer dans tous les lycées !
Gauthier
13 avril 2017 @ 10:43
Ainsi donc, Robespierre, sous-entendre qu’un contradicteur n’a pas vu la série remplace toute argumentation dans votre chef. Et ensuite vous osez parler de mépris….
Surprenant!
Stéphane G.
13 avril 2017 @ 12:19
ben oui vous parlez, dissertez, disséquez de ce que vous n’avez pas vu!!!!!!!!! je ne comprends pas qu’il faille aller au delà de cette phrase!!!!!!!!
Baya
14 avril 2017 @ 11:18
J’ai recherché le film Fritz Bauer et je ne trouve nulle part, dommage. Sinon j’ai vu hier soir les 3 derniers épisodes, un peu déçue par le choix de vie des 3 jeunes soeurs mais bon c’est une fiction…
Robespierre
16 avril 2017 @ 16:43
Regardez sur un moteur de recherche, Google par ex, « Fritz Bauer le héros allemand » et on vous donne plusieurs liens sur le film.
Gauthier
13 avril 2017 @ 10:50
Ambre, encore une fois votre point de vue rejoint le mien. Cette série est une fiction, pas un documentaire basé sur des témoignages fiables.
Comme vous le dites, il y aura probablement mieux un jour.
HRC
11 avril 2017 @ 21:52
« nous sommes instruits… » J’aime beaucoup ce passage, Robespierre.
Dans les lycées de Jeunes Filles des années cinquante et avant 68, il y avait plein de filles de médecins avocats magistrats.. qui préparaient le bac avec l’intention de travailler et de se marier, sans rupture avec l’Eglise d’alors.
Gauthier
13 avril 2017 @ 10:46
La même situation existait en Allemagne à la même époque, et des membres de mon entourage proche peuvent en témoigner HRC, et contrairement à ce que prétend Robespierre qui ne voit aux jeunes filles allemandes de l’époque que les arts ménagers comme unique porte de sortie dans une société toujours dominée par l’idéologie nazie….
Stéphane G.
12 avril 2017 @ 12:14
Robespierre,
merci de la justesse et de la pondération de vos propos!
Robespierre
12 avril 2017 @ 17:08
you are welcome, Stepha !ne
Margaux ?
17 avril 2017 @ 17:48
Miam miam… ?