Cet ouvrage revient sur le mythe des « cygnes de la Cinquième avenue ». Ces femmes de la haute société new-yorkaise dans les années 1950 admirées pour leur grâce, leur élégance innée, et fréquentant tous les cercles les plus feutrés auprès des dynasties comme les Vanderbilt.


Babe Paley est l’exemple même de ce mythe. Un temps rédactrice mode chez Vogue, elle st élue par Time magazine la femme la plus élégante du monde en 1945 et 1946. Elle avait auparavant été distinguée en deuxième position derrière la duchesse de Windsor. Mariée à deux reprises et mère de quatre enfants, Babe Paley en dépit de sa fortune, traîne derrière elle un sentiment de profonde solitude.


Un jour, elle croise le chemin de Truman Capote avec qui elle se lie d’une profonde amitié. Truman qui croque les mondanités de la Cafe society, lui donne de la couleur dans sa vie.

Babe Paley portait avec raffinement les bijoux de Fulco di Verdura et de Jean Schlumberger. Grande fumeuse, elle décède en 1976 des suites d’un cancer des poumons, ayant planifié ses funérailles dans les moindres détails.

Les cygnes de la Cinquième avenue avec Babe Paley, Gloria Guinness ou Marella Agnelli au centre de cet ouvrage sous la plume de Mélanie Benjamin vous plongera dans cette ambiance si particulière qui régnait alors dans la haute société à New York.

« Les cygnes de la Cinquième Avenue », Mélanie Benjamin, Albin Michel, 2017, 432 p