La princesse Kako du Japon, deuxième fille du prince Akishino et de la princesse Kiko, étudie actuellement à l’ICU (International Christian University de Tokyo). En septembre prochain, la princesse poursuivra sa formation académique à l’Université de Leeds dans le cadre d’un programme d’échange entre les deux universités. La princesse Kako n’a pas encore choisi sa spécialité, mais s’est particulièrement intéressée à la psychologie et à l’art.
Sa soeur aînée, la princesse Mako, était quant à elle partie en programme d’échange en 2012-2013 à l’Université d’Edimburgh. Elle est à présent inscrite depuis l’année dernière en doctorat d’archéologie à ICU. (Merci à Olivier)
Bambou
27 avril 2017 @ 06:27
Elle va enfin voir autre chose que l’austère cour impériale du Japon.
Severina
27 avril 2017 @ 08:39
Ces princesses, qui n’ont pas besoin de devenir des professionnelles, peuvent étudier suivant les intérêts le plus divers! Au moins, en Japon, ce n’est pas la mode!
Olivier d'Abington
27 avril 2017 @ 14:25
Severina,
Non, les princesses japonaises (les princes non plus d’ailleurs) n’étudient pas « selon les intérêts les plus divers », mais parce que la famille impériale a une interdiction formelle de s’intéresser à la politique où à tout ce qui peut s’y rapporter (économie, business, etc.).
Cependant, il est vrai, la diversité culturelle est très prisée des entreprises japonaises (contrairement aux françaises qui veulent recrutés des étudiants pré-formatés à leurs désidératas), puisque les étudiants recrutés avant même l’obtention de leur diplômes seront formés directement par l’entreprise une fois embauchés.
Au Japon, il n’y a absolument pas besoin d’avoir un diplôme dans le domaine pour lequel vous allez être recruté, ce qui permet une diversité de profils dans les entreprises. Et une facilité d’accès à l’emploi.
Certains étudiants que je connais ont été recrutés pour des emplois dont ils n’ont absolument pas le « profil »… Mais les entreprises trouvent cela parfaitement normal, puisque, de toute façon, il n’y a qu’une formation « sur le terrain » qui permet d’être vraiment formé pour ce qu’ils vont faire dans cette entreprise.
Et, ainsi, ils ne sont pas non plus forcés de faire des dizaines de « stages » non payés (ou à coup de lance-pierre), pour trouver un boulot digne de ce nom.
Severina
29 avril 2017 @ 13:43
Merci, Olivier d’Abington, pour votres explications, je ne savais pas tout ça.
Michèle Lobre
27 avril 2017 @ 08:53
Ravissante princesse de son époque qui ne se contente plus d’inaugurer les chrysanthèmes !
Danielle
27 avril 2017 @ 09:34
Brillantes princesses à qui je souhaite d’excellents résultats et un beau et bon parcours professionnel.
JAY
27 avril 2017 @ 10:13
C est pas avec une telle spécialisation qu’elle va trouver un travail !
Olivier d'Abington
27 avril 2017 @ 14:30
Cher Jay,
Désolé de vous décevoir, mais si!
C’est avec ce genre de profil qu’on trouve du travail au Japon!
Parce que les entreprises ont très bien compris qu’une diversité de profils est nécessaire pour faire fonctionner la créativité des entreprises.
Cela fait d’ailleurs une dizaine d’années que les Etats-Unis sont aussi revenus sur la stupide idée de recruter des gens pré-formatés sur le même moule en X exemplaires… Ils se sont rendus compte (mais pas encore les entreprises françaises visiblement) que cela tuait la créativité de l’entreprise… Et donc son rendement.
Au Japon, de toute façon, ce sont les entreprises qui forment leurs nouvelles recrues! C’est normal ici.
Sinon, et surtout, de toute façon, la famille impériale a une interdiction formelle de s’occuper d’études qui touchent de près où de loin à la politique (cela élimine donc aussi, économie, business, journalisme, etc.).
benoit
27 avril 2017 @ 19:42
qu’en savez vous ?
Anna Claudia
27 avril 2017 @ 10:41
Cette famille depuis l’empereur Hiro Hito produit des scientifiques qui échappent par l’étude au carcan du palis impérial. Bon sang ne saurait mentir.
Caroline
27 avril 2017 @ 10:42
Cette princesse vivra-t-elle à l’ étranger sous une escorte discrète?
ciboulette
27 avril 2017 @ 14:06
Je les confonds toutes , Mako , Kiko , Koko , Kiki , Kako …ne manque que Kaka !
Jacqueline
28 avril 2017 @ 15:28
Moka, Koka…
Excellent, Ciboulette!
lorraine 1
27 avril 2017 @ 18:27
Que j’aime ces parures en miroir !
Mister M
27 avril 2017 @ 20:07
J’adore les tenues protocolaires des princesses Japonaises: toujours blanches ou crème, quelque fois jaune très pâle ou bleu très pâle et des coupes comme on n’en fait plus depuis les années 50. Démodé, désuet, des tenues de communiantes avec en plus des bijoux banals, toujours en diamant, une seule couleur, et le même motif sur la tête et autour du cou ! Pas de fantaisie, surtout pas, aucune fantaisie, jamais, la famille impériale est pas payée pour rigoler !
adriana
28 avril 2017 @ 17:10
ravissante !!!!
Alinéas
30 avril 2017 @ 10:20
Quelle ravissante princesse bien de son époque.!