Voici le dictionnaire amoureux de Venise avec Bonaparte, Doges, Fenice, Harry’s Bar ou encore Visconti sous la plume de Philippe Sollers. En voici le descriptif : « « Venise, n’est pas là-bas, madame, mais là-haut » aurait dit le divin Giacomo Casanova. Venise un paradis ? Il exagérait à peine. Posée sur la lagune tel un nénuphar de pierre, Venise n’est-elle pas une utopie ? Elle est pourtant mieux qu’un paradis : c’est une vraie ville. Avec ses Vénitiens et ses Vénitiennes, ses codes et des histoires secrètes, lisibles dans les sculptures de ses palais illustres, les masques des femmes, ou dans les jardins cachés au fond des calli.
De cette merveille de ville, cette nouvelle édition du Dictionnaire amoureux de Venise, vous livre les clefs, tirées du trousseau bien garni d’un bienheureux guide : Philippe Sollers. » (Merci à Framboiz)
« Dictionnaire amoureux de Venise », Philippe Sollers, Editions Le Point, 2017
Marie-Françoise
1 juin 2017 @ 08:09
Venise est pour moi la ville unique et magique, celle que je préfère entre toutes ! Je ne me lasse jamais d’y revenir pour la parcourir à chaque fois avec un regard nouveau ! La 8eme merveille du monde surtout si on sait se mêler à ses habitants pour y vivre à la vénitienne loin des clichés touristiques. J.y reviendrais d’ailleurs en octobre prochain pour y feter mes 70 ans en famille.
Carole 007
1 juin 2017 @ 19:51
Vous prêchez une convertie depuis bien longtemps !
Hélas, il faut se lever très tôt et / ou se coucher très tard, maintenant, pour en profiter sans les hordes de certains types de touristes sans scrupules et sans la moindre éducation.
Ceci dit, dans la journée, il y a toujours de merveilleux endroits hors circuits, qui même à notre époque, restent typiquement vénitiens.
Et c’est très amusant, quand vous louez un appartement, d’entendre sonner le matin à votre porte, une fort jolie jeune femme venitienne, ou un charmant monsieur qui vient ramasser les sacs de déchets, il n’est pas permis de les descendre le soir, et qui vous souhaitent une bonne journée avec le sourire.
Baboula
1 juin 2017 @ 20:35
N’hésitez pas à aller à Venise.Bien sur Il y a un monde fou .Mais faites quelques pas de côté et vous aurez des quartiers déserts ,Santa Croce,le campo San’t Anzolo,avec le campanile penché de Santo Stephano.Ma cousine demeurait face au campanile et à chacun de mes séjours je tremblais de me réveiller avec le campanile sur mon lit .Je crois qu’il me survivra .Mais Venise ne sera pas éternelle avec ces énormes bateaux qui viennent ébranler ses fondations.Octobre est calme ,en novembre n’oubliez pas vos bottes pour l’acqua alta .Aprés brouillard,humidité glaciale mais superbes photos de fantômes dans la brume .Le pire ennemi de Venise est sa beauté qui attire trop de gens qui veulent juste « faire Venise » .
Corsica
2 juin 2017 @ 13:09
Baboula, j’aime inconditionnellement Venise et ne la trouve jamais si belle qu’entre octobre et janvier. Les couleurs de la lagune sont magiques, il y a peu de monde et je trouve que la neige et la brume la parent de mystère. La première fois que j’y suis allée, c’était en novembre, et pendant quatre jours, de ma chambre située sur le Grand Canal, je ne voyais même pas la pointe de la Douane. Puis un matin, comme par magie, le rideau s’est levé et, juste en face de moi, est apparu le globe doré de la douane, étincelant dans le soleil, mon histoire d’amour avec Venise était née et elle dure depuis 40 ans.
Leonor
2 juin 2017 @ 09:43
Il suffit de sortir des gros passages à touristes pour vivre la vraie Venise. Pas difficile.
Pas mal non plus : se loger au Lido ou carrément à Mestre, et prendre tous les matins le vaporetto ( autrement dit le métro…) , à travers la lagune , pour rejoindre la vieille ville, en même temps que les Vénitiens qui vont y prendre leur poste de travail. Ambiance garantie.
Baboula
2 juin 2017 @ 19:15
Oui mais alors vous n’avez pas le plaisir de vous promener dès le lever du jour dans une Venise absolument déserte,hors les pigeons qui ne rentrent pas sur le continent.