Ne vous inquiétez pas, c’est un phénomène naturel quand on aime les tous petits…J’ai « dévoré » de bisous le fils de ma meilleure amie…qui éclatait de rire. C’est du bonheur à l’état pur.
L’expression « à croquer », utilisée lorsque l’on qualifie quelque chose de joli, ne signifie pas que l’on souhaiterait le manger tant c’est mignon, mais vient d’un terme des Beaux-Arts et signifie « si joli qu’on a envie d’en faire un croquis ». En effet, le verbe croquer un double sens et peut signifier dessiner, esquisser sur le vif.
Bon je dis ça, mais je l’emploie dans votre sens aussi.
Je crois qu’un petit bisou suffirait à me guérir Docteur. HL
J’ai appris quelque chose aujourd’hui, satisfaite de m’endormir moins bête. ..j’utilise cette expression depuis toujours sans en avoir vraiment saisi le sens. ..merci Margaux.
Baboula, maman me donnait aussi des fessées car dès qu’elle avait tourné le dos, je mettais mes camarades de jeux dans la baignoire dont la grosse pomme de douche m’évoquait les scialytiques des salles d’opérations et je les barbouillais de rouge avec ce que j’avais sous la main, en l’occurence son rouge à lèvres ! :):) Mais je ne me suis pas découragée et le film » le Journal d’une femme en blanc » a fait le reste. Je ne l’ai jamais regretté.
LOL…Margaux ce devait être des opérations de chirurgie esthétique alors….!
« Seul le résultat compte » pour devise
Margaux ?
7 juillet 2017 @
00:44
Il y eu des herniectomies, des appendicectomies, des greffes oculaires, des poses d’appareils auditifs… Bref. En quelque sorte, oui, c’était un peu esthétique, quoique très circonstanciel. ?
Margaux ?
1 juillet 2017 @
21:50
La mallette vous a aidé à tenir les huit années (voire plus) ?
Perso, j’ai eu le même déclic avec le même objet mais je n’ai pas eu le courage de m’embringuer pour quasiment dix ans. La moitié m’a amplement suffit. ??
Il faut vraiment avoir une force de caractère incroyable surtout devant la mort d’un patient malgré tous les soins prodigués avec un grand dévouement ! Je voue une énorme admiration aux médecins, aux infirmiers, aux infirmières, au personnel médical qui se surpassent pour sauver la vie des autres durement éprouvés. Je connais le Centre des Grands Brûlés de Tours et j’ai admiré toute cette équipe dirigée à l’époque par une femme d’exception et aussi tous les médecins qui l’accompagnaient …
Des êtres dont on ne parle jamais, il sont si humbles et ne recherchent pas les honneurs mais tellement heureux quand ils parviennent à sauver une vie ! bianca
Corsica
2 juillet 2017 @
10:06
Margaux, la mallette, mon désir de toujours soigner et aider animaux et gens puis un film ont décidé de ma jeune vie : 12 ans d’études. Et c’est mon premier stage d’externe aux urgences médicales du pavillon N de l’hopital Édouard Herriot de Lyon qui a décidé de l’orientation de ma carrière. Je n’ai jamais regretté.
Corsica, si j’avais fais le choix de devenir médecin, je serais devenue anesthésiste (ce que vous êtes?). J’ai toujours été dans cette optique, très tôt. Du coup, la vie m’ayant imposé d’ajuster mes projets, je suis quand même devenue IADE et je ne le regrette absolument pas. ??
Je pense que nous avions le même désir, qui s’est transformé en passion puis en vocation, chère Docteure Corsi. ?
Margaux ?
2 juillet 2017 @
22:04
En effet, Muscate. C’est un engagement, animé par une certaine conception du devoir et du rapport à l’humain. Ce n’est pas inné, ça vient au hasard de la vie (moi aussi ça m’a pris très jeune) et finalement, ça reste. Je ne sais pas quel est le vécu de Corsica (je l’imagine cependant très riche) mais de mon côté, la petite marotte de gamine m’a emmenée dans des endroits où, si je n’avais pas été infirmière, je n’aurais jamais mis les pieds, car inapte. Au-delà de l’engagement et de la conscience pro, il y a aussi quelque chose de merveilleux, l’accomplissement le plus total. Et j’aime ça. ?
Il y a d’ailleurs un truc tragique dans cette photo, car ce petit garçon voit peut-être naître en lui, une véritable passion… que sa naissance ne permettra pas d’assouvir, sauf hasards de l’histoire.
Corsica
4 juillet 2017 @
19:18
Margaux, j’ai suivi la filière classique de l’externat, internat etc.à une époque où le terme urgentiste n’existait même pas et où les premiers SAMU dataient d’à peine quelques années. Comme vous, cette passion qui ne m’a jamais déçue m’a amenée à travailler pour MSF, encore jeune ado. Depuis un an et quelques, je suis à la retraite, ce qui fait du bien au corps et au sommeil un peu malmenés par une vie qui n’a rien eu d’un long fleuve tranquille mais la volonté et le bonheur de servir, de soigner sont toujours là. Je pense que vous êtes toujours en activité et vous souhaite donc de pouvoir continuer à vous réaliser le plus longtemps possible.
Il fallait lire : m’a amenée PONCTUELLEMENT à travailler pour…
Margaux ?
7 juillet 2017 @
00:54
Oui, je suis toujours en activité et finalement, jeune IADE puisque j’ai eu mon DE en 2013. C’est le kiff total comme diraient les ados. ?
J’ai travaillé avec le CICR en Afghanistan et dernièrement je suis intervenue dans les rangs de l’Ordre de Malte, en Italie, sur le séisme. Je suis très tentée par une mission en Syrie, mon mari dit que je suis dingue. ?
J’adore cet adorable petit bonhomme et ne résiste jamais à envoyer à Régine ses nouvelles photos et je constate avec plaisir qu’il en est de même pour Anne.
je signale pour ceux qui semblent caresser par des tentations d’antropophages devant ce délicieux bambin, qu’après avoir dégusté un plat de cèpes de Bordeaux, le poète Gabriele d’Anunzio avait déclaré extasié qu’il avait « cru manger de la cuisse de petit enfant ».
Olivier d'Abington
1 juillet 2017 @ 07:15
Ce prince est vraiment toujours aussi mignon et à croquer…
Heu… Bon, c’est une image, hein!
Claude-Patricia
1 juillet 2017 @ 11:46
Bonjour Olivier,
Ne vous inquiétez pas, c’est un phénomène naturel quand on aime les tous petits…J’ai « dévoré » de bisous le fils de ma meilleure amie…qui éclatait de rire. C’est du bonheur à l’état pur.
Muscate-Valeska de Lisabé
1 juillet 2017 @ 13:30
Olivier…jamais personnellement je ne vous aurais soupçonné antropophage!! ;-)))
Haut-Landaise
1 juillet 2017 @ 14:49
L’expression « à croquer », utilisée lorsque l’on qualifie quelque chose de joli, ne signifie pas que l’on souhaiterait le manger tant c’est mignon, mais vient d’un terme des Beaux-Arts et signifie « si joli qu’on a envie d’en faire un croquis ». En effet, le verbe croquer un double sens et peut signifier dessiner, esquisser sur le vif.
Bon je dis ça, mais je l’emploie dans votre sens aussi.
Je crois qu’un petit bisou suffirait à me guérir Docteur. HL
Baboula
1 juillet 2017 @ 15:25
Heureuse que vous soyez parmi nous !
Margaux ?
1 juillet 2017 @ 21:46
L’expression « à croquer » se rapporte effectivement au croquis. C’est si beau que l’on a envie de le dessiner, de le croquer (en faire un croquis).
Après, une petit cuisse de bambin, c’est pas mauvais.
Braisé, tourné sur une jolie broche… Ça a le goût du jambon. ??
Muscate-Valeska de Lisabé
1 juillet 2017 @ 23:14
J’ai appris quelque chose aujourd’hui, satisfaite de m’endormir moins bête. ..j’utilise cette expression depuis toujours sans en avoir vraiment saisi le sens. ..merci Margaux.
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 19:27
De rien, Muscate. ?
monica
4 juillet 2017 @ 17:37
Plus qu adorable cet enfant. Pleins de bisous partout…
Trudy
1 juillet 2017 @ 07:31
Il est à croquer ce-petit et ressemble beaucoup à son papa.
Baboula
1 juillet 2017 @ 09:18
Oui,surtout depuis qu’il porte les mêmes chaussettes que papa !
Corsica
1 juillet 2017 @ 08:18
C’est comme ça que naissent les vocations. La mienne a commencé avec une mallette de docteur offerte par le père Noël…
Baboula
1 juillet 2017 @ 15:31
Corsica,Je distribuais les tickets de rationnement à mes petits camarades ,ça m’a valu des féssées qui m’ont dissuadée de faire de l’humanitaire.
Corsica
2 juillet 2017 @ 10:01
Baboula, maman me donnait aussi des fessées car dès qu’elle avait tourné le dos, je mettais mes camarades de jeux dans la baignoire dont la grosse pomme de douche m’évoquait les scialytiques des salles d’opérations et je les barbouillais de rouge avec ce que j’avais sous la main, en l’occurence son rouge à lèvres ! :):) Mais je ne me suis pas découragée et le film » le Journal d’une femme en blanc » a fait le reste. Je ne l’ai jamais regretté.
Baboula
3 juillet 2017 @ 16:38
Corsica dès 3 ans je voulais être docteur pour les enfants parce qu’ils se lèvent tard ,Je n’ai pas soigné d’enfants mais soulagé tous les âges .
Corsica
4 juillet 2017 @ 19:20
Baboula, la souffrance n’a pas d’âge.
Margaux ?
3 juillet 2017 @ 22:26
Ah oui ! Moi je me suis limitée au sacrifice opératoire de mes nounours, et encore, que les moches. ?
bianca
4 juillet 2017 @ 16:18
LOL…Margaux ce devait être des opérations de chirurgie esthétique alors….!
« Seul le résultat compte » pour devise
Margaux ?
7 juillet 2017 @ 00:44
Il y eu des herniectomies, des appendicectomies, des greffes oculaires, des poses d’appareils auditifs… Bref. En quelque sorte, oui, c’était un peu esthétique, quoique très circonstanciel. ?
Margaux ?
1 juillet 2017 @ 21:50
La mallette vous a aidé à tenir les huit années (voire plus) ?
Perso, j’ai eu le même déclic avec le même objet mais je n’ai pas eu le courage de m’embringuer pour quasiment dix ans. La moitié m’a amplement suffit. ??
Muscate-Valeska de Lisabé
1 juillet 2017 @ 23:16
C’est un sacré sacerdoce.
Robespierre
3 juillet 2017 @ 08:16
ah oui, je suis d’accord !
bianca
4 juillet 2017 @ 16:34
Il faut vraiment avoir une force de caractère incroyable surtout devant la mort d’un patient malgré tous les soins prodigués avec un grand dévouement ! Je voue une énorme admiration aux médecins, aux infirmiers, aux infirmières, au personnel médical qui se surpassent pour sauver la vie des autres durement éprouvés. Je connais le Centre des Grands Brûlés de Tours et j’ai admiré toute cette équipe dirigée à l’époque par une femme d’exception et aussi tous les médecins qui l’accompagnaient …
Des êtres dont on ne parle jamais, il sont si humbles et ne recherchent pas les honneurs mais tellement heureux quand ils parviennent à sauver une vie ! bianca
Corsica
2 juillet 2017 @ 10:06
Margaux, la mallette, mon désir de toujours soigner et aider animaux et gens puis un film ont décidé de ma jeune vie : 12 ans d’études. Et c’est mon premier stage d’externe aux urgences médicales du pavillon N de l’hopital Édouard Herriot de Lyon qui a décidé de l’orientation de ma carrière. Je n’ai jamais regretté.
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 21:44
Corsica, si j’avais fais le choix de devenir médecin, je serais devenue anesthésiste (ce que vous êtes?). J’ai toujours été dans cette optique, très tôt. Du coup, la vie m’ayant imposé d’ajuster mes projets, je suis quand même devenue IADE et je ne le regrette absolument pas. ??
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 21:46
Je pense que nous avions le même désir, qui s’est transformé en passion puis en vocation, chère Docteure Corsi. ?
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 22:04
En effet, Muscate. C’est un engagement, animé par une certaine conception du devoir et du rapport à l’humain. Ce n’est pas inné, ça vient au hasard de la vie (moi aussi ça m’a pris très jeune) et finalement, ça reste. Je ne sais pas quel est le vécu de Corsica (je l’imagine cependant très riche) mais de mon côté, la petite marotte de gamine m’a emmenée dans des endroits où, si je n’avais pas été infirmière, je n’aurais jamais mis les pieds, car inapte. Au-delà de l’engagement et de la conscience pro, il y a aussi quelque chose de merveilleux, l’accomplissement le plus total. Et j’aime ça. ?
Il y a d’ailleurs un truc tragique dans cette photo, car ce petit garçon voit peut-être naître en lui, une véritable passion… que sa naissance ne permettra pas d’assouvir, sauf hasards de l’histoire.
Corsica
4 juillet 2017 @ 19:18
Margaux, j’ai suivi la filière classique de l’externat, internat etc.à une époque où le terme urgentiste n’existait même pas et où les premiers SAMU dataient d’à peine quelques années. Comme vous, cette passion qui ne m’a jamais déçue m’a amenée à travailler pour MSF, encore jeune ado. Depuis un an et quelques, je suis à la retraite, ce qui fait du bien au corps et au sommeil un peu malmenés par une vie qui n’a rien eu d’un long fleuve tranquille mais la volonté et le bonheur de servir, de soigner sont toujours là. Je pense que vous êtes toujours en activité et vous souhaite donc de pouvoir continuer à vous réaliser le plus longtemps possible.
Corsica
4 juillet 2017 @ 19:19
Il fallait lire : m’a amenée PONCTUELLEMENT à travailler pour…
Margaux ?
7 juillet 2017 @ 00:54
Oui, je suis toujours en activité et finalement, jeune IADE puisque j’ai eu mon DE en 2013. C’est le kiff total comme diraient les ados. ?
J’ai travaillé avec le CICR en Afghanistan et dernièrement je suis intervenue dans les rangs de l’Ordre de Malte, en Italie, sur le séisme. Je suis très tentée par une mission en Syrie, mon mari dit que je suis dingue. ?
Martine
1 juillet 2017 @ 08:22
Un petit bonhomme tout de plus normal,il joue .
beji
1 juillet 2017 @ 08:34
Il est vraiment très beau.
Dominique-Gibbs ?
1 juillet 2017 @ 08:49
Ce bambin est adorable.
adriana
1 juillet 2017 @ 08:50
mignon souriant ce petit prince du pays du bonheur
bon samedi à tous
Marie-Françoise
1 juillet 2017 @ 09:14
J’adore cet adorable petit bonhomme et ne résiste jamais à envoyer à Régine ses nouvelles photos et je constate avec plaisir qu’il en est de même pour Anne.
Alinéas
1 juillet 2017 @ 09:22
Il est de plus en plus craquant ce petit bout de choux.!
Claudia
1 juillet 2017 @ 09:43
trop chou ce petit bout
Nicole
1 juillet 2017 @ 09:55
L’image du bonheur – quel plaisir de voir cela!!!
clement
1 juillet 2017 @ 10:23
Heureux petit garçon !
Mary
1 juillet 2017 @ 10:46
Ma mascotte sur le site : un petit amour !
JOSEPHINE
1 juillet 2017 @ 11:07
Comme il est adorable !
Robespierre
1 juillet 2017 @ 11:23
Pour bien jouer au docteur, il faut une petite copine. Mais chaque chose en son temps, ça viendra…
Baboula
1 juillet 2017 @ 15:32
Vécu de Robespierre !
Muscate-Valeska de Lisabé
1 juillet 2017 @ 23:18
J’y ai pensé tout de suite,Rob ..on a le même esprit…mal tourné? ;-))
Kaiserin
2 juillet 2017 @ 11:06
:)
marianne
1 juillet 2017 @ 13:30
Il est vraiment trop mimi !
belle...isa
1 juillet 2017 @ 13:48
Il est adorable!
COLETTE C.
1 juillet 2017 @ 15:59
Toujours souriant !
MIKA
1 juillet 2017 @ 16:30
Ce petit a une bouille sympa depuis qu’il est né ! Toujours souriant !
Muscate-Valeska de Lisabé
1 juillet 2017 @ 23:18
Exactement, MIKA.
D'AMICO
1 juillet 2017 @ 19:30
Il est vraiment migno
D'AMICO
1 juillet 2017 @ 19:30
Mignon
Margaux ?
1 juillet 2017 @ 21:53
Il ne lui manque que la patiente. ?
Il est très mignon ce petit bonhomme. ?
bianca
2 juillet 2017 @ 08:50
On dirait un baigneur tant il est beau !
dradomir
2 juillet 2017 @ 12:31
Ben moi quand j’étais jeune je jouais aussi au docteur mais pas comme cela……
Délà pas tout seul et………….. euh……………..euh…..
Euh… ok…. je sors…..
Anna Claudia
2 juillet 2017 @ 14:46
je signale pour ceux qui semblent caresser par des tentations d’antropophages devant ce délicieux bambin, qu’après avoir dégusté un plat de cèpes de Bordeaux, le poète Gabriele d’Anunzio avait déclaré extasié qu’il avait « cru manger de la cuisse de petit enfant ».
Muscate-Valeska de Lisabé
2 juillet 2017 @ 21:45
Ben c’est qu’il y avait déjà goûté. ..^^
Domilys
2 juillet 2017 @ 17:39
Il est craquant ce jeune enfant !
teddy
2 juillet 2017 @ 17:45
un jour il aura une petite soeur ou un petit frère.
pleins de bonheurs aux parents
bianca
2 juillet 2017 @ 18:28
C’est sûrement fini, je ne pourrais plus jamais manger de cèpes sans penser à ce petit amour d’enfant ! Bianca !