Dans les jardins de Kensington Palace, le prince Harry a conversé avec des vétérans qui avaient assisté à la première du film « Dunkrik » (Dunkerque) qui relate la bataille de Dunkerque. (Copyright photo : Getty images)
Superbes photos où l’on voit toute l’empathie du prince Harry envers les vétérans. Il n’a pas manqué de s’asseoir à leur hauteur pour partager un petit moment avec eux.!
Dunkirk. Kirk signifie « église », comme » kirke » en danois.
Mon beau-père était à Dunkerque. Il a réussi à passer en Angleterre.
Il rechignait à en parler. Comme tous ceux qui ont fait la guerre, n’importe quelle guerre.
Je ne connais pas précisément l’origine de cette graphie anglaise mais, en flamand, c’est Duunkerke (néer. Duinkerke), ”douinkerk » avec un « ou » mouillé, litt. : l’église dans la dune. En anglais, église se dit Church. ?
Encore une fois, les médailles peuvent être remises à titres militaire ou civil (et le cas échéant pour honorer un engagement pour une cause précise ou un acte de bravoure ou encore une carrière, une mission, etc.) ; les décorations de l’oncle du prince Henry sont civiles et ne sont privées d’aucun mérite.
Le prince Harry n’est pas un militaire d’opérette, comme son oncle le comte de Wessex. On l’a frustré de sa carrière militaire pour des questions de sécurité. Dommage ! Il aurait fallu convenir que quoiq’il arrive, il était un soldat comme tous les autres, risque de se faire tuer, risque d’entraîner ses camarades dans un attentat, pas de rançons en cas de capture. Je pense qu’il aurait accepté tous ces risques. Mais ni le Palais ni le Gouvernement n’ont voulu prendre ces risques.
En attendant, il montre son empathie et fait bien son devoir de prince royal.
Le « militaire d’opérette » est engagé dans des actions humanitaires et c’est en grande partie cela que ses médailles honorent.
Bref, si je traduis : pour vous les décorations n’ayant pas trait à des faits d’arme ne sont que pacotille et fantaisies, de l’opérette. Est-ce bien cela ?
C’est exact, ce que vous écrivez, Cosmo mais, si vous permettez, incomplet.
C’était une question de sécurité, non seulement pour lui, mais aussi pour ses collègues. Dans le régiment où il était, et dans la base où il se trouvait, sa seule présence exposait tous ses collègues à un risque d’attaque décuplé; parce que, bien sûr, sa présence était connue de l’adversaire. C’était faire courir à tous ces hommes des risques sans raison tactique ou stratégique.
D’autre part, la mort ou, pire en un sens la capture du prince de Grande-Bretagne aurait exposé le gouvernement britannique à un chantage énorme, dépassant de loin la notion même de rançon. Car c’est de l’opinion publique qu’il s’agissait, et c’est
bien de cela – l’opinion – que les preneurs d’otage tentent de se servir pour manipuler un gouvernement adverse.
Car les opinions publiques occidentales n’acceptent plus la mort et le coût humain de la guerre et, ainsi, se rendent faibles , et affaiblissent leurs gouvernements . Personne aujourd’hui n’accepterait plus le discours de Churchill ( » du sang et des larmes »).
Lars de Winter
14 juillet 2017 @ 08:31
Il est charmant!
Alinéas
14 juillet 2017 @ 08:56
Superbes photos où l’on voit toute l’empathie du prince Harry envers les vétérans. Il n’a pas manqué de s’asseoir à leur hauteur pour partager un petit moment avec eux.!
Marie1
14 juillet 2017 @ 20:25
Je fais mien votre commentaire
j21
14 juillet 2017 @ 12:45
Cette fois, Harry porte une cravate. La dernière fois un vétéran l’avait gentiment réprimandé de ne pas avoir mis de cravate.
Danielle
14 juillet 2017 @ 14:31
Si Harry n’existait pas, il faudrait le créer ! un homme bien dans sa peau à qui le domaine de l’humanitaire va comme un gant.
Caroline
14 juillet 2017 @ 16:08
C’est intéressant de savoir les réactions différentes des vétérans après la projection du film ‘ Dunkrik ‘ !
Merci pour ces photos sympathiques !
Leonor
14 juillet 2017 @ 20:18
Dunkirk. Kirk signifie « église », comme » kirke » en danois.
Mon beau-père était à Dunkerque. Il a réussi à passer en Angleterre.
Il rechignait à en parler. Comme tous ceux qui ont fait la guerre, n’importe quelle guerre.
Margaux ?
16 juillet 2017 @ 10:47
Je ne connais pas précisément l’origine de cette graphie anglaise mais, en flamand, c’est Duunkerke (néer. Duinkerke), ”douinkerk » avec un « ou » mouillé, litt. : l’église dans la dune. En anglais, église se dit Church. ?
JAusten
17 juillet 2017 @ 11:41
c’est saxon, en Ecosse on retrouve souvent ce « kirk » (kirche en saxon, le k et le ch se mixent souvent – church en anglais peut aussi venir de kurk)
Margaux ?
18 juillet 2017 @ 22:07
D’accord, merci. ?
Dorothée
15 juillet 2017 @ 19:13
Et puis les médailles d’Harry ne sont pas en chocolat ou …symboliques, il a aussi combattu !
Margaux ?
16 juillet 2017 @ 10:51
Encore une fois, les médailles peuvent être remises à titres militaire ou civil (et le cas échéant pour honorer un engagement pour une cause précise ou un acte de bravoure ou encore une carrière, une mission, etc.) ; les décorations de l’oncle du prince Henry sont civiles et ne sont privées d’aucun mérite.
Cosmo
15 juillet 2017 @ 21:45
Le prince Harry n’est pas un militaire d’opérette, comme son oncle le comte de Wessex. On l’a frustré de sa carrière militaire pour des questions de sécurité. Dommage ! Il aurait fallu convenir que quoiq’il arrive, il était un soldat comme tous les autres, risque de se faire tuer, risque d’entraîner ses camarades dans un attentat, pas de rançons en cas de capture. Je pense qu’il aurait accepté tous ces risques. Mais ni le Palais ni le Gouvernement n’ont voulu prendre ces risques.
En attendant, il montre son empathie et fait bien son devoir de prince royal.
Margaux ?
16 juillet 2017 @ 10:56
Le « militaire d’opérette » est engagé dans des actions humanitaires et c’est en grande partie cela que ses médailles honorent.
Bref, si je traduis : pour vous les décorations n’ayant pas trait à des faits d’arme ne sont que pacotille et fantaisies, de l’opérette. Est-ce bien cela ?
Leonor
16 juillet 2017 @ 20:14
C’est exact, ce que vous écrivez, Cosmo mais, si vous permettez, incomplet.
C’était une question de sécurité, non seulement pour lui, mais aussi pour ses collègues. Dans le régiment où il était, et dans la base où il se trouvait, sa seule présence exposait tous ses collègues à un risque d’attaque décuplé; parce que, bien sûr, sa présence était connue de l’adversaire. C’était faire courir à tous ces hommes des risques sans raison tactique ou stratégique.
D’autre part, la mort ou, pire en un sens la capture du prince de Grande-Bretagne aurait exposé le gouvernement britannique à un chantage énorme, dépassant de loin la notion même de rançon. Car c’est de l’opinion publique qu’il s’agissait, et c’est
bien de cela – l’opinion – que les preneurs d’otage tentent de se servir pour manipuler un gouvernement adverse.
Car les opinions publiques occidentales n’acceptent plus la mort et le coût humain de la guerre et, ainsi, se rendent faibles , et affaiblissent leurs gouvernements . Personne aujourd’hui n’accepterait plus le discours de Churchill ( » du sang et des larmes »).
C’est cela qu’il s’agissait d’éviter.
pour le pays