Le designer américain Kenneth Jay Lane s’est éteint à l’âge de 85 ans dans son appartement de New York. Il avait révolutionné le monde des bijoux en créant des bijoux « couture » notamment pour Christian Dior. Il compta parmi ses fidèles clientes Audrey Hepburn, Jackie Kennedy, Diana Vreeland, de nombreuses « princesses de Park Avenue » dont Babe Paley, Elizabeth Taylor mais aussi la duchesse de Windsor pour laquelle il créa ce dollier réédité ensuite. La légende prétend que la duchesse de Windsor a été inhumée en portant uine paire de boucles d’oreilles de Kenneth Jay Lane…
spotlostie
25 juillet 2017 @ 05:10
Un somptueux collier qui me paraît bien lourd à porter …Surtout de nos jours où la légèreté est de mise !!
JAY
25 juillet 2017 @ 07:27
Il réalisait des bijoux avec de vraies pierres précieuses?
Fanie
25 juillet 2017 @ 22:08
Non, c’était du faux. Jackie Kennedy lui avait demandé de reproduire un collier qu’Onassis lui avait offert. Et lui, il lui a laisser le choix que soit elle payait cette reproduction soit elle l’avait gratuitement à la condition qu’il puisse en vendre des copies. Et c’est la deuxième proposition qu’elle a choisi. On raconte que par la suite elle l’aurait appeler au téléphone pour lui dire : « tiens, j’ai vu notre collier dans dynastie. »
JAY
26 juillet 2017 @ 13:00
Donc celui de la duchesse de Windsor était faux ?
chicarde
25 juillet 2017 @ 08:01
Somptueux et magnifique, ce collier – oui, vraiment « couture », « haute couture » même ! Oui, un designer pour les Audreys, les Jackies…. !!
Claude-Patricia
25 juillet 2017 @ 09:13
Bonjour mes amis,
Collier magnifique!! Juste une question, est-il réalisé avec de vraies ou fausses pierres?
Corsica
25 juillet 2017 @ 10:05
Dans le style collier discret…
Cosmo
25 juillet 2017 @ 21:01
Voire très discret, chère Corsica.
bianca
25 juillet 2017 @ 13:02
Pour une personne qui aime « briller » il est parfait mais je n’aime pas toute cette lourdeur voyante !
KOROBAZE
25 juillet 2017 @ 14:38
Je le verrai bien porté par le mannequin Capucine qui jouait jadis dans » le Satyricon » de Fellini. Il fait trés romain ce merveilleux collier.
AnneLise
26 juillet 2017 @ 19:28
Elle portait surtout de fabuleux diadèmes !
Mais oui, elle aurait pu porter ce genre de collier à condition que ses robes soient plus décolletées.
ciboulette
25 juillet 2017 @ 20:36
Un peu lourd pour le goût français d’aujourd’hui .
Du côté du Golfe , peut-être …à condition que les pierres soient vraies . C’est la question que je me pose aussi .
AnneLise
25 juillet 2017 @ 21:01
Personnellement, je n’aime pas ! remarquez cela tombe bien, car si ce sont de vraies pierres précieuses, ce qui doit être le cas, c’est hors de portée : à tous points de vue !
Alinéas
25 juillet 2017 @ 21:19
Très beau collier mais qui ne semble pas tout en légèreté.!
Laurene
25 juillet 2017 @ 21:20
Des pierres bleues et vertes ensemble??? Pas très heureux…
Francois
25 juillet 2017 @ 22:34
Ce collier est celui de là duchesse de Windsor en tourmalines
et aigues marines
Caroline
25 juillet 2017 @ 22:35
Désolée ! Ces colliers ne me plaisent pas malgré l’éclat des pierres précieuses !
Mary
26 juillet 2017 @ 08:07
Tape à l’œil ! Je n’aime pas du tout.
Philippe
26 juillet 2017 @ 21:55
Les pierres sont évidemment fausses.
KJL ne produisait que des bijoux faux, mais « couture »,
et heureusement pas toujours aussi volumineux que le collier présenté ! (ce collier est même franchement moche, et pas du tout à l’image du talent de KJL !)
Le créateur était un des rois du tout New-York dans les années 70 et 80, dans la mouvance Warhol, et ses productions avaient su séduire des femmes réputées pour leur goût des belles choses, non seulement Jackie Kennedy, mais aussi Wallis Simpson, Audrey Hepburn, Elizabeth Taylor, Barbara Bush … ou plus récemment Lady Gaga …
Une boutique KJL se trouve à Paris rue de Castiglione.
Pour les amateurs (dont je suis), une merveilleuse
boutique de bijoux américains d’occasion offre parfois
des créations KJL à des prix abordables.
Ce lieu magique se trouve rue des lavandières Sainte-Opportune, derrière le théâtre du Châtelet.
Le vieux monsieur, marié un temps dans les années 70, était, ça n’étonnera personne, d’une virilité très approximative, et n’avait jamais eu d’enfant.
Il vivait seul, sur Park Avenue, dans un appartement
à la fois riche, kitsch, chic et complètement déjanté,
selon les objets, les angles et les points de vue …
Bref, un artiste américain.
A toutes celles que ce collier invite à un jugement négatif et définitif, je conseille de pousser la curiosité un peu plus loin … ça vaut la peine, je crois ! …
JAusten
27 juillet 2017 @ 20:10
rien que taper le nom du monsieur sur le net et on peut voir les belles créations. La reine Maxima a beaucoup de bijoux de lui.