Jeudi 10 août 2017 sur France 2, l’émission « Secrets d’Histoire » dressera le portait du prince Philippe d’Orléans, petit-fils de Louis XIII, neveu de Louis XIV, cousin du futur Louis XV, sur lequel il veilla jusqu’à ses 14 ans. Le régent Philippe d’Orléans fut bien davantage que le débauché oisif et superficiel de la légende. « Secrets d’Histoire » présentera un prince étonnamment moderne et pragmatique, qui fit souffler un vent de liberté à la tête de l’État et transforma la cour en laboratoire politique, intellectuel et artistique. (Merci à Anne)
Robespierre
9 août 2017 @ 03:32
Moi j’aime bien le Régent. Il etait intelligent et ses parents lui firent donner une excellente éducation, il était très instruit. Louis XIV et son épouse morganatique trouvaient qu’il faisait de l’ombre aux descendants directs du roi et essayèrent de le mettre de côté. On l’a vilipendé au XIXe Sièce, période plus que pudibonde et on en a fait un débauché. Ce qui était réducteur. Il mourut trop jeune, peut-être de ses excès de table. Ou autres.
Je regarderai cette émission
Antinéa
9 août 2017 @ 08:09
C’ est un secret dhidtoire passionnant .
Antinéa
9 août 2017 @ 08:10
Histoire*.
Jean Pierre
9 août 2017 @ 10:49
Là aussi, même si j’aime bien Stéphane Bern, pourquoi ne pas profiter des vacances pour lire ou relire Saint-Simon. Les pages qu’il consacre à la régence, au régent, à sa fille la duchesse de Berry, à la conspiration de Cellamare, aux Maine, sont savoureuses et d’un grand style.
Comme il se régale quand le parlement casse le testament de Louis XIV;
Baboula
9 août 2017 @ 13:55
Et pourquoi ne pas voir ou revoir « Que la fête commence ! » film inspiré librement de Saint Simon. ?
Zorro
10 août 2017 @ 08:49
N’oublions pas que, en cassant le Testament du roi Louis XIV, le régent a contribué à rétablir le droit de remontrance du Parlement de Paris (constitué majoritairement de magistrats jansénistes) qui avait été confisqué par le roi Louis XIV qui était loin d’être idiot. Ce droit de remontrance des Parlement ainsi que la montée en puissance du Jansénisme allaient littéralement empoisonner les règnes de Louis XV et Louis XVI et conduire à la fin de l’Ancien Régime.
Le régent a malgré tout contribué de manière décisive à restaurer les finances de l’Etat (qui avaient été bien malmenées par les guerres menées par le roi Louis XIV) en faisant rendre gorge bon nombre de profiteurs de guerre qui s’étaient allégrement enrichis avec des trafics et magouilles en tout genre.
A noter également que la régence vit l’explosion des titres boursiers (système de Law). c’est ainsi que des fortunes colossales allaient naître du jour au lendemain et il n’était pas rare de voir à cette époque des domestiques qui s’étaient enrichis grâce à ce système racheter les propriétés de leurs maîtres !
Espérons que l’émission de Stéphane Bern abordera ces questions et ne se limitera pas comme à son habitude à aborder des détails scabreux et les beaux meubles et les beaux châteaux sur fond musical pompeux.
Margaux ?
10 août 2017 @ 14:43
Les émissions Secret d’Histoire n’ont pas vocation à être des cours d’histoire magistraux mais à donner envie aux spectateurs d’aller à la découverte de leur histoire. Le format est bien trop court pour entrer dans les méandres, certes intéressants, de l’histoire. De plus, beaucoup de spectateurs ne comprendraient pas. Il faut rester à la portée de son auditoire, tout en lui donnant envie d’aller plus loin par lui-même.
June
11 août 2017 @ 12:12
Bravo, bien résumé !
c’est bien ainsi qu’il faut comprendre cette émission et de plus les images sont souvent magnifiques !!
Après chacun est libre ou pas d’approfondir, de lire les ouvrages et d’aller voir sur place.
Zorro
12 août 2017 @ 17:38
Parfaitement résumé en effet: « beaucoup de spectateurs ne comprendraient pas ».
Triste et tellement vrai.
Il est loin le temps où le service public diffusait les émissions de Henri Guillemin…
Ghislaine-Perrynn
11 août 2017 @ 17:15
ah j’apprécie votre dernier paragraphe – Devenu pompeux et pompant SB et superficiel .
Alinéas
9 août 2017 @ 14:50
J’attends donc demain soir afin de regarder cette émission « Secrets d’Histoire ».
J’aime beaucoup Stéphane Bern qui nous sait nous captiver avec tous les portraits qu’il me dresser.!
Alinéas
9 août 2017 @ 14:55
PS J’aime beaucoup Stéphane Bern qui sait nous captiver avec tous les portraits qu’il peut dresser.!
bianca
15 août 2017 @ 17:00
Je l’apprécie aussi comme vous l’exprimez dans vos commentaires, rien de pompeux chez lui, il est disons « tous publics » mais ce n’est que mon avis…Il nous aide à découvrir tant de choses ! J’apprécierais de voir plus d’émissions intéressantes à la TV
Charlanges
9 août 2017 @ 16:54
Dans « Cette curieuse famille d’Orléans », Georges Poisson rapporte que « Toute sa vie, Louis XV regrettera le Régent et défendra sa mémoire, s’indignant des calomnies répandues contre lui. Cinquante ans plus tard, il affirmait à son petit-fils qui, devenu Louis XVIII, le répètera à Louis-Philippe : la meilleure réponse à toutes ces infamies, c’est mon existence ».
Je me souviens aussi avoir lu quelque part qu’à un courtisan qui émettait une critique sur Philippe d’Orléans, le roi avait répondu : « Le régent m’aimait, Monsieur ».
ciboulette
9 août 2017 @ 17:09
Je me réjouis de retrouver cette émission que j’apprécie , avec un personnage que , finalement , je connais peu .
Leonor
9 août 2017 @ 19:41
Suis pas un crack , pour cette période. Cependant, pour autant que je sache, le Régent a plutôt fait du bon travail pendant qu’il assurait l’intérim, et a été loyal.
June
11 août 2017 @ 12:18
Et excellent militaire je crois ! ;)
Dehove
9 août 2017 @ 21:44
Régent, vice-président, cela n’a pas toujours été une situation confortable, qu’elles qu’en furent les périodes et les personnages. Pas facile, mal préparé, suite à un décès, et être la cible des jaloux, des conspirateurs. L’histoire (et pas seulement l’histoire de France) nous en a fourni de multiples exemples.
Marc C.
9 août 2017 @ 21:53
Le Régent est malheureusement un des principaux responsables de la Révolution Française de 1789. Il ne l’a bien sûr ni souhaitée, ni vécue, ni prévue mais son action a mené, par voie de conséquence, à la Révolution.
Les faits sont ainsi :
1) Le 02 septembre 1715, lendemain de la mort de Louis XIV, le Parlement casse le testament du roi et, le 12 septembre 1715, Philippe d’Orléans est déclaré régent.
2) Le Régent, en remerciement, permet au parlement d’utiliser de nouveau le droit de remontrances (15 septembre 1715).
3) Sous les règnes de Louis XV et Louis XVI, le parlement use et abuse de ce droit pour refuser toute réforme (deux exemples connus de grands « ministres » victimes des parlementaires : Turgot et Necker).
4) L’absence de réforme mène à la Révolution.
C’est simplifié à l’extrême, je l’admets mais je suis absolument convaincu que le 15 septembre 1715 (jour où le parlement recouvre son droit de remontrances) est vraiment à marquer d’une pierre noire dans notre histoire.
Et ceci, par la faute du Régent.
Zorro
10 août 2017 @ 13:12
Je suis en partie d’accord avec vous cependant, les grands ministres victimes de parlementaires n’ont pas été de tous reproches.
Necker et Turgot étaient des physiocrates, autrement dit des capitalistes soumis aux idées des Lumières qui voulaient libérer le marcher en supprimant l’institution phare de l’Ancien Régime : la police des grains.
Les mesures prises par Turgot mèneront aux guerres des farines qui seront un prélude à la Révolution française (le prix du pain explose en raison de la libéralisation du prix de la farine empêchant ainsi le peuple de se nourrir).
Par ailleurs, la loi Le Chapelier (1791) qui supprima les corporations entraina d’une part un chômage massif et supprima d’autre part une ébauche de protection sociale interprofessionnelle, ce qui est cocktail détonnant pour créer une révolution « populaire ».
Quant à Necker, il a convaincu le roi de faire appel à des banquiers « internationaux » pour contracter des emprunts avec intérêts (pour rappel, l’usure était interdite par l’Eglise catholique) au lieu de lever « tout simplement » des impôts. La dette de l’Etat explosant et devant être honorée, le roi dû convoquer les Etats généraux en 1789…
Guy Coquille
16 août 2017 @ 09:55
Merci, Zorro, de cette mise au point. J’ajouterai que Necker fut un falsificateur des comptes publics, maquillant le rapport du Grand livre afin de faire croire que l’appel systématique à l’emprunt mettait les comptes en équilibre. Une faute intentionnelle qui méritait un procès de haute trahison.
Leonor
10 août 2017 @ 14:41
Comme dit, je ne suis pas un crack dans l’histoire de cette période, et peine donc à en discuter sans bases solides.
Cependant, juste une réflexion par rapport à votre résumé, Marc C :
Si on vous suit bien, ce serait parce que le Parlement au grâce au Régent recouvré des droits précédemment supprimés ou négligés par Louis XIV que cela aurait entraîné de fil en aiguille la Révolution.
MAIS vous écrivez aussi : » le Parlement use et abuse ».
Ce sont donc plutôt ces abus, et les blocages ainsi générés, qui sont en cause.. Bien plus que l’action du Régent, lequel rétablissant un des droits du Parlement, n’a semble-t-il voulu que sortir un tant soit peu de l’absolutisme de Louis XIV. .
Or, n’est-ce pas plutôt – entre autres bien sûr- cet absolutisme qui fera le lit de la Révolution ?
Je répète : ma réflexion ne fait appel qu’à la logique; malheureusement pas à des bases historiques qui me manquent en la matière.
Claudia
11 août 2017 @ 09:14
Le Régent a certes restauré le droit de remontrances, mais celui-ci a été restreint par la suite sous le règne de Louis XV, et rétabli ensuite par Louis XVI. Donc c’est plutôt Louis XVI qui n’a pas pu ou su voir que des réformes s’imposaient.
Juliette
9 août 2017 @ 22:00
Le Régent, le fils de la Princesse Palatine, quel régal ce personnage! En effet, voir cette émission doit être un avant-goût à la lecture des Mémoires de Saint-Simon ou de la Princesse Palatine.
Caroline
9 août 2017 @ 22:39
Merci à Anne pour cette information !
Marcel
10 août 2017 @ 09:42
Je pense qu’il aurait fait un excellent roi et aurait modernisé la monarchie. Peut-être la révolution n’aurait pas eu lieu si le régent et ses descendants avaient régné sur la France et aujourd’hui on aurait un roi en France.
Kalistéa
10 août 2017 @ 10:11
En fait je crois que le régent avait trop clamé à tous les vents sa mécréance et son mépris du clergé;(il faut avouer qu’à son époque celui-ci était bien dévié!).Madame de Maintenon que nous savons zélée comme le sont les convertis, fut sa pire ennemie>.En outre elle voulait pousser son cher duc du Maine qui n’était qu’un enfant adultérin que le roi avait légitimé au mépris de tous les usages et en outrepassant son pouvoir royal.Le parlement d’ailleurs finit par casser son testament scandaleux .
Zorro
10 août 2017 @ 13:00
Le régent n’était pas antireligieux, la religion n’était pas dans ses préoccupations ou plutôt il n’en mesurait pas l’importance.
Par son indifférence et son manque de clairvoyance, il a ouvert la boîte de Pandore en libérant le pouvoir de nuisance de la secte janséniste (dont la plupart des magistrats et de l’administration du royaume étaient membres), qui avaient étés brisés par Louis XIV et déclarés hérétiques par le Pape lui-même (Bulle Unigenitus de 1713 que le Parlement de Paris refusera d’enregistrer) !
Par ailleurs, le régent commis la faute de nommer le cardinal de Noailles, janséniste notoire, à la tête du Conseil de Conscience (sorte de ministère de la religion) ce qui déstabilisera l’Eglise catholique de France en son seins s’ajoutant aux nombreuses attaques extérieures dont elle fera l’objet sous Louis XV et les Lumières. De Noailles mènera d’ailleurs une véritable guerre contre les jésuites qui finiront par être expulsés quelques années plus tard.
Les magistrats jansénistes (laïques) entendaient s’ingérer dans les affaires qui relevaient purement des affaires de l’Eglise (notamment les sacrements). Cette ingérence qui se traduisit par des tracasseries et des procès intentés à des Prélats notamment pour refus de sacrement envers des personnes jugées hérétiques aux yeux de l’Eglise (principalement les jansénistes qui refusaient de se confesser et de reconnaître la Bulle Unigenitus). Cette volonté de soumettre l’Eglise dans l’exercice de ses prérogatives aboutira à la Constitution Civile du Clergé en 1790 autrement dit la soumission de l’Eglise catholique à L’Etat.
Quant à la supposée déviance du clergé au XVIIIe siècle, je voudrais bien voir ça. Rien que durant la période de la Régence, on peut citer deux prélats remarquables en tous points : Monseigneur de Belsunce, archevêque de Marseille qui eut une attitude héroïque et exemplaire durant la Grande Peste de Marseille (1720) et l’Abbé Dubois, jésuite, précepteur du Régent qui sera un remarquable homme d’Etat.
Je vous conseille de lire Alexis de Tocqueville pour vous laver de la propagande distillée par l’instruction « publique laïque et obligatoire » concernant l’Eglise catholique au XVIIIe siècle et l’Ancien Régime.
Cosmo
11 août 2017 @ 14:10
La secte janséniste ? Une fois de plus, vous n’y allez pas de main-morte. Pascal ? L’abbé de Saint-Cyran ? Les Arnaud ? Port-Royal ? Tous des sectaires selon vous. Vous oubliez qu’ils ont compté parmi les plus brillants esprits de France. Et s’opposer à la doctrine officielle de l’Eglise et au pouvoir absolu n’est pas signe de sectarisme, juste une divergence d’opinion. J’imagine que pour vous le protestantisme est une hérésie digne des bûchers et que Louis XIV a eu raison de révoquer l’Edit de Nantes.
Votre amour de l’Ancien Régime est si excessif qu’il en devient ridicule.
Cosmo
Zorro
12 août 2017 @ 12:05
Le mot « secte » est tout à fait approprié au contexte. Vérifiez l’étymologie du mot secte au dictionnaire.
Quand vous vous serez renseigné, vous vous apercevrez que votre démonstration prend l’eau
Par ailleurs, les convulsionnaires du cimetière de Saint-Médard et le diacre Pâris décrédibilisent cette secte et prouve leur duplicité. Le scandale de l’hôpital général administré par des magistrats jansénistes les achève définitivement.
Kalistéa
12 août 2017 @ 20:14
Ceux qui ont vu l’émission ,avec le recul se seront fait une opinion sur le cardinal Dubois !Lorsqu’on dit « le clergé » on parle en général et surtout moi je parlais des abbés de cour.Il est bien évident qu’il ne faut pas généraliser et qu’il y a eu des saints au 18 e siècle comme dans les siècles précédents .
Et on ne dit pas « DE Noailles » , on dit « le duc de Noailles » ou « Noailles » tout court .
Cosmo
13 août 2017 @ 08:28
Vous jouez sur les mots, car si la définition de secte peut correspondre étymologiquement au mouvement janséniste, votre emploi du mot relève de son acception actuelle, négative. Nul n’a jamais dit, vous mis à part, la secte janséniste. On dit le mouvement janséniste.
Si l’on cherche les scandales, il y a bien longtemps que l’Eglise catholique est décrédibilisée. La simonie, la prévarication, la vente des indulgences, les maîtresses pontificales et cardinalices, les scandales sexuels de tous ordres etc…tout ceci n’est pas à porter à la gloire de l’Eglise catholique mais on les oublie pour ne se souvenir que du message du Christ. Souffrez donc qu’il en soit de même avec la pensée janséniste, même si vous ne la partagez pas.
Zorro
13 août 2017 @ 13:38
J’emploie le mot « secte » car c’est le terme qui était utilisé au XVIIIe siècle pour qualifier ce « mouvement » comme vous dites.
Votre raisonnement consiste-t-il uniquement à décrédibiliser votre adversaire afin d’éviter de décrédibiliser son argumentation ?
Zorro emploie le mot secte : c’est « négatif ». Il est méchant et donc son raisonnement étayé par des faits est automatiquement orienté….
C’est ça votre théorie de la connaissance ?
Les gens gentils ont raison et les gens méchants ont tort ?
Remarque, je serai indulgent avec vous. Ma fille de 10 ans a encore par moment le même raisonnement que vous.
Cosmo
15 août 2017 @ 12:42
Pauvre de vous ! Et vous vous croyez intelligent.
Guy Coquille
16 août 2017 @ 10:02
Pour défendre Zorro, je dirai que le problème du jansénisme n’était pas leur foi, mais les conséquences qu’ils en tiraient, et l’intolérance qu’ils en inféraient. Je vous rappelle que Pascal avait beau être un grand esprit, il n’en a pas moins dénoncé aux autorités un prêtre qui avait commis le crime de prétendre que les hommes avaient plus de 5000 ans d’existence. Les jansénistes remettaient également en cause la place de l’Etat, et ils seront le terreau nourricier de la constitution civile du clergé.
Zeugma
10 août 2017 @ 18:35
Le régent a d’abord tenté de rétablir le rôle politique de la grande noblesse. Ce fut un échec. Il rendit au parlement de Paris son droit de remontrance en échange du service qu’il lui avait rendu en cassant le testament de Louis XIV qui faisait ses bâtards dynastes. Peut-on écrire comme certains correspondants que c’est à l’origine de la révolution ? Dans la fameuse séance de lit de justice dite de « flagellation » Louis XV rappellera aux parlementaires que leur seul rôle était de rendre la justice en son nom et non de s’occuper des affaires de l’Etat. La grande erreur du régent fut – à mon avis – de réinstaller la cour à Versailles à la majorité de Louis XV. Le Bien Aimé n’a en définitive résidé que très peu dans le sinistre palais que son arrière grand père avait construit pour surveiller la haute noblesse. Les derniers rois de l’ancien régime étaient coupés du peuple et incapables de comprendre l’évolution du cours des choses.
Bambou
10 août 2017 @ 19:38
Je vais prendre à la médiathèque le film de Bertrand Tavernier « Que la fête commence », film vu il y a déjà un certain temps, avec de magnifiques acteurs. Et puis, bien sûr, ce soir, jeudi, regarder l’émission de FR2. Touts ces « Secrets d’histoire » sont passionnants, nous apprennent tout un tas de choses que l’on ignore, comme le dernier consacré à Caroline Murat. Celui sur Philippe d’Orléans, le Régent, qu’il ne faut pas confondre avec son père, Philippe dit « Monsieur », le frère de Louis XIV. Je ne connais pas grand chose de sa vie et cela va être, une fois de plus, passionnant. Ah, Stéphane…!!!
Claudia
11 août 2017 @ 09:19
J’ai bien aimé ce portrait du Régent, et quel plaisir de voir le Château de Versailles (je me suis dit que Stéphane Bern avait bien eu de la chance d’avoir la Galerie des Glaces pour lui tout seul !) mais j’ai trouvé que les sujets abordés en fin de programme (comme le système de Law) pas assez développés au détriment de sujets comme les habitudes culinaires de l’époque, intéressantes mais trop longues.
j21
11 août 2017 @ 12:34
Un excellent Secret d’Histoire, passionnant. Une belle redécouverte pour moi que ce personnage que j’avais oublié. J’ai appris plein de choses, le testament de Louis XIV, le droit de remontrance, la descendance de Louis XIV décimée par la scarlatine, l’extraordinaire habilité politique du Régent, la modernité aussi du personnage sans oublier le portrait de l’abbé Dubois. Vraiment une grande réussite que ce numéro de Secret d’Histoire.
Cette émission me permet aujourd’hui de suivre les commentaires de Marc, Zorro, Zeugma, Kalistéa sur le sujet.
Kalistéa
12 août 2017 @ 20:17
Merci J21, c’est gentil.