Votre remarque sur la collerette est intéressante.
Elle était très incommode et muta en col de dentelle empesée porté à l’arrière de col (plus pratique pour manger).
Elle fut officiellement supprimée sous Louis XIV.
Jusqu’à une époque récente, la recherche du « confort » n’était pas le but essentiel du vêtement.
L’habit était un objet destiné à un usage pratique – le travail, la chasse ou la guerre – et à montrer le statut social des femmes et des hommes qui le portaient.
Les moines, les curés, les évêques, les cardinaux, les papes, les nobles les princes et les rois étaient habillés pour montrer leur état.
L’empereur à Rome avait le monopole de la pourpre.
Il a existé dans l’histoire de nombreuses lois somptuaires qui imposaient à chacun l’obligation de s’habiller en fonction de sa catégorie sociale.
Sans loi, il y a peu de temps encore, on reconnaissait immédiatement une dame à sa tenue.
Pour en revenir à la notion de « confort », n’est-ce pas au lendemain de la première guerre mondiale que les femmes (plus que les hommes) avec Chanel et la coupe de cheveux à la garçonne ont cherché le confort dans le vêtement ?
Les portraits princiers de Rubens montrent des femmes et des hommes dans l’éclat de leur très haute position.
Le plus spectaculaire est celui de la reine Marie de Médicis portant couronne royale.
et la boutique propose beaucoup d’autres livres sur le thème des portraits de cour dont un livre que j’ai également acheté « portraits de cour de Stéphane Bern et Franck Ferrand » au prix de 15€ au lieu de 35€….
Belle exposition à faire entre 12h et 14h sinon grosse affluence même en semaine….
C’est une exposition magnifique qu’il ne faut absolument pas rater..
Les nombreux portraits de Marie de Médicis qui sont présentés montrent la seconde femme de Henri IV au sommet de sa puissance – alors qu’elle exerce la régence – et à l’époque de son exil.
J’en profite pour faire un peu de publicité pour une autre merveilleuse exposition qui vient d’ouvrir au Louvre sur « François Ier et les Pays-Bas ».
Le Louvre a réuni une profusion de pièces exceptionnelles.
J’étais au vernissage organisé pour les « amis du Louvre » et vais y retourner car il est impossible de tout voir en une seule fois.
Merci Zeugma de cette suggestion d’exposition au Louvre. Une visite dans les salles Grand Siècle s’impose avant de quitter le Louvre, même s’il est dommage que cette collection ne soit pas au château de Versailles.
La princesse est fort jolie et on aimerait savoir de qui il s’agit.Quelle dynastie a produit une telle beauté?
la collerette est une fraise , cher Erato .
Ce portrait de Brigida Spinola Doria est une peinture à l’huile sur toile 152,5 × 99 cm réalisée en 1606. L’œuvre est conservée à la National Gallery de Washington.!
Merci chère Alinéas de nous avoir donné l’identité de cette belle dame; c’était donc une Italienne , une Génoise ;Je ne me souviens pas de l’avoir vue à Washington .Si j’y retourne je ferais attention .
Il s’agit ici du Portrait de la marquise Brigida Spinola Doria, une huile sur toile de format actuel 155 x 99 cm peinte par Rubens en 1606
et conservée à la National Galery of Art de Washington.
L’œuvre a été commandée par le marquis génois Giacomo Massimiliano Doria (1571-1613) qui a épousé Brigida le 9 juillet 1605 et qui est son cousin. En 1606 elle a 22 ans. Après la mort de Giacomo Brigida se remarie avec un cousin des Doria, Giovanni Vincenzo Imperiale, sénateur de Gênes, poète et collectionneur, dont on connaît le portrait par Van Dyck, protégé de Rubens, portrait qui est aussi à la National Gallery de Washington.
Rubens a peint Brigida au cours de l’un de ses séjours estivaux à Gênes où il représentait la bonne société.
La direction du regard de la dame comme la perspective architecturale montre que cette toile était peinte pour être accrochée assez haut.
Mais la peinture était plus grande qu’aujourd’hui. Elle a été découpée plusieurs fois sur chaque côté ce qui a fait disparaître une vue du jardin dans le fond et le bas de la robe. Le jardin peut toujours être vu sur un dessin à l’encre noire de Rubens qui est conservé à la Pierpont Morgan Library de New York. Les modifications datent du XIXe siècle.
Et le tableau a été hérité par Giovanni Carlo Doria (1576-1625), frère de Giovanni. Vers 1625 il semble acquis par Giovanni Vincenzo Imperiale (1582-1648), le deuxième mari de Brigida et revient au modèle en 1648.
En 1661 à la mort de la marquise il aurait été hérité par Francesco Maria Imperiale, de Mantoue, et demeura dans sa descendance.
Vers 1840 il semble acquis par la famille de Rati Opizzone de Turin et vers 1848 par Simon Horsin-Déon (1812-1882) de Paris. Vers 1854 il est à J. Pariss de Londres puis on le retrouve chez Charles J. Nieuwenhuys de Bruxelles et de Londres.
La collection est vendue le 17 juillet 1886 à Christie, Manson & Woods de Londres et ultérieurement à Charles J. Wertheimer de Londres.
En 1934 il est acquis par Lawrence Currie qui mourra la même année et qui l’aurait peut-être accroché aux murs du Minley Manor dans le Hampshire. Il s’y trouve ensuite chez Bertram George Francis Currie.
La collection est vendue le 16 avril 1937 à Christie, Manson & Woods. Le tableau ensuite est acheté par les frères (Duveen Brothers Inc.) de Londres et New York.
En 1957 il est acquis par The Samuel H. Kress Foundation de New York.
En 1961 le tableau est donné par la Fondation à la Nouvelle Galerie de Washington.
On dit que le musée aurait envisagé de l’échanger pour un Léonard de Vinci qui finalement se serait révélé ne pas être de Léonard de Vinci.
Ce portrait inspira Van Dick pour celui de la marquise Elena Grimaldi Cattaneo qui date de 1623 et qui est dans le même musée de Washington.
Naturellement le portrait de la marquise Doria évoque toutes l’élégance des patriciennes de Gênes. La marquise porte une robe de satin ou de velluto di Genova, peut-être une robe de mariée, un éventail à la main, et malgré la collerette de mousseline empesée ou fraise, malgré les bijoux, malgré le fard et tout ce luxe sur la terrasse de son palais, on distingue son sourire et ses grands yeux marrons et l’on songe aux paroles du futur pape Pie II alors secrétaire d’un cardinal, qui disait que Gênes était un paradis pour les femmes.
si Gènes était un paradis pour les Génoises , je ne saurait le dire ce que je sais c’est que Gènes était un enfer pour les îles que le pape lui avait confiées dans sa naïveté pour qu’elle les gère avec justice et équité !
(je saurais) En effet Gérard, au 18e siècle , plusieurs de mes ancêtres furent des chefs qui combattirent la Sérénissime avec courage et certains y laissèrent la vie dans d’abominables conditions .J’ai même une quintaïeule qui sans probablement être une beauté comparable à cette Doria , était une héroïne indomptable , à l’antique .
La Sérénissime c’est Venise, Gênes étant la Superbe.
JAusten
23 octobre 2017 @
19:51
Merci Gérard. Cette peinture est très lumineuse. A tel point qu’on penserait une photo couleur retouchée pour en faire une peinture (procédé très à la mode il y a quelques temps) … Je note l’effet de la l’effet de la direction du regard qui montre que « cette toile était peinte pour être accrochée assez haut ». Je n’y avais jamais fait attention jusqu’à présent.
N’avez-vous jamais entendu parler du » doge » de Gène , Esquiline ?( le titre de « doge » n’était pas réservé à Venise .) Ni de son Altesse « sérénissime » le prince de Monaco? Autrefois Monaco dépendait de Gènes , les princes de Monaco étaient des génois . voilà l’explication ; Cordialement .
Magnifique exposition !
Sans vouloir « ramener ma fraise », je me souviens avoir lu autrefois un livre écrit par André Castelot : l’histoire à table ou l’inverse, je ne sais plus, dans lequel il disait, à tort ou à raison, que le port de ces fraises avait contribué à l’introduction de la fourchette à la table royale, tant il était inconfortable de manger « proprement » avec cet ornement vestimentaire.
Sous toute réserve !
ramener ma fraise …. peut-être qu’entre amis quand ils s’invitaient à nouveau, ils se disaient cela « allez cher ami ramenez donc votre fraise, c’est bolo au menu ».
Erato
21 octobre 2017 @ 07:21
Un voyage d’art qui s’annonce magnifique.
Par contre la collerette sur le portrait ne devait pas être de tout confort!
DEB
21 octobre 2017 @ 07:44
Erato, il y avait quand même un avantage, on ne se prenait pas les courants d’air sur la gorge ? !
Zeugma
21 octobre 2017 @ 11:31
Votre remarque sur la collerette est intéressante.
Elle était très incommode et muta en col de dentelle empesée porté à l’arrière de col (plus pratique pour manger).
Elle fut officiellement supprimée sous Louis XIV.
Jusqu’à une époque récente, la recherche du « confort » n’était pas le but essentiel du vêtement.
L’habit était un objet destiné à un usage pratique – le travail, la chasse ou la guerre – et à montrer le statut social des femmes et des hommes qui le portaient.
Les moines, les curés, les évêques, les cardinaux, les papes, les nobles les princes et les rois étaient habillés pour montrer leur état.
L’empereur à Rome avait le monopole de la pourpre.
Il a existé dans l’histoire de nombreuses lois somptuaires qui imposaient à chacun l’obligation de s’habiller en fonction de sa catégorie sociale.
Sans loi, il y a peu de temps encore, on reconnaissait immédiatement une dame à sa tenue.
Pour en revenir à la notion de « confort », n’est-ce pas au lendemain de la première guerre mondiale que les femmes (plus que les hommes) avec Chanel et la coupe de cheveux à la garçonne ont cherché le confort dans le vêtement ?
Les portraits princiers de Rubens montrent des femmes et des hommes dans l’éclat de leur très haute position.
Le plus spectaculaire est celui de la reine Marie de Médicis portant couronne royale.
Gérard
21 octobre 2017 @ 17:39
Ça permettait peut-être de reposer sa nuque en prenant la pose…
framboiz 07
22 octobre 2017 @ 01:05
Mais, quelle finesse dans la dentelle ! Grand Peintre et ambassadeur, diplomate !
Muscate-Valeska de Lisabé
21 octobre 2017 @ 08:10
Ce portrait magnifique nous présente une femme spirituelle,sensuelle et ravissante…une beauté aiguë comme je les aime….qui est-ce?
CHENAVARD Georges
21 octobre 2017 @ 08:15
Qui figure sur la couverture du programme ?
Rosellilas
21 octobre 2017 @ 08:38
Certainement très beau livre et superbe exposition mais pour les français du Nord, le Musée Rubens à Anvers est à voir également.
Vitabel
21 octobre 2017 @ 09:33
Dommage un peu loin pour moi, j’aurais adorer voir cet expo.
Nemausus
21 octobre 2017 @ 09:50
et la boutique propose beaucoup d’autres livres sur le thème des portraits de cour dont un livre que j’ai également acheté « portraits de cour de Stéphane Bern et Franck Ferrand » au prix de 15€ au lieu de 35€….
Belle exposition à faire entre 12h et 14h sinon grosse affluence même en semaine….
Zeugma
21 octobre 2017 @ 09:54
C’est une exposition magnifique qu’il ne faut absolument pas rater..
Les nombreux portraits de Marie de Médicis qui sont présentés montrent la seconde femme de Henri IV au sommet de sa puissance – alors qu’elle exerce la régence – et à l’époque de son exil.
J’en profite pour faire un peu de publicité pour une autre merveilleuse exposition qui vient d’ouvrir au Louvre sur « François Ier et les Pays-Bas ».
Le Louvre a réuni une profusion de pièces exceptionnelles.
J’étais au vernissage organisé pour les « amis du Louvre » et vais y retourner car il est impossible de tout voir en une seule fois.
Juliette
22 octobre 2017 @ 12:52
Merci Zeugma de cette suggestion d’exposition au Louvre. Une visite dans les salles Grand Siècle s’impose avant de quitter le Louvre, même s’il est dommage que cette collection ne soit pas au château de Versailles.
Olivier Kell
23 octobre 2017 @ 12:12
Entièrement d’accord avec vous Très belle exposition A voir :-)
Olivier d'Abington
21 octobre 2017 @ 10:43
Et encore une expo que je vais rater…
Bambou
21 octobre 2017 @ 11:27
Exposition qui doit être magnifique.
Kalistéa
21 octobre 2017 @ 11:33
La princesse est fort jolie et on aimerait savoir de qui il s’agit.Quelle dynastie a produit une telle beauté?
la collerette est une fraise , cher Erato .
Ghislaine-Perrynn
21 octobre 2017 @ 14:04
C’est magnifique de technicité et de beauté .
Incontestablement des Maîtres
Alinéas
21 octobre 2017 @ 14:14
Ce portrait de Brigida Spinola Doria est une peinture à l’huile sur toile 152,5 × 99 cm réalisée en 1606. L’œuvre est conservée à la National Gallery de Washington.!
Kalistéa
22 octobre 2017 @ 10:23
Merci chère Alinéas de nous avoir donné l’identité de cette belle dame; c’était donc une Italienne , une Génoise ;Je ne me souviens pas de l’avoir vue à Washington .Si j’y retourne je ferais attention .
bianca
21 octobre 2017 @ 14:34
J’ai bien pris note de la durée de cette exposition qui va sans aucun doute révéler de près l’immense talent de ce peintre !
Gérard
22 octobre 2017 @ 02:22
Il s’agit ici du Portrait de la marquise Brigida Spinola Doria, une huile sur toile de format actuel 155 x 99 cm peinte par Rubens en 1606
et conservée à la National Galery of Art de Washington.
L’œuvre a été commandée par le marquis génois Giacomo Massimiliano Doria (1571-1613) qui a épousé Brigida le 9 juillet 1605 et qui est son cousin. En 1606 elle a 22 ans. Après la mort de Giacomo Brigida se remarie avec un cousin des Doria, Giovanni Vincenzo Imperiale, sénateur de Gênes, poète et collectionneur, dont on connaît le portrait par Van Dyck, protégé de Rubens, portrait qui est aussi à la National Gallery de Washington.
Rubens a peint Brigida au cours de l’un de ses séjours estivaux à Gênes où il représentait la bonne société.
La direction du regard de la dame comme la perspective architecturale montre que cette toile était peinte pour être accrochée assez haut.
Mais la peinture était plus grande qu’aujourd’hui. Elle a été découpée plusieurs fois sur chaque côté ce qui a fait disparaître une vue du jardin dans le fond et le bas de la robe. Le jardin peut toujours être vu sur un dessin à l’encre noire de Rubens qui est conservé à la Pierpont Morgan Library de New York. Les modifications datent du XIXe siècle.
Et le tableau a été hérité par Giovanni Carlo Doria (1576-1625), frère de Giovanni. Vers 1625 il semble acquis par Giovanni Vincenzo Imperiale (1582-1648), le deuxième mari de Brigida et revient au modèle en 1648.
En 1661 à la mort de la marquise il aurait été hérité par Francesco Maria Imperiale, de Mantoue, et demeura dans sa descendance.
Vers 1840 il semble acquis par la famille de Rati Opizzone de Turin et vers 1848 par Simon Horsin-Déon (1812-1882) de Paris. Vers 1854 il est à J. Pariss de Londres puis on le retrouve chez Charles J. Nieuwenhuys de Bruxelles et de Londres.
La collection est vendue le 17 juillet 1886 à Christie, Manson & Woods de Londres et ultérieurement à Charles J. Wertheimer de Londres.
En 1934 il est acquis par Lawrence Currie qui mourra la même année et qui l’aurait peut-être accroché aux murs du Minley Manor dans le Hampshire. Il s’y trouve ensuite chez Bertram George Francis Currie.
La collection est vendue le 16 avril 1937 à Christie, Manson & Woods. Le tableau ensuite est acheté par les frères (Duveen Brothers Inc.) de Londres et New York.
En 1957 il est acquis par The Samuel H. Kress Foundation de New York.
En 1961 le tableau est donné par la Fondation à la Nouvelle Galerie de Washington.
On dit que le musée aurait envisagé de l’échanger pour un Léonard de Vinci qui finalement se serait révélé ne pas être de Léonard de Vinci.
Ce portrait inspira Van Dick pour celui de la marquise Elena Grimaldi Cattaneo qui date de 1623 et qui est dans le même musée de Washington.
Naturellement le portrait de la marquise Doria évoque toutes l’élégance des patriciennes de Gênes. La marquise porte une robe de satin ou de velluto di Genova, peut-être une robe de mariée, un éventail à la main, et malgré la collerette de mousseline empesée ou fraise, malgré les bijoux, malgré le fard et tout ce luxe sur la terrasse de son palais, on distingue son sourire et ses grands yeux marrons et l’on songe aux paroles du futur pape Pie II alors secrétaire d’un cardinal, qui disait que Gênes était un paradis pour les femmes.
Robespierre
22 octobre 2017 @ 10:49
Magnifique commentaire, Gérard !
Gérard
22 octobre 2017 @ 20:44
Merci Robespierre !
Juliette
22 octobre 2017 @ 12:42
Merci Gérard pour toutes ces précisions.
Chaque exposition du Musée du Luxembourg est digne d’intérêt, amis celle-ci particulièrement.
Gérard
22 octobre 2017 @ 20:44
Merci à vous Juliette.
Kalistéa
22 octobre 2017 @ 20:06
si Gènes était un paradis pour les Génoises , je ne saurait le dire ce que je sais c’est que Gènes était un enfer pour les îles que le pape lui avait confiées dans sa naïveté pour qu’elle les gère avec justice et équité !
Gérard
23 octobre 2017 @ 11:54
Et je crois que l’une de ces îles vous est particulièrement précieuse, chère amie.
Kalistéa
24 octobre 2017 @ 09:02
(je saurais) En effet Gérard, au 18e siècle , plusieurs de mes ancêtres furent des chefs qui combattirent la Sérénissime avec courage et certains y laissèrent la vie dans d’abominables conditions .J’ai même une quintaïeule qui sans probablement être une beauté comparable à cette Doria , était une héroïne indomptable , à l’antique .
Esquiline
26 octobre 2017 @ 15:25
La Sérénissime c’est Venise, Gênes étant la Superbe.
JAusten
23 octobre 2017 @ 19:51
Merci Gérard. Cette peinture est très lumineuse. A tel point qu’on penserait une photo couleur retouchée pour en faire une peinture (procédé très à la mode il y a quelques temps) … Je note l’effet de la l’effet de la direction du regard qui montre que « cette toile était peinte pour être accrochée assez haut ». Je n’y avais jamais fait attention jusqu’à présent.
Kalistéa
27 octobre 2017 @ 18:34
N’avez-vous jamais entendu parler du » doge » de Gène , Esquiline ?( le titre de « doge » n’était pas réservé à Venise .) Ni de son Altesse « sérénissime » le prince de Monaco? Autrefois Monaco dépendait de Gènes , les princes de Monaco étaient des génois . voilà l’explication ; Cordialement .
Muscate-Valeska de Lisabé
24 octobre 2017 @ 09:31
Merci Gérard.
AnneLise
22 octobre 2017 @ 11:52
Magnifique exposition !
Sans vouloir « ramener ma fraise », je me souviens avoir lu autrefois un livre écrit par André Castelot : l’histoire à table ou l’inverse, je ne sais plus, dans lequel il disait, à tort ou à raison, que le port de ces fraises avait contribué à l’introduction de la fourchette à la table royale, tant il était inconfortable de manger « proprement » avec cet ornement vestimentaire.
Sous toute réserve !
JAusten
23 octobre 2017 @ 22:00
ramener ma fraise …. peut-être qu’entre amis quand ils s’invitaient à nouveau, ils se disaient cela « allez cher ami ramenez donc votre fraise, c’est bolo au menu ».
Muscate-Valeska de Lisabé
24 octobre 2017 @ 09:31
Excellent JAusten…votre trait d’esprit m’enchante!!
;-))
Kalistéa
23 octobre 2017 @ 08:53
En effet , chère Annelise , cene devait guère être commode …même avec une fourchette d’ailleurs!