La princesse Marie Gabrielle de Savoie, troisième enfant du roi Umberto et de la reine Marie José d’Italie, posant il y a quelques années déjà en majesté, coiffée d’un diadème familial de perles que sa fille Elisabeth de Balkany avait également choisi de porter lors de son mariage.
La princesse qui vit en Suisse, a toujours eu à cœur de préserver l’héritage historique de la famille de Savoie.
framboiz 07
1 février 2018 @ 02:37
Photo trop artificielle , qui ne célèbre pas sa beauté !
Francoise
1 février 2018 @ 05:23
Je ne savais pas que les Balkany avaient été anoblis
Gauthier
1 février 2018 @ 17:00
C’est un fort beau cas de « noblesse » d’apparence!
Robert Zellinger, au demeurant policé par le milieu dans lequel il évoluait, a su jouer des coudes pour y arriver. On raconte que la princesse Marie-Gabrielle fût sa plus belle prise…..
Paul Volodia
1 février 2018 @ 17:25
Ils ne le sont pas.
En outre, M. Robert Zellinger de Balkany – père de Mme Elisabeth Janssens de Balkany- était un aventurier suisse, et s’il a des liens avec les Balkany franaçais, ceux-ci sont très lointains.
Bien à vous,
Paul Volodia.
Paul Volodia
1 février 2018 @ 17:25
français*, bien entendu.
Clément II
1 février 2018 @ 21:33
Il est question de la famille Zellinger de Balkany (ou Zellinger-Balkányi dans sa version originale), appelée par convenance « de Balkany » et naturalisée française en 1956. Le mari de la princesse, Robert Zellinger de Balkany (04/08/1931, Iclod, Roumanie – 19/09/2015, Genève), est l’importateur en France du concept américain des grands centres commerciaux, qu’il décide d’associer à des complexes résidentiels, créant un concept dérivé ; à son actif : Paly 2, Rosny 2, Lyon-Part-Dieu… Plus discrètement, il est aussi le promoteur de résidences de standing en Ile-de-France (Elysées 1 et 2 à La Celle-Saint-Cloud, entre autres).
Marie Gabrielle est la seconde épouse de Robert, avec laquelle elle a eu une fille (le mari était déjà père deux fois de son premier mariage). Ils ont divorcé en 1990.
A son décès, Robert possédait le château de Sainte-Mesme (Yvelines), le château Balsan (Èze, Alpes-Maritimes), le palais Lancellotti (Rome), et l’hôtel de Feuquières (Paris).
Il n’y a bien entendu aucun lien familial avec le maire d’une commune de l’ouest francilien, plus habitué des prétoires que de son bureau municipal.
goneauber
2 février 2018 @ 20:32
…et la princesse ne doit pas être confondue avec l’épouse du personnage que vous citez.
Clément II
6 février 2018 @ 01:16
C’est clair.
framboiz 07
1 février 2018 @ 21:55
S’il est hongrois , le y est le signe de la noblesse, je crois ,ils se sont rajoutés un De , vite fait …
La robe fait plus XIX ème que XX ème !
Christian
2 février 2018 @ 22:19
Son patronyme est hongrois mais le y n’est absolument pas nobiliaire, tout comme le i (qui désigne toutefois une origine géographique). Zellinger de Balkany est une francisation de Zellinger-Balkányi, avec l’introduction d’une particule dont certains émigrés hongrois furent friands à une époque. Une particule qui n’est non plus nobiliaire.
Martine un
1 février 2018 @ 22:41
Françoise .Rien à voir ave c le maire de Levallois-Perret. Le mariage avait lieu au château de ste Mesme à côté de Dourdan
Christian
2 février 2018 @ 22:26
Patrick Balkany est également d’origine hongroise, cependant le nom d’origine de sa famille (Balkány) n’a pas de véritable lien avec celui de la famille de l’époux de la princesse Maria Gabriella. Il y a peut-être une concomitance géographique, car certains hongrois de petite conditions, dénués de patro(matro)nyme, ont prit pour nom celui de leur lieu de vie. Il est probable que les ancêtres du maire aient vécu au lieu-dit Balkány.
Balkány est une ville du comitat de Szabolcs-Szatmár-Bereg en Hongrie.
Les ancêtres Zellinger ont certainement exercé des fonctions publiques dans cette ville, ou à proximité. Ce sont en tout cas des notables, donc des gens aisés issus de la bourgeoisie hongroise. Ce que ne sont absolument pas les ancêtres de Patrick Balkany, n’en déplaise à l’intéressé et à d’autres sûrement.
monica
2 février 2018 @ 19:09
Photo prise en 1971 pour le bal de Proust chez Rothchild
Christian
2 février 2018 @ 22:15
La particule n’est pas forcément nobiliaire, les Zellinger de Balkany n’ayant d’ailleurs jamais été nobles malgré les apparences. Ce sont des notables d’origines hongroise et roumaine, rien de plus.
Comme c’est indiqué plus bas, leur nom d’origine se rapporte à un lieu. C’est assez courant dans les patronymes hongrois et ça ne signe que très rarement la noblesse. C’est ce qui a été rappelé à un ancien président français, en vain. Passons.
Je trouve qu’il est excessif de qualifier l’époux de Maria Gabriella d’aventurier ou d’aigrefin. Il n’était pas d’une honnêteté à toute épreuve, il aimait l’argent mais pas au point quand même d’être opportuniste ou escroc, ou les deux ensemble. Les immigrés hongrois ont toujours été un peu à part. Zellinger-Balkany n’échappait pas à cela.
Pour information, il était français et n’a jamais possédé la nationalité suisse.
Sylvie-Laure
1 février 2018 @ 07:40
On dirait Margaret Tatcher. version chignon. Je n’aime pas du tout. Sinistre
Antoine
1 février 2018 @ 07:42
Photo prise au chateau de Ferrieres ou la baronne de ROTSCHILD avait donné des bals mémorables dans les années 70
Photo prise ( je crois….!) par Helmut Newton
Bal où étaient présents Liz Tailor , la vicomtesse de Ribes , Marie Hélène Rochas entre autres célébrités
chicarde
1 février 2018 @ 08:26
Très imposantes, cette photo et cette personne ! Et quels bijoux !!
l'Alsacienne
1 février 2018 @ 08:30
Photo en majesté comme l’annonce le commentaire.
Je suis frappée par la longueur des doigts de la princesse.
Beaucoup de noir dans la toilette et au cou, on dirait la princesse en deuil.
JAY
1 février 2018 @ 09:17
Drôle de phrase : « La princesse qui vit en Suisse, a toujours eu à cœur de préserver l’héritage historique de la famille de Savoie. », quand on sait que c est elle qui a vendu le plus de souvenirs (bijoux ) de la famille pour garder son train de vie !
De plus c est elle aussi qui combat son frère pour des histoires d héritage et va jusqu’a soutenir son cousin Aoste ….
marianne
1 février 2018 @ 19:23
Et pourtant ! J’ ai eu le privilège de la rencontrer lors d’ une exposition en l’ honneur de son aïeul Charles Albert, je puis vous assurer que tous les objets personnels du roi provenaient des collections de Marie-Gabrielle et qu’ elle en prenait grand soin .
Cycy de Montjay
1 février 2018 @ 19:37
Cette fâcheuse tendance à se séparer des biens familiaux se retrouve également du côté Zellinger de Balkany, puisqu’en mai 2017, la villa Aigue Marine, dont nous sommes voisins et dans laquelle vécut Marie (dite Molly) de Balakny, belle-soeur de la Princesse Marie Gabrielle de Savoie, fut le théâtre d’une importante vente aux enchères, les héritiers ne souhaitant pas conserver l’ensemble des biens, ni la superbe propriété.
C’est un crève-coeur de voir dispersés aux quatre vents de tels biens.
Clément II
1 février 2018 @ 21:37
Je ne crois pas que ce soit un crime de lèse-majesté que soutenir « son cousin Aoste ». C’est même assez conforme à la ligne du roi Umberto, qui considérait manifestement le mariage de son fils comme morganatique. Certes, nous nous en moquons un peu vu que l’Italie est une république et risque de le rester un moment ; cette règle demeure quand même en vigueur au sein de la famille (elle est antérieure à l’accession au trône italien) et finalement, Marie Gabrielle ne fait que l’appliquer, même si c’est indirectement;
Gérard
1 février 2018 @ 22:43
Ces histoires de famille ne nous concernent pas beaucoup et l’on peut supposer que les torts éventuels sont plus facilement partagés que les petites cuillères.
Christian
2 février 2018 @ 22:27
Je suis tenu à une réserve mais en effet, ce n’est pas ce que l’on peut croire en lorgnant simplement depuis son canapé.
Leonor
1 février 2018 @ 09:52
Belle femme, belle photo. Et beau déguisement. Parce que, si ce n’est pas un déguisement, ce n’est pas un peu trop, là ?
Stéphane G.
1 février 2018 @ 10:21
quitte à montrer une photo de Cecil Beaton lors du bal Proust du 2 décembre 1971, on aurait mieux fait de ne pas choisir une photocopie…joyaux de Petochi ou Musy
Gatienne
1 février 2018 @ 11:19
Une des plus jolies princesses du gotha en son temps:
demandée (paraît-il) en mariage par le Shah d’Iran après sa séparation d’avec Soraya, fiancé secrète de Juan-Carlos (une invraisemblable histoire d’enfant caché fit surface dans les années 2000) une union avec un aigrefin aux origines controversées…
Et puis plus rien, juste quelques apparitions d’une dame d’âge mûr pour défendre le patrimoine historique de la maison de Savoie…
Gauthier
1 février 2018 @ 17:02
Vous qualifiez fort bien l’ex-mari de la princesse d’aigrefin. Un géant de l’immobilier et des BTP est rarement un enfant de choeur……
Clément II
1 février 2018 @ 21:54
« aigrefin aux origines controversées »
C’est Robert Zellinger de Balkany que vous qualifiez ainsi, autrement dit, d’escroc vivant du produit de ses procédés indélicats ? Vous ne confondriez pas avec quelqu’un d’autre ? Un homme politique par exemple ? ?
Certes, Robert Zellinger de Balkany ne fut pas un modèle d’humanité et d’humilité, en ce qu’il aimait les grandes choses et bien sûr l’argent, sur lequel il s’endormait un peu facilement. Une petite faiblesse qui lui valut un redressement d’environ un milliard d’anciens francs dans les années 1990 (de mémoire). Toutefois, je ne me souviens pas qu’il ait eu recours à des procédés indélicats. Il a importé un concept américain, qu’il a ensuite adapté et dérivé pour le marché français puis européen ; il a exporté l’idée dans les pays du Moyen-Orient, là encore en l’adaptant un peu. Il a misé sur les opérations immobilières résidentielles d’envergure. En somme, ce fut un entrepreneur mais pas l’ombre d’une escroquerie digne de ce nom.
Quant à ses origines familiales, elles sont bien hongroises et roumaines, avérées. Sa famille est originaire des environs de Cluj Napoca, aujourd’hui en Roumanie et siège, durant la domination austro-hongroise, d’une importe communauté magyarophone. Il n’est pas attesté qu’ils soient nobles, comme l’aurait vraisemblablement aimé Robert, mais il est clair qu’ils ont été notables. Son nom était une francisation de Zellinger-Zellinger-Balkányi, signifiant littéralement en hongrois : Zellinger (individu) qui vit au lieu-dit Balkány – le i ayant la même fonction en hongrois, que la particule en français et sans pour autant faire de celui qui la porte, un membre de la noblesse.
Je pense vraiment que vous confondez avec un autre homme.
Gauthier
2 février 2018 @ 11:13
Pour en arriver à un redressement d’un miliards de francs, il faut un peu plus que s’endormir sur son argent!
Et Robert Zellinger ne s’endormait pas vraiment dessus, vu l’importance qu’avait cet élément dans sa vie, comme vous le soulignez à juste titre.
Robert Zellinger, dit de Balkany, appartenait à la catégorie des chevaliers d’industrie. Et le dire n’est pas vraiment un compliment, mais hélas c’est la réalité.
Aucun lien familial avec Patrick Balkany effectivement.
Christian
2 février 2018 @ 22:30
Gauthier, comment qualifieriez-vous ces anciens politiques français ayant eu des redressements cinq à dix fois supérieurs à celui de Zellinger de Balkany ? Il doit forcément y avoir un qualificatif plus fort qu’aigrefin ou aventurier…
Gauthier
5 février 2018 @ 13:17
Effecivement Christian, il y a plus fort comme qualificatif. Et il serait aussi fort intéressant de qualifier les électeurs de ces mêmes anciens hommes politiques français, qui s’offusquaient des « soucis » qu’avaient leur élu!
Clément II
6 février 2018 @ 01:17
Il y a effectivement bien plus magouilleur !
Gauthier
8 février 2018 @ 17:14
… et bien plus honnête aussi, Clément II.
Gérard
1 février 2018 @ 22:41
C’est une version un peu péjorative et réductrice, quant à son mari il était fort savant et grand amateur d’art. Et peu importe ses origines finalement et je ne vois pas pourquoi les origines roumaines seraient nécessairement douteuses.
Gatienne
2 février 2018 @ 09:48
Non, je ne confonds pas avec Patrick Balkany, rassurez-vous ! mais je vis dans une ville marquée par ses constructions commerciales (au propre comme au figuré) et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elles s’entachèrent de quelques actions douteuses…
(Vous me direz: on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs !)
Je me rappelle aussi ce redressement fiscal astronomique pour l’époque, qui n’a pas franchement contribué à redorer l’image du monsieur , localement, toujours…
Quant à ses origines, c’est plutôt à la noble lignée dont cette personne prétendait descendre, que je pensais.
Gauthier
2 février 2018 @ 13:17
Votre commentaire est exact, Gatienne. Et vous êtes encore en-deça de la réalité de l’homme….
Christian
2 février 2018 @ 22:31
Il est né en Roumanie et avait des origines roumaines par les femmes mais sa famille paternelle est principalement d’origine hongroise. Quant au redressement, il y a eu bien pire à la même époque, soyez-en certaine !
Jean Pierre
1 février 2018 @ 11:24
Elle a fière allure, un peu Violetta Valery qui donne sa fête et écoute le brindisi que lui chante Alfredo.
Cosmo
1 février 2018 @ 18:46
Une Violetta qui aurait tout de même le temps de vieillir…
framboiz 07
1 février 2018 @ 21:58
Pas mal vu, Jean -Pierre et Jay !
Leonor, bien vu aussi, c’était une fête en déguisement.
Fine mouche, notre Leo !
On ne vous trompe pas !
Nico
1 février 2018 @ 11:29
Photographie prise au bal Proust des Rothschild …
Maria
1 février 2018 @ 11:59
Dovrebbero fare così tutti!
maria
7 février 2018 @ 22:46
Con « »dovrebbero fare cosi tutti » alludo al fatto che la principessa Maria Gabriella cerca di preservare la storia della sua famiglia
Actarus
1 février 2018 @ 13:07
De toute beauté. La cousine germaine de S.M. le roi Albert II de Belgique est magnifique sur ce portrait qui fait un peu « fin des 70s ».
Jean Pierre
1 février 2018 @ 17:04
1870….la chute de l’empire est proche.
Muscate-Valeska de Lisabé
1 février 2018 @ 17:41
Des mains patriciennes,et une vraie physionomie aristocratique. Tu as raison. Comme souvent♡.
Mary
1 février 2018 @ 13:13
Elle fait très âgée sur la photo .
particule
1 février 2018 @ 13:49
Une princesse très imbue de son rang … il est vrai qu’elle possédait une réelle beauté. Tant mieux si elle s’efforce à faire vivre l’histoire de la famille de Savoie. Il faut bien des témoins des temps pour aller dans le temps ….
Mayg
1 février 2018 @ 13:56
Est ce cette princesse dont on disait que le roi Juan-Carlos aurait voulu épouser ?
Muscate-Valeska de Lisabé
1 février 2018 @ 17:42
Elena eût alors été plus belle….
Audrey
1 février 2018 @ 18:50
Oui mais Franco refusa de suite et en a fait part au Roi Juan Carlos.
Clément II
1 février 2018 @ 23:25
Oui, c’est elle.
Mayg
2 février 2018 @ 16:53
Merci pour les réponses.
Christian
2 février 2018 @ 22:34
Bien que Franco trouva matière à ramener sa fraise, il n’a jamais été établi que le roi Juan Carlos et la princesse Maria Gabriella aient connu l’once d’un début d’aventure sentimentale. Aujourd’hui, il est admis que tout ceci fut probablement spéculatif.
COLETTE C.
1 février 2018 @ 14:15
Belle photo !
Lars de Winter
1 février 2018 @ 16:33
Le style des annees 70s1
Nausikaa
1 février 2018 @ 20:07
Elle me fait penser à Sissi sur cette photo. Normal puisque sa grand-mère la Reine Elisabeth de Belgique était un Wittelsbach (si je ne me trompe) !
monica
2 février 2018 @ 19:05
Non vous ne vous trompez pas …
Gérard
1 février 2018 @ 22:44
Belle photo mais on reconnaît mal la princesse qui n’est pas embellie.
beji
2 février 2018 @ 03:12
Avec Grace et Paola,la plus belle princesse de son temps.