Décès du prince Carlos de Hohenzollern-Sigmaringen. Le prince Carlos, Patrick, Godehard avait vu le jour à Munich le 4 décembre 1978. Il est le fils du prince Godehard-Friedrich de Hohenzollern-Sigmaringen (1939-2001) et de Heide Hansen.
Le prince âgé de 39 ans, s’est suicidé en se jetant de la terrasse (21ème étage) d’un hôtel de luxe de Francfort. Il avait des démêlés avec la justice.
Le prince est l’arrière-petit-fils du prince Karl Anton de Hohenzollern-Sigmaringen et de la princesse Joséphine de Belgique, sœur du roi Albert I. (Merci à Anne et Alberto – Copyright photo : Bunte)
SCImitar
27 février 2018 @ 03:07
DEP
milou
27 février 2018 @ 05:55
Se suicider car la vie est trop lourde est compréhensible et respectable mais pour des affaires avec la justice…c’est la preuve d’une vie peu réfléchie!
ml
Damien B.
27 février 2018 @ 14:35
En parlant de choses peu réfléchies, relisez bien votre commentaire Marie-Louise et vous constaterez – peut-être – combien il est abscons.
Ne jugez pas si légèrement la vie d’un homme que vous ne connaissiez pas hier encore.
Gérard
27 février 2018 @ 14:41
Je suppose en effet que la vie lui a paru trop lourde et même si nous sommes souvent en partie responsables ou totalement responsables de nos problèmes, l’endurance humaine a parfois des limites.
Damien B.
27 février 2018 @ 14:47
Oui Gérard, en effet !
milou
27 février 2018 @ 16:09
Tout à fait Gérard!
ml
Claude-Patricia
27 février 2018 @ 19:22
Pas tout à fait d’accord avec vous. Parfois même depuis que vous êtes très jeune la vie ne vous laisse aucun répit. Mes problèmes dans la vie ne venait pas de moi à l’âge de 9 ans. Et bientôt 40 après j’en paye toujours les conséquences.
milou
28 février 2018 @ 14:27
C’est très vrai Claude-Patricia… et ses démêlés avec la justice révèlent certainement un réel mal-être…je me suis mal fait comprendre ou très mal exprimée…hier!
ml
Olivier d'Abington
28 février 2018 @ 14:49
Chère Claude-Patricia,
Comme je vous comprends!!!
N’abandonnez pas!! On les aura un jour! On les aura!
;-))
bernadette
28 février 2018 @ 15:05
Très juste, Claude Patricia… l’âge n’a rien à voir…
Robespierre
27 février 2018 @ 21:41
Oui, c’est vrai et c’est triste.
Olivier d'Abington
28 février 2018 @ 08:15
Cher Damien, Cher Gérard,
Je vous rejoins en partie!
Sauf peut-être sur le côté « totalement responsables » de nos problèmes!!!
Le post de Milou est encore un jugement à l’emporte pièce contre une personne dont on ne connait absolument rien de la vie!
Beaucoup de lecteurs/lectrices de N&R sont passés maîtres dans ce genre de jugement/condamnation…
Cela montre à quel point certains/certaines manquent clairement de coeur et de bon sens (celui de savoir évaluer son réel niveau de connaissance dans la vie des gens qu’ils critiquent).
Damien B.
28 février 2018 @ 12:29
Cher Olivier,
Oui, une fois encore certains commentaires en disent davantage sur leur auteur que sur les membres du Gotha …
aubert
28 février 2018 @ 13:29
Damien, les membres du Gotha laissent probablement peu de commentaires dur le blog. En tous cas, s’ils le font, ils restent anonymes.
milou
28 février 2018 @ 14:29
Ok Ok Olivier d’Abington et Damien B. …le sujet est si profondément douloureux pour moi …que je me suis ratée…une fois de plus, hier, en voulant exprimer un sentiment vécu de près!
ml
milou
27 février 2018 @ 16:10
Mon commentaire peut sembler dur, Damien B, je vous l’accorde mais je me comprends !
ml
milou
27 février 2018 @ 16:17
Un bien bel homme pour une vie de souffrances certainement !
ml
Baia
28 février 2018 @ 14:47
Milou, le problème ici c’est que vous seule vous comprenez !
Vous avez jugé trop vite, comme à votre mauvaise habitude.
milou
3 mars 2018 @ 16:48
Question jugement, chère Baia…vous êtes inégalable!
ml
Leonor
4 mars 2018 @ 23:28
Milou, vous racontez des âneries. Comme souvent, mais là, vous vous surpassez.
» Une vie de souffrances » … !
Ce type était un escroc. C’est fou ce que ça souffre, un escroc . Ben voyons .
Teresa 2424
27 février 2018 @ 17:10
Lo lamento, ORO por ÉL y su FAMILARES!! La VIDA es un VALOR!!! ! DEP
Antoine
28 février 2018 @ 00:56
Enfin, bon… On ne va pas non plus larmichouller toute la nuit. « Comme on fait son lit on se couche » !
mariejeanne
2 mars 2018 @ 14:11
Si c’était aussi simple…Antoine ! je vous croyais très très très au dessus de certain(e)s internautes !
Margaux ?
27 février 2018 @ 14:59
Je pense plutôt que c’est votre jugement qui est irréfléchi. Comment juger un homme que vous ne connaissez pas, et même s’il est toujours possible de critiquer lorsque l’on ne connait pas, dont vous ignorez l’ampleur du travers et la nature des problèmes ? C’est un peu précipité.
val
27 février 2018 @ 15:10
milou ,
si il y en avait qui pouvait ne pas réfléchir comme ce prince comme vous dites , cela arrangerait la planète et allègerait considérablement notre environnement !!!!!!!
Olivier d'Abington
28 février 2018 @ 14:53
Chère Val,
Je plussoie!!
;-))
Valerie
28 février 2018 @ 08:06
Ne jugez pas ce que vous ne connaissez pas
Vous êtes d une indélicatesse qui frise la vulgarite
milou
28 février 2018 @ 14:31
Oui, je comprends Valerie et val…mes sentiments étaient fort troublés en lisant ce post …
ml
Val
28 février 2018 @ 23:35
Valérie,
Je répondais à milou évidemment, relisez merci
milou
3 mars 2018 @ 16:50
Bien évidemment…Val, bien évidemment!
ml
val
1 mars 2018 @ 16:33
Valérie ,
Vous devez avoir des problèmes de comprehension avec vos relectures , je parlais des individus néfastes pour nous tous pas des personnes en souffrance comme pouvait sans doute être ce monsieur .
Erato
27 février 2018 @ 06:18
Toutes nos pensées pour sa famille dont la peine est sans pareille en des telles circonstances.
Et pour lui une prière car la miséricorde divine est aussi incommensurable.
Silvia
27 février 2018 @ 06:19
Un grand malheur…… Ce prince était il marie ?bonne journee
Gérard
27 février 2018 @ 14:43
Il ne semble pas qu’il était marié.
Damien B.
27 février 2018 @ 14:48
Le prince Carlos de Hohenzollern était célibataire.
Silvia
27 février 2018 @ 15:04
Merci
Rosellilas
27 février 2018 @ 07:08
Il venait de sortir de prison où il était incarcéré depuis 2014 (information lue sur un autre site).
Clémence
27 février 2018 @ 07:15
L’argent et les titres ne font pas le bonheur. Qu’il trouve là-haut la paix qu’il n’a pas trouvée ici-bas.
Robespierre
27 février 2018 @ 07:50
il avait des démêlés avec la justice parce qu’il avait escroqué des gens. J’ai entendu parler d’un fonds de placement bidon.
Opaline
27 février 2018 @ 08:09
Horrible! Il devait être désespéré pour en arriver là. Condoléances à la famille.
Christian II
27 février 2018 @ 08:12
A priori, il s’est suicidé alors qu’il bénéficiait d’une autorisation de sortie de la prison où il purgeait une peine de détention qui devait se terminer en juillet.
Il avait reconnu avoir détourné entre 2012 et 2013, 8,8 millions d’euros en se livrant à des opérations de spéculations avec des fonds d’investissements fictifs.
Robespierre
27 février 2018 @ 14:48
Oui, c’est bien ça.
Margaux ?
27 février 2018 @ 15:01
Il va falloir que je m’habitue à distinguer Christian et Christian II. ?
Le prince sortait effectivement de prison, suite à une condamnation pour escroquerie. Manifestement, il en avait fini avec la justice pour ces faits mais pas avec d’autres protagonistes. Il convient toutefois de ne pas spéculer, même si lui le faisait. Donc, je m’en rapporte à votre commentaire, simple et juste.
Figaro
28 février 2018 @ 13:17
On s’est bien habitué à faire la distinction entre Clément et Clément II.
Margaux ?
9 mars 2018 @ 11:08
Il y en un des deux qui zappe la minuscule du prénom, donc ça facilite le boulot. ?
Leonor
1 mars 2018 @ 15:07
Oui, Christian II et Robespierre, c’est de cela qu’il s’agit. C’est ce qu’en dit la presse allemande.
Non, Margaux, il n’était pas sorti de prison. Pus exactement : s’il était bien à l’extérieur, il n’ était qu’ » en permission ».
Claudia
27 février 2018 @ 08:16
Je ne connais pas ce prince, mais cette mort prématurée est bien triste…
particule
27 février 2018 @ 09:15
Bien triste nouvelle. Grands ou petits … la vie est souvent cruelle.
JAY
27 février 2018 @ 09:43
Il faut rajouter que le prison était sorti de prison pour quelques jours afin de préparer sa vie hors prison (il devait y retourner encore quelques mois pour finir sa peine).
Sarita
27 février 2018 @ 11:10
Se jeter dans le vide m’a toujours semblé une fin particulièrement atroce. Une ancienne collègue s’est jetée du pont de Québec dans le St Laurent où flottaient encore des blocs de glace le jour de ses 29 ans, rien que d’imaginer ses dernières images, j’en ai froid dans le dos. Bref, tout cela est très triste :-(
Olivier d'Abington
28 février 2018 @ 08:21
Chère Sarita,
Je vous rejoins complètement… Ce genre de suicide est certainement l’un des pires…
Aussi parce qu’il y a toujours un risque de se louper et de devenir handicapé (légume) à vie… Ce qui pour moi est encore pire…
Et pour la famille, c’est un traumatisme supplémentaire… à cause de l’état du corps à l’identification.
Je ne sais pas si vous étiez très proche de votre collègue, mais je pense aussi à vous, car je sais, dans ces circonstances, qu’on culpabilise toujours (« pourquoi n’ai-je rien vu venir? »/ »Et si j’avais fait ça ou dit ça, est-ce que cela aurait changé quelque chose? »).
Sarita
1 mars 2018 @ 07:53
Merci pour votre message, Olivier. En fait, c’était une jeune femme qui passait son temps à vous expliquer que sa vie était formidable: elle était fiancée à un garçon extraordinaire, elle avait acheté une jolie maison, elle venait de participer à une publication très importante…bref, j’évitais de la croiser trop souvent car j’avais toujours l’impression que ma vie était nulle comparée à la sienne.
Avec le recul, c’est terrible d’écrire cela.
Comment peut on prendre un tel mal de vivre pour de la vantardise ? Comment peut on passer à côté d’un malheur si immense qu’il vous pousse, le jour de votre anniversaire, à garer votre voiture sur le bas-côté, à enjamber la barrière et à vous jeter contre des blocs de glace?
Ça fait plusieurs années que Marie-Louise est morte, mais ces questions là restent, c’est un peu la double peine du suicide.
Tourmaline
1 mars 2018 @ 18:07
Chère Sarita, votre post m’a rappelé ce poème de Edwin Arlington Robinson, intitulé Richard Cory. Je n’ai malheureusement pas le temps de le traduire mais vous comprenez l’anglais, et il suggère bien le mystère essentiel des individus, de leur vie intérieure et la perception erronée que nous pouvons avoir d’eux. Ce poème m’avait beaucoup touchée lorsque je l’ai lu pour la première fois (et maintenant encore) et forme pour moi un rappel de ne pas porter de jugement superficiel, d’exercer une certaine prudence et un a-priori de compassion dans nos relations humaines. J’avoue que j’applique cette leçon sur ce site même, retenant ma langue devant des contributions féroces (le contraire de Richard Cory dans ce cas) qui peuvent n’être que la manifestation d’un profond mal-être.
Whenever Richard Cory went down town,
We people on the pavement looked at him:
He was a gentleman from sole to crown,
Clean favored, and imperially slim.
And he was always quietly arrayed,
And he was always human when he talked;
But still he fluttered pulses when he said,
‘Good-morning,’ and he glittered when he walked.
And he was rich – yes, richer than a king –
And admirably schooled in every grace:
In fine, we thought that he was everything
To make us wish that we were in his place.
So on we worked, and waited for the light,
And went without the meat, and cursed the bread;
And Richard Cory, one calm summer night,
Went home and put a bullet through his head.
Gibbs
1 mars 2018 @ 19:07
Sarita,
Je ne fonctionne absolument pas comme votre collègue mais beaucoup (trop) de personnes pensent que je suis prétentieuse, distante (par phobie sociale !) et imaginent que je suis très heureuse.
J’ai tout pour… sauf cette souffrance morale qui s’accroche à moi avec une cruauté inimaginable.
Donc, si je puis me permettre, ne culpabilisez pas et je sais que c’est très difficile mais les apparences sont très souvent trompeuses.
Je partage votre commentaire sur la double peine du suicide; mon frère l’a fait huit jours après son anniversaire (il n’en était pas à une première tentative; il y en a énormément…).
Mes pensées vont donc vers ce monsieur de 39 ans que je ne connaissais pas du tout car il faut être très très mal quoique l’on ait fait.
William
27 février 2018 @ 11:30
C’est terrible ça! Mourir si jeune et de cette manière!
Quels démêlés pouvaient ils avoir avec la justice pour en arriver là?
Corsica
27 février 2018 @ 11:53
En 2014, le prince avait été condamné à de la prison ferme pour une escroquerie s’élevant à 8 millions d’euros. Sa peine devant se finir en juillet, il a bénéficié d’une permission de sortie pour un contrat de réinsertion, il en a profité pour se suicider. Peu importe que l’on soit prince ou manant, homme libre ou prisonnier, la souffrance morale insupportable de la dépression choisit aveuglement ses victimes.
Margaux ?
27 février 2018 @ 15:02
Merci pour ce commentaire très juste.
Tonton Soupic
27 février 2018 @ 21:58
8 millions ? Il aurait dû voler 8 milliards, il aurait été embacuhé par la BCE ou la CIA !
Gibbs
28 février 2018 @ 10:53
Corsica,
Je partage totalement votre dernier paragraphe.
Mon frère s’étant défenestré du 8ème étage de son immeuble à l’âge de 33 ans.
Les blessures évoquées ici, ont été pour lui, de très multiples fractures; il est décédé sur le coup.
Un très grand dépressif tout comme moi et qui ai fait une TS et comme vous le dites très bien, personne n’est protégé.
Nous n’avons pas tous les mêmes ressources pour affronter cette Vie si difficile.
Je voulais témoigner car je comprends que l’on puisse en arriver à un tel acte.
Gibbs
28 février 2018 @ 10:55
Ce 28 février est la date anniversaire de son mariage.
On n’oublie jamais; c’est toujours comme si c’était aujourd’hui.
Olivier d'Abington
28 février 2018 @ 14:56
Chère Gibbs,
Je pense bien à vous en ce jour (le 28) de mémoire douloureuse!
En effet, le suicide est une chose complexe, et il est abscons de vouloir le juger de façon autoritaire et sans réfléchir…
Bien cordialement!
Lord BHJ
1 mars 2018 @ 16:10
Chers Tous,
Je vous remercie bien sincèrement et je puis vous assurer que vos messages me vont droit au coeur.
Merci à Corsica et Cicy de comprendre que la dépression est un mal bien réel et qui vous ronge jour après jour.
Tout simplement MERCI !
Lord BHJ
1 mars 2018 @ 16:11
Ainsi qu’à Olivier !
bernadette
28 février 2018 @ 15:09
Je comprends tout à fait, Gibbs… il y a des événements dont on ne se remet jamais. Union de pensée avec vous.
Sarita
1 mars 2018 @ 07:55
Je suis de tout cœur avec vous Gibbs :-(
Valérie R.
1 mars 2018 @ 17:33
Toutes mes pensées vous accompagnent, chère Gibbs.
Corsica
28 février 2018 @ 16:54
Gibbs, depuis que je vous lis, je connais le deuil qui vous a frappé et la dépression qui vous impose un long et douloureux chemin de vie. Je ne peux vous dire que bon courage, tout en sachant que face à la souffrance psychique, trop souvent déniée car invisible et incomprise, l’on se sent bien seule. Bonne soirée
Cycy de Montjay
28 février 2018 @ 23:59
Cher Gibbs, je vous lis souvent sur ce site et je trouve toujours vos messages très à propos.
Mais aujourd’hui votre témoignage personnel, terriblement touchant, apporte un éclairage supplémentaire sur ce que peuvent être les troubles psychologiques sévères. La dépression est en effet un poison lent et insidieux.
Quelle tristesse pour la famille et les proches du Prince Carlos Hohenzollern, qui a commis cet acte empli de désespoir.
Clément II
1 mars 2018 @ 01:14
Content de vous revoir, merci pour ce témoignage. ?
Pierre-Yves
27 février 2018 @ 11:54
Ce prince, je crois, sortait de prison où l’avaient conduit des malversations financières.
Jef
27 février 2018 @ 12:10
Triste histoire, et triste fin.
Son grand-père était donc le cousin germain du roi Leopold III, du régent Charles et de la reine Marie-Josée d’Italie.
Son père est donc cousin sous-germain avec Albert II et Victor-Emmanuel de Savoie.
Margaux ?
27 février 2018 @ 15:04
Hum ? Il me semble qu’on ne dit pas « sous-germain » mais « issu de germain ». C’est toujours ainsi que j’ai entendu parler des descendants de cousins germains.
Jef
28 février 2018 @ 14:42
Je n’avais pas tort pour autant, chère Margaux.
Il y a parfois plusieurs manières de dire les choses, vous savez.
« cousin issu de germains : Personne ayant un arrière-grand-père commun ou une arrière-grand-mère. Appelés aussi « petits cousins » ou « sous-germains ». »
Margaux ?
9 mars 2018 @ 11:12
En effet, merci pour ce petit-rappel sémantique. Dans la langue italienne, on ne dit que « issu de germains » (dans une acception officielle) ou « petit-cousin » (couramment). C’est vraisemblablement pour cela que le terme « sous germains » m’a semblé étrange. ?
Jean Pierre
27 février 2018 @ 15:37
Mais aussi du Bourbon Siciles cher à Actarus, si je ne me trompe pas.
Actarus
27 février 2018 @ 12:21
Quelle idée de se prendre pour Icare. Du 21e étage on a l’assurance de ne pas se rater mais à l’atterrissage on doit avoir l’air horrible.
Quitte à partir d’un hôtel de luxe, à sa place j’aurais loué la suite royale, organisé une dernière teuf, et vidé un tube de somnifères avec une bouteille de champagne.
C’est plus gentil pour les survivants et l’entreprise de pompes funèbres.
framboiz 07
27 février 2018 @ 16:08
Et pour les gens de l’hôtel …
Jacqueline
27 février 2018 @ 16:33
Je me dis la même chose que vous quand je pense à ceux qui sautent sur la voie d’un RER. Mais c’est précisément pour cela que nous ne sommes pas suicidaires. Nous, même au fond du trou, on a encore l’imagination de l’hédonisme. Les gens vraiment désespérés ont tout en horreur. Plus aucune goutte de bonheur n’est bonne à prendre.
Muscate-Valeska de Lisabé
27 février 2018 @ 17:49
Humour noir et pourtant, tu as raison, Acta m’Ami…Cependant, les somnifères ne sont plus ce qu’ils étaient,et ne me demande pas comment je le sais. ..^^Et ils ne se vendent plus en tubes,justement pour « dissuader » le temps de décortiquer la plaquette. ^^
C’est un drame, je pense qu’il a dû avoir très peur de retourner en prison.Entre autres angoisses,car ce sont bien elles qui poussent au suicide.
Actarus
28 février 2018 @ 13:08
Je vais tout vous dire… car le scénario que je viens d’évoquer est dans ma tête, au cas où…
Un de mes amis s’est suicidé dans la nuit du 24 au 25 août 2010. Il était assez populaire, bien plus que moi, et pourtant, son cadavre en décomposition n’a été découvert dans son appartement parisien que 10 jours plus tard parce que des voisins ont senti une mauvaise odeur.
Étant seul, je n’ai pas envie que cela m’arrive. Bon, vous me direz qu’on meurt toujours seul, c’est un fait. Disons que c’est surtout par considération pour les survivants et ceux qui finiraient par me trouver (dans mon cas, au bout de combien de semaines ou de mois ?). Dès lors je me dis que, le cas échéant, une soirée bien arrosée dans un palace devrait faire l’affaire. La femme de chambre ne découvrirait alors, le lendemain matin, qu’un client endormi qui ne se réveille plus.
Muscate-Valeska de Lisabé
1 mars 2018 @ 14:20
C’est beau et c’est vrai, m’Ami,ce que tu dis.
« Le fol laisse décider Dieu de sa dernière heure,le sage la choisit lui-même. »
Je te comprends, et tu sais pourquoi. ♡♡♡
Claude-Patricia
27 février 2018 @ 19:26
Ma mère a vu de tout…et vraiment le pire sont les touts-petits.
Claude-Patricia
27 février 2018 @ 19:27
Dont un qui a été gentiment balancé par un balcon, en effet…
Actarus
28 février 2018 @ 13:02
Dans ce cas ce n’est pas un suicide mais un meurtre.
Lucile M.
28 février 2018 @ 09:49
La clinique psychiatrique apprend à ceux qui travaillent dans ce secteur que le choix de la façon dont le suicidant choisit de quitter ce monde n’est pas que le fruit de l’opportunité. Il met en oeuvre à ce moment-là des éléments inconscients, des désirs qui n’appartiennent qu’à lui et qu’il réalise de la sorte.
Tourmaline
1 mars 2018 @ 18:23
Bien, je vais rajouter une touche d’humour noir alors, comme cet homme dont la femme piètre maîtresse de maison avait fait plusieurs tentatives de suicide, mais pas avant de faire un nettoyage complet de la maison, de sorte que s’il rentrait chez lui en trouvant la maison nickel il se précipitait dans la chambre prêt à appeler les pompiers. Inutile de dire que ce geste est une manne pour les psychiatres.
Margaux ?
27 février 2018 @ 12:51
Le prince Carlos (ci-dessus) est l’arrière-arrière-petit-fils du prince titulaire Léopold de Hohenzollern, par le troisième fils de ce dernier, le prince Charles-Antoine. Carlos est de ce fait, l’arrière-petit-neveu du roi Ferdinand Ier de Roumanie, ancêtre des prétendants actuels au trône roumain, d’une part ; de Guillaume de Hohenzollern, ancêtre du chef actuel de la maison Hohenzollern-Sigmaringen.
Le prince Carlos connaissait effectivement des démêlés avec la justice.
Mayg
27 février 2018 @ 13:30
Je n’avais jamais entendu parlé de ce prince, mais c’est une bien triste nouvel surtout pour ses proches.
Anitra
27 février 2018 @ 14:16
Si beau et bien né, pourtant. Quel dommage que nous ne nous soyons jamais rencontrés, je lui aurais montré la délicieuse chanson de Barbara « Si la photo est bonne », … et le destin en eût été peut-être différent … ?
Muscate-Valeska de Lisabé
27 février 2018 @ 17:50
Vous dites beau et bien,Anitra.
Mavinska
27 février 2018 @ 14:34
C’est vraiment terrible cette histoire!
N’était il pas assisté psychologiquement? Depuis 2014 qu’ il y était incarcéré, une première sortie pour une peine qui arrivait à terme en juillet prochain, c’est à n’y rien comprendre. Voulait il par son geste, blessé quelqu’un?
Mourir si jeune, dans ces conditions!
Francois
28 février 2018 @ 04:33
Vous avez raison on se suicide souvent pour
blesser ou ennuyer quelqu’un que ce soit
conscient ou inconscient
Le pire est que l’on ne fait pas culpabiliser la personne
dont on pense qu’elle culpabilisera
Olivier d'Abington
28 février 2018 @ 08:24
Chère Mavinska,
Blesser quelqu’un en se suicidant???
Vous ne connaissez donc vraiment rien à la psychologie des suicidaires?! (je parle des vrais, ceux qui se « réussissent », pas ceux qui font du chantage au suicide à l’heure…).
Francois
3 mars 2018 @ 19:07
En psychanalyse le suicide le vrai est souvent
une façon de donner des remords à quelqu’un
Et en general ca n’en donne aucun
Corsica
28 février 2018 @ 17:02
Le passage à l’acte est avant tout une incapacité à supporter une seconde de plus l’intolérable douleur psychique. Douleur tellement forte que plus personne, même les gens aimés, ne font le poids. Persuadé qu’il n’y a plus de solution, le malade choisit la délivrance, celle de la mort. Sa souffrance prend fin alors que commence celle des autres.
Milena K
3 mars 2018 @ 23:55
C’est peut-être terrible,mais je suis persuadée que ,parfois,dans certains cas ,il faut plus de courage pour vivre que pour mourir.Je ne dis pas cela pour cet homme dont je ne connais rien,je ne le juge pas,je ne me le permettrais pas.
Francois
4 mars 2018 @ 22:54
Oui il faut davantage de courage pour vivre !!!!
On ne peut savoir excactement ce qui se passe dans la tête d’un vrai
suicidé puisque l’on n’en revient pas
Mais ce que l’on sait est que lorsqu’une personne voulait se suicider
absolument et qu’e
Francois
4 mars 2018 @ 22:56
le revient à la vie
Elle est désespérée d’être encore là
Une TS c’est différent
Cosmo
27 février 2018 @ 16:27
Ce suicide est tout à l’honneur du prince qui n’a pas pu supporter la honte de ce qu’il avait fait. L’Allemagne est bien loin de l’Espagne.
Juliette
28 février 2018 @ 12:59
Et de la France!
Gérard
27 février 2018 @ 16:49
Le prince est donc monté jusqu’au sommet de cet hôtel récent, il a franchi une clôture près du restaurant. Il est arrivé dans une zone interdite d’où il s’est jeté dans le vide. Il n’était apparemment pas entré dans l’hôtel lui-même. On ne sait pas pourquoi il était venu à Francfort. Il avait presque purgé les deux tiers de sa peine et l’on pense qu’il aurait pu être libéré bientôt, peut-être en juillet. Il était dans une prison ouverte à Euskirchen en Rhénanie du Nord-Westphalie et avait travaillé à l’extérieur de la prison vendredi. Le directeur de la prison dit qu’il n’avait jamais suivi de psychothérapie dans son établissement car cela ne paraissait pas nécessaire.
Il est mort sur le coup.
Son père était le prince Godehard-Friedrich de Hohenzollern, grand connaisseur en matière artistique, qui est mort en 2001 au château de Namedy au nord de Coblence – vaste château historique dont sa veuve et sa fille s’occupent aujourd’hui, https://www.burg-namedy.com/historie – était le petit-fils de la princesse Joséphine de Belgique et donc l’un des descendants de Louis-Philippe. Ce château coûte une fortune et il sert pour divers événements de prestige et des festivals de musique.
Le prince Godehard-Friedrich avait épousé en 1971 Heide Hansen, qui était alors étudiante en droit et la fille d’Hellmut Hansen, directeur des mines, et ils ont eu deux enfants : Carlos et Anna Corinna Dione qui s’est mariée au château le 1er août 2013 avec Roman Goldschmidt, originaire de Moravie du Sud en République tchèque. Le mariage religieux avait eu lieu dans l’église catholique d’Andernach, et c’est Carlos qui avait conduit sa sœur à l’autel.
Roman Goldschmidt a étudié le droit à l’Université de Cologne. Il est aujourd’hui inscrit au barreau de Düsseldorf, il est diplômé en droit pénal et en criminologie.
Roman est fils de René Goldschmidt et Jana Swoboda.
Quant à Carlos il s’était fiancé en 2007 avec Salima Khatibi et son mariage avait été évoqué parmi les événements à venir au cours des années suivantes mais il n’y eut pas mariage.
Teresa 2424
27 février 2018 @ 17:15
Para suicidarse CUÁNTA CUÁNTA SOLEDAD EXPERIMENTÓ!! Los problemas económicos se solucionan….
trebua
27 février 2018 @ 17:41
ici tout le monde plaint ce pauvre homme. Avec juste raison.
Toutefois je remarque que ce que la justice lui reproche ressemble beaucoup à ce que la justice espagnole reproche au mari de l’infante.
Ce dernier devrait-il se suicider pour être plaint sur N&R ?
Antoine
28 février 2018 @ 15:12
Comme vous, Trebua, je suis assez sidéré par la majorité des réactions. On plaint beaucoup cet homme qui, comme vous le dites si bien, n’a pas fait pire qu’Inaki. En revanche, pas une pensée pour les pauvres gens qui se sont retrouvés ruinés par ses malversations. Il est vrai qu’il s’agissait sans doute de citoyens lambdas ne s’appelant pas Hohenzollern et, par conséquent, indignes de la moindre pitié.
Leonor
3 mars 2018 @ 17:48
J’avais mis un message qui allait dans le même sens que le vôtre , mais qui n’a pas paru , soit par erreur de ma part, soit par décision de Régine.
Qu’on plaigne les proches de cet homme, qu’on comprenne les dépressifs, c’est une chose. Mais, qu’on pleure un escroc ? Certes, tout le monde a droit au repentir, puis à la clémence voire au pardon.
Mais on ne voit guère ici de repentir
Ce personnage avait déjà été l’objet en 2011 d’une peine de probation, pour non-paiement de factures de traiteur.
S’il a été incarcéré en 2014 , c’est qu’il avait monté une escroquerie portant sur des fonds d’investissement ; perte sèche de 8,8 M d’€ pour ceux qui lui avaient confié leurs avoirs.
Certes, il serait sorti de prison d’ici l’été, sa peine pénale une fois exécutée.
Mais, quid de sa responsabilité civile, pour laquelle il a certainement été poursuivi aussi – la presse allemande n’en parle pas encore, je n’en sais donc pas plus pour l’instant -.
Or, sortir de prison, certes, mais avec 8,8 M d’€ de dettes à rembourser quand, visiblement, on n’a pas le sou et qu’on veut vivre quand même sur un grand pied, je ne vois pas très bien comment cela peut se faire.
++ Alors, de la dépression ? Peut-être.
++ Du désespoir ? Pas existentiel sans doute; mais devant ce qui l’attendait, oui, peut-être.
++ De la honte, comme le suggère l’ami Cosmo ?
Oui, mais ce récidiviste n’a probablement pas eu honte de ses actes. Mais honte devant ses pairs, devant ceux de la » haute société » qui était la sienne, oui, sans doute.
++ De la lâcheté, ça oui, certainement .
Affronter la vraie vie, vivre modestement voire pauvrement, chercher comment rembourser – honnêtement- au moins une partie de ses dettes, tenter de travailler pour de bon … Ca oui, c’était sans doute trop pour ce pauvre type.
Alors non, cet homme-là, sans repentir et sans courage, ne mérite pas les pleurs que beaucoup d’entre vous versent sur le sort qu’il s’est choisi.
Précision : Je parle ici de Carlos de Hohenzollern. Je ne parle pas de tous les autres ces de suicides, auxquels ont été confrontés différents internautes du site, qui le relatent ici, mais dont je ne sais rien , et qui n’ont peut-être rien de comparable dans les prémices .
COLETTE C.
27 février 2018 @ 18:08
Triste fin, si jeune. Était-il marié ?
aubert
27 février 2018 @ 19:20
Un autre, dans cette famille, après avoir mis le monde à feu et à sang a fini tranquillement ses jours dans un château hollandais…
Claude-Patricia
27 février 2018 @ 19:36
Si il savait qu’il escroquait, moi je n’ai aucune pitié pour ses gens là et je sais de quoi je parle, j’en ai été victime. Des « séducteurs » assoiffés d’argent qui font miroiter tout et n’importe quoi à des personnes très fragiles. Et sur Internet, c’est devenu pire que tout. faux profils et j’en passe surtout fabriqués en Afrique parfois avec la duplicité d’occidentaux.
Mais voilà c’est la seule façon que certaines personnes ont pour se rencontrer et c’est la porte ouverte à encore plus sordide que si vous rencontriez quelqu’un publiquement.
Je suis écoeurée.
Claude-Patricia
27 février 2018 @ 20:00
avec tout cet argent il a dû vivre une belle vie et une fois en prison il a dû enfin réalisé la porté de ses actes. Tout le monde ne se suicide pas car en France les gens sont suivi et soigné (j’en ai croisé pas mal…) pour éviter cela. Maintenant on veut bien croire que rien n’est de leur faute, que tout se joue dès l’enfance et j’en passe, qu’ils ont droit à l’erreur. Sauf que lorsque l’on a le vice en soi, c’est pour la vie…et rien ne les fais changer. Je ne parle pas dans leur cas aussi de l’abus d’alcool et du reste…
Ses « amis » ont dû soit l’abandonner soit le dénoncer, bref il avait peut-être peur qu’un « collègue » ne lui en veule…le milieux du grand banditisme est impitoyable. Mais bon je ne vais pas commencer à plaindre les voyoux. J’ai failli devenir avocate en commençant des études de droit mais je crois qu’au fond de moi je n’aurai pas supporté d’être commise d’office pour des gens pareils.
J’ai parfois des conversations sidérantes avec mes infirmiers qui eux aussi considèrent, comme les psy qui les suivent que bon dans le fond tant qu’ils n’ont tué personne ce n’est pas si grave…j’ai demandé que l’on m’explique clairement pourquoi à certains endroits on mélangeait les gens dangereux avec les autres réponse pour ne pas créer de guettos…mais si il y a menace pour la vie de quelqu’un on s’en contrefiche totalement…j’ai halluciné complètement. C’est comme cela on vous jette dans la fosse aux lions et à vous de vous en sortir.
J’ai dû endurer l’horreur dans ma vie. Voilà pourquoi il m’arrive de craquer. Et en plus croyez bien qu’en général ces gens ont le toupet, à cause de ma maladie de m’expliquer que ce qui m’est arrivé est de ma faute que j’aurai dû être vigilante et j’en passe. Non seulement je suis victime de la maladie mais du genre humain qui nous considère comme des…abérations. Hors, moi, j’ai vécu SANS et avec la maladie et mon combat est d’éclairer aussi la lanterne du corps médical. Mais aussi j’affronte les traitements car je veux pouvoir vivre ma petite vie normalement. Ce matin j’ai été voir « le retour du héros » avec une amie et je vous conseille, si vous aimez rire d’aller le voir. Un vrai festival!!
Ma vie est assez étrange, très sombre et très lumineuse à la fois, et je me raccroche aux instants de vrais bonheur que j’ai pu avoir. La résilience est un chemin difficile, le pardon est encore plus difficile.
Patricio
27 février 2018 @ 20:00
Tout ceci est bien triste. Mes pensées vont à la famille.
Amitié
Patricio
MIKA ?
27 février 2018 @ 21:48
Que s’est il passé dans la vie de ce jeune Prince pour en arriver à la prison, puis à cette extrémité ?
C’est d’une tristesse infinie…
Tonton Soupic
27 février 2018 @ 21:56
Carlos ? Il était des Briagdes rouges ?
andré
28 février 2018 @ 00:43
toute cette histoire sera vite oubliée, comme toutes les autres, heureuses ou tristes
Valerie
28 février 2018 @ 08:10
Paix à son âme
Nul ne sait ce qui se passe dans la tete d autrui
Elena1
28 février 2018 @ 12:29
triste pour lui et sa famille, heureusement qu’il n’a pas tué qq en tombant, comme cela arrive parfois
une pensée aussi à toutes les personnes qu’il a flouées et qui peut-être se sont aussi suicidées, dans l’anonymat.
désolée mais pour moi, la mort n’efface pas les malversations, titré ou non
Baboula
28 février 2018 @ 13:04
Elena,Je suis d’accord avec vous .
Zorro
28 février 2018 @ 12:35
Bien mal acquit ne profite jamais.
L’amour de l’argent rend fou.
Ce prince est en quelque sorte une victime expiatoire du système. Combien d’autres banksters qui font bien pire que lui ne sont même pas inquiétés par la justice ?
La justice d’ici-bas n’est pas la même que celle d’en-haut !
Berthold
1 mars 2018 @ 17:04
Heureusement que la justice n’est pas la même en-haut!
J.B.
Leonor
3 mars 2018 @ 17:50
J’avais mis un message qui allait dans le même sens que le vôtre , mais qui n’a pas paru , soit par erreur de ma part, soit par décision de Régine.
Qu’on plaigne les proches de cet homme, qu’on comprenne les dépressifs, c’est une chose. Mais, qu’on pleure un escroc ? Certes, tout le monde a droit au repentir, puis à la clémence voire au pardon.
Mais on ne voit guère ici de repentir
Ce personnage avait déjà été l’objet en 2011 d’une peine de probation, pour non-paiement de factures de traiteur.
S’il a été incarcéré en 2014 , c’est qu’il avait monté une escroquerie portant sur des fonds d’investissement ; perte sèche de 8,8 M d’€ pour ceux qui lui avaient confié leurs avoirs.
Certes, il serait sorti de prison d’ici l’été, sa peine pénale une fois exécutée.
Mais, quid de sa responsabilité civile, pour laquelle il a certainement été poursuivi aussi – la presse allemande n’en parle pas encore, je n’en sais donc pas plus pour l’instant -.
Or, sortir de prison, certes, mais avec 8,8 M d’€ de dettes à rembourser quand, visiblement, on n’a pas le sou et qu’on veut vivre quand même sur un grand pied, je ne vois pas très bien comment cela peut se faire.
++ Alors, de la dépression ? Peut-être.
++ Du désespoir ? Pas existentiel sans doute; mais devant ce qui l’attendait, oui, peut-être.
++ De la honte, comme le suggère l’ami Cosmo ?
Oui, mais ce récidiviste n’a probablement pas eu honte de ses actes. Mais honte devant ses pairs, devant ceux de la » haute société » qui était la sienne, oui, sans doute.
++ De la lâcheté, ça oui, certainement .
Affronter la vraie vie, vivre modestement voire pauvrement, chercher comment rembourser – honnêtement- au moins une partie de ses dettes, tenter de travailler pour de bon … Ca oui, c’était sans doute trop pour ce pauvre type.
Alors non, cet homme-là, sans repentir et sans courage, ne mérite pas les pleurs que beaucoup d’entre vous versent sur le sort qu’il s’est choisi.
Précision : Je parle ici de Carlos de Hohenzollern. Je ne parle pas de tous les autres ces de suicides, auxquels ont été confrontés différents internautes du site, qui le relatent ici, mais dont je ne sais rien , et qui n’ont peut-être rien de comparable dans les prémices .