Présentation au château d’Amboise du champagne « Héritage – Prince Henri d’Orléans ». Le comte de Paris a élaboré avec son ami Monsieur Stanislas Gouin, ce nouveau champagne en y mettant tout son savoir-faire afin de créer un nectar d’exception. La genèse du champagne Héritage-Prince Henri d’Orléans, est issue d’un souhait commun entre le comte de Paris et Mr Stanislas Gouin, de promouvoir la culture de l’excellence, du savoir-faire des artisans, des agriculteurs, des viticulteurs français… et d’un certain « art de vivre à la française » mêlant authenticité et modernité.
Le comte de Paris a été présent à chaque étape de la création : de la réalisation du blason Héritage, qui porte ses initiales (HO), jusqu’au choix de l’habillage des bouteilles et du packaging.
Le champagne Héritage-Prince Henri d’Orléans sera présent dans des lieux de qualité et choisis (hôtels et restaurants étoilés, cercles, bars/clubs haut de gamme, épiceries fines), ainsi que sur des cartes de renom en France (Paris, Bordeaux, Cannes, Lyon, Nice, Monaco …) mais aussi à Canton, Doha, Genève, Londres, Madrid, New York, Pékin, Shenzhen. Pour en savoir plus, cliquez ici. (Merci à Quentin)
Kalistéa
29 avril 2018 @ 08:05
Je dirais comme Charcot: « pourquoi pas? »
Haut-Landaise
29 avril 2018 @ 16:24
Le dernier « pourquoi pas » a fait glou, glou… HL
Baboula
29 avril 2018 @ 08:14
Rassurez-vous seul »le regard bienveillant « du prince est intervenu.
Lucile M.
29 avril 2018 @ 08:20
Il connaît quelque chose au processus de champagnisation ou il a simplement pris part à l’élaboration de l’étiquette ? Voici quelques années il avait créé un parfum … sans doute avec l’aide d’un « nez ».
Gatienne
29 avril 2018 @ 10:46
Non, mais question « héritage » il en connaît un rayon ! ?
Claude-Patricia
29 avril 2018 @ 14:12
qui sentait très bon, d’ailleurs.
Julise
30 avril 2018 @ 01:01
Je me pose la même question. De quel savoir-faire est-il question ? Il est devenu oenologue après avoir été parfumeur, peintre, forestier… et un peu prince ?
Baboula
1 mai 2018 @ 11:53
C’est le mot « Héritage « sur l’ étiquette qui me fait bien rire .Un héritage qui fait :Pschitt !!!
Julise
2 mai 2018 @ 18:57
Un héritage tellement gazeux (en plus d’être vaseux) qu’une bouteille sur trois « pète ». Boum le bouchon ! ?
Philippe Gain d'Enquin
29 avril 2018 @ 08:21
Tel que l’eût chanté feu Jacques Higelin : « Champagne » ! Du moins est-ce ce que le poisson « Bubule » m’a suggéré…
Milena K
29 avril 2018 @ 08:22
Tout pour exister…navrant!
Quelqu'un
29 avril 2018 @ 09:46
Et le feu Prince Henri de Danemark qui faisait de l’alcool c’est navrant et tout pour exister aussi ?
Dès que c’est les Orléans, c’est navrant pour vous, on vous a compris… Personne ne vous oblige à acheter une bouteille de ce vin.
PataClems
30 avril 2018 @ 14:45
Pour le moment, ce qui est navrant, c’est que vous mélangez tout. Henrik de Danemark n’était sans doute pas un grand vigneron, toutefois il avait une culture viti-vinicole qui ne faisait pas débat ; autrement dit il s’intéressait réellement à ce qu’il produisait, il goûtait et empochait des bénéfices (quoique je me suis laissé dire que ce n’était pas aussi lucratif qu’on le pense) mais il se questionnait aussi beaucoup sur la manière de faire évoluer son vin, entre autres préoccupations. J’ai toujours pensé qu’il avait cette part d’esthétisme qui manque à bien des grands producteurs, dans un univers où tout tend à se capitaliser au détriment de la qualité et du consommateur. Henrik cherchait à produire bien, bon et intelligent. C’est de plus en plus rare. Bref. Pour en revenir à Henri d’Orléans, je doute sincèrement qu’il ait cette démarche. En tout cas, il n’a pas grandi dans la ligne qui fut celle d’Henrik, c’est certain. Cela ne lui enlève rien mais ça ne force pas la comparaison avec le prince-consort.
Silvîa
29 avril 2018 @ 08:25
Merci Quentin.
Bon week-end?
Jul
29 avril 2018 @ 08:38
Ahhh Henri d’Orléans n’a pas usurpé le nom « de France » en le prenant comme pseudonyme, enfin il a compris que son vrai nom inspirerait davantage la confiance.
Cela ne pouvait être autrement quand on recherche « l’authenticité » et « la modernité ».
Espérons qu’en matière politique, il le comprenne également.
Bravo d’avoir brisé avec les lettres HO, admettons que ce soit une forme modernisée et commerciale de lambel.
Quelqu'un
29 avril 2018 @ 09:44
Toujours la même rengaine… Don Luis Alfonso aurait fait la même chose, vous applaudiriez des deux mains.
Enfin, il n’usurpe rien du tout, il est le Chef de la Maison de France voilà tout. Opinion partagée par la très grande majorité des royalistes.
Les 6 à 10% des royalistes qui soutiennent Don Luis me font pitié : ils le soutiennent mordicus mais lui il se sert de vous, la preuve avec le nombre d’heures passées en France l’an passé (48). Si Don Luis mettaient autant de volonté à venir en France et à se faire connaître que ses partisans à soutenir ses prétentions farfelues, cela ferait des années que la Monarchie serait en France. Même sa mère en a marre de ses prétentions et préférerait le voir s’occuper de l’héritage franquiste que de celui usurpé des Rois de France ?
Encore une fois, tout est prétexte chez les Orléans pour les critiquer. Il donnerait de l’argent à un mendiant dans la rue que les haineux-alfonsistes répondraient : « C’est grâce à quel objet précieux vendu aux enchères qu’il fait l’aumône ? »
Cette haine des Orléans qui provoque les réponses toute aussi coleriques des pro-Orléans, qui re-provoque la haine des alfonsistes sur les Orléans, et ainsi de suite, c’est le cancer du royalisme. On est pas à la veille de la Restauration.
P.S. : le défunt Henri de Danemark faisait aussi de l’alcool, vous ne dites rien ?! Évidemment non puisque lui n’avait pas la chance d’être le Chef de la Maison de France (à la différence du Comte de Paris).
PataClems
30 avril 2018 @ 14:47
Être opposé à Henri d’Orléans n’est pas être partisan de Louis-Alphonse de Bourbon. Avant toute chose, c’est votre rengaine à vous qui est usée. Il faut prendre un peu de recul.
Quentin
30 avril 2018 @ 16:27
Très bien dit !
Julise
1 mai 2018 @ 11:04
Normal, c’est vous qui le dites.
Jul
1 mai 2018 @ 08:16
Mais Quelqu’un, vous vous trompez ! je ne suis pas un « haineux alfonsiste » (merci bien !!)
N’avez-vous compris que j’applaudis ? Je ne critique pas du tout ! mais je salue les choix d’Henri d’Orléans pour cette étiquette ! Où avez-vous lu dans mon commentaire que je lui reproche sa participation à cette entreprise viticole, que je lui reproche de donner son nom à de l’alcool? et pire que je reprocherais aux Orléans qui feraient l’aumône à des mendiants ? Je suis quelqu’un qui reconnait le bien qu’ils peuvent faire et ce n’est pas du tout le sujet dans cette entreprise commerciale, que je ne reproche pas à Henri d’Orléans et dont j’applaudis même ! :)
Il est incroyable de voir que des Orléanistes reprocher jusqu’aux compliments que peuvent adresser les légitimistes !
Pourquoi vous empoisonnez-vous autant contre nous?
Vous auriez préféré qu’il emploie le nom « Henri VII » ou « Duc de France » ?
D’où tenez-vous ces chiffres? D’un institut de sondage reconnu? D’un échantillon de combien de personnes?
Reconnaissez tout-de-même qu’avec peu de jours passés en France (certes, hélas), Louis de Bourbon est au moins aussi connu et reconnu que les Orléans.
Sinon on n’en parlerait pas ici.
Même à une époque où les droits des aînés des Bourbons n’étaient pas aussi connus en France, les Orléans n’ont pas réussi à restaurer la royauté, alors cessez de rejeter la faute sur les légitimistes et cherchez les causes aussi un peu chez vos prétendants. C’est trop facile !
Gérard
1 mai 2018 @ 15:43
Chacun s’accorde à considérer qu’il est très difficile en France ou ailleurs de revenir à la monarchie. La faute si l’on considère que c’est une faute n’en incombe pas aux prétendants quels qu’ils soient mais certainement à beaucoup d’autres facteurs.
Néanmoins l’acrimonie manifestée souvent bien qu’essentiellement me semble-t-il à Paris, entre les factions depuis une trentaine d’années ne peut pas servir à la cause royale.
Charlotte
1 mai 2018 @ 13:14
Rien contre les Orléans, Quelqu’un, mais un peu dubitative quant aux qualités d’oenologue du Comte de Paris.
Il a certes des dons artistiques et n’a vraisemblablement pas pu, eu égard à son éducation et à « son rang » les exercer librement. Que l’âge venant il laisse libre cours à ses passions, c’est heureux, mais de là à s’introniser vigneron et surtout à s’entourer lors de la présentation du champagne de personnages, disons douteux, il y a un pas.
Je n’ai pas peur de dire que cette cérémonie m’a parue pitoyable, j’avais l’impression que l’on préparait une suite au film « Ridicule ».
Je préfère finalement sourire en regardant le Prince de Venise et ses pâtes.
Et de loin, un autre Prince, pas de lignée royale, certes,mais issu d’une famille ayant donné à la France, évêques, ministres, savants, le Prince Louis-Albert de Broglie, gentiment appelé « le Prince Jardinier », oui, il vend des produits dérivés dans ses boutiques, mais il a créé un conservatoire de la tomate à la Bourdaisière, il a racheté la célèbre Maison Deyrolles qui allait disparaître, il participe réellement à son entreprise, il ne se fait pas « mousser ».
Leonor
1 mai 2018 @ 09:46
Ah zut et m… ! Il est question de picrate, et vous arrivez, les uns et els autres, à ramener sur le tapis cette question Orléans vs Anjou. C’est de l’obsession. Et sur une question dépassée et éculée, qui plus est.
Bon, si ça vous amuse ….
NB : oui, j’ai bien écrit » picrate » . Délibérément. Et ça fait partie du vocabulaire français, académique ou pas, et ça dit ce que ça veut dire et ce que je veux dire.
Baia
29 avril 2018 @ 08:45
Présentation en novembre 2017 par le Comte lui-même …
https://www.youtube.com/watch?v=jqY_n2yh5Z0
alobo
29 avril 2018 @ 09:31
Reportage grandiose, surtout pour le noeud papillon du comte de Paris, et l’intervention passionnante de Son Altesse Impériale Monseigneur le prince héritier de l’empire de Centrafique ………. !!!
PataClems
30 avril 2018 @ 14:50
J’avoue que c’est édifiant. Allons, c’est bien connu que les vignerons portent tous le nœud papillon. Ne « vesquez » surtout pas l’ami Henri, il risque de mal élever son champagne (comme…) et après, ça va devenir une piquette imbuvable ; ce serait dommage de ne pas pouvoir écouler ça auprès des « fidèles clients » du blog de la Couronne.
Mary
30 avril 2018 @ 15:45
Lui, il aurait mieux fait de se taire ,en effet…
Régine va- t-elle devoir créer une rubrique » Centrafrique » ? Avec tous les enfants de Bokassa, il y aurait de quoi faire…
Julise
1 mai 2018 @ 11:20
Jean-Barthélémy est le petit-fils de Jean-Bédel Bokassa, le fils de Martine Nguyen Bokassa que le chef d’état a eu avec sa troisième épouse, Martine Nguyen Thi Hue, et de Jean-Bruno Dédéavode. En vérité, il ne devrait pas s’appeler Bokassa, puisque en Centrafrique, l’enfant porte le nom de son père lorsque ce dernier reconnaît le nouveau-né, ce qui fut le cas ici. Son grand-père a trafiqué l’acte de naissance.
Le « prince héritier de Centrafrique » n’est pas Jean-Barthélémy, comme il prétend l’être. Jean-Bédel (le père) avait désigné Jean-Bédel (le fils) pour héritier de son empire ; c’est donc lui qui revendique ce titre d’héritier. Par contre, Jean-Bédel (le père) a eu d’autres fils, dont George qui est l’aîné et revendique lui aussi un héritage dynastique. Le petit Jean-Barth est très loin de la position de potentiel héritier au trône fantoche de Centrafrique…
Gérard
1 mai 2018 @ 15:44
Le petit-fils de Bokassa que nous voyons n’est pas le prince héritier de Centrafrique. Il est bien petit-fils de Bokassa néanmoins par sa mère.
Julise
2 mai 2018 @ 19:05
Effectivement, il se dit prince héritier de Centrafrique mais il ne l’est pas, d’autres passent avant lui – si tant est qu’il soit dans la liste, puisqu’il n’est pas non plus « prince ». Je vois toutefois qu’il a hérité du gène de la démesure de son grand-père.
Gérard
3 mai 2018 @ 21:07
Je ne crois qu’il se dise prince héritier.
Julise
4 mai 2018 @ 16:13
Je sais encore lire.
https://youtu.be/jqY_n2yh5Z0?t=1m45s
framboiz 07
2 mai 2018 @ 01:26
Allez sur internet pour le prince Jean François de Grèce, qui se prétend futur roi de Roumanie, car » fils de Michel de Roumanie et de sa fille Sophie « , édifiant ! Incroyable, cet affabulateur est invité d’Henri !
Julise
2 mai 2018 @ 19:10
Je n’ai pas été au bout du reportage ; personnellement, savoir ce que le comte fait avec « Staâan » ne m’intéresse pas. Ceci dit, je ne m’étais pas trompée, l’autre farfelu Grèce-Danemark-Roumanie était là. Lui, il est hors catégorie. Se faire appeler « de Grèce et Danemark » en se prétendant fils caché du roi et de sa fille – tous deux de Roumanie dans l’absolu, si on pousse un peu à l’extrême, de Hohenzollern-Sigmaringen. Je ne sais pas où il a été pêcher le « de Grèce et Danemark » là-dedans… Mystère.
Dominique Boscher
2 mai 2018 @ 23:06
Framboiz 07, je lis bien « fils de Michel de Roumanie et de sa fille Sophie » ??? ce prince Jean François de Grèce serait donc le fils issu d’un inceste royal ??? Franchement hallucinant (bien entendu je n’en crois pas un mot, j’ai bien compris que vous parlez d’un affabulateur. J’ai essayé de regarder la vidéo mais n’ai pas pu voir la fin. Enfin invité de « notre » prince-vigneron quand même !! qui ne me semble pas briller par la modestie…)
Gérard
3 mai 2018 @ 01:01
Il est clair que le comte de Paris n’a pas regardé la liste des invités et que l’organisateur de spectacles a été abusé.
PataClems
3 mai 2018 @ 15:07
Bien sûr, what else ?
Il faudrait arrêter de prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages.
Mayg
30 avril 2018 @ 13:01
Prince héritier du royaume de Centrafrique ???
Mais la palme du ridicule revient au nœud papillon du comte de Paris.
alobo
1 mai 2018 @ 09:51
Non très chère un Empire !!!!
Julise
2 mai 2018 @ 19:12
Oui, un empiiire ! La grandeur des Bokassa est à ce titre, le petit roi de France est tenu de bien se tenir, non mais ! (bref)
Mary
30 avril 2018 @ 15:41
Merci Baia… Ce champagne rosé est plutôt tentant…même si je ne suis pas une experte.
Julise
2 mai 2018 @ 19:14
Lorsqu’il est bien élaboré, le champagne rosé est effectivement délicieux. Il faut toutefois être fin éleveur (les vins s’élèvent) pour obtenir un résultat de qualité. Un champagne rosé est vite bâclé, et alors il est mauvais.
Gatienne
29 avril 2018 @ 08:48
Il y a quelque chose d’un peu pitoyable à accoler son illustre patronyme à un parfum (jadis) et maintenant à du champagne, comme le ferait une vulgaire starlette pour un rouge à lèvres !
JOAN de Gibbs
29 avril 2018 @ 09:22
Toujours votre bon-sens Gatienne et je le partage. ?
Kaloutine
29 avril 2018 @ 10:11
De votre avis. Prochaine étape ? Un barbecue ? Une tondeuse à gazon ?
clementine1
29 avril 2018 @ 11:03
que dire alors de la Reine d’Angleterre et du Prince de Galles qui commercialisent n’importe quoi en toutes circonstances ?
PataClems
30 avril 2018 @ 14:54
Je pense que vous confondez l’usage d’un nom comme marque (ce que fait le prince Henri d’Orléans) et l’utilisation d’un label typiquement anglais, « by appointment to » qui signifie que l’on est fournisseur de la cour royale ou d’un membre imminent de celle-ci (la reine ou le prince de Galles le plus souvent). Elizabeth et Charles ne font aucun bénéfices sur leurs « appointements ».
Gérard
1 mai 2018 @ 15:46
Non c’est différent et il est vrai que la reine comme le prince de Galles commercialisent leur production.
PataClems
3 mai 2018 @ 15:08
Très juste, j’ai été vérifié et ils commercialisent. Néanmoins, cela n’a rien à voir avec les délires du petit prétendant français.
Charlotte
1 mai 2018 @ 13:21
Clémentine1, on n’a pas encore vu la Reine Elizabeth, présenter à la télévision les mugs commémoratifs du mariage de Harry et Meghan en disant » c’est moi qui les ai faits » !
gone
29 avril 2018 @ 11:52
Le comte de Paris n’envisage peut-être pas d’apparaître à la télévision en nous disant « Gouttez mes bulles elles le valent bien » !
…et puis, dans le champagne, il y a de beaux noms qui n’ont rien à voir avec des starlettes ces dernières n’étant pas obligatoirement vulgaires.
Philibert
29 avril 2018 @ 14:19
C’est peut-être pitoyable, mais c’est sûrement très rentable…
Mary
29 avril 2018 @ 22:17
Pas plus que pour le petit- fils d’une reine en exercice qui défile enchiffonné et coiffé au ventilateur, alors qu’il n’en a pas besoin ! Le comte de Paris a peut- être besoin de travailler à nouveau et participer à l’élaboration d’un champagne ou d’un parfum, c’est tout de même plus créatif que défiler ou vendre des préservatifs,non ?
Gatienne
30 avril 2018 @ 12:12
À 85 ans, il n’est plus temps de « travailler » en général, non ?
Engranger de quoi se payer une retraite honorable, il fallait y penser avant, il me semble…
Mary
30 avril 2018 @ 15:27
Vous oubliez Macron et la CSG qui tape les retraités de tout niveau…
:-)))
Julise
30 avril 2018 @ 01:02
Je plussoie.
Cosmo
30 avril 2018 @ 08:57
D’accord avec vous !
Bonne semaine
Laure 2
30 avril 2018 @ 11:06
C’est amusant d’ailleurs soyons certains que les mêmes qui montrent du doigt le prince de Venise et ses pâtes porteront aux nues le champagne princier comme l’avait été en son temps la vaisselle et la quincaillerie du prince Jean .
Mary
30 avril 2018 @ 15:28
C’est vrai, on l’a oublié, lui et ses pâtes …
Robespierre
1 mai 2018 @ 11:11
Et certains ici veulent oublier la vaisselle du prince Jean.
Valerie R.
2 mai 2018 @ 15:59
Et le dvd des noces avec Philomena ?
Gérard
3 mai 2018 @ 21:05
Il n’avait pas de raisons de faire cadeau de ce DVD à tous les amateurs tout de même !
Mary
3 mai 2018 @ 13:45
DVD des noces ? Savais pas…
Julise
1 mai 2018 @ 11:25
La différence entre Henri d’Orléans et Emanuele-Filiberto di Savoia, c’est que le second est un vrai chef d’entreprise et qu’il élabore lui-même ses recettes, certes avec l’aide de spécialistes culinaires mais il est partie prenante. Il est permis de penser ce que l’on veut de cette entreprise, en attendant c’est un métier comme un autre. En comparaison, Henri d’Orléans n’a fait qu’observer et goûter, aidé par « Stan » qui est conseiller en communication, pas en vins mousseux. Il le dit lui-même…
Sans comparaison possible, donc.
Philibert
3 mai 2018 @ 11:48
Merci pour cette mise au point.
Nour
29 avril 2018 @ 09:44
Il ne sera présent que dans les » lieux de qualité « ?
Impossible sinon il ne se vendra pas!
Comme les grands champagnes de qualité il sera vendu en Super marche c est évident!
PataClems
30 avril 2018 @ 14:55
Oui, il sera commercialisé via le blog de la Couronne. What else ?
Mary
30 avril 2018 @ 15:30
Dans ce cas, j’en achèterai une bouteille… Et nous la dégusterons en pensant aux participants du site… Je vous dirai s’il est bon !
Quelqu'un
29 avril 2018 @ 09:54
Le chef de la Maison de France, Mgr le Comte de Paris n’est pas le premier à se lancer dans la production d’alcool.
Son lointain grand-oncle, Henri, duc d’Aumale produisait du vin dans les vignobles de sa propriété sicilienne de Zucco. Certains le considèrent comme le meilleur vin de toute la Sicile.
Personnellement, j’attends de connaître le prix, et pour le 14 juin et le 15 août, je porterai un toast à la santé de notre Roi.
Gatienne
30 avril 2018 @ 14:02
Peut-être vous faudra-t-il patienter jusqu’à la saint Glin-Glin pour trinquer à votre « roi » !
Sinon, en Janvier prochain, comme chaque année à Châlons-en-Champagne (un lieux de qualité) on célébrera la saint Glin-Glin: une occasion unique de déguster une coupe de la cuvée Héritage !
PataClems
30 avril 2018 @ 14:57
Aumale avait de sérieuses bases de viti-viniculture ! Comme Henrik de Danemark, ce n’était sans doute pas le meilleur vigneron de son siècle mais il était très intéressé et cela, croyez-moi que c’est déjà une excellente chose quand on évolue dans ce milieu. Dans les deux cas, les vins étaient bons et cela, un peu plus chaque année, preuve s’il en est besoin d’une préoccupation et d’une démarche d’amélioration constantes.
Mary
30 avril 2018 @ 15:35
Bien dit , Quelqu’un !!!
Kaloutine
30 avril 2018 @ 18:50
.Euhhhh … Si vous le permettez : « à la santé de MON roi ». Vous ferez comme vous voulez.
Je suis Française et attachée à la république. En France, il n’y a plus de roi. Et c’est très bien. Et je boirai du champagne le 14 juillet … avec les pompiers !
Julise
1 mai 2018 @ 11:26
En plus, les pompiers ils sont plus « seski » !
Kaloutine
2 mai 2018 @ 22:20
Nous sommes d’accord ?? !
Gérard
1 mai 2018 @ 15:49
Le 14 juillet 1789 et le 14 juillet 1790 dont nous fêtons toujours l’anniversaire, la France était un royaume.
Kaloutine
2 mai 2018 @ 22:30
Certes. Vous avez raison. Cependant, c’est bien la République qui a adopté le 14 juillet comme jour de fête nationale annuelle.
Gérard
3 mai 2018 @ 21:03
C’est vrai.
Quentin
29 avril 2018 @ 10:10
Pour voir les photos de la soirée: http://www.la-couronne.org/actualite-royale/comte-de-paris-presente-heritage/
Lady Chatturlante
29 avril 2018 @ 10:59
Merci à Quentin qui décidément a bien mérité son pin’s.
clementine1
29 avril 2018 @ 11:05
sans oublier le Prince de Venise et son food truck à pâtes.
Julise
1 mai 2018 @ 11:26
Aucune comparaison possible.
Prince MMD
29 avril 2018 @ 11:11
Navrant……pourvu que son champagne ne lui monte pas à la tête et qu’il se lance en politique !
ML
30 avril 2018 @ 13:56
Il a 85 ans !
Julise
1 mai 2018 @ 11:27
Oui, et alors ? On a vu pire en matière de tentatives de lancement en politique, même si ç’a échoué.
Daina Guiliana
29 avril 2018 @ 11:36
Je donnerai mon humble avis après avoir goûter.
Monteiro
29 avril 2018 @ 11:44
Bonjour qu’elle arrogance le prince Héritier du Trône de France est depuis sa tendre enfance éduqué et former pour d’ériger la France les princes de Français reçoive une éducation une instruction, bien sûr entouré des meilleurs experts dans tout les domaines, et je trouve cette initiative une excellente idée!!!
Corsica
30 avril 2018 @ 14:02
Si on regarde le lien de présentation, le prince s’est contenté de donner son nom et son avis sur l’étiquette. L’assemblage du pinot noir, du chardonnay et du pinot meunier est laissé aux producteurs qui travaillent pour la maison.
Lili
29 avril 2018 @ 11:52
Façon comme une autre de « buller » !
Carolus ??
1 mai 2018 @ 08:39
?
Junon
29 avril 2018 @ 11:54
Parrainage « alimentaire « ???
Leonor
29 avril 2018 @ 11:58
N’importe quoi.
C’est un truc fait pour des nouveaux riches incultes étrangers.
Et il n’a pas honte, le » comte de Paris » ?
Il n’a même pas un chouya le sens du ridicule ?
Il est vrai que cela se vendra probablement. Mais pas aux connaisseurs.
PataClems
30 avril 2018 @ 15:03
En effet, les connaisseurs ne mordront pas à l’hameçon, par contre les admirateurs du Comte de Paris se rueront sur ce nouveau produit, estampillé par leur star incontestée. Vous savez, j’ai toujours pensé, cela depuis que je suis adolescent, que cette famille ne fait rien sans penser aux retombées auprès des groupies, leurs premiers et même leurs quasi-uniques clients… Les gens comme vous et moi ne sont pas concernés, parce qu’ils ne sont pas le « cœur de cible » des Orléans.
Robespierre
1 mai 2018 @ 11:13
On devrait faire un discount pour les décorés de la Couronne, enfin je veux dire la décoration en étain dont on parlait precédemment.
PataClems
3 mai 2018 @ 15:11
Cash Couronne ?
Orleans’s discount ?
(sans accent pour rester américain)
Gérard
1 mai 2018 @ 15:53
Le prince Henri a toujours été une personnalité originale qui n’a jamais cherché à être dans le moule, même dans le moule d’un prétendant. Certains le lui reprochent.
Quant à la valeur du champagne il faut éviter tout a priori comme toujours. Il reste que celui qui a élaboré le champagne est un professionnel réputé.
Julise
2 mai 2018 @ 19:19
Effectivement, pas dans le moule d’un prétendant moderne mais il se serait sans doute vu Dauphin au temps des Lumières. Il en a toute la touche.
Julise
2 mai 2018 @ 19:24
Le « professionnel réputé » n’est pas cité et c’est dommage car, s’il est établi en Champagne, il est forcément connu (c’est un petit monde) et cela nous permettrait alors de juger de la qualité présente ou future de ce champagne. Ce serait quand même mieux que devoir s’en tenir à des élucubration autour du travail de « Staâan »… qui ne doit pas avoir beaucoup de clients hormis le prince Henri…
Francois
29 avril 2018 @ 12:30
Il faut vivre !!!
Des bulles
Il vaut mieux terminer avec du champagne
Denis
29 avril 2018 @ 12:43
Après le fiasco du parfum » Royalissisme » lancé il y quelques années par le même Henri d’Orléans , nouvelle tentative de vendre son nom sous forme de marque …
Espérons pour lui que les amateurs de champagne seront plus au rendez-vous que ceux qui ont boudé son parfum.
Cela dit , sur le plan déontologique , bien que l’argent n’ait pas d’odeur, cela fleure furieusement le coup de commerce.pour se remplir, si possible, les poches…
Pomme de terre
29 avril 2018 @ 13:15
Ils ont bien investi dans le marketing, mais est-ce-que c’est buvable?
PataClems
30 avril 2018 @ 15:06
Le nom du conseiller en communication (S. Gouin) est cité mais pas celui du vigneron producteur du raisin, et pas non plus celui de l’œnologue. Il faudrait le savoir et partant, je pourrais éventuellement répondre, au moins partiellement, à votre question.
Mayg
29 avril 2018 @ 13:36
Après la vente de bibelots et autres copies de tableaux par le fiston, voilà le papounet qui se lance dans la vente de champagne. Sans compter sur le neveu avec la vente de ses quiches maison au Maroc… La prochaine étape c’est quoi ? Philomena qui nous organise des après-midis ventes de Tuppeware ? Ma foi, il n’y a pas de dit métier, mais quand on méprise autant le bas peuple comme c’est le cas de certains membres de cette famille, c’est quand même surprenant d’en être arrivé là…
Kaloutine
30 avril 2018 @ 18:52
Excellent ! Bravo Mayg ! :-D
Claude-Patricia
29 avril 2018 @ 14:14
J’en ferai livrer à cette chère Amélie N. ça m’a fait rire de voir que le seau à champagne était bien présent le jour de la dédicace!!
Martine un
29 avril 2018 @ 14:24
N importe quoi??? Un vin du Val de Loire aurait été plus à propos. Loire fleuve royal…
Gilles de Bise
29 avril 2018 @ 20:52
Se pose réellement la question de savoir si le Duc de France doit se mettre en avant en donnant ses noms et titres à une marque de champagne. Cela étant, pourquoi la marque « Heritage » a-t-elle perdu en l’occurrence l’accent aigu sur le premier « e »?
PataClems
30 avril 2018 @ 15:07
It’s so… american.
« H-ei-ri-tèdge » ! What else ?
Gilles de Bise
1 mai 2018 @ 09:15
Merci de cette explication, PataClems! Donc le Duc de France cède à l’américanisme ambiant pour faire de la promotion de crus français à son nom…
PataClems
3 mai 2018 @ 15:12
Américanisme et capitalisme.
Corsica
29 avril 2018 @ 21:26
Ouvrir le lien et lire la présentation vaut son pesant, non pas de cacahuètes (cela ferait trop populace) mais d’amuse-bouches royaux. !
» La Maison Royale de France perpétue le concept d’un art de vivre à la Française qui repose sur le plaisir hédoniste, authentique et intemporel, un concentré de beauté et d’histoire. Une marque synonyme d’excellence, ancrée dans les codes liés à un nom, une famille, une histoire, un patrimoine. »
J’ai beaucoup ri en lisant que la Maison de France était une marque, cela veut donc dire que le conte de Paris pourra la décliner à l’infini afin d’arrondir ses fins de mois. À quand les petits plats surgelés « à la table du roi », les petits pois Louis XIV, les vol-aux-vents Marie LeszcynskaOuvrir le lien et lire la présentation vaut son pesant, non pas de cacahuètes (cela ferait trop populace) mais d’amuse-bouches royaux. !
» La Maison Royale de France perpétue le concept d’un art de vivre à la Française qui repose sur le plaisir hédoniste, authentique et intemporel, un concentré de beauté et d’histoire. Une marque synonyme d’excellence, ancrée dans les codes liés à un nom, une famille, une histoire, un patrimoine. »
J’ai beaucoup ri en lisant que la Maison de France était une marque, cela veut donc dire que le comte de Paris pourra la décliner à l’infini afin d’arrondir ses fins de mois. À quand les petits plats surgelés « à la table du roi », les petits pois Louis XIV, les vol-au-vent Marie Leszcynska ou les croissants à la Marie Antoinette ?
Corsica
29 avril 2018 @ 21:31
Bon, je me suis mélangée les pinceaux en oubliant d’effacer mon premier jet et vous prie donc de bien vouloir m’excuser. Je reprends :
Ouvrir le lien et lire la présentation vaut son pesant, non pas de cacahuètes (cela ferait trop populace) mais d’amuse-bouches royaux. !
» La Maison Royale de France perpétue le concept d’un art de vivre à la Française qui repose sur le plaisir hédoniste, authentique et intemporel, un concentré de beauté et d’histoire. Une marque synonyme d’excellence, ancrée dans les codes liés à un nom, une famille, une histoire, un patrimoine. »
J’ai beaucoup ri en lisant que la Maison de France était une marque, cela veut donc dire que le comte de Paris pourra la décliner à l’infini afin d’arrondir ses fins de mois. À quand les petits plats surgelés « à la table du roi », les petits pois Louis XIV, les vol-au-vent Marie Leszcynska ou les croissants à la Marie Antoinette ?
Kaloutine
30 avril 2018 @ 18:56
Ouiiiiii ! Quand ?
:-D
Robespierre
1 mai 2018 @ 11:26
C’était exactement le raisonnement du prince Jean quand il vendait de la vaisselle est des reproductions encadrées facturées à mille euros. (genre Le Verrou de Fragonard)
Charlotte
29 avril 2018 @ 22:18
Aimant le champagne et étant curieuse, j’ai ouvert le lien que Quentin nous a gentiment donné et écouté la présentation proposée par Baia.
Une naissance est toujours à saluer, alors pourquoi pas celle d’un champagne ? surtout si c’est une naissance « royale »
Toutefois, nouvelle marque parfait, mais il a tout de même bien fallu le faire naître quelque part ce champagne, alors où ? Reims, Epernay, Ay ? ailleurs ?
Monsieur Goin nous dit avoir travaillé depuis un an avec le Comte de Paris, or il semblerait que le projet soit tout de même plus ancien, il faut plus d’un an pour concevoir et réaliser un champagne, alors peut-être s’agit il de la conception de la bouteille et de l’étiquette.
J’ai lu avec intérêt les divers arômes des diverses cuvées, on y retrouve tous les fruits, des agrumes, pamplemousse, citron confit, les fruits rouges, à l’ananas en passant par la reine claude et la poire.
C’est un peu comme pour le Beaujolais nouveau qui il y a quelques années mobilisait les foules s’extasiant sur les arômes de fruits rouges, fruits des bois, banane…
Là où j’ai un peu frémi, mais n’étant pas oenologue c’est peut-être normal c’est en lisant le descriptif du millésime 2006, je cite : » un nez intense et très frais sur des notes délicatement mentholées de pamplemousse et d’ananas, avec une évolution sur la pâtisserie au beurre, le citron confit et la pâte de fruits… un nez très expressif rappelant la pêche confite, les zestes d’agrume ou encore l’amande et la brioche toastée… une sensation de rondeur accentuée par d’agréables notes beurrées »
Dois je vous avouer que tout cela me laisse rêveuse ? ce mélange de beurre, d’amandes, de brioche et de pâte de fruits m’évoque tout sauf du champagne.
Mais encore une fois je ne suis pas spécialiste comme Monseigneur, moi, je me contente de le boire, s’il est bon et comme pour l’instant on ne le trouve nulle part, je demande à Charles si lors de sa remise de décoration il a eu le privilège d’y goûter ?
Enfin tout cela est pour la bonne cause : » participer aux besoins financiers pour l’Ancien Ordre Royal et Souverain de l’Etoile et de Notre Dame du Mont Carmel ayant pour vocation la protection du patrimoine matériel et immatériel, historique, culturel, moral et spirituel français »
J’espère que le fruit de cette création nous donnera l’occasion d’en connaître les retombées sur le terrain
Charlotte
29 avril 2018 @ 22:24
Ayant un peu l’esprit d’escalier actuellement, j’ai oublié : il ne manque qu’un fruit là-dedans : le raisin !
Baboula
30 avril 2018 @ 12:47
Une connaisseuse ? !!!
Corsica
30 avril 2018 @ 14:04
J’adore ! :):)
Charlotte
3 mai 2018 @ 07:07
Bravo Corsica !
Un joli rayon de soleil !
Gatienne
30 avril 2018 @ 14:10
A défaut de raisin, Charlotte, vous mangerez de la brioche ! ?
Ce rappel pâtissier n’est-il pas légèrement malencontreux dans la forme ?
Charlotte
1 mai 2018 @ 11:55
Ah ! le rappel pâtissier n’est pas de mon crû !
Et pour tout vous dire, je ne suis pas « bec sucré », alors évidemment toutes ces références au gâteau au beurre, fruits confits et autres ne me tentent guère.
Je laisse aux amateurs les douceurs et vais demander à mon chéri de nous servir une coupette de Roederer en attendant…
Mary
30 avril 2018 @ 15:33
Merci pour le fou- rire Charlotte !!!
:-))))
Julise
1 mai 2018 @ 11:32
Les mousseux rosés sont très à la mode mais la qualité finale en souffre.
Julise
1 mai 2018 @ 11:34
Sinon, dans la mesure où « Stan » est conseiller en communication et rien d’autre, oui, l’année de conception doit correspondre au délai d’élaboration de l’étiquette. Un an, c’est assez long pour une étiquette de bouteille.
Robespierre
1 mai 2018 @ 11:29
Merci Charlotte. Moi j’acheterai ce champagne quand il évoquera de fines saveurs de cassoulet, des effluves de pot au feu, des réminiscences de gratin dauphinoix, et l’ivresse de la raclette. Ben oui, j’ai plutôt le gout salé. Mais je salue l’inventivité des créateurs du champagne. Même si les pâtissiers vont rouspéter.
Robespierre
2 mai 2018 @ 13:12
je sais que le Dauphiné est la capitale des noix, mais je dois ecrire gratin dauphinoiS
Baboula
2 mai 2018 @ 13:31
Plébéien !
Charlotte
3 mai 2018 @ 07:08
Je prends l’option raclette !
Baboula
4 mai 2018 @ 12:00
Stop ! J’ai la nausée …
Dominique Boscher
2 mai 2018 @ 23:18
Très drôle !! Le compte (conte ?) de Paris devait être complètement beurré quand il a concocté ce champagne !!!
Julise
30 avril 2018 @ 01:02
De quel savoir-faire est-il question ?
Le voilà oenologue maintenant ? N’imp…
framboiz 07
30 avril 2018 @ 03:38
Sauf que si vous cherchez à S Gouin , il n’est pas connu en Champagne, je me pose donc la question de savoir, qui a mitonné ce champagne , d’où vient-il ?
Car, avoir un nom princier ne suffit pas à faire un excellent champagne : Au moins , avec Clara Morgane , Gatienne ,on sait que c’est une association avec la maison De Cazenove !
Un vrai champagne ne se présente pas à Ambroise …mais en Champagne !
Il n’ a pas osé , donc coup de pub ! Il y a un loup !
On aimerait avoir le prix des bouteilles !
Le champagne , c’est sérieux !
Ghislaine-Perrynn
30 avril 2018 @ 13:41
Mouais sérieux , mais enfin chacun a sa liqueur ….
PataClems
30 avril 2018 @ 15:09
En effet, Stanislas Gouin est conseiller en communication. Du coup, j’ai cherché à Pin Gouin mais là, mon ami Google ne connaissait pas… et mon père non plus. Du moins pas dans le champagne.
Charlotte
30 avril 2018 @ 17:14
Chère Framboiz 07, vous permettez que je vous appelle ainsi même si ne nous connaissons que depuis peu, je vois que nous avons eu la même idée !
Mais peut-être est il fabriqué dans les caves de tuffeau du Val de Loire ?
Baboula
1 mai 2018 @ 12:29
Merci Charlotte pour le muguet.
Gérard
1 mai 2018 @ 17:19
L’œnologue est Matthieu Limongi qui depuis 2009 s’occupe d’une maison de champagne d’Épernay (René Chayoux) qui vient de sa grand-mère Baïa qui en 1979 l’avait reçue après le décès de son parrain René Chayoux. Il est aussi vice-président de la Scv Beaumont des Crayères.
René Chayoux (1892-1969), fils du baron Joseph Chayoux, avait en 1937 racheté alors qu’il était déjà un grand négociant de champagne et président du tribunal de commerce, le champagne d’Ayala, puis il racheta le champagne Montebello au comte Stanislas de Montebello (1876-1966), maison fondée en 1834. Il acquit aussi le château de Mareuil-sur-Aÿ.
Ce château lui était allé ensuite à l’homme de confiance de René. Notons que ce château avait été acquis par Philippe, duc d’Orléans et qu’il fut cédé par ses héritiers Louis-Philippe et sa sœur au fils aîné du maréchal Lannes duc de Montebello.
Pour ce qui concerne les vignerons qui cultivent les terres champenoises pour cette production ils sont évidemment nombreux.
Il faut noter que lors d’une vente aux enchères à Bordeaux il y a quelques jours une société chinoise a acquis les 30 000 bouteilles de Champagne Héritage qui étaient proposées à la vente.
Charlotte
2 mai 2018 @ 13:45
Eh! bien voilà, Gérard ! il s’agit donc de la maison de champagne Chayoux qui a, si je comprends bien, mis son savoir faire à la disposition du comte de Paris et du conseiller en communication Stanislas Gouin avec la bénédiction de Matthieu Limongi, héritier de cette maison, comme vous le soulignez, mais qui s’occupe également de joaillerie, est gérant de Wine Generation, conseil en marketing et management et enfin producteur de champagne.
Alors il a certainement de solides connaissances en la matière, mais tout ceci est un peu plus complexe que l’énoncé : « Le comte de Paris a élaboré avec son ami Stanislas Gouin, ce nouveau champagne en y mettant tout son savoir-faire afin de créer un champagne d’exception »
Comme je l’ai dit, je suis curieuse, je suis donc allée voir sur le site du champagne Chayoux et ses cuvées, point d’Heritage !
C’est donc une cuvée intimiste réservée aux élites, tant pis !
Dans tous les cas, je vous remercie pour les explications concernant cette maison dont l’histoire est fort intéressante et que à ma grande honte je ne connaissais pas.
Gérard
3 mai 2018 @ 20:57
Merci Charlotte ?
PataClems
3 mai 2018 @ 15:23
Mathieu Limongi est avant tout un homme d’affaire, allant de la joaillerie à la production de vin en Champagne, en passant (comme Gouin) par la finance et le management. Son plus haut degré de qualification dans la matière qui nous intéresse est un Brevet Professionnel de Responsable d’Exploitation Agricole (BPREA) Vitivinicole, équivalent du Bac Professionnel. C’est très bien mais ça ne rend pas œnologue, titre sanctionné par une formation de niveau master. De plus, la maison Chayoux (qui appartient d’ailleurs à la société Wine Generation et non directement à M. Limongi) est grande. Ce n’est pas M. Limongi qui fait le champagne.
Les Champagnes René Chayoux sont généralement bons, issus d’un savoir-faire qui commence à être ancien. Cela reste toutefois une production à grande échelle, loin de la qualité que l’on peut trouver dans des vins de petits producteurs. Cette cuvée « Heritage », effectivement très intimiste, doit être bonne mais sans plus.
framboiz 07
2 mai 2018 @ 01:40
Oui, chère Charlotte , pas besoin d’avoir fait des études d’œnologie ,il suffit d’une culture de base, d’un peu de bon sens et de la fréquentation des dives bouteilles !Je vis en Champagne , Reims, chère Charlotte .Je les soupçonne de parler d’une bonne œuvre , par publicité …
Dans la vidéo, tous ces gens , qui prétendaient être avec « des gens bien » , ça m’a irritée, et les autres , nous sommes quoi?
Surtout , avec un Bokassa et un faux-De Grèce ! Il leur manquait une miss -Télé réalité ,là, elle aurait peut-être été vraie ! Scandale !
Je plains les royalistes …
PataClems
3 mai 2018 @ 15:30
L’œnologie est quand même un métier pointu, assez largement exercé par des ingénieurs de l’agriculture qui ont passé un diplôme national (DNO). Ce diplôme n’est pas une obligation pour exercer le métier d’œnologue mais il convient d’avoir au minimum un master, dans les domaines de l’agriculture ou de l’agro-alimentaire (chimie alimentaire). Le Bac+5 est imparable.
Après, je suis d’accord qu’une personne qui possède de bonnes bases dans le domaine vitivinicole peut se lancer avec une certaine autonomie. Remarquons cependant que ni le prince Henri, ni Stanislas Gouin n’ont cette compétence de base ; Mathieu Limongi a cette compétence mais comme ce n’est pas lui qui fait tourner les Champagnes Chayoux, nous considérerons que son maître de chai est déjà excellent, et qu’il fait une bonne équipe avec l’œnologue du domaine, car il y en a un, attitré.
Ce n’est quand même pas donné à tout le monde de se lancer dans le vin (au sens large) et plus précisément dans le Champagne. La concurrence est assez rude et, sauf à faire des petits cuvées intimistes pour s’amuser, c’est assez compliqué d’écouler ses bouteilles quand on débarque dans le milieu.
JAY
30 avril 2018 @ 07:29
Comme son fils pour les « goodies » de son association, le Prince donne son nom pour vendre du champagne à Amboise !!
Mouhai …. même si les étiquettes sont plutôt bien, en avait il vraiment besoin…… j espère que les revenus des ventes vont à la fondations St LOUIS et non pour lui assurer sa retraite ! Il aurait mieux fait de travailler !
Gérard
30 avril 2018 @ 12:36
De la concurrence pour le prince Eudes qui lui est dans le Bordelais…
Laure 2
30 avril 2018 @ 14:08
Je ne crois pas qu’on puisse parler de concurrence .
L’employeur du prince Eude considérerait sans doute comme une insulte que de rebaptiser la production ,plusieurs siècles de travail sans un Orléans à l’horizon leur ayant assuré un succès mérité .
Par ailleurs le prince travail réellement et son salaire ne semble pas justifier à ses yeux qu’il brade son nom ce qui est tout à son
honneur.
Une cuvée honorifique peut être … mais ce n’est pas du tout de cette démarche dont il est question ici.
Gérard
1 mai 2018 @ 17:28
Ce n’était qu’une plaisanterie de ma part sans méchanceté pour le cher prince Eudes qui a beaucoup d’humour.
Julise
1 mai 2018 @ 11:35
Eudes est un professionnel du secteur vinicole et il gagne sa vie. Cela n’a rien à voir avec les fantaisies de son paternel.
Gérard
3 mai 2018 @ 01:13
Mais je le sais bien et j’aime beaucoup le prince Eudes qui comme tous les enfants du comte de Paris et de la duchesse de Montpensier a infiniment de qualités. Je me risquais donc à cette petite plaisanterie que je pourrais lui réitérer de vive voix.
Julise
4 mai 2018 @ 16:15
Excepté son goût modéré de la populace, je préfère Eudes à son père.
Mario
2 mai 2018 @ 05:46
Dégustez vers Rilly-la-Montagne / Chigny-les-roses …
Ghislaine-Perrynn
30 avril 2018 @ 13:42
Oui Gérard et même si je puis me permettre , un cru princier .
DUCHESSE
30 avril 2018 @ 17:03
« In vino veritas »…
Ninon
1 mai 2018 @ 07:19
Ce qui m’attriste quelque peu, c’est de devoir noter une forme de jubilation dans toutes ces lignes dans l’évocation d’une nécessité pour le comte de Paris de pourvoir à des rentrées d’argent.
N’oublions pas que l’héritage fut désastreux de par l’inconscience de son défunt père.
Tout se passe comme s’il pouvait être réjouissant de voir le chef de la Maison de France (ou ses descendants )dans des situations financières délicates.
Tout est plus difficile pour les royaux quant l’argent vient à manquer.Et quand l’âge vient s’ajouter…Je pense que le comte à agi avec sagesse en joignant l’utile à l’acceptable et ce n’est pas si simple dans sa situation.
Julise
1 mai 2018 @ 11:39
Inconscience, inconscience… D’accord, Henri père était prodigue et dispendieux, et il n’est pas non plus à exclure qu’il se soit laissé prendre dans quelque filet insécable (ceux de sa Monique). Toutefois, il ne faut pas méjuger qu’il a sans doute, aussi, vu venir le vent de sa progéniture, quand même sacrément fantaisiste pour ne pas utiliser d’autre mot. J’imagine qu’il n’a pas boudé son plaisir à dilapider la fortune pour que ses héritiers n’aient que des miettes.
Gérard
3 mai 2018 @ 01:18
Il y a eu dans tout cela beaucoup de bruit pour rien, aucune poursuite n’a été engagée contre quiconque. Il est vrai que le prince avait été abusé par un homme de confiance bien avant cela et qu’il y a perdu beaucoup d’argent. Mais pendant longtemps les frais de secrétariat et de réceptions du prince ont été très lourds pour défendre la cause monarchique auprès de la classe politique notamment.
Catoneo
1 mai 2018 @ 14:30
Je trouve ça plutôt positif pour le comte de Paris de lancer une affaire, même s’il est bien tard , docteur Schweitzer ! J’aime mieux cette dépense intellectuelle à celle d’invectiver les pouvoirs publics qui resteront sourds à ses remontrances.
Je vois que le conseiller commercial du prince a ramassé un beau parterre de décideurs chinois au château d’Amboise et j’ose croire qu’on va bientôt commencer à remplir un container vingt-pieds à destination de Xingang pour commencer.
La vidéo de Baia nous montre un prince finissant à la voix éteinte. Souhaitons-lui la satisfaction de réussir enfin quelque chose. Sincèrement.
Gérard
3 mai 2018 @ 01:20
La voix de l’actuel comte de Paris n’a jamais changé elle a toujours été très douce.
Gérard
1 mai 2018 @ 17:33
On ne peut pas dire que l’héritage a été désastreux mais divisé en 10… Sur le reste il y a du vrai. Et être prétendant coûte.
Lili.M ?
2 mai 2018 @ 17:28
Le mot de la fin : tchin ???