La maison Kerry Taylor Auctions à Londres mettra en vente le 18 juin prochain de la layette et des robes portées par les princesses Elizabeth et Margaret. Des vêtements dans la plus pure tradition britannique. La vente comprendra aussi des robes de Dame Olivia de Havilland et d’Audrey Hepburn. (Merci à Bertrand Meyer)
Auberi
28 mai 2018 @ 08:01
Curieuse de connaitre les prix issus de cette vente, car la layette de Lilibeth, euh…
Isa C
28 mai 2018 @ 09:03
Sa majesté a t’elle besoin d’argent pour vendre de tels vêtements qui un jour seront historiques… voire qui le sont déjà ?!
Galetoun
28 mai 2018 @ 12:51
Ça m’ étonnerait fortement que la reine soit à l’origine de cette vente.
Plutôt une parenté ou connaissance descendant d’enfants à qui ces robes ont été données jadis- comme cela se faisait – une fois les princesses trop grandes pour les porter. Surtout qu’à ce moment là, Elizabeth n’était pas appelée à régner – elle était juste nièce de futur roi. Son vestiaire pas encore sacralisé !!
Cela se faisait dans tous les milieux, avant l’existence des vide grenier bien sûr : on donnait- on ne vendait pas.
Danielle
28 mai 2018 @ 09:56
Je ne comprends pas cette mode à vendre et vendre des vêtements familiaux, pourquoi ne pas les donner à des musées ?
Pierre-Yves
28 mai 2018 @ 17:32
On se demande surtout comment ces vêtements de bébé se sont retrouvés à la vente et qui les y a mis. Car il semble difficilement concevable que ce soit la reine elle-même, ou même les enfants de Margaret.
Karabakh
28 mai 2018 @ 10:48
Ces vêtements ne sont-ils plus assez « in » pour les royals childs du moment (et je pense notamment à Baby Louis) ? C’est quand même une belle tradition que de transmettre ces pièces sur les générations.
A moins que la Firme n’ait besoin de sous.
Qui va acheter ça ?
Laurent
28 mai 2018 @ 16:34
Des amoureux inconditionnels de lilibeth et Margaret
Mais que c’est moche
Baboula
28 mai 2018 @ 18:09
Je ne crois pas que cela vienne de la Firme . Ces vêtements ont peut-être été donnés ,les receveurs les ont gardés pieusement et à présent les héritiers vendent .pure supposition.
Caroline
28 mai 2018 @ 22:07
La Firme a beaucoup dépensé pour le mariage de Harry et de Meghan, elle souhaite faire des affaires avec la vente de robes portées par Elizabeth et de Margaret !
William
28 mai 2018 @ 11:51
Pourquoi les vendre ? Pourquoi ne pas les transmettre ?
Si la jeune génération royale les snobe, alors ils peuvent les garder en souvenir.
Au pire des cas, les offrir.
Élisabeth II qui vend ses grenouillères et celles de sa petite soeur, c’est pas terrible , à mon avis. Sauf si les fonds collectés serviront à une oeuvre caritative.
NicoleC34
28 mai 2018 @ 12:23
C’est curieux comme démarche, je me demande si la reine est au courant de la vente de ses robes de petite fille est de sa sœur….
Gatienne
28 mai 2018 @ 12:23
Kate, adepte du recyclage et du Liberty pour sa fille, n’a pas songé à récupérer les pièces de la photo n° 2 pour Charlotte ?
Anastasie
28 mai 2018 @ 13:14
Peut-être ces vêtements avaient été donnés et ensuite c’est pour cela qu’ils sont maintenant mis en vente. J’ai déjà lu qu’un certain nombre de paniers pique-nique distribués à l’occasion du mariage de Harry et Meghan avaient déjà vendus sur un site type eBay ! Quel manque de tact. Moi, si j’en avais reçu un, je l’aurais gardé précieusement.
mimi UBU
28 mai 2018 @ 15:15
AH BON ???? Ils ont besoin de liquidités???? après les noces….
framboiz 07
28 mai 2018 @ 16:05
Qui les a donnés à vendre, un ex -nounou ? La reine, je doute .
Claudia
28 mai 2018 @ 19:04
En effet ces vêtements sont bien dans la plus pure tradition britannique….
Claudie
28 mai 2018 @ 21:56
A mon avis l’argent va aller a une association caritative du prince Charles pour ses 70 ans
Bernadette
29 mai 2018 @ 14:04
La jeune Lady Louise ressemble beaucoup à sa grand’mère dans sa jeunesse….
Chiffonette
29 mai 2018 @ 14:18
Les vêtements étaient à l origine la propriété de la nounou des princesses, Clara Chevalier surnommée « Allah ».
JuLise
30 mai 2018 @ 22:45
Qui peut bien acheter cela ? Même pour collectionner, je trouve ça à la limite du fétichisme. De la layette quoi…