A partir du 14 juillet, le château de Candé en Touraine accueillera l’exposition « La duchesse de Windsor en ses meubles. Un instant d’éternité ». L’occasion d’évoquer le séjour de trois mois que fit Wallis Simpson au château dans l’attente fiévreuse de l’arrivée du duc de Windsor avant son mariage en juin 1937.
L’exposition se penchera aussi sur le style Windsor et sur l’hôtel particulier du bois de Boulogne que le couple habita. Le Mobilier national et le château de Versailles ont prêté plusieurs pièces.
L’exposition sera présentée à Candé jusqu’au 11 novembre 2018. Le style Windsor sera donc au coeur de ce show. En matière de mode, Wallis fit de la simplicité un art, son style vestimentaire se définissant par la rigoureuse distinction des coupes et des lignes. C’est ce qui constituait sa marque avec une touche d’esprit et un zeste de sophistication en plus.
Elle sut ainsi assurer la pérennité de sa réputation sur la liste des femmes les mieux habillées du monde. La duchesse choisissait trois tenues différentes pour chaque étape de la journée, sans oublier les accessoires : chapeaux, chaussures, gants, sacs, fourrure jusqu’au moindre mouchoir. Wallis avait de tout petits pieds mais des mains larges qu’elle préférait cacher, ce qui explique les centaines de paires de gants en sa possession.
Elle raffolait également des sacs à main qu’elle considérait comme un accessoire essentiel de ses ensembles. Mais la touche suprême de son élégance résidait dans un choix extraordinaire de bijoux que lui offrait le duc.On se souvient bien sûr des panthères de chez Cartier ou de cette flamboyante broche flamant aux pattes articulées en diamant. Pour rappel, la duchesse légua tous ses bijoux à l’Institut Pasteur. (Merci à Bertrand Meyer)
DSilvî
5 juin 2018 @ 04:37
Merci Bertrand Meyer.
Bonne journee
DEB
5 juin 2018 @ 06:03
Merci à Bertrand Meyer.
Est-ce que cette exposition attirera, à partir du 14 juillet et jusqu’au 11 novembre, attirera les visiteurs ?
Robespierre
5 juin 2018 @ 07:26
Pendant des décennies on parla de leur « magnifique histoire d’amour » alors qu’en fait, Wallis dut se résigner à épouser un homme falot qu’elle n’estimait pas bcp et dont elle n’était pas amoureuse, bien obligée de continuer le mythe de la grande passion. Si je connais une femme qui fut piégée par ses manigances et son ambition, c’est bien Wallis. On a pu lire recemment des documents et une lettre où elle dit à son second mari qu’elle aimait vraiment qu’elle fut entrainée dans un enchaînement d’évenements qu’elle n’avait pas voulus. Maîtresse d’un roi, oui, mais epouse d’un exilé, non. Les bijoux et les robes de couturiers ont tenté d’effacer son ennui. Et ils eurent beaucoup de petits chiens.
Francois
5 juin 2018 @ 12:23
Cela s’appelle la rançon de la gloire
Elle ne pouvait plus reculer
Elle n’avait pas réalisé que l’on ne peut tout avoir dans la vie
Celui qui s’en sortit le mieux fut en fait le Duc
Il eut une compagnie ,ne fut pas seul
Leur amour des vanités les unissait
Enfin leur permettait de survivre dignement après savoir tout raté
Lady Chatturlante
5 juin 2018 @ 14:53
C’est la moins belle robe de mariée des années 30.
Alix-Emérente
5 juin 2018 @ 15:15
Effectivement, Robespierre. Et il parait même qu’elle s’était imaginé devenir reine… sauf que lorsque le Roi abdiqua, elle était, comme vous le dite : « entrainée dans un enchaînement d’évènements », et elle ne pouvait plus reculer ! Je n’ai jamais eu de sympathie pour cette femme.
Jean Michel
5 juin 2018 @ 08:01
Je n’ai rien contre eux . Mais cette photo fait peur !!!
L’exposition semble intéressante ……J’irai !!!!
Stéphane G.
5 juin 2018 @ 12:15
robe de Mainbocher en bleu Wallis et chapeau de Caroline Reboux
Mary
5 juin 2018 @ 18:15
Le tout,pas terrible à nos yeux aujourd’hui . Et quel visage peu avenant chez la mariée !
Kalistéa
5 juin 2018 @ 13:43
Ce n’est pas la photo qui fait le plus peur , loin de là !
Couple inintéressant , stérile et en plus faux couple dit-on . Le duc un paresseux , choisit ce prétexte d’un soi disant amour impossible pour se défiler.;;mais ce fut une très bonne chose pour son pays .Les York assumèrent et leur fille Elizabeth , merveilleusement après eux .
Francois
5 juin 2018 @ 08:15
La plus belle histoire de bijoux du XXEME siècle
Mary
6 juin 2018 @ 11:44
Hilarant commentaire ! Bravo François !
Clara
5 juin 2018 @ 09:00
Le résultat de tout ce savoir faire, sur la photo de mariage est très laid.
Gatienne
5 juin 2018 @ 09:18
Elle pouvait bien changer trois fois de tenues dans la journée, y associer gants, chapeaux, chaussures et mouchoirs, cela ne changeait rien à l’affaire: elle était laide de traits et son existence, remplie de futilité et de mondanités n’était, en fait, que vacuité !
Seul point positif, cette femme à poigne aimait les petite bêtes à poils et demanda à ce que le produit de son héritage ne serve pas à des expériences sur les animaux, volonté qui fut respectée.
Maman Monique
5 juin 2018 @ 09:48
Moi je me souviendrai d eux comme une merveilleuse histoire d amour
Gatienne
5 juin 2018 @ 11:55
Ça c’est un peu la légende entretenue par la presse du cœur !
Muscate-Valeska de Lisabé
5 juin 2018 @ 13:18
Quoi qu’on dise et qu’on en pense,il s’agissait pourtant vraiment d’une histoire d’amour, avec toutes les complexités que cela sous-tend entre deux êtres; et les situations respectives d’Edward et Wallis n’étant pas des plus simples,la leur n’en fut que plus compliquée.
Charlotte
7 juin 2018 @ 20:02
Muscate, je pense, que vous avez raison surtout en parlant de la complexité de cette histoire d’amour.
Maintenant, à chacun de déterminer ce que le mot amour signifie !
Ces deux êtres se sont trouvés, pour quel motif intime ? nul ne le saura jamais et c’est tant mieux.
Je n’ai aucune affection pour la duchesse de Windsor, je n’ai aucun respect pour le duc de Windsor, mais je leur reconnais une certaine constance dans leur choix.
Faiblesse et une certaine fuite devant des responsabilités qu’il savait ne pouvoir assumer pour lui, ambition pour elle ?
Muscate-Valeska de Lisabé
10 juin 2018 @ 10:27
Exactement, Charlotte.L’intimité et l’attractivité spontanée entre deux êtres sont des mystères connus d’eux-seuls,même ambigus. On ne peut pas,parfois,l’expliquer soi-même J’ai aimé vivre cela,qui n’est arrivé dans ma vie qu’avec une seule personne…et c’était pas facile non plus.;-))
Mais rien ne mérite plus d’être vécu que la totale passion amoureuse. On se sent vraiment vivante.
Kalistéa
6 juin 2018 @ 08:27
Une de plus : il y en a tant! mais peut-être la plus célèbre .
Corsica
5 juin 2018 @ 12:41
Une histoire d’amour ? Disons que ce qui liait ce couple ne se situait pas dans le cœur mais plutôt dans le « ça » si cher à Freud. En d’autres mots, la future duchesse a su tellement répondre à divers besoins, notamment de domination, du prince puis du roi qu’il n’ a pas hésité une seconde : il a préféré Wallis à la Couronne.
Robespierre
6 juin 2018 @ 11:46
Oui, il y a de ça aussi. Wallis a pu grâce à ce « ça » finaliser sa main-mise sur le bonhomme. Elle a commencé l’operation séduction comme un jeu et le jeu dépassa toutes ses espérances. Une grande partie de cette ‘histoire d’amour » comme dit notre angélique Maman Monique se passa dans la chambre à coucher. J’ai toujours favorisé l’hypothèse du panpan cucul
Muscate-Valeska de Lisabé
7 juin 2018 @ 14:54
C’est très important, la sexualité, dans une relation amoureuse. Ça soude un couple,et surtout quand on n’a pas d’enfants, c’est un véritable moteur pour continuer à faire tourner la machine.Il ne faut pas sous-estimer l’attrait et le pouvoir du sexe,avec l’argent,c’est la motivation première de toute l’humanité. Je pense même qu’on convoite le second pour avoir le premier.
olivier Kell
7 juin 2018 @ 18:01
Oui on en a fait une histoire romantique alors que pour elle au départ cela n a du être qu un jeu et fine mouche qu elle était elle a du très vite comprendre qu’il avait avant tout besoin d une mère autoritaire .
Pour le reste les services secrets britanniques l ont sans doute vu partir sans regrets en cette période troublée d avant guerre eu égard à ses sympathies nazies et au fait aussi qu il n avait pas l étoffe d un roi.
bianca
8 juin 2018 @ 14:53
Je partage votre avis… après avoir lu leur « merveilleuse histoire d’amour » !
Kalistéa
10 juin 2018 @ 18:19
« une mère autoritaire » il avait ce qu’il faut à la maison …mais surtout il ne voulait pas d’une charge sur le dos .Il savait en outre qu’on lui donnerait beaucoup d’argent s’il se retirait .
Baboula
5 juin 2018 @ 13:01
Maman Monique vous avez dû manquer quelques chapitres de ce faux conte de fées .
Mary
5 juin 2018 @ 18:19
Oui, au sens premier du mot merveilleux : qui relève du surnaturel, de la magie, du conte de fées , bref : IRRÉEL .
Mister M
5 juin 2018 @ 20:46
Robespierre a raison, ce ne fût pas une belle histoire d’amour, mais une histoire qui se referma comme un piège sur cette aventurière qui ne rêvait que d’être la maîtresse du Prince de Galles et de rester libre, ce qu’elle ne fût pas … Quand à Edouard, c’était un prince falot et superficiel qui par bonheur pour la Grande-Bretagne, ne régna pas ! Grace à Wallis, l’Angleterre n’eut pas à sa tête un admirateur d’Hitler et de l’Allemagne nazie, qu’elle en soit remerciée !!!
Robespierre
6 juin 2018 @ 11:47
Mais c’est vrai ça ! On devrait ériger un petit monument nostalgique à Hyde Park pour celle qui sauva la monarchie, notamment du nazisme.
Auberi
5 juin 2018 @ 10:12
La duchesse ’cachait’ ses mains mais sur cette photo officielle ne portait pas ses gants, elle ne devait pas les détester tant que ça…
val
5 juin 2018 @ 10:20
Elle était vraiment laide, pincée, plus homme que femme , elle s’est jouée de ce prince qui manquait de neurores, heureusement pour l’Angleterre il a abdiqué , en fait on l’a fait abdiquer , des collaborteurs , dépensières, elle se prenait pour une reine dans tous ses déplacements, chez elle voulait qu’on lui donne du Majesté, bon elle a fini sa vie avec un beau gestes sa donation à l’institut Pasteur.
Mister M
5 juin 2018 @ 20:51
Vous avez raison, j’ai toujours trouvé que Wallis était laide, trop maquillée, le cheveu trop noir, bref elle m’a toujours fait peur ! Il semble qu’elle n’ait eu qu’une seule qualité, son amour de la joaillerie qui a fait travailler les grands maîtres de la place Vendôme, en particulier Cartier !
a cassette de la Reine
6 juin 2018 @ 11:40
En effet, pas très jolie (sauf dans sa jeunesse) mais on sait maintenant qu’en privé elle était assez sympa alors que lui était imbu de sa personne. J’ai toujours trouvé douteuse leur pseudo histoire d’amour. Pour moi, Edouard était un homo refoulé pro-nazi qui ne voulait pas assumer ses fonctions tel quel. Je pense qu’il a su trouver le prétexte de l’amour pour ne pas devoir assumer son rôle de roi. Il l’a entraînée à la suite pour l’épouser mais je ne pense pas qu’ils ont été heureux. Exilés, leur vie n’a été que futilité… Enfin, le seul bon côté de la chose si l’on peut dire, c’est que la princesse Elisabeth est devenue princesse héritière…
Caroline
5 juin 2018 @ 10:46
Je vois que cet article vous fascine, mais je ne suis nullement intéressée par cette exposition pour mes raisons personnelles d’après le témoignage de ma grand-mère !
Pour rappel, cette aventurière avait légué tous ses bijoux à l’Institut Pasteur . …par vengeance contre sa belle-famille!
Tout de meme merci à Bertrand Meyer, notre chroniqueur des ‘ informations culturelles ‘ !
Corsica
5 juin 2018 @ 12:49
Caroline, dans ce cas présent, l’institut Pasteur qui travaille à éradiquer des maladies, me semble un choix beaucoup plus judicieux. Je n’ai pas de sympathie pour ce couple mais pourquoi Wallis aurait dû donner les bijoux qu’elle avait reçu en cadeaux à sa belle famille qui, non seulement en avait à revendre, mais la haïssait ?
Muscate-Valeska de Lisabé
5 juin 2018 @ 13:21
Cette « vengeance » fut bien généreuse, car elle aurait pu léguer sa fortune à n’importe qui,sans le moindre altruisme.
Wallis était incontestablement une femme libre dans sa tête et intelligente.
Comme à chaque fois qu’on parle d’elle,je réitère la considération positive et sincère qu’elle m’inspire.
Stéphane G.
7 juin 2018 @ 12:24
vous savez le legs à Pasteur c’est plus l’œuvre de Maître Suzanne Blum qu’autre chose…
Robespierre
9 juin 2018 @ 11:51
je ne le savais pas mais je vous crois. C’est tellement évident quand on y réfléchit.
Mary
5 juin 2018 @ 18:21
Ça ,c’est plutôt gentil pour les animaux : sa belle- famille l’ayant traitée en brebis galeuse,elle a choisi son camp !
val
5 juin 2018 @ 12:54
Caroline,
Facinée par ce couple???????? surement pas bien au contraire ,
val
5 juin 2018 @ 12:56
Aucune fasination comment voulez vous être fascinée par ce couple des fénéants, profiteurs, collabos, l’Angleterre l’a échappé belle !!!!!!!!!!!!!!!!
val
5 juin 2018 @ 12:56
Aucune fascination comment voulez vous être fascinée par ce couple des fénéants, profiteurs, collabos, l’Angleterre l’a échappé belle !!!!!!!!!!!!!!!!
Émilie 09
5 juin 2018 @ 13:22
Son histoire bien qu’extra ne me passionne pas tant que ça. Néanmoins se fut une femme sophistiquée, très élégante avec de bons goûts. Je suis sure que cette exposition sera riche. Merci Bertrand
bianca
6 juin 2018 @ 14:06
Je me permets de dire qu’aucun bijou, aucune toilette n’a pu embellir cette femme…
Dame Nature y a bien contribué ! Une aventurière rien de plus !
Muscate-Valeska de Lisabé
7 juin 2018 @ 15:02
N’empêche. ..elle a été aimée,gâtée,protégée,respectée voire vénérée par son mari,qui,bien né et cultivé,n’était pas la nullité qu’on voudrait..elle a voyagé,elle a pu profiter longtemps d’une bonne santé et de sa fortune,jamais rien ne lui a manqué,matériellement en tout cas,et c’est déjà infiniment plus que la majorité d’entres-nous ….en résumé et quoi que vous en pensiez, Bianca,c’est une vie réussie qui a fait d’elle,en plus,une légende.
bianca
8 juin 2018 @ 15:25
Je me permets pas de dire que sa vie a été une réussite et une légende, les biens matériels acquis par cette aventurière de mauvaise vie me laissent indifférente. Je n’ai que du mépris pour ce genre de femme et pour cet homme faible qui s’est laissé berner… Quelle légende la vie de cette femme ? Une prostituée qui a mis le grappin sur un homme bien falot ! Il y en a beaucoup dans ce monde qui se sont fait attraper…de la même manière !
Par ailleurs je n’ai pas construit mon bonheur sur le malheur d’une autre, demain je peux partir sans avoir soustrait un Homme à une épouse, un Père à ses Enfants…Je ne suis « malheureusement » qu’une femme normale ! bianca
Charlotte
9 juin 2018 @ 16:47
Bianca, le début de votre post m’a intéressée.
Muscate exprimait son opinion, vous lui avez répondu avec votre argumentaire, respectable.
Mais pourquoi terminer sur une touche personnelle qui immanquablement faisait référence au « couple maudit » ?
En outre, je pense que vous avez fait une fausse manip concernant « un Père à ses Enfants », car si je comprends bien, il s’agit ici d’une mère à ses enfants.
Car le père, quoique l’on pense de lui, a rempli son rôle de père.
Et j’ajoute, heureusement que vous êtes une femme normale, comme beaucoup d’entre nous, d’ailleurs, mais avec les aleas de la vie.
Muscate-Valeska de Lisabé
10 juin 2018 @ 10:42
Camilla et Charles sont une obsession chez Bianca.
Même quand on ne parle pas d’eux,elle les voit partout.
Wallis n’a jamais été une prostituée, et le cas serait,même les prostituées méritent le respect.Elles ont parfois bien plus de coeur et d’intérêt que les femmes dites »respectables ».
Edward a ÉPOUSÉ Wallis.C’est un mariage et c’est honnête. Il l’a choisie.
Bianca est un exemple de personnalité psycho-rigide,confite dans son auto-admiration.
C’est bien si ça l’aide à vivre ses frustrations.
bianca
11 juin 2018 @ 17:52
Je ris de votre appréciation, me voilà obsédée par « Charles » et « Camilla » et frustrée de surcroît… Quand je vois ces deux ploucs que Dame Nature a oubliés dans sa distribution physique et surtout morale…! Je ne vois pas ce que je pourrais leur envier. Il y a des personnes, qui, toute leur vie se sont appliquées à sauver la vie des autres et mon grand regret est de ne pas avoir eu cette capacité !
En quoi serais-je en auto admiration envers moi-même ? Vous ne savez plus quelle imbécilité proclamer ! Je ne recherche d’ailleurs pas vos avis et même je ne vois pas ce que je pourrais dire de positif vous concernant. Ma vie est ce qu’elle est, tout bêtement honnête, respectueuse des autres autour de moi. Quand à mes frustrations, je vous souhaite les mêmes et surtout d’être entourée d’amour comme je le suis, comme je le fût ! Hélas l’épée de Damoclès est au-dessus de nos têtes à tous ! Les plus belles histoires ont le mot « FIN »
bianca
11 juin 2018 @ 17:57
Depuis quand les prostituées ont droit à plus de respect, il y a des malheureuses certes parmi elles mais il y en a beaucoup qui ont fait ce choix ! Alors je ne les plains pas du tout ! Qu’elles assument ce n’est pas mon problème !
Kalistéa
5 juin 2018 @ 13:45
Le problème avec les bijoux et tous les biens matériels , c’est qu’on ne peut pas les emporter dans la tombe!
Michèle Lobre
5 juin 2018 @ 14:27
Une duchesse venue des bordels d’Asie qui ensorcelle un roi. Amie des nazis. Heureusement pour l’empire et l.Europe Churchill et la famille Windsor veillait au grain. Sa vie ne fut que mondanité, futilité et elle finittristement entourée d’une avocate vereuse ,seule et abandonnée de tous ses « amis » qui étaient si nombreux en des temps meilleurs. Qui sème le vent…..
t
5 juin 2018 @ 14:55
Si je dis « Meghan et Harry » je vais me faire incendier …..
tt
6 juin 2018 @ 12:13
Où voyez vous cela ?
Ni de près et certainement pas de loin .
j21
6 juin 2018 @ 12:22
Pas par moi qui ai eu la même pensée en voyant la photo. Je reconnais une ressemblance et quelques points communs entre ces deux femmes. c’est assez étrange.
mariejeanne
6 juin 2018 @ 15:44
Quelle comparaison !!!!
clementine1
6 juin 2018 @ 16:27
pas par moi en tout cas. Avec un avantage pour le Duc et la Duchesse de Windsor, personnages sans aucun doute controversés mais tellement intéressants.
Cécilia
7 juin 2018 @ 08:00
t , vous ne serrez pas incendié , la preuve vous êtes toujours là ?mais il faut vraiment détester les Sussex pour faire un commentaire pareil ??
June
5 juin 2018 @ 15:08
S’occuper d’ elle-même devait être une tentative de pallier à son désœuvrement…?
clementine1
6 juin 2018 @ 16:29
n’oublions qu’elle vivait à une époque que beaucoup n’ont pas connue et complètement différente de la nôtre.
Guy
5 juin 2018 @ 16:26
Il y a déja eu une exposition au château de Candé il va y avoir 10 ans, au moment ou j’y étais a l’heure du déjeuner, j’étais le seul visiteur pendant une heure, , au milieu de dizaines de robes de la duchesse que je pouvais toucher…
La robe de mariée exposée est une reproduction, l’original se trouvant je crois au musée du costume de Philadelphie ou les outrages du temps ont rendu gris le bleu Wallis parait il.
Mais aller au château est une belle escapade , ce mariage l’a fait rentrer dans l’histoire
Quant on arrive on croit les voir sur le perron pour la célébre photo
Prince MMD
5 juin 2018 @ 18:29
Avant, pendant et après leur mariage, le Duc de Windsor « noya » sa femme sous les bijoux. Pour la plupart ils sont réalisés sur les dessins du Duc par la maison Van Cleeef et Aepels..
Il existe un ouvrage qui relate la vie de ces bijoux:
» Windsor
Les bijoux d’un roman
Par John Culme et Nicholas Rayner chez Flammarion
Kalistéa
7 juin 2018 @ 22:18
cette broche ‘flamant » me plait mais la plupart des fameux bijoux étaient laids .
David ?
5 juin 2018 @ 19:03
Jamais je ne saurai ce que cet homme a tant aimé chez cette femme au point de tout abandonner !
J’ai rien contre elle mais cette question me turlupine chaque fois que je les vois.
Comme quoi, le Coeur a ses raisons que la raison ignore…
Robespierre
6 juin 2018 @ 11:49
Qui vous parle de coeur ? L’essentiel etait peut-être ailleurs au départ, avec un mot qui commence aussi par « c ».
Arielle
7 juin 2018 @ 12:31
Exact, Robespierre. Exact. Wallis avait appris beaucoup de chsoes dans les lupanars de Shangaï.
Menthe
7 juin 2018 @ 19:23
Si sous le pseudo David apparaît un homme, sa question me paraît bien naïve !!!
Robespierre
10 juin 2018 @ 09:32
A mon avis, ce que le duc de Windsor a aimé chez cette femme c’est qu’elle le taclait, voire le maltraitait. Il y avait à l’époque des maisons accueillantes ou des jeunes femmes très compétentes infligeaient des corrections à de vieux vilains petits garçons et ils payaient pour ça. Peut-être, et je dis bien peut-être, que le Duc a voulu avoir ce service a la maison, réminiscence de corrections de sa nanny, et il a idéalisé tout ça en parlant de « the woman I love ». Dans une bio sur ce couple j’ai lu que la maîtresse du prince de Galles partant en Amerique avait dit à son amie (…) Wallis qu’elle trouvait sans doute trop laide être pour une menace, de veiller sur son chéri. En rentrant d’Amérique elle fut très étonnée de voir Wallis taper sur les doigts d’Edward comme une institutrice. Elle lui dit qu’elle ne pouvait faire des trucs pareils à un futur roi. Wallis la regarda avec un petit sourire. De défi ou de triomphe. Et la belle Lady Furness (je crois que c’était son nom) comprit qu’elle avait été évincée par une plus laide, mais surtout une plus futée qui avait trouvé l’ « angle » pour régner sur le futur roi d’Angleterre. Il n’avait jamais rencontré une femme qui lui tenait tête, le contredisait et le grondait. On n’a jamais écrit un livre sur les ou la nanny d’Edward (ou plutôt David qui etait son vrai nom) mais je pense que la clé de cette relation bizarre a son origine dans le nursery.
Leonor
5 juin 2018 @ 20:34
De tout petits pieds , Peut-être. Mais je me souviens d’ une interview d’un grand chausseur ( mais lequel ? …. mémoire défaillante) , qui avait conservé les formes de tous ses clients. Il disait que Wallis Simpson avait » des pieds comme des patates ».
Xenia
5 juin 2018 @ 22:17
Triste photo. Attente fievreuse, j en doute. Un roi a abdique pour elle. Amour sincere ou calcule. Elle ne l aimait pas, mais fut aimee d un homme qui quitta famille royale et pays, pour vivre aupres d elle et lui offrit des bijoux fabuleux.
racyma
6 juin 2018 @ 07:22
quand je pense que ce n etait meme pas l histoire que l on nous avait vendu et qu on y croyait dur , maintenant je le vois comme un benet et elle comme une sorciere
marianne
6 juin 2018 @ 08:04
Bravo François pour votre humour !
Robespierre
6 juin 2018 @ 08:38
Quel drôle de couple ! Elle a « fait avec », s’est lancée dans les mondanités, les robes de couturier, les bijoux, et a tenu le rôle qu’on attendait d’elle, « la femme épousée par amour et pour qui on a tout quitté ». D’une certaine façon, c’était courageux. Elle s’était mise dans cette situation par vanité et ambition, ayant séduit l’héritier de la Couronne et s’est retrouvée piégée et mariée loin des honneurs. Restait l’argent et les mondanités. Lui a continué jusqu’au bout sa Legende du Bonheur Parfait avec « the woman I love ». Il l’appelait en parlant d’elle « her Royal Highness », titre qui lui était refusé au Royaume Uni.
Mais c’est tout de même lui qui a raconté un soir à des invités, dont l’écrivain Gore Vidal, que c’est sa mère qui a interdit qu’on accueille en Angleterre la famille du tsar Nicolas II, et Georges V a entériné cette décision. Ca se passait pendant un repas de famille.
Tout le monde s’accorde à dire qu’il aurait fait un mauvais roi et a bien fait d’abdiquer. Ses amitiés nazies n’ont rien arrangé.
Arielle
6 juin 2018 @ 12:08
Merci, Robespeirre, de confirmer ce que tout le monde sait, que « c’est sa mère qui a interdit qu’on accueille en Angleterre la famille du tsar Nicolas II, et Georges V a entériné cette décision. » Triste vérité, horrible trahison entre cousins.
Baboula
6 juin 2018 @ 14:14
La reine Mary a préféré racheter leurs bijoux à très bas prix plutôt que les secourir vraiment.
Charlotte
7 juin 2018 @ 13:17
La reine Mary avait certainement plus d’amour pour les bijoux de la famille Romanov que pour la famille elle même.
Toutefois, dans le contexte de l’époque, la famille royale britannique en guerre contre le « cousin allemand » et portant un patronyme très, très, très allemand :Saxe Cobourg Gotha, avait quelques raisons de s’inquiéter pour la pérennité de la dynastie.
C’est ce qui a amené au nom de Windsor en 1917.
Il semble que George V ait eu beaucoup d’affection pour Nicolas II et qu’il ait sincèrement voulu accueillir la famille en Grande Bretagne, mais il semble aussi que et l’opinion publique, et le gouvernement y aient vu un grand danger au moment où les idées républicaines faisaient leur chemin, avec les résultats que l’on connaît. Nicolas II aux yeux du monde était un autocrate, peu soucieux de son peuple.
Alors sans négliger l’avis de la reine Mary, je pense qu’il ne fut pas le seul à peser dans la décision de George V.
Il est fort possible que ceci ait été évoqué au cours d’un repas de famille, mais connaissant « l’amour » que David portait à sa mère, il n’est pas impossible qu’il ait un peu
poussé le bouchon ce qui ne veut pas dire que la reine n’ait pas mis son grain de sel ou de vitriol, au choix.
Arielle
6 juin 2018 @ 12:06
Wallis était une femme libre, indépendante d’esprit, spirituelle, qui savait manoeuvrer les hommes. Elle reste tout de même un mystère. Qu’avait-elle donc pour faire chavirer les coeurs ?? Comme Robespeirre, je crois aussi qu’elle a été prise à son propre piège. A son époque, les femmes vivaient des hommes. Cela semble inimaginable de nos jours. Wallis apparaît maintenant comme une pauvre fille.
Robespierre
10 juin 2018 @ 09:38
A la fin de sa vie, elle a eu des propos assez amers sur sa destinée. Wallis n’était pas une idiote et dans le couple c’était elle la plus intelligente. Elle a tiré parti de la situation où elle s’est retrouvée sans le vouloir. Bijoux, luxe, mais elle a dit et ecrit qu’elle aurait préféré rester avec son second mari. Et avec le duc de Windsor s’est ennuyée comme un rat mort.
Quand, en EUrope chez des amis, elle a appris que son amant abdiquait, le ciel lui est tombé sur la tête. Intelligente, elle a tout de suite compris les implications de ce geste. Elle allait être condamnée à jouer ce que Balzac appelle dans « Beatrix » les forçats de l’amour. Jouer toute sa vie celle qui a épousé l’homme qui a tout quitté pour elle pour vivre un bonheur sans égal. Dur, dur.
val
6 juin 2018 @ 12:32
Michèle Lobre,
Entièrement d’accord avec vos propos. cette femme était « » terrific « »comme disent les Anglais , et son mari à la limite de l’idiotie .
Ghislaine-Perrynn
6 juin 2018 @ 14:38
Et pourtant , elle m’a fait pitié quand silhouette frêle sur qui le temps avait fait son oeuvre , elle accompagnât son compagnon de vie en Angleterre pour ses obsèques .
Noëlle Gaël
20 janvier 2021 @ 16:42
J’étais assez étonnée qu’Elisabeth II dont la mère détestait Wallis ait accueilli celle-ci lors des obsèques et permis qu’Edouard VIII fut inhumé en Angleterre.
C’est effectivement le seul moment où j’ai eu quelque compassion pour Wallis Simpson qui ne m’a jamais inspiré d’admiration.
Kalistéa
6 juin 2018 @ 20:11
Avec lui , la monarchie Anglaise se serait sabordée …Le long règne d’Elizabeth a retardé la chose de trois quarts de siècle !
Kalistéa
6 juin 2018 @ 20:12
J’ajoute : Et on voudrait qu’ELLE ait le sourire lors du mariage d’Harry !
Noëlle Gaël
20 janvier 2021 @ 16:44
C’est vrai qu’Elisabeth II avait l’air particulièrement renfrognée lors du mariage d’Harry comme si elle avait pressenti les événements à venir et le choix pas si idéal d’Harry.