A la Une du magazine « Hola », Maria Zurita, fille de l’infante Margarita et du duc de Soria, cousine du roi d’Espagne, raconte son bonheur d’être la maman du petit Carlos.
L’enfant étant prématuré et donc en couveuse, elle allait quand même pas posé en plein air avec lui pour vous faire plaisir ! Par contre, il y a une petite photo de lui encadré, où on peut le voir dans les bras de sa maman.
Je ne supporte pas qu’on critique cette jeune femme d’avoir fait un enfant toute seule. Est-ce sa faute si Mr Right ne s’est pas présenté ? Au moins quand elle rentre du travail, il y a un petit mignon qui l’accueille et elle n’est pas seule entre ses 4 murs.
Ca fait froid dans le dos de lire un commentaire pareil.
Vous ne faîtes que conforter ceux qui vous scandalisent et qui assistent (impuissant) à un renversement total des valeurs.
Je me demande si vous vous rendez compte de ce que vous écrivez.
On ne fabrique pas un bébé juste pour ne plus être toute seule quand on rentre du travail.
Parce que si c’est ça la société dans laquelle vous voulez vivre, c’est vraiment la misère ! J’imagine que pour vous faire un bébé toute seule « car on a fait le choix de sa carrière et ne pas s’enfermer dans un couple » c’est un modèle de victoire et d’émancipation féministe (qui devient un faux combat en devenant le cache-sexe du capitalisme, de l’individualiste, du consumérisme et de l’égoïsme).
Robespierre,
J’ai un ami professeur en californie, arrive la rentrée des classes où l’on présente tous les profs, c’était un collège de jeunes filles, « and meet Mister Wright »; tonnerre de sifflement et de cris!
Je pense comme vous que chacun est libre de ses choix, cher Rob.
Ceci dit,fille d’une Maman âgée à ma naissance de 43ans,j’aurais nettement préféré qu’elle me demande mon avis avant ..parce que ce n’est pas toujours marrant,d’être l’enfant de « vieux »parents.
Oh Robespierre, și moi non plus je ne blame pas cette femme, j’espère qu’elle a eu un enfant pour d’autre raison que de ne pas être seule le soir.
Ça ne fait penser à ma belle -soeur qui a eu un fils avec le dernier d’un long liste de crétins et qui, à la maternité, nous a dit « Tous les hommes m’ont quitté, mais celui là restera avec moi pour toujours ». On ne fait pas un enfant comme un rempart à la solitude, on fait un enfant pour qu’un jour il soit capable de vous quitter.
Si je suis votre raisonnement, mon cher Robespierre, mon épouse va me bénir de lui avoir donné quatre raisons de ne pas être seule quand elle rentre du travail le soir, en espérant être moi-même la cinquième raison!
Mais suis-je bête, mon épouse est aussi « rétrograde » que je le suis, et considère que nous sommes à égalité face aux enfants, et qu’ils ne lui appartiennent pas plus qu’ils ne m’appartiennent….
Pas tant que ça : le taux de réussite des fécondations in-vitro est très faible (et diminue encore en fonction de l’âge de la mère). Par ailleurs le traitement (entre autre) de stimulation ovarienne n’est pas sans danger.
Et quelque chose me dit que cette fécondation in-vitro n’a pas marché du premier coup (vu l’âge de la mère).
Au final, le coût (humain et financier) de cette médecine (de convenance) est très important. D’autant que le pauvre bébé est né prématuré avec des séquelles et des traitements particulièrement lourds…
Les labos (et le marché de la PMA et de la GPA en embuscade) se frottent les mains !
On va sous doute lire ici des positions de principe très affirmées sur les conditions de fabrication de ce bébé.
Eh bien moi, par exemple, je n’en ai pas. J’ai tendance à considérer que chaque cas est particulier, que toute décision de ce genre est très personnelle et qu’elle est, dans l’immense majorité des cas, et heureusement, profondément réfléchie et pesée.
Et puis, comme sur tous les sujets qui touchent à l’Homme et à son destin, sa naissance, sa vie, sa mort, je crois que les principes ne servent pas à grand-chose. L’expérience, le vécu, l’intuition, la sensibilité et l’intelligence individuelles, me semblent des éléments bien plus puissants pour prendre des décisions.
je rejoins à 100% votre position. Chaque cas est différent et nous n’avons pas le droit de juger. Si elle conçoit son bonheur de cette façon, libre à elle et pourquoi pas ? Toutefois, je me pose une question. Elle a eu droit à une FIV, tant mieux mais sur le sujet, tous les pays sont-ils aussi libéraux que l’Espagne ?
J »applaudis pleinement Pierre-Yves votre com. .C’est sa vie oh combien privée , qui ne regarde qu’elle , au diable les ronflonflons et radotages qu’on peut lire si souvent sur le site
Je pense qu’il ne faut pas personnaliser cette question. Il ne s’agit pas de savoir si Madame X pourra élever seule une enfant ou si l’enfant Y sera épanoui au sein de cette « famille ».
Ca abaisse le niveau du débat, voire le confisque car on va vite tomber dans l’émotionnel.
L’enjeu ici est de savoir si la reproduction artificielle (et non la procréation médicalement assistée), est de la médecine ou bien du commerce destiné à satisfaire tous les désirs, et parfois délires, des individus.
Pour moi, le célibat n’est pas une maladie. Dans le cas de cette dame, c’est de la pure médecine de convenance (comme la chirurgie esthétique par exemple). Elle consiste à accepter tout ce qui est techniquement possible, moyennant finance sans l’ombre d’un état d’âme. Le médecin en est réduit à être un prestataire de service : on lui fait une commande et il se doit de la remplir avec exactitude. C’est donc un acte commercial et non médical : l’enfant est un bien de consommation.
La procréation artificielle est pour l’instant réservée aux femmes seules ou homosexuelles, mais la prochaine étape se sera la gestation pour autrui au bénéfice des hommes afin que eux aussi ne soient pas laissés de côté des « progrès de la science ». D’ailleurs, c’est l’argument sans cesse avancés par les lobbies en vertu du principe d’égalité. Si on autorise la procréation artificielle au bénéfice des femmes, il faudra bien en jour (quand les gens se seront habitués) à la procréation artificielle pour les hommes. Pour les progressistes, un couple homme-femme c’est la même chose qu’une paire de deux hommes ou de deux femmes. Donc, je ne vois pas pourquoi un homme célibataire ne pourrait pas devenir père célibataire lui aussi en se fabriquant un enfant via mère porteuse.
J’aimerai avoir l’avis des féministes sur la question.
Bernadette, ce n’est pas du tout ce que j’ai voulu dire.
Puisqu’il faut expliciter :
A.
Le titre de l’article de N&R est » » Maria Zurita évoque son bonheur d’être mère »
B.
Et on tombe tout de suite, visuellement, sur la UNE de Hola, càd. sur une photo de la dame avec …son CHIEN dans les bras.
Alors qu’on s’attend en toute logique, à la voir avec son BEBE dans les bras !
D’où l’ébahissement : A + B = …. ! !
Réflexion annexe :
1. le bébé est certes montré, mais sur une toute petite photo en encart dans un coin.
2. je serais très étonnée que la mise en page de Hola soit un hasard, ou une inattention.
Les rédac’ chefs savent très bien dire ce qu’ils veulent dire, par images, par juxtapositions d’images, par juxtaposition de courriers de lecteurs contradictoires, etc.
Robespierre, j’ai déjà beaucoup entendu cet argument-là.
Mais , pour moi, il ne vaut pas , cette fois.
Ces enfants dont vous parlez sont victimes de situations terribles, mais survenues au cours de la vie, comme il en est partout.
Est-ce une raison pour créer délibérément, ex nihilo , des situations à risques pour l’enfant ? Pour mettre délibérément au monde des enfants d’ores et déjà privés d’une véritable ascendance paternelle, et d’un père, avec toutes les conséquences qui s’ensuivent ?
Bien sûr, il y a des enfants qui s’en sortent. Dans les deux cas. Heureusement.
J’en viens même à croire pour ma modeste part, très cher Robespierre, que toutes les familles qui formaient jusqu’à très récemment la « norme » sont d’office constitués de parents abusifs, brutaux ou indifférents, tant cet argument revient souvent dans le débat. Aucun de ces qualificatifs ne s’appliquant à moi, je dois donc être un mauvais père…..
Ce n’est pas de grandir sans papa le problème, car Maria Zurita peut très bien se mettre en couple avec quelqu’un qui peut faire office de père…Le problème c’est que cet enfant est délibérément privé d’une moitié de ses gènes.
C’ est exactement cela qui me gêne, Claudia, pour ce genre de décision …du tout le fait de grandir sans père…l’entourage est important, tout autant, mais le fait de ne pas savoir d’où l’on vient…cela restera un questionnement difficile pour cet enfant…j’aurai plutôt demander à un de mes amis!!!???
J’ai une amie dont le père est décédé alors que sa mère était enceinte d’elle de trois mois.
Nous en avons parlé et je lui ai demandé comment elle vivait une telle situation ?
Sa réponse « tu sais, je ne l’ai pas connu; je ne peux pas dire qu’il me manque ».
Beaucoup de bonheur à cette jeune femme célibataire, qui devait avoir des raisons bien particulières, pour faire le choix d’une fécondation in vitro. Le roi d’Espagne sera-t-il le parrain de l’enfant ?
Le petit Carlos tiendra compagnie à sa mère restée célibataire. J’espère qu’elle n’a pas engagé une nounou chez elle, mais pourquoi pas une baby-sitter pour ses sorties ou son travail !
On n’élève pas un enfant pour soi et pour se tenir compagnie (cela n’a qu’un temps – les enfants grandissent vite et prennent leur envol)… Pauvre petit garçon privé de père ! Je comprends la souffrance de Maria Zurita de ne pas avoir d’enfant mais choisir d’en avoir un toute seule avec une FIV est un choix bien égoïste ! Néanmoins, maintenant que Carlos est né, je leur souhaite à tous deux tout le bonheur possible
Un enfant qu’il soit conçu au sein d’un couple hétérosexuel, d’un couple homosexuel, d’une femme seule, pour X raisons, est le même enfant.
Il correspond, du moins je l’espère à un vrai désir, non pas de se faire plaisir, mais de permettre à un être humain de s’accomplir, bien ou mal, cela personne ne peut en préjuger.
Je pense que Maria Zuritta a mûrement réfléchi et qu’elle donnera à cet enfant tout l’amour et toute la force nécessaire pour vivre.
En revanche, je ne suis pas complètement persuadée qu’il en soit de même pour tous les cas de figure et votre post Caroline lève le problème.
Qui pourrait traduite exactement le titre du journal espagnol ? J y vois le mot « drama « et du coup je ne comprends rien pas ce qui est annoncé ?
La photo avec le chien est totalement inappropriée !
Traduction:
Maria Zurita de Borbon parle pour la première fois de son drame au dénouement heureux.
Son angoissant accouchement prématuré pendant lequel sa vie et celle de son fils furent en danger.
Elle nous montre la première photo de son bébé et nous raconte comment elle a pris la décision d’être mère par fécondation in vitro.
« Je recommencerai mille fois tout ce que par quoi je suis passée . Quand je vois Carlito, je sais que ma vie c’est lui. »
Maria Zurita de Bourbon parle pour la première fois de son drame et de sa fin heureuse.
En français,on pourrait parler de « conclusion heureuse », mais bon » traduttore,traditore « .
Le bébé est né le 28 avril à vingt-neuf semaines de gestation, donc un peu plus de sept mois car Maria a subi un décollement placentaire et une césarienne d’urgence a dû être pratiquée. Le cœur et les poumons n’étaient pas matures et il souffrit de deux arrêts cardiorespiratoires. Ce fut donc de terribles moments heureusement terminés.
Avoir 43 ans et décider de faire un bébé seule ,c’est courageux , téméraire , audacieux ou hystérique : A vous d’en décider , mais cet enfant entre dans la vie dans les souffrances de la prématurité …
Espérons qu’elle laissera le chien pour s’occuper de lui …
Etrange impression, le chien dans ses bras et un sourire très pincé , j’aimerais lire l’article pour me faire une vraie idée …
Enfin, les enfants sont résilients …Heureusement !
La photo de couverture peut sembler mal venue, je vous l’accorde.
Toutefois, connaissant les conditions de la naissance de ce bout de chou, il aurait été aussi mal venu de nous le présenter dans sa couveuse.
Je trouve touchante la photo en médaillon qui montre la petite main du bébé sur celle de sa mère.
Et puis pour reprendre une phrase qui m’est chère : l’amour ne se divise pas, il se multiplie.
Le petit chien ne prendra pas la place du petit homme, il sera à ses côtés.
Gérard, Malheureusement le lot de complications des grossesses tardives, au détriment des enfants qui peuvent avoir des séquelles aussi bien motrices que cognitives. C est un risque que l on fait assumer aux enfants ……….
Avoir un premier enfant sans problème à près de 26 ans; un deuxième avec un placenta praevia et toutes les séquelles pour l’enfant à 29 ans et demi et enfin une fille sans aucun souci à 38 ans et demi… Ne pas chercher à comprendre mais c’est du vécu.
Un de mes amis connaît une marquise espagnole qui aurait accouché au bout de dix mois. ;-) Je trouve ça suspect mais si c’est vrai, en route pour le Guinness des records ! ^^
Euh….. Allez, on va le dire ….. Selon mes parents, le bébé que j’étais a débarqué avec un retard conséquent sur les prévisions : 9 mois et 3 semaines ….
Je me suis parfois demandé s’ils ne s’étaient pas tout simplement trompés dans leurs calculs. Mais le poids qu’affichait le-dit bébé alias bibi à la naissance semble bien corroborer la chose !
PS : Ca m ‘ est un peu resté. Je suis rarement en avance !
Et votre serviteur est venu avec un mois d’avance… mais depuis j’accumule les retards. Par exemple, je suis un « handicapé sentimental », si vous voyez ce que je veux dire… ^^
Gérard vous dîtes » Le cœur et les poumons n’étaient pas matures et il souffrit de deux arrêts cardiorespiratoires. » et à 7 mois seulement de vie intra – utérine …. cela me fait froid dans le dos ! On ne peut qu’espérer que ce petit n ‘ ait pas des séquelles de ce début de vie chaotique . Maintenant un enfant n’est pas là pour tenir compagnie ou combler une solitude .
Oui Gérard, une pre-eclampsie. J ai eu le même parcours mais avec sperme de mon conjoint. L’issue a été différente pour moi car j’ai perdu mon petit garçon à 5 jours fin novembre dernier . Il faut savoir que ce sont des enfants encore plus désirés et choyés. Sans parler du coût.
Connaissant les moeurs journalistiques, je suis à peu près certaine que c’est bien ce que le Rédac’chef de Hola a voulu dire. Sans le dire bien sûr. Mais à qui sait regarder…
C’est étonnant pour ne pas dire choquant que l’on annonce la naissance du bébé de Maria et que sur la photo elle tient dans ses bras un chien !
D’autre part c’est triste de savoir que ce bébé sera privé de père.
Je vous trouve bien conventionnels tous les deux. Que vous sers-je ? Un petit homard thermidor ? ^^
Cette situation ne diffère pas de celle où un enfant grandit sans maman, morte en couches ou un peu plus tard pour toute autre raison. Ici, au moins, il n’y a pas de mort à déplorer ! Le seul bémol est que, de nos jours et dans la société occidentale, le fait d’avoir un ou des enfants procède généralement d’un choix égoïste (et à cet égard, le fait de refuser d’en avoir l’est tout autant donc, égalité comme dirait Louis-Philippe) qui s’accompagne d’un énorme investissement émotionnel.
Maria Zurita comble un vide dans son existence, elle a probablement souffert du « mal d’enfant ». Tout ce que l’on peut souhaiter est qu’elle ne devienne pas une mère possessive et abusive.
Rhoooooooooooo Charles, mais c’est avec la bénédiction des Bourbons d’Espagne sa famille!
Vous osez critiquer les grands-parents du bébé, les grands-oncles et tantes, les cousins de la mère? qui la soutiennent?
P.S : personnellement je suis convaincue que dans le même cas que cette dame je n’aurais pas fait ce choix : j’estime que je n’ai pas à imposer ce type de choix à un enfant, une absence de père comme une maladie dont j’aurais connaissance comme transmissible avant la conception de l’enfant etc…
C’est une belle histoire que celle-ci, motivée par un désir d’enfant fort et une véritable joie d’être mère, que l’on ne peut nier.
Je souhaite beaucoup de bonheur à Maria Zurita et son petit Carlos après les épreuves traversées.
Qu’est-ce qu’un « vrai père » ? Nombreux sont les pères biologiques qui ne sont des de « vrais pères » pour leurs enfants. Celui qui aime et élève l’enfant, qu’il en soit le père biologique ou non, voilà le vrai père.
Avec Charles et Baia, on peut dire que vous lancez un vaste débat. En tout cas ça nous change de la querelle dynastique. ;-)
Ce n’est pas vrai.Si j’ai bien lu tout ce qui s’écrit par ici, on ne sait pas à coup sûr qui est le vrai père du roi Alphonse XII d’Espagne et du défunt comte de Paris.
Je puis vous assurer que mes jumeaux sont bien les enfants de mon mari actuel.
Bravo à cette dame pour le choix qu’elle a fait et tant pis pour les ronchonneux . Ici je vois une photo dune dame qui date peut être d’avant la naissance du bébé alors soyez donc un peu plus cool
Ce n’est pas une question de ronchonneux : c’est une question d’éthique, et de droits de l’enfant. En la matière, à l’enfant, il lui a d’entrée été dénié un droit fondamental.
Note : Anna1, traitant les gens en désaccord avec vous de » ronchonneux », vous commettez une attaque ad hominem, même si elle est collective
Or, les attaques ad hominem s’auto-détruisent, car tout bon polémiste sait que celui qui les profère est à court d’arguments.
Je n’ai ni votre » erudition » ni votre « instruction » mais je pense que j’ai reçu une certaine « éducation » pour ne pas rabaisser les gens par votre verbiage pompeux et snobinard pour expliciter les termes que vous employez. je connais le sens du mot éthique et je suis sidérée que pour les « filles » de monaco ce mot n’a pas lieu d’être . Une fille qui fait un enfant avec un homme toujours marié vous trouvez cela normal ? Savez vous si ce dernier va bien se séparer de son épouse Et si non, reconnaitra t’il l’enfant, et s’en occupera t’il ? Dans la négative, est ce que le fait de savoir le nom de son géniteur apportera t’il un plus à l’enfant ou bien sera ce un manque encore plus grand se sachant rejeté (voir Delphine BOEL)? Donc je persiste et signe :bravo â Maria Zurita pour son choix qui n’a pas dû être aisé pour avoir enfin un bébé car elle aurait pu ne rien dire Et être « fille mère » et alors pauvre fille abandonnee par son compagnon et un tel foin n’aurait pas eu lieu! Donc sus aux ronchonneux
Ce bébé sera infiniment aimé…entouré, cela, espérons -le , l’aidera à grandir sans père !
Jeune femme j’ai aussi -avant de rencontrer mon époux -voulu ou penser faire un enfant toute seule…mais en en ayant eu, je peux comprendre la difficulté d’élever seule un-des enfants et je ne parle pas de cela matériellement !
Aie … Concernant le dernier paragraphe de votre commentaire, il y a plusieurs mois (année?) vous ne nous aviez pas vraiment décrit votre situation de la même façon !
Qu’elle profite des progrès de la science ne me choque pas,sinon , à quoi bon les mettre au point ?
Ce qui m’inquiète sur le devenir de ce futur jeune homme, c’est l’impact que sa mère aura dans sa vie. Je connais deux hommes ,plus ou moins coureurs , mais qui ne quittent pas maman ! L’un aménage sa nouvelle maison pour une accessibilité parfaite ( pour que maman y vieillisse sans problème ). Dois- je ajouter qu’il vit avec maman ?
L’autre affirme devant sa copine que sa mère est toujours une beauté. Je suis toujours un peu mal à l’aise quand je l’entends.
Reste un troisième cas : maman- fiston que je croise au supermarché, le vrai couple . Un jour où j’échangeais deux mots avec son fils ( » ils ont déplacé le rayon bio ? » ), la maman qui était à un mètre douze maximum, a foncé sur nous comme une torpille, le regard interrogateur. » je cherchais le rayon bio ? « , » il est au milieu du magasin « . Je la remercie et me dépêche de m’éloigner. Il m’en est resté un vif sentiment de malaise et je les évite de mon mieux .
Bonne approche Mary…pour entrer en contact… « ils ont déplacé le rayon bio ? »
Non, je plaisante, votre com. est intéressant mais ce ne sont pas les mamans qui ont fait des bébés toutes seules qui sont le plus dans un état fusionnel tel, nous n’avons pas assez de recul…
Il y a des mères « normales » abusives et ce de tout temps !
La jalousie de la mère qui a foncé sur nous alors qu’il n’y avait pas de quoi : on est amené à échanger des phrases anodines dans un supermarché. Pas de quoi bondir ni s’affoler quand on a un fils de 40 ans, même si le pauvre avait l’air très coincé.
Cette photo est surprenante
Annoncer à la une d’un magazine une naissance en pouponant un chien me donne une drôle d’impression de la situation de cette jeune femme.
DSilvî
6 juin 2018 @ 07:38
Une jolie couverture d une femme discrète
Je lui souhaite de grandes joies avec son petit Carlos
Bon mercredi
???
Martine un
6 juin 2018 @ 08:12
Avec le chien fans les bras…. Drôle de symbolique pour parler de son enfant
Mary
6 juin 2018 @ 11:41
Je pense comme vous !
j21
6 juin 2018 @ 11:49
Même perplexité!
Mayg
6 juin 2018 @ 12:43
L’enfant étant prématuré et donc en couveuse, elle allait quand même pas posé en plein air avec lui pour vous faire plaisir ! Par contre, il y a une petite photo de lui encadré, où on peut le voir dans les bras de sa maman.
mariejeanne
7 juin 2018 @ 12:13
Mayg, votre commentaire est le bon sens même…même si le joli toutou est très sympathique, « hola » aurait pu choisir une autre photo.
Bernadette
6 juin 2018 @ 13:27
Je ne vois pas le problème : elle est libre d’avoir un chien !
Muscate-Valeska de Lisabé
6 juin 2018 @ 14:47
J’ai aussi trouvé qu’il était bien poilu,le bébé. ^^ ;’))
Sarita
7 juin 2018 @ 17:45
Idem :-D
Charles
9 juin 2018 @ 10:33
oui Muscate !
Hope Baker
6 juin 2018 @ 18:34
J’ai pensé la même chose que vous.
Robespierre
6 juin 2018 @ 08:30
Je ne supporte pas qu’on critique cette jeune femme d’avoir fait un enfant toute seule. Est-ce sa faute si Mr Right ne s’est pas présenté ? Au moins quand elle rentre du travail, il y a un petit mignon qui l’accueille et elle n’est pas seule entre ses 4 murs.
Zorro
6 juin 2018 @ 11:55
Ca fait froid dans le dos de lire un commentaire pareil.
Vous ne faîtes que conforter ceux qui vous scandalisent et qui assistent (impuissant) à un renversement total des valeurs.
Je me demande si vous vous rendez compte de ce que vous écrivez.
On ne fabrique pas un bébé juste pour ne plus être toute seule quand on rentre du travail.
Parce que si c’est ça la société dans laquelle vous voulez vivre, c’est vraiment la misère ! J’imagine que pour vous faire un bébé toute seule « car on a fait le choix de sa carrière et ne pas s’enfermer dans un couple » c’est un modèle de victoire et d’émancipation féministe (qui devient un faux combat en devenant le cache-sexe du capitalisme, de l’individualiste, du consumérisme et de l’égoïsme).
Leonor
6 juin 2018 @ 12:03
Là, pour une fois, l’ami, on n’est pas d’accord.
Mais ce n’est pas grave . L’amitié n’implique pas d’être d’accord sur tout.
berton
6 juin 2018 @ 17:03
Moi aussi, j’aime beaucoup cette jeune femme !
Stéphane G.
7 juin 2018 @ 12:27
Robespierre,
J’ai un ami professeur en californie, arrive la rentrée des classes où l’on présente tous les profs, c’était un collège de jeunes filles, « and meet Mister Wright »; tonnerre de sifflement et de cris!
Muscate-Valeska de Lisabé
7 juin 2018 @ 14:45
Je pense comme vous que chacun est libre de ses choix, cher Rob.
Ceci dit,fille d’une Maman âgée à ma naissance de 43ans,j’aurais nettement préféré qu’elle me demande mon avis avant ..parce que ce n’est pas toujours marrant,d’être l’enfant de « vieux »parents.
Sarita
7 juin 2018 @ 17:50
Oh Robespierre, și moi non plus je ne blame pas cette femme, j’espère qu’elle a eu un enfant pour d’autre raison que de ne pas être seule le soir.
Ça ne fait penser à ma belle -soeur qui a eu un fils avec le dernier d’un long liste de crétins et qui, à la maternité, nous a dit « Tous les hommes m’ont quitté, mais celui là restera avec moi pour toujours ». On ne fait pas un enfant comme un rempart à la solitude, on fait un enfant pour qu’un jour il soit capable de vous quitter.
Gauthier
8 juin 2018 @ 13:46
Si je suis votre raisonnement, mon cher Robespierre, mon épouse va me bénir de lui avoir donné quatre raisons de ne pas être seule quand elle rentre du travail le soir, en espérant être moi-même la cinquième raison!
Mais suis-je bête, mon épouse est aussi « rétrograde » que je le suis, et considère que nous sommes à égalité face aux enfants, et qu’ils ne lui appartiennent pas plus qu’ils ne m’appartiennent….
Danielle
6 juin 2018 @ 08:41
Cette nouvelle est agréable à lire.
Zorro
6 juin 2018 @ 09:04
Elle fait beaucoup plus que son âge.
Un bébé victime du « progressisme »…
Gatienne
6 juin 2018 @ 13:17
…Qui n’est rien à côté de tous ces adultes victimes de préjugés divers et variés.
Jean Pierre
6 juin 2018 @ 13:19
On vous dit qu’il s’en est sorti.
Comme quoi la médecine fait des progrès.
Zorro
8 juin 2018 @ 09:46
Pas tant que ça : le taux de réussite des fécondations in-vitro est très faible (et diminue encore en fonction de l’âge de la mère). Par ailleurs le traitement (entre autre) de stimulation ovarienne n’est pas sans danger.
Et quelque chose me dit que cette fécondation in-vitro n’a pas marché du premier coup (vu l’âge de la mère).
Au final, le coût (humain et financier) de cette médecine (de convenance) est très important. D’autant que le pauvre bébé est né prématuré avec des séquelles et des traitements particulièrement lourds…
Les labos (et le marché de la PMA et de la GPA en embuscade) se frottent les mains !
Gibbs 47
8 juin 2018 @ 17:07
Vous pourrez le dire à Adriana Karembeu qui, à 47 ans en septembre, doit accoucher de son premier enfant en juillet.
Estelle Lefébure a eu son fils à 44 ans et demi.
La liste s’allonge.
Martine
8 juin 2018 @ 11:02
Jean Pierre, il faut un recul d’au moins 10 ans de suivi des prémas……………..
monica
7 juin 2018 @ 06:39
Elle fait plus que 43 ans ?
Zorro
8 juin 2018 @ 09:51
Elle a l’âge de Marie Gilain, Cécile de France, Marion Cotillard, Angelina Jolie…
Je trouve que la différence est assez nette.
Pierre-Yves
6 juin 2018 @ 09:19
On va sous doute lire ici des positions de principe très affirmées sur les conditions de fabrication de ce bébé.
Eh bien moi, par exemple, je n’en ai pas. J’ai tendance à considérer que chaque cas est particulier, que toute décision de ce genre est très personnelle et qu’elle est, dans l’immense majorité des cas, et heureusement, profondément réfléchie et pesée.
Et puis, comme sur tous les sujets qui touchent à l’Homme et à son destin, sa naissance, sa vie, sa mort, je crois que les principes ne servent pas à grand-chose. L’expérience, le vécu, l’intuition, la sensibilité et l’intelligence individuelles, me semblent des éléments bien plus puissants pour prendre des décisions.
Gatienne
6 juin 2018 @ 11:42
Je ne changerai pas un mot de votre commentaire sage et …réfléchi !
mary 71
6 juin 2018 @ 12:40
je rejoins à 100% votre position. Chaque cas est différent et nous n’avons pas le droit de juger. Si elle conçoit son bonheur de cette façon, libre à elle et pourquoi pas ? Toutefois, je me pose une question. Elle a eu droit à une FIV, tant mieux mais sur le sujet, tous les pays sont-ils aussi libéraux que l’Espagne ?
Karabakh
6 juin 2018 @ 13:46
Position largement partagée.
Gibbs 47
6 juin 2018 @ 17:31
Robespierre,
Pierre-Yves,
En accord total avec vos deux commentaires.
Il faut vivre une situation pour avoir à décider quoi faire.
limaya
7 juin 2018 @ 05:36
J »applaudis pleinement Pierre-Yves votre com. .C’est sa vie oh combien privée , qui ne regarde qu’elle , au diable les ronflonflons et radotages qu’on peut lire si souvent sur le site
Marie1
7 juin 2018 @ 22:47
Je partage votre commentaire
Zorro
8 juin 2018 @ 14:39
Je pense qu’il ne faut pas personnaliser cette question. Il ne s’agit pas de savoir si Madame X pourra élever seule une enfant ou si l’enfant Y sera épanoui au sein de cette « famille ».
Ca abaisse le niveau du débat, voire le confisque car on va vite tomber dans l’émotionnel.
L’enjeu ici est de savoir si la reproduction artificielle (et non la procréation médicalement assistée), est de la médecine ou bien du commerce destiné à satisfaire tous les désirs, et parfois délires, des individus.
Pour moi, le célibat n’est pas une maladie. Dans le cas de cette dame, c’est de la pure médecine de convenance (comme la chirurgie esthétique par exemple). Elle consiste à accepter tout ce qui est techniquement possible, moyennant finance sans l’ombre d’un état d’âme. Le médecin en est réduit à être un prestataire de service : on lui fait une commande et il se doit de la remplir avec exactitude. C’est donc un acte commercial et non médical : l’enfant est un bien de consommation.
La procréation artificielle est pour l’instant réservée aux femmes seules ou homosexuelles, mais la prochaine étape se sera la gestation pour autrui au bénéfice des hommes afin que eux aussi ne soient pas laissés de côté des « progrès de la science ». D’ailleurs, c’est l’argument sans cesse avancés par les lobbies en vertu du principe d’égalité. Si on autorise la procréation artificielle au bénéfice des femmes, il faudra bien en jour (quand les gens se seront habitués) à la procréation artificielle pour les hommes. Pour les progressistes, un couple homme-femme c’est la même chose qu’une paire de deux hommes ou de deux femmes. Donc, je ne vois pas pourquoi un homme célibataire ne pourrait pas devenir père célibataire lui aussi en se fabriquant un enfant via mère porteuse.
J’aimerai avoir l’avis des féministes sur la question.
Leonor
6 juin 2018 @ 09:21
Entre le titre de l’article, et la photo au chien, j’ai eu comme un instant d’ébahissement …
Bernadette
6 juin 2018 @ 13:24
Et pourquoi pas ? Elle aussi aime les animaux ! Avoir un enfant n’empêche pas d’avoir un animal !
Leonor
7 juin 2018 @ 18:38
Bernadette, ce n’est pas du tout ce que j’ai voulu dire.
Puisqu’il faut expliciter :
A.
Le titre de l’article de N&R est » » Maria Zurita évoque son bonheur d’être mère »
B.
Et on tombe tout de suite, visuellement, sur la UNE de Hola, càd. sur une photo de la dame avec …son CHIEN dans les bras.
Alors qu’on s’attend en toute logique, à la voir avec son BEBE dans les bras !
D’où l’ébahissement : A + B = …. ! !
Réflexion annexe :
1. le bébé est certes montré, mais sur une toute petite photo en encart dans un coin.
2. je serais très étonnée que la mise en page de Hola soit un hasard, ou une inattention.
Les rédac’ chefs savent très bien dire ce qu’ils veulent dire, par images, par juxtapositions d’images, par juxtaposition de courriers de lecteurs contradictoires, etc.
Damien B.
7 juin 2018 @ 16:38
En effet Leonor, il y a une dichotomie involontairement drôle entre le sujet et la principale photo illustrative :)
Opaline
6 juin 2018 @ 09:56
Elle a eu beaucoup de courage. En premier pour en parler car c’est très tabou et en second pour son parcours de FIV. Quelle en profite bien.
Dominique
6 juin 2018 @ 10:05
C’est bien joli ! Et la souffrance de vivre et grandir sans son papa ?
Robespierre
6 juin 2018 @ 11:41
Et la souffrance de vivre avec des parents brutaux, bien en couple, ou indifférents ? Mieux vaut un seul parent aimant que deux indifferents
bernadette
7 juin 2018 @ 13:50
Il y a aussi des parents unis… un couple sur deux ?
Leonor
7 juin 2018 @ 18:43
Robespierre, j’ai déjà beaucoup entendu cet argument-là.
Mais , pour moi, il ne vaut pas , cette fois.
Ces enfants dont vous parlez sont victimes de situations terribles, mais survenues au cours de la vie, comme il en est partout.
Est-ce une raison pour créer délibérément, ex nihilo , des situations à risques pour l’enfant ? Pour mettre délibérément au monde des enfants d’ores et déjà privés d’une véritable ascendance paternelle, et d’un père, avec toutes les conséquences qui s’ensuivent ?
Bien sûr, il y a des enfants qui s’en sortent. Dans les deux cas. Heureusement.
Gauthier
8 juin 2018 @ 14:10
J’en viens même à croire pour ma modeste part, très cher Robespierre, que toutes les familles qui formaient jusqu’à très récemment la « norme » sont d’office constitués de parents abusifs, brutaux ou indifférents, tant cet argument revient souvent dans le débat. Aucun de ces qualificatifs ne s’appliquant à moi, je dois donc être un mauvais père…..
Stéphane G.
12 juin 2018 @ 14:19
oui vous l’êtes
Gauthier
19 juin 2018 @ 10:37
Stéphane G., comme vous ne connaissez strictement rien à ce sujet, votre avis est de peu d’importance….
Gatienne
6 juin 2018 @ 13:21
N’anticipez pas un destin que vous ne pouvez prévoir qu’à l’aune de votre appréciation personnelle négative.
Gibbs 47
6 juin 2018 @ 17:32
Et lorsque la maman décède à la naissance ?
Claudia
6 juin 2018 @ 17:47
Ce n’est pas de grandir sans papa le problème, car Maria Zurita peut très bien se mettre en couple avec quelqu’un qui peut faire office de père…Le problème c’est que cet enfant est délibérément privé d’une moitié de ses gènes.
milou
7 juin 2018 @ 20:07
C’ est exactement cela qui me gêne, Claudia, pour ce genre de décision …du tout le fait de grandir sans père…l’entourage est important, tout autant, mais le fait de ne pas savoir d’où l’on vient…cela restera un questionnement difficile pour cet enfant…j’aurai plutôt demander à un de mes amis!!!???
ml
Gibbs 47
8 juin 2018 @ 17:16
Surtout pas milou !
Connaître la personne ?! Idem pour les dons d’ovules entre proches.
Gèrard
8 juin 2018 @ 11:24
Les gènes il les a.
monica
7 juin 2018 @ 06:40
Dominique vos mots sont excessifs…
Leonor
7 juin 2018 @ 11:24
Non, du tout. Les mots de Dominique posent une vraie question. UNE des questions de fond sur ce sujet.
Gibbs 47
8 juin 2018 @ 17:14
J’ai une amie dont le père est décédé alors que sa mère était enceinte d’elle de trois mois.
Nous en avons parlé et je lui ai demandé comment elle vivait une telle situation ?
Sa réponse « tu sais, je ne l’ai pas connu; je ne peux pas dire qu’il me manque ».
Anna Claudia
6 juin 2018 @ 10:21
Beaucoup de bonheur à cette jeune femme célibataire, qui devait avoir des raisons bien particulières, pour faire le choix d’une fécondation in vitro. Le roi d’Espagne sera-t-il le parrain de l’enfant ?
Caroline
6 juin 2018 @ 11:11
Le petit Carlos tiendra compagnie à sa mère restée célibataire. J’espère qu’elle n’a pas engagé une nounou chez elle, mais pourquoi pas une baby-sitter pour ses sorties ou son travail !
Leonor
6 juin 2018 @ 12:04
Ce n’est pas à un enfant de tenir compagnie à sa mère. Un enfant n’est pas une dame de compagnie.
Martine
6 juin 2018 @ 13:49
On ne fait pas un enfant pour vous tenir compagnie !!!
Gibbs 47
8 juin 2018 @ 17:18
Là, je suis totalement d’accord.
Robespierre
9 juin 2018 @ 11:44
Je suis d’accord avec ça. On fait un enfant toute seule sans doute parce qu’on a beaucoup d’amour à donner.
Vivier
7 juin 2018 @ 00:06
On n’élève pas un enfant pour soi et pour se tenir compagnie (cela n’a qu’un temps – les enfants grandissent vite et prennent leur envol)… Pauvre petit garçon privé de père ! Je comprends la souffrance de Maria Zurita de ne pas avoir d’enfant mais choisir d’en avoir un toute seule avec une FIV est un choix bien égoïste ! Néanmoins, maintenant que Carlos est né, je leur souhaite à tous deux tout le bonheur possible
Baia
7 juin 2018 @ 13:44
Je partage entièrement votre commentaire Vivier.
Tout comme vous, je souhaite tout plein de bonheur à la maman et à son fils.
Charlotte
7 juin 2018 @ 19:09
Le mot « compagnie »ne me convient pas.
Un enfant qu’il soit conçu au sein d’un couple hétérosexuel, d’un couple homosexuel, d’une femme seule, pour X raisons, est le même enfant.
Il correspond, du moins je l’espère à un vrai désir, non pas de se faire plaisir, mais de permettre à un être humain de s’accomplir, bien ou mal, cela personne ne peut en préjuger.
Je pense que Maria Zuritta a mûrement réfléchi et qu’elle donnera à cet enfant tout l’amour et toute la force nécessaire pour vivre.
En revanche, je ne suis pas complètement persuadée qu’il en soit de même pour tous les cas de figure et votre post Caroline lève le problème.
Anne
6 juin 2018 @ 11:18
Qui pourrait traduite exactement le titre du journal espagnol ? J y vois le mot « drama « et du coup je ne comprends rien pas ce qui est annoncé ?
La photo avec le chien est totalement inappropriée !
j21
6 juin 2018 @ 11:57
Traduction:
Maria Zurita de Borbon parle pour la première fois de son drame au dénouement heureux.
Son angoissant accouchement prématuré pendant lequel sa vie et celle de son fils furent en danger.
Elle nous montre la première photo de son bébé et nous raconte comment elle a pris la décision d’être mère par fécondation in vitro.
« Je recommencerai mille fois tout ce que par quoi je suis passée . Quand je vois Carlito, je sais que ma vie c’est lui. »
Esquiline
6 juin 2018 @ 12:14
… con final feliz …
berton
6 juin 2018 @ 17:12
« drama » car la naissance est arrivé trop tôt car le placenta s’est décroché d’ou l’urgence……
Mary
6 juin 2018 @ 18:04
Maria Zurita de Bourbon parle pour la première fois de son drame et de sa fin heureuse.
En français,on pourrait parler de « conclusion heureuse », mais bon » traduttore,traditore « .
Gérard
6 juin 2018 @ 11:37
Le bébé est né le 28 avril à vingt-neuf semaines de gestation, donc un peu plus de sept mois car Maria a subi un décollement placentaire et une césarienne d’urgence a dû être pratiquée. Le cœur et les poumons n’étaient pas matures et il souffrit de deux arrêts cardiorespiratoires. Ce fut donc de terribles moments heureusement terminés.
framboiz 07
6 juin 2018 @ 13:47
Avoir 43 ans et décider de faire un bébé seule ,c’est courageux , téméraire , audacieux ou hystérique : A vous d’en décider , mais cet enfant entre dans la vie dans les souffrances de la prématurité …
Espérons qu’elle laissera le chien pour s’occuper de lui …
Etrange impression, le chien dans ses bras et un sourire très pincé , j’aimerais lire l’article pour me faire une vraie idée …
Enfin, les enfants sont résilients …Heureusement !
Charlotte
7 juin 2018 @ 19:18
La photo de couverture peut sembler mal venue, je vous l’accorde.
Toutefois, connaissant les conditions de la naissance de ce bout de chou, il aurait été aussi mal venu de nous le présenter dans sa couveuse.
Je trouve touchante la photo en médaillon qui montre la petite main du bébé sur celle de sa mère.
Et puis pour reprendre une phrase qui m’est chère : l’amour ne se divise pas, il se multiplie.
Le petit chien ne prendra pas la place du petit homme, il sera à ses côtés.
Bernadette
8 juin 2018 @ 14:05
Bien dit Charlotte !
Karabakh
6 juin 2018 @ 13:48
« vingt-neuf semaines de gestation »
Gestation. En voilà un terme délicat pour parler de la grossesse d’une femme…
Baia
7 juin 2018 @ 13:48
Bien d’accord Karabakh … Je déteste ce mot de gestation !
Gèrard
8 juin 2018 @ 11:29
Maintenant qu’il existe des gestations pour autrui je crois que le terme de gestation peut s’employer pour les enfants.
Martine
6 juin 2018 @ 13:48
Gérard, Malheureusement le lot de complications des grossesses tardives, au détriment des enfants qui peuvent avoir des séquelles aussi bien motrices que cognitives. C est un risque que l on fait assumer aux enfants ……….
Gibbs 47
8 juin 2018 @ 17:23
Il existe des problèmes avec des mères jeunes.
Avoir un premier enfant sans problème à près de 26 ans; un deuxième avec un placenta praevia et toutes les séquelles pour l’enfant à 29 ans et demi et enfin une fille sans aucun souci à 38 ans et demi… Ne pas chercher à comprendre mais c’est du vécu.
Caroline
6 juin 2018 @ 22:59
Gérard,
Merci pour vos explications sur le mot ‘ drama’ en espagnol !
Comme Martine un, Leonor et Anne, j’ étais surprise à la vue de Maria Zurita fort souriante avec son chien !
Iris Iris
7 juin 2018 @ 07:32
J’ ignorais ces difficultés. Je leur souhaite le meilleur, à ce petit bonhomme et à sa maman.
Actarus
7 juin 2018 @ 11:26
Un de mes amis connaît une marquise espagnole qui aurait accouché au bout de dix mois. ;-) Je trouve ça suspect mais si c’est vrai, en route pour le Guinness des records ! ^^
mariejeanne
7 juin 2018 @ 12:04
Cela arrivait autrefois mais aujourd’hui, on déclenche l’accouchement.
Leonor
7 juin 2018 @ 18:48
Euh….. Allez, on va le dire ….. Selon mes parents, le bébé que j’étais a débarqué avec un retard conséquent sur les prévisions : 9 mois et 3 semaines ….
Je me suis parfois demandé s’ils ne s’étaient pas tout simplement trompés dans leurs calculs. Mais le poids qu’affichait le-dit bébé alias bibi à la naissance semble bien corroborer la chose !
PS : Ca m ‘ est un peu resté. Je suis rarement en avance !
Actarus
8 juin 2018 @ 12:00
Et votre serviteur est venu avec un mois d’avance… mais depuis j’accumule les retards. Par exemple, je suis un « handicapé sentimental », si vous voyez ce que je veux dire… ^^
;-(
Brigitte - Anne
7 juin 2018 @ 14:11
Gérard vous dîtes » Le cœur et les poumons n’étaient pas matures et il souffrit de deux arrêts cardiorespiratoires. » et à 7 mois seulement de vie intra – utérine …. cela me fait froid dans le dos ! On ne peut qu’espérer que ce petit n ‘ ait pas des séquelles de ce début de vie chaotique . Maintenant un enfant n’est pas là pour tenir compagnie ou combler une solitude .
Noriko
6 juin 2018 @ 12:04
Il n’aura pas de papa mais peut-être deux mamans… qui sait ?
bernadette
7 juin 2018 @ 13:52
Oui, ou encore plus étrange : une maman et un papa….
Opaline
6 juin 2018 @ 12:07
Oui Gérard, une pre-eclampsie. J ai eu le même parcours mais avec sperme de mon conjoint. L’issue a été différente pour moi car j’ai perdu mon petit garçon à 5 jours fin novembre dernier . Il faut savoir que ce sont des enfants encore plus désirés et choyés. Sans parler du coût.
Gèrard
8 juin 2018 @ 11:31
De tout cœur avec vous Opaline.
Gibbs 47
8 juin 2018 @ 17:26
Très sincèrement avec vous Opaline.
Mayg
6 juin 2018 @ 12:45
Je leur souhaite à tous les 2 tout le bonheur du monde.
vitabel
6 juin 2018 @ 12:53
Je fais mien le commentaire de Pierre-Yves. Bienvenue à ce petit que sa vie soit plus douce que sa naissance.
t
6 juin 2018 @ 13:16
Décision très personnelle et bonheur partagé avec Carlos.
Mais SVP la photo fait penser qu’elle a adopté un teckel pour combler sa solitude !
Leonor
7 juin 2018 @ 18:49
Connaissant les moeurs journalistiques, je suis à peu près certaine que c’est bien ce que le Rédac’chef de Hola a voulu dire. Sans le dire bien sûr. Mais à qui sait regarder…
Charles
6 juin 2018 @ 14:07
C’est étonnant pour ne pas dire choquant que l’on annonce la naissance du bébé de Maria et que sur la photo elle tient dans ses bras un chien !
D’autre part c’est triste de savoir que ce bébé sera privé de père.
Baia
7 juin 2018 @ 13:50
Champagne Charles !
Je suis entièrement d’accord avec vous !
Actarus
8 juin 2018 @ 12:05
Je vous trouve bien conventionnels tous les deux. Que vous sers-je ? Un petit homard thermidor ? ^^
Cette situation ne diffère pas de celle où un enfant grandit sans maman, morte en couches ou un peu plus tard pour toute autre raison. Ici, au moins, il n’y a pas de mort à déplorer ! Le seul bémol est que, de nos jours et dans la société occidentale, le fait d’avoir un ou des enfants procède généralement d’un choix égoïste (et à cet égard, le fait de refuser d’en avoir l’est tout autant donc, égalité comme dirait Louis-Philippe) qui s’accompagne d’un énorme investissement émotionnel.
Maria Zurita comble un vide dans son existence, elle a probablement souffert du « mal d’enfant ». Tout ce que l’on peut souhaiter est qu’elle ne devienne pas une mère possessive et abusive.
Anne-Cécile
8 juin 2018 @ 13:44
Rhoooooooooooo Charles, mais c’est avec la bénédiction des Bourbons d’Espagne sa famille!
Vous osez critiquer les grands-parents du bébé, les grands-oncles et tantes, les cousins de la mère? qui la soutiennent?
P.S : personnellement je suis convaincue que dans le même cas que cette dame je n’aurais pas fait ce choix : j’estime que je n’ai pas à imposer ce type de choix à un enfant, une absence de père comme une maladie dont j’aurais connaissance comme transmissible avant la conception de l’enfant etc…
Cycy de Montjay
6 juin 2018 @ 14:08
C’est une belle histoire que celle-ci, motivée par un désir d’enfant fort et une véritable joie d’être mère, que l’on ne peut nier.
Je souhaite beaucoup de bonheur à Maria Zurita et son petit Carlos après les épreuves traversées.
Leonor
7 juin 2018 @ 18:50
C’est quand même curieux : personne ne se demande si le bébé aurait aimé avoir un père. Un vrai, pas juste un spermato anonyme de passage.
Actarus
8 juin 2018 @ 12:08
Qu’est-ce qu’un « vrai père » ? Nombreux sont les pères biologiques qui ne sont des de « vrais pères » pour leurs enfants. Celui qui aime et élève l’enfant, qu’il en soit le père biologique ou non, voilà le vrai père.
Avec Charles et Baia, on peut dire que vous lancez un vaste débat. En tout cas ça nous change de la querelle dynastique. ;-)
Lady Chatturlante
9 juin 2018 @ 21:33
Ce n’est pas vrai.Si j’ai bien lu tout ce qui s’écrit par ici, on ne sait pas à coup sûr qui est le vrai père du roi Alphonse XII d’Espagne et du défunt comte de Paris.
Je puis vous assurer que mes jumeaux sont bien les enfants de mon mari actuel.
COLETTE C.
6 juin 2018 @ 14:31
Je souhaite beaucoup de bonheur à cette maman.r
Annmaule
6 juin 2018 @ 14:36
Donc on doit comprendre qu elle est rentree a la maison avec son petit bout et que tout va bien.si c est ca bel ete a tous les deux…
Yannick
6 juin 2018 @ 14:44
Le petit Carlos semble très intrigué par ce qui se trouve en face de lui.
Anna1
6 juin 2018 @ 15:32
Bravo à cette dame pour le choix qu’elle a fait et tant pis pour les ronchonneux . Ici je vois une photo dune dame qui date peut être d’avant la naissance du bébé alors soyez donc un peu plus cool
Leonor
7 juin 2018 @ 19:02
Ce n’est pas une question de ronchonneux : c’est une question d’éthique, et de droits de l’enfant. En la matière, à l’enfant, il lui a d’entrée été dénié un droit fondamental.
Note : Anna1, traitant les gens en désaccord avec vous de » ronchonneux », vous commettez une attaque ad hominem, même si elle est collective
Or, les attaques ad hominem s’auto-détruisent, car tout bon polémiste sait que celui qui les profère est à court d’arguments.
Lili.M
8 juin 2018 @ 17:44
Actuellement les droits de l’enfant disparaissent au profit du « droit à l’enfant ».
Charles
9 juin 2018 @ 10:39
Hélas
Anna1
12 juin 2018 @ 14:13
Je n’ai ni votre » erudition » ni votre « instruction » mais je pense que j’ai reçu une certaine « éducation » pour ne pas rabaisser les gens par votre verbiage pompeux et snobinard pour expliciter les termes que vous employez. je connais le sens du mot éthique et je suis sidérée que pour les « filles » de monaco ce mot n’a pas lieu d’être . Une fille qui fait un enfant avec un homme toujours marié vous trouvez cela normal ? Savez vous si ce dernier va bien se séparer de son épouse Et si non, reconnaitra t’il l’enfant, et s’en occupera t’il ? Dans la négative, est ce que le fait de savoir le nom de son géniteur apportera t’il un plus à l’enfant ou bien sera ce un manque encore plus grand se sachant rejeté (voir Delphine BOEL)? Donc je persiste et signe :bravo â Maria Zurita pour son choix qui n’a pas dû être aisé pour avoir enfin un bébé car elle aurait pu ne rien dire Et être « fille mère » et alors pauvre fille abandonnee par son compagnon et un tel foin n’aurait pas eu lieu! Donc sus aux ronchonneux
milou
6 juin 2018 @ 15:57
Ce bébé sera infiniment aimé…entouré, cela, espérons -le , l’aidera à grandir sans père !
Jeune femme j’ai aussi -avant de rencontrer mon époux -voulu ou penser faire un enfant toute seule…mais en en ayant eu, je peux comprendre la difficulté d’élever seule un-des enfants et je ne parle pas de cela matériellement !
ml
Baia
7 juin 2018 @ 13:55
Aie … Concernant le dernier paragraphe de votre commentaire, il y a plusieurs mois (année?) vous ne nous aviez pas vraiment décrit votre situation de la même façon !
Sarita
8 juin 2018 @ 14:19
Dites nous tout…vous préparez une biographie de Marie-Louise, n’est ce pas? ;-)
Mary
6 juin 2018 @ 17:52
Qu’elle profite des progrès de la science ne me choque pas,sinon , à quoi bon les mettre au point ?
Ce qui m’inquiète sur le devenir de ce futur jeune homme, c’est l’impact que sa mère aura dans sa vie. Je connais deux hommes ,plus ou moins coureurs , mais qui ne quittent pas maman ! L’un aménage sa nouvelle maison pour une accessibilité parfaite ( pour que maman y vieillisse sans problème ). Dois- je ajouter qu’il vit avec maman ?
L’autre affirme devant sa copine que sa mère est toujours une beauté. Je suis toujours un peu mal à l’aise quand je l’entends.
Reste un troisième cas : maman- fiston que je croise au supermarché, le vrai couple . Un jour où j’échangeais deux mots avec son fils ( » ils ont déplacé le rayon bio ? » ), la maman qui était à un mètre douze maximum, a foncé sur nous comme une torpille, le regard interrogateur. » je cherchais le rayon bio ? « , » il est au milieu du magasin « . Je la remercie et me dépêche de m’éloigner. Il m’en est resté un vif sentiment de malaise et je les évite de mon mieux .
mariejeanne
7 juin 2018 @ 12:10
Bonne approche Mary…pour entrer en contact… « ils ont déplacé le rayon bio ? »
Non, je plaisante, votre com. est intéressant mais ce ne sont pas les mamans qui ont fait des bébés toutes seules qui sont le plus dans un état fusionnel tel, nous n’avons pas assez de recul…
Il y a des mères « normales » abusives et ce de tout temps !
Leonor
7 juin 2018 @ 19:04
Rien compris. Où est le rapport ( !) entre le rayon bio et les mères abusives + fistons Tanguy ?
Mary
8 juin 2018 @ 13:50
La jalousie de la mère qui a foncé sur nous alors qu’il n’y avait pas de quoi : on est amené à échanger des phrases anodines dans un supermarché. Pas de quoi bondir ni s’affoler quand on a un fils de 40 ans, même si le pauvre avait l’air très coincé.
Actarus
7 juin 2018 @ 02:34
J’ai cru qu’elle avait mis au monde un basset. ;-)
Si c’était une fille elle aurait pu l’appeler Shirley ! ^^
Mary
7 juin 2018 @ 15:41
Hihihi Actarus… Elle pourra chanter Gold…baby !
Charlotte
7 juin 2018 @ 19:21
Comme elle avait ou a, je ne sais pas si elle est encore de ce monde, une belle voix, nos parents l’écoutaient souvent.
Gibbs 47
8 juin 2018 @ 17:31
Elle a 84 ans Charlotte et est donc toujours parmi nous !
Charlotte
9 juin 2018 @ 16:24
Merci Gibbs.
Charles
7 juin 2018 @ 21:41
Cette photo est surprenante
Annoncer à la une d’un magazine une naissance en pouponant un chien me donne une drôle d’impression de la situation de cette jeune femme.
Will34
7 juin 2018 @ 18:44
Pour ceux qui ont la chance ou qui s’embetent dans une vie conventionnelle, soyez ouvert au risque de devenir méchant….