Interview dans la presse de Stuttgart du prince de Hohenlohe-Langenburg, actuel chef de la maison princière. Le prince Philipp, Gottfried, Alexander est né à Crailsheim en 1970. Il est le deuxième enfant et fils unique du prince Kraft de Hohenlohe-Langeburg (1935-2004) et de la princesse Charlotte de Croÿ.
Il est en outre le petit-fils du prince Gottfried de Hohenlohe-Langenburg (1897-1960) et de la princesse Margarita de Grèce et de Danemark, l’une des soeurs du duc d’Edimbourg, décédée en 1981. Le prince a gardé des liens avec le duc d’Edimbourg et les Windsor. La princesse royale est sa marraine.
Le duc d’Edimbourg, adolescent, a séjourné chez sa sœur au château de Langenburg dans le land de Bade-Wurtemberg, dont il se souvient, paraît-il très bien, des moindres recoins. Le prince était alors scolarisé dans un internat à Salem.
Le prince Philipp de Hohenlohe-Langenburg a épousé en 2003 Saskia Binder avec qui il a eu trois enfants : Max (2005), Gustav (2007) et Marita (2010). 6 mois à peine après leur mariage, le prince Kraft, père de Philipp est décédé. Le couple prend alors la décision de venir s’établir au château construit en 1616 et de reprendre la gestion du patrimoine familial dont 2700 hectares de forêts. La princesse Saskia est titulaire d‘un diplôme en gestion des affaires.
Le prince et la princesse n’occupent que le deuxième étage du château. Le prince explique qu’il n’a pas été aisé de reprendre la succession de son père car ils n’avaient pour ainsi dire jamais évoqué ce moment ensemble.
Le couple princier était parmi les invités au mariage du prince William et a reçu le prince de Galles en son château. (Merci à Alberto – Source Stuttgarter)
Juliette d
19 juin 2018 @ 03:34
Que le 2e étage! Ils doivent être à l’étroit les pauvres.
Anna1
19 juin 2018 @ 12:28
Elisabeth 2 : 722 pièces à Buckingham + tous les autres châteaux sauf que partout dans ses demeures elle y a ses appartements privé tant pour DD Sussex rien que 22 pièces a Kensington pour 2, De Cambridge idem donc pq ces personnes ne pourraient elles pas occuper le 2e étage de leur château et pouvoir faire visiter le reste ? Et ont ils dit qu’ils y etaient a l’étroit ?
LPJ
19 juin 2018 @ 07:16
Le Prince a deux sœurs. L’aînée Cecile a tout d’abord epouse en France le Comte Cyril de Commarque (fpetit-fils de la Princesse Clotilde Napoleon, Comtesse de Witt), puis Apres divorce Ajoy Mani. La seconde, Xenia est l’épouse de Maximilian Soltmann.
Pierre21
19 juin 2018 @ 07:29
Ils sont aussi liés à Victoria de Hohenlohe-Langenburg, 20e duchesse de Medinaceli
Mary
19 juin 2018 @ 09:05
Nous attendons la suite avec impatience : pourquoi le deuxième étage ? Réceptions au rez – de – chaussée , bureaux au premier ?
Leonor
19 juin 2018 @ 09:18
Ici, pour les germanophones , l’interview entière , en 4 chapitres, dans Stuttgarter Nachrichten. de :
https://www.stuttgarter-nachrichten.de/inhalt.beziehungsweise-17-fuerst-philipp-und-fuerstin-saskia-zu-hohenlohe-langenburg-ich-kann-im-schloss-nicht-gut-entspannen.d2c0cea9-2473-4a6e-a450-18c67ef1e75d.html
Pas encore eu le temps de lire. Le cas échéant, vous en traduirai les traits principaux ou saillants, une nuit d’insomnie.
Alberto
19 juin 2018 @ 11:58
Oui! S il vous plaît, Leonor!
Leonor
26 juin 2018 @ 23:35
Bonjour Alberto !
Voilà, voilà…. La traduction complète, dans un post plus bas, daté d’aujourd’hui 27 juin;
Mais vous en aviez extrait l’essentiel déjà.
Le prince a beaucoup d’humour, j’ai souvent ri.
Cordialement.
Antoine
19 juin 2018 @ 09:32
Même en occupant « que » le deuxième étage, la famille doit avoir ses aises… Quel beau site !
Valerielabelle
19 juin 2018 @ 11:02
Qu’il est loin le temps où les princes étaient charmants!
Karabakh
19 juin 2018 @ 12:34
Dans cette famille, ils n’ont jamais été super beaux. Comme les Windsor en fait.
Jakob van Rijsel
19 juin 2018 @ 13:36
Mais il est peut-être tout à fait charmant, qu’en savez-vous?
Karabakh
20 juin 2018 @ 21:44
Oui, il est très gentil !
Robespierre
19 juin 2018 @ 13:44
:)
Pierre-Yves
19 juin 2018 @ 11:08
Il y a de quoi, quand on est prince allemand de cette génération, être un peu stressé en pensant à la succession de disparitions prématurées dans cette catégorie ces derniers mois.
LPJ
19 juin 2018 @ 11:49
D’autant que c’est l’époux de la cousine germaine du Prince qui est décédé accidentellement il y a quelques semaines.
Karabakh
19 juin 2018 @ 12:35
N’exagérons rien, on ne peut vivre dans la crainte permanente de la mort.
Alberto
19 juin 2018 @ 11:57
Oui! S il vous plaît!
Antoine
19 juin 2018 @ 18:09
Je présume qu’en Allemagne le majorat existe toujours pour pouvoir maintenir des domaines de cette taille d’une génération sur l’autre.
Guyard
19 juin 2018 @ 22:27
Ascendance du prince : http://geneanjou.blog.lemonde.fr/2016/03/19/les-maisons-du-gotha-hohenlohe-langenburg/
Alberto
20 juin 2018 @ 12:00
Alors il est proche cousin de Maria Vetsera par les Baltazzi!!!
Sylvie Vailland
20 juin 2018 @ 02:42
Merci Alberto.
Bonne soirée.
Leonor
26 juin 2018 @ 23:40
LE DUC ET LA DUCHESSE PHILIPPE ET SASKIA DE HOHENBURG-LANGENBURG
In StN Stuttgarter Nachrichten.de , aus Stuttgarter Zeitung
Interview de Robin Szuttor 22. Mai 2017 – 17:00
Traduction Leonor , premier jet.
Commentaire de la photo dans l’article :
Photo de Philipp zu Hohenlohe, né en 1970, dans le château qui fut tranformé en résidence renaissance en 1616. Son entreprise forestière gère 2700 ha de forêts. La duchesse Saskia, née en 1973 a grandi près du Lac de Starnberg. Ses parents sont juristes, elle-même est di)lomée en gestion des entreprises.
„ Au château, je ne parviens pas à me détendre“
Pourquoi deux personnes conviennent-elles l’une à l’autre ? Dans cette série, des couples parlent de leur vie. Aujourd’hui : le duc Philippe de Hohenlohe, et son épouse Saskia ont le devoir de s’occuper d’un héritage vieux de 800 ans, et sont régulièrement reçus à Buckingham Palace.
Langenburg – Comme dans un tableau, le château de Langenburg trône sur un éperon de montagne , au-dessus de la vallée de la Jagst. Depuis le 13e siècle, la famille de Hohenlohe vit ici. Depuis 2004, le duc Philippe et son épouse Saskia dirigent l’entreprise. Ils nous reçoivent dans le salon jaune.
StN : Duc Philippe, Duchesse Saskia, vous avez une bien grande maison.
Ph. zu H. : Mes garçons ont même récemment découvert une niche dans une tour, que je en connaissais pas. Par contre, je connais quelques coins par où se faufuler, dont ils ne savent rien ? Cela me laisse un peu d’avance.
Saskia zu H : Le lieu m’a plu dès que je suis arrivée ici la première fois. J’aime aussi le paysage alentour. Il est vrai que j’ai grandi sur les rives du lac de Starnberg. La vie y était aussi très campagnarde, j’ avais un cheval, il y avait une ferme derrière notre maison. Mais c’est un faubourg de Münich, on ne peut pas le comparer avec Langenburg.
StN: Comment fait-on un home d’un château ?
Saskia zu H. : Nous n’habitons que le deuxième étage, et encore, seulement la partie avant. Ainsi, nous sommes près les uns des autres.
Ph. Zu H. : Lorsque nous avons emménagé, nous nous sommes installé une nouvelle chambre àcoucher, et un petit séjour , où nous nous tenons la plupart du temps. Près des chambres d’enfants dans ‘l’aile nord, il y a une cage d’escalier qui va de la cave au grenier. Comme il y avait là un vent de tous les diables, nous en avons fermé le bas par une porte. C’est maintenant un peu plus confortable, quand nous allons chez nos enfants le soir, ou qu’ils viennent chez nous pendant la nuit, et qu’ils doivent passer par la cage d’escalier toute sombre.
Saskia zu H. :N’oublions pas la cuisine. Elle était auparavant pensée comme le lieu de travail de la cuisinière, un long boyau sans table. En tant que famille ducale, on ne se tenait pas, alors, dans la cuisine. Mais maintenant, nous avons une vraie cuisine à vivre , où nous cuisinons le soir pour nous , et où la famille se rassemble.
Philipp zu H. : Nos enfants n’ont absolument pas voulu de meubles historiques dans leurs chambres. Ils trouvent Ikea plus cool.
Protégez-vous vos meubles de vos enfants ?
Ph. Zu H. : Naturellement, les grands pièces sont idéales pour sauter de siège en siège sans toucher le sol. C’est un jeu que je connais bien pour l’avoir pratiqué enfant . Quand nos enfants sont une fois de plus saisis d’une attaque de défoulement , nous leur signalons que le sofa n’a pas à être transformé en trampolin et à être trop malmené . Mais je dirais : plus de choses ont été démolies ici apardes chiots que apr nos enfants.
La transmission générationnelle classique n’a pas marché.
Comment vous êtes-vous connus ?
Ph. Zu H. : Lors d’une fête à Münich, c’était en juin 2001. Nous avons constaté que nous avions tous deux fait des études de gestion d’entreprise, et en plus, que nous habitions le même bloc ( sic) , moi au n° 1, Saskia au n° 6.
Saskia zu H. : Nous nous étions déjà trouvés lors de divers événements chez des relations communes, mais ne nous étions jamais préoccupés l’un de l’autre.
Philipp zu H. : Nous nous sommes mariés en 2003. Six mois plus tard, mon père est mort subitement. Nous sommes immédiatement venus ici, pour continuer à mener l’entreprise. Au début, c’était le chaos. Toute une année, nous avons pataugé. Nous voulions d’abord continuer à mener en même temps nos firmes propres – moi mon marketing sportif, elle son fonds d’investissement. Mais c’était absolument impossible.
StN : Vous était-il tout à fait évident, que vous deviez reprendre le château ?
Ph.zu H. : Oui, j’ai été élevé ainsi. Le fils aîné reprend. Mais malheureusement, la transmission générationnelle n’a pas fonctionné. Quand je revenais à la maison, c’étaient toujours plutôt des loisirs pour moi. Mon père et moi ne parlions jamais de détails de gestion. Certes, il savait en son for intérieur qu’à terme le château ne pouvait plus être maintenu en l’état, mais il craignait le changement.
.
Saskia zu H. : C’est cela qui a dès lors été notre tâche. Chercher des voies pour réduire les dépenses courantes , et trouver de nouvelles sources de revenus.
StN. : Comment avez-vous trouvé votre nouveau rôle ?
Saskia zu H.: J’avais demandé à Philippe de me prévenir deux ans à l’avance avant de déménager un jour à Langenburg, afin que je puisse me préparer. Mais je me suis trouvée précipitée tellement vite dans cette nouvelle tâche, que je n’ai guère eu le temps de réfléchir. Mais je sais toujours encore faire toutes les choses que j’aurais bien aimé faire en tant que Saskia Binder.
Philipp zu H.: Ici, je ne parviens pas à me détendre totalement. Je ne peux évidememnt pas traverser le domaine en pantalon de jogging, quand des visites ont lieu en-bas. Non pas que j’irais courir souvent, mais c’est sûr qu’ici , je suis toujours en quelque sorte en représentation. C’est pour cela que nous nous octroyons de temps en temps le loisir de partir un peu, pour puiser de nouvelles forces.
Ou encore, les obligations sociales : j’ai tant de postes honorifiques que je ne parviens pas à tous les honorer convenablement, comme on voudrait le faire quand on est consciencieux. J’aurais jadis dû dire non. Mais à chaque fois, je pensais : mon père était chargé de cette fonction – donc, toi aussi tu vas l’accepter.
Saskia zu H. : Mais je trouve qu’au moins, nous parvenons à faire que les enfants mènent une vie normale. Ils vont au jardin d’enfants local, à l’école primaire d’ici, ils ont des amis au village. Parfois, ils s’entendent certes dire « le petit prince » , mais ça fait partie du lot.
Au début, on est évidemment un peu nerveux, sur le parquet royal
StN. : La Princesse Anne est la marraine de votre mari. Sa grand-mère était la sœur du prince Philip, l’époux de la Reine. Au mariage de William et Kate, vous étiez l’une des deux familles allemandes sur la liste des invités . A quel point vos premiers pas sur le parquet royal étaient-ils assurés ?
Saskia zu H. : Au début, on est certes nerveuse, et quelque peu intimidée. J’avais auparavant demandé à mon mari quelques conseils . Comment est-ce que je fais la révérence ? Devant qui dois-je faire la révérence ?
Philipp zu H.: Depuis, elle fait la révérence comme un as.
Saskia zu H. La Famille royale est très aimable, et vous rend la chose vraiment facile. Philip avec ses 95 ans se souvient encore d’histoires de Langenburg. Pour nous, c’est très intéressant.
Philipp zu H. Et il connaît les cachettes du château aussi bien que moi. C’est qu’il était encore à l’âge des découvertes quand il a vécu un temps ici à Langenburg.
Il y a longtemps maintenant que vous avez assimilé l’étiquette de Buckingham Palace ?
Philipp zu H. Avec le temps, il s’est développé une amitié, qui dépasse la simple relation de famille. Grâce à ,une certaine régularité des visites, cela m’est en quelque sorte devenu une routine. Il n’empêche qu’à moi aussi, il m’arrive l’un ou l’autre faux pas.
StN.: Racontez donc …
Philipp zu H. On va plutôt laisser cela .
Saskia zu H. Au mariage de William et Kate, il a demandé si on pouvait lui servir un Pimm’s – une boisson d’été à base de gin , avec de la limonade et des fruits. Le serveur lui répondit alors de manière très sophistiquée : « Nous boirons du Pimm’s le mois prochain à Ascot, Sir . «
In Thomas Manns „Buddenbrooks“ setzt Hanno in der Familienchronik einen Strich unter seinen Namen und erklärt dem ungehaltenen Vater in kindlicher Vorahnung: „Ich glaubte . . . es käme nichts mehr.“ Fürchten Sie manchmal den heiligen Zorn einer schier endlosen Ahnenreihe?
Dans les „ Buddenbrooks“ de Thomas Mann, Hanno tire un trait sous son nom dans le livre de la chronique familiale , et , dans son pressentiment d’enfant, explique à son père indigné : « Je pensais qu’il ne viendrait plus rien après. » Craignez-vous vous aussi parfois la sainte colère d’une interminable cohorte d’aïeux ?
Philipp zu H. Oui, on se rend compte de la pression intérieure, quand on réalise comment d’autres Maisons ont été forcées de vendre leurs châteaux ou de les quitter, à cause de problèmes financiers. Alors, certes, on se pose la question : Et si c’était toi, celui qui bousillera tout, au bout de 800 ans d’histoire du château de Langenburg ?
Saskia zu H. Au début, nous avons tourné la question dans tous les sens , nous nous sommes creusé la tête sur toutes les hypothèses : renoncer, pour épargner un jour ce pas à nos enfants ? Continuer, pour éviter qu’un jour ils nous reprochent : « Pourquoi nous avez-vous privés de la chance , d’en faire peut-être quelque chose ? » Le plus important est qu’un jour, nous en réussissions la transmission avec bonne conscience , de manière que la génération suivante puisse gérer sans souci.
StN. : Jusqu’à quel point vos trois enfants connaissent-ils l’arbre généalogique ducal ?
Philipp zu H . : Ils peuvent certainement dénombrer plus [ d’amis] youtuber que d‘ancêtres. J’essaie d’amener la chose de façon plus décontractée que mon père. Quand il me donnait des conférences historiques, le jeune garçon que j’étais trouvait cela ennuyeux à ch… Il était tellement expert, qu’il s’irritait souvent de mes questions : « Mais, garçon, c’est pourtant très simple ! » . Je n’ai vraiment appris tout cela que quand je suis devenu moi-même chef de Maison – quand chaque matin ici mes ancêtres portraiturés à l’huile me dévisageaient , et que pour nombre d’entre eux, je me prenais à réfléchir :« Non mais, dis voir, t’es qui, toi ? «
A onze ans, il est entré à l’internat de Salem
StN. : Votre fils aîné a maintenant 12 ans . L’heure de l’internat ?
Philipp zu H.
Je suis entré à Salem à onze ans – avant tout, parce que j’étais champion poids lourds en dyslexie. Salem m’a pris en charge avec mes problèmes, et m’a mené jusqu’au bac. Ca a été un temps formateur. Mais mes enfants ne quitteront pas la maison aussi jeunes que moi.
Saskia zu H.
Je n’ai pas été à l’internat, mais je pourrais l’imaginer pour mes enfants – à condition qu’ils le veuillent, eux. Pour Max, ce serait encore trop tôt maintenant. Mais qui sait, dans deux ans peut-être, il sera mûr pour cela.
StN.: Y a-t-il aujourd’hui plus de chaleur familiale au château ?
Philipp zu H. Oui, c’est le cas.
Il faut bien réaliser avec quelle conscience de leur rôle mes grands-parents ont encore été élevés. Pour mémoire, ma grand-mère était née princesse de Grèce , sa belle-mère était une petite-fille de la Reine Victoria et du tsar Alexandre II. Mes grands-parents paraissaient chaque soir au dîner en smoking et robe du soir. Le style de cour allait jusqu’à cela : mon grand-père essayait de parler à mon père exclusivement en français – ce qui n’a que moyennement fonctionné. Moi non plus je ne me souviens pas, que mon père se soit jamais assis au bord de nos lits d’enfants. Je dis cela sans reproche. Cela ne nous a pas empêchés d’apprendre, nous, à le faire.
StN.: En bref, qu’aimez-vous chez l’autre ?
Philipp zu H. Elle est très décontractée.
Saskia zu H. Son humour.
StN.: Que n’aimez-vous pas du tout ?
Philipp zu H. Qu’elle s’en fiche complètement, quand le FC Bayern perd
Saskia zu H. Qu’il ait peur des chevaux. Alors que monter est mon hobby préféré.
Philipp zu H. Ce qui la dérange aussi beaucoup , c’est que je sois meilleur en ski qu’elle.
Saskia zu H. Si seulement c’était le cas ….
Fin de traduction.
NB : C’était très amusant à traduire. Le prince a beaucoup d’humour !
Alberto
28 juin 2018 @ 06:17
Merci beaucoup Leonor!!! C est superbe!!! Quelle gentillesse!!!
Mary
30 juin 2018 @ 12:00
Merci Léonor , pour votre travail !
Très agréable lecture !
mirabelle
27 juin 2018 @ 14:22
Merci à vous Léonor ,
C’était l’un de ces petits moments drôles qui font du bien!