La dépouille du prince Pedro Luiz d’Orléans-Bragance a été remise à la famille impériale du Brésil par les autorités brésiliennes. Suite au crash de l’avion d’Air France qui reliait Rio de Janeiro à Paris, d’intenses recherches menées conjointement par les autorités brésiliennes et françaises avaient permis de retrouver une cinquantaine de dépouilles. Le prince a été inhumé dans l’intimité familiale. A noter que suite au décès du prince Pedro Luiz, la famille impériale du Brésil a reçu de très nombreuses marques de soutien de la part des Brésiliens. Les deux branches de la Famille sont également très unie suite à cette tragique disparition. (Merci à mon cher ami du Brésil pour cette information- Copyright photo : Casa imperial do Brasil)
DANIELLE
7 juillet 2009 @ 08:09
La famille pourra faire plus facilement son deuil.
MIKA
7 juillet 2009 @ 08:25
Dans leur profond malheur, la famille a eu la « chance » de récupérer le corps du Prince ; Elle pourra au moins se recueillir sur sa tombe…
Je pense à toutes ces familles qui doivent vivre chaque jour avec l’image d’un des leurs au fond de l’eau, en plein océan………………………
Renée
7 juillet 2009 @ 08:57
Désolée Danielle, mais j’ai horreur de cette expression « faire son deuil ». Comment peut-on faire le deuil de la disparition d’un être cher et encore plus lorsqu’il s’agit d’un enfant ? On continue à vivre mais la plaie ne se referme jamais, elle s’atténue peut-être avec le temps.
annie
7 juillet 2009 @ 09:27
même si la plais reste béante à jamais, les parents ont un lieu où se recueillir, ce qui n’est pas le cas des familles dont les corps sont restés en mer. les parents savent qu’il est là quant aux autres, ils ne savent pas où sont leurs proches, et ont plus de mal à croire au décès et peuvent douter de la présence de leur proche dans l’avion et toujours croire qu’il reviendra (tant qu’on n’a pas la preuve devant les yeux, on peut toujours espérer qu’il n’ait pas été dans l’avion)
lorsque le corps est rendu, les familles savent qu’il faisait bien partie des victimes et n’ont plus de doute, et le deuil peut commencer à se faire mais si cette douleur reste à vie
Charles
7 juillet 2009 @ 09:32
J’ai une pensee émue pour le prince et la princesse Antoine d’Orléans et Bragance. Je suis heureux de constater que les deux branches de la Maison du Bresil soient proches en ces moments difficiles.
Anne D
7 juillet 2009 @ 09:38
Je ne savais même pas qu’on avait pu retrouver son corps.
Renée, on dit « faire son deuil », ça ne veut pas dire qu’on oublie et qu’on est indifférent, mais en effet ça peut aider à surmonter la douleur.
DANIELLE
7 juillet 2009 @ 09:45
Renée, je crois que nous en avions déjà parler, dans ce cas, je peux dire « apaiser sa peine ».
J’approuve les propos de Milka mais je n’avais pas osé les écrire de peur d’une mauvaise interprétation.
Helka
7 juillet 2009 @ 10:00
Je partage votre avis, Renée, sur cette expression « faire son deuil ». Quand on a perdu un être cher, qu’on ait une tombe ou non, son absence est constamment présente et souvent difficile à vivre. Seule l’espérance de le revoir un jour dans l’Eternité peut adoucir la peine subie chaque jour.
minou
7 juillet 2009 @ 10:01
à Renée,
Je sais que c’est bien difficile à dire « faire son deuil », néammoins la famille d’Orléans-Bragance a bien de la chance de récupérer le corps de l’enfant mais malheureusement décédé ….
Au moins , leur fils sera présent dans la tombe familiale malgré leur chagrin …..
Une pensée toute particulière à la maman du Prince Pedro , comme toutes les mamans des enfants disparus de l’accident …
C’est déjà bien dur pour eux comme pour les autres ….
mimi
7 juillet 2009 @ 10:16
C’est un réconfort que le corps du jeune Prince ait été
retrouvé. Je me demande comment on peut continuer à vivre en sachant le corps de son enfant ou d’un être cher perdu dans l’immensité de l’océan.
On a beau plaindre ces personnes, je pense qu’il faut être dans la situation pour se rendre compte du drame que cela doit être.
Caroline
7 juillet 2009 @ 10:34
Entierement d’accord avec Mika et Annie…..et profondement emue pour tout a ce sujet!!Quelle terrible epreuve pour tous comme si je me mets a leur place!!!
Renée
7 juillet 2009 @ 11:00
ANNIE,
merci pour la leçon de français mais à MARSEILLE on déforme parfois le français
DANIELLE
7 juillet 2009 @ 11:24
Renée, un petit bonjour à Marseille, dans un mois j’en serai près.
pierre-jean
7 juillet 2009 @ 12:16
Danielle, j’espère que vous passerez un agréable séjour dans notre région, je crois qu’à Paris le temps s’est rafraîchi.
Renée
7 juillet 2009 @ 12:59
DANIELLE, bienvenue dans notre région où vous devrez vous armer pour faire face à la chaleur accablante en ce moment, surtout la nuit.
MIKA
7 juillet 2009 @ 13:18
DANIELLE (7)… du coup, je me relis, car j’ai peur que mes mots puissent avoir froissé du monde…
je crois sincèrement que dans un tel drame, il vaut mieux savoir où est le corps de son enfant (ou du parent)…En l’occurence près de soi, de sa famille et de son lieu habituel de vie…
Tout ceci n’enlève pas la conséquence, cette famille a perdu son jeune fils, à l’avenir prometteur et rien ne saurait apaiser leur souffrance, hormis la Foi….
DANIELLE
7 juillet 2009 @ 14:59
Renée, depuis très longtemps, je passe 2 semaines à ST CYR/MER en août et à la retraite, je m’installerai là bas, ma vie culturelle étant basée dans la cité phocéenne
marie louise
7 juillet 2009 @ 16:35
comme Renee,je deteste cette expression « faire le deuil » surtout pour un enfant.je pense qu on ne s en remet jamais.
Lil
7 juillet 2009 @ 22:50
Je n’aime pas cette expression « faire son deuil » cela ne veut rien dire. C’est vrai on ne s’en remet jamais, j’ai perdu ma fille Isabelle, il y aura 7 ans ce 29 juillet.
marie louise
8 juillet 2009 @ 12:24
bien avec vous,Lil.je tremble tous les jours pour mes enfants…