Point de vue de ce jour consacre un dossier de 18 pages au décès du comte de Paris avec de nombreuses photos et un tableau généalogique. Dans son introduction, Vincent Meylan écrit « Point de Vue a souhaité lui rendre hommage en racontant cette vie à nulle autre pareille, qui a débuté dans l’histoire et s’est achevée dans l’amour. »
Point de vue a également recueilli le témoignage du duc de Vendôme, nouveau Chef de la Maison de France. Le Prince Jean évoque sans détour son père, leurs rapports parfois difficiles et la personnalité attachante du prince. Le duc de Vendôme confie également que sur le plan personnel la mort du prince François a changé les choses et que les liens avec son père s’étaient apaisés.(Merci à Charles)
Mayg
30 janvier 2019 @ 13:27
« Nouveau Chef de la Maison de France. » ? Dans ses rêves …
Gérard
31 janvier 2019 @ 18:22
Dans nos têtes et nos cœurs aussi. Orléans, Beaugency, Notre-Dame de Cléry, Vendôme, Vendôme ! Maurice Fanon ajoutait en 1968 Et ce soir à Paris !
Mayg
1 février 2019 @ 14:19
Parlez pour vous mais pas pour tout le monde.
Gérard
1 février 2019 @ 20:08
Ah je croyais Mayg que vous étiez très Orléans. Me serais-je trompé ?
Cosmo
1 février 2019 @ 09:47
En tous cas pour un certain nombre de monarchistes français !
Mais il est vrai que certains, dont vous, préfèrent aller le chercher dans son beau pays, l’Espagne.
Cosmo
Mayg
1 février 2019 @ 14:23
Pas besoin d’aller chercher qui que ce soit, quand quelqu’un est par sa naissance même, chef de la Maison de Bourbon. Qu’il vive sur la lune ou sur mars, il est et demeure l’ainé de tous les Bourbon. Les Orléans n’étant que la branche cadette, et ce quelque soit leur lieu de vie.
Gérard
1 février 2019 @ 20:10
C’est l’aîné des Bourbons mais cette situation ne lui donne aucun droit particulier.
Cosmo
2 février 2019 @ 09:40
Mais, c’est de la discrimination. En quoi les cadets vaudraient-ils moins que les aînés ?
Vous connaissez le dicton : « Qui va à la chasse, perd sa place « . Philippe V est allé chasser en Espagne, il a perdu sa place en France. Et vous n’y changerez rien. Et je ne vois pas en quoi cela vous contrarie.
aubert
3 février 2019 @ 10:49
votre première phrase montre à quel point l’idée de royauté héréditaire est aujourd’hui obsolète.
Pierreo
2 février 2019 @ 18:53
En Espagne on en est même réduits à accoucher a New York pour éviter la France…. il est temps d’ouvrir Les yeux…
Mary
30 janvier 2019 @ 13:28
Bien sûr, bien sûr, nous croyons à cet apaisement et à cette réconciliation. La preuve ? Les magnifiques photos empreintes de tendresse prises lors du baptême de la princesse Jacinte, le comte de Paris, radieux, tenant sa petite- fille dans les bras et ses quatre autres petits-enfants pendus à ses basques…quelle émotion !
Moine Eric
30 janvier 2019 @ 13:35
Merci, Point de Vue pour ce numéro hommage au Comte de Paris et Duc de France et Chef de la Maison Royale de France, j’ai hâte de l’acheter et le lire ! ….Je ne sais pas si, le Prince Jean de France Duc de Vendôme relèvera aussi le titre de Duc de France qui était aussi le titre d’Hugues Capet ancêtre du nouveau Chef de la Maison Royale de France ? ….
Muscate-Valeska de Lisabé
30 janvier 2019 @ 13:38
Ce sont des nouvelles apaisantes au seuil de l’inhumation de Monseigneur.
J’espère de tout mon coeur que Michaela pourra assister aux obsèques de son époux. Sinon,cela me laissera un doute et une amertume quant à la place qui lui est accordée dans cet adieu,pourtant légitime.
clement
30 janvier 2019 @ 14:05
Je suis heureuse d’apprendre que les choses s’étaient apaisées entre le père et le fils, de ce fait la séparation est moins douloureuse , pas de regrets ,pas de remords , le fils va pouvoir reprendre le flambeau un peu plus sereinement et penser à son père avec plus de tendresse quand le chagrin sera moins lourd .
patricio
30 janvier 2019 @ 14:06
Je pense acheter ce numéro, bien que j’ai abandonné point de vu depuis de très nombreuses années.
Je le garderais en souvenir du comte de Paris.
amitiés
patricio
Pierre-Yves
30 janvier 2019 @ 14:07
Les articles de PdeV sur le défunt font ressortir sa personnalité sensible, sa difficulté (son incapacité, même) à être celui que son père voulait qu’il soit, et l’inflexibilité dudit père, son mariage malheureux avec une princesse qui ne comprenait pas ses aspirations et sa personnalité, l’absence de vraie communication dans le couple, l’épreuve des enfants handicapés qui a aussi contribué à l’éloignement.
On a le sentiment, du coup, que le fait pour le prince de quitter la mère de ses enfants pour Micaela était tout sauf un coup de tête, mais quelque chose d’inévitable, une manière de se sauver et de revivre.
La duchesse Marie-Thérèse en a fait les frais, mais n’étant point sotte, elle devait bien sentir que ce mariage partait irrésistiblement à vau l’eau. Malgré tout, ses convictions religieuses lui ont fait considérer qu’il devait tenir coûte que coûte.
Et puis, il y avait les enfants. C’est ainsi qu’aux yeux de tous, Henri a été durablement perçu comme un déserteur, alors qu’il faut quand même un peu de courage pour prendre la décision radicale qu’il a prise, encourir la réprobation générale et affronter les vaches maigres.
Brigitte - Anne
31 janvier 2019 @ 17:01
Pierre Yves, vous résumez parfaitement ma pensée après avoir lu les articles de point de vue. J ai toujours eu beaucoup de » tendresse » pour cet homme et son épouse Michaela rencontrés à de nombreuses reprises lorsque j habitais Paris.
Yode
31 janvier 2019 @ 17:32
moi, aussi, je partage votre réflexion
Marquise
31 janvier 2019 @ 19:37
Commentaire sensible et tout en humanité, que je partage en tous points.
Merci Pierre-Yves.
Charles
30 janvier 2019 @ 15:34
Point de Vue a rendu un joli hommage au Prince avec de belles et nombreuses photos.
Néanmoins Philippe Séguy fait une erreur lorsqu’il écrit que le divorce du Prince a eu lieu 23 février 1977. Cette date correspond à la date du jugement de la séparation de corps du Prince et de la Duchesse Marie-Thérèse de Wurtemberg. Ce n’est que le 3 février 1984 que le Comte de Paris obtient sur sa demande le divorce, ce qui lui permet de se remarier quelques mois plus tard avec Micaela.
En visite
31 janvier 2019 @ 16:58
Si Philippe Séguy ne faisait que cette erreur, il me semble qu’il y en a d’autres. Une par exemple dans le premier article qu’il a écrit, il mentionne la croisière de 1954, et écrit que le prince avait alors 19 ans. Un simple calcul montre qu’étant né en 1933, c’était impossible et le futur comte de Paris avait déjà fêté ses 21 ans. Les deux articles de cet auteur me paraissent décousus et peu chronologiques, moins agréables que celui, remarquable de Vincent Meylan. Mis à part ces détails, un joli numéro de Point de Vue, cette semaine.
Claude Patricia
31 janvier 2019 @ 18:25
Point de vue est spécialisé dans les erreurs pour que les lecteurs les relèvent et leur écrivent pour les rectifier dans leurs courriers. Pour voir si l on a bonne mémoire, les coquins. Ils sont malins.
Brice
30 janvier 2019 @ 16:52
Point de Vue est très interessant pour une fois.
Ghislaine-Perrynn
30 janvier 2019 @ 16:56
Bien documenté PdV depuis quelque temps .
clement
30 janvier 2019 @ 17:35
A la sortie des obsèques du prince François ,on voit les deux hommes s’embrasser effectivement avec chaleur et tendresse .
Elena1
30 janvier 2019 @ 17:35
Finalement.
anae
30 janvier 2019 @ 17:36
Chef de sa maison d’Orléans..!!!!
Mais pas de France .-
audrey
30 janvier 2019 @ 17:45
Voila un journal que je vais acheter
Auberi
30 janvier 2019 @ 19:10
Acheté ! ;))
Noblesse de France
30 janvier 2019 @ 22:03
Merci à Point de Vue de nous le présenter habillé décemment, plutôt qu’avec l’une ou l’autre de ses excentricités qui – pour attachantes qu’elles puissent être parfois – ne lui rendaient pas service. Paix à l’âme de ce monsieur tristement tourmenté.
aubert
1 février 2019 @ 11:56
je renouvelle mon incompréhension quant à l’acceptation de ce pseudonyme
Gérard
1 février 2019 @ 15:20
C’est en effet un pseudonyme bien m’as-tu-vu.
Noblesse de France
4 février 2019 @ 01:27
C’est également le nom d’une page Facebook que vous pouvez consulter si le coeur vous en dit.
Leonor
1 février 2019 @ 19:37
Votre pseudo ne se mouche pas du pied.
Karabakh
2 février 2019 @ 17:06
Sacré pseudo, et dire que je me suis fait toquer et retoquer lorsque j’ai voulu, un jour, poster avec le nom de ma « dynastie ». Tout cela sent la poudre.
Ariane
30 janvier 2019 @ 22:59
Interview digne du duc de Vendôme, un numéro de Point de Vue à acheter
Caroline
30 janvier 2019 @ 23:28
Espérons que l’ article sur le comte de Paris soit ‘ rigoureux ‘ sur le passé du comte de Paris avec sa première femme et ses deux enfants handicapés !
aubert
1 février 2019 @ 11:17
A de nombreuses reprises Caroline, vous avez témoigné sur ce site de votre bonheur familial.
Alors ne soyez pas trop exigeante envers ceux qui n’ont pas bénéficié d’une telle chance, contentez-vous en bonne chrétienne, épouse et mère de remercier Dieu sans juger les autres. Donnez à la Charité la même place qu’à votre Foi et Priez pour ceux qui en ont besoin.
aubert
Caroline
1 février 2019 @ 13:08
Aubert,
Je partage évidemment votre exellent commentaire.
Je pense que ce n’ est pas une question de chance, mais une question d’ éducation pour accepter nos enfants handicapés. Avec bon sens et notre appui familial, on peut surmonter des épreuves durant notre vie.
Merci pour votre non- agressivité ! Bon week- end !
Stéphane G.
1 février 2019 @ 13:11
en « bonne chrétienne » ça va être dur, en pseudo dame patronnesse toute de commisération navrée, oui!
Sigismond
31 janvier 2019 @ 08:23
Il est bon de se rappeler qu’il y a tout juste 30 ans, « Point de vue » avait fait sa couverture avec une belle photo du duc d’Anjou et de Cadix, avec comme il se devait, les pleines armes de France, un beau champ d’azur aux trois fleurs de lis d’or.
Ici bien sûr, un Orléans sans armoiries puisqu’il rechignait à arborer son lambel, sauf à le repeindre en bleu.
Gérard
31 janvier 2019 @ 16:55
Le lambel Sigismond le lambel c’est comme le poumon de Molière.
Sauternes
31 janvier 2019 @ 16:56
Tout a fait, j’ai encore cet exemplaire que je garde précieusement.
En plus la couverture avait fait l’objet de grande affiches pour les kiosque à journaux, mon buraliste m’en avait mis de coté que garde jalousement.
Cette photo du prince Henri d’Orléans quoique un peu figé est réussie.
odon
2 février 2019 @ 18:58
Il est bon de s’acheter des lunettes pour enfin réaliser que Point de vue ne fait plus figurer quelques armoiries que ce soit en couverture et pour qui que ce soit…. et puisque Point de vue paraît être pour vous une référence, il vous serait profitable de ne pas vous borner à la simple consultation de la couverture. Vous y verriez que les Orleans sont considérés à juste titre comme la Maison de France que le comte de Paris en etait le chef et que son fils est à présent l’heritier De tous nos rois.
Zeugma
31 janvier 2019 @ 10:38
« Très humain, très courtois, très attentif, très bon cuisinier aussi, il avait la douceur des êtres que la vie a beaucoup blessés ». Tel est le portrait de présentation que dessine l’excellent Vincent Meylan dans le « Point de vue et images du monde » de cette semaine.
L’article est titré « Un destin d’histoire et d’amour ». (« amour » oui, mais « histoire » … )
Le défunt comte de Paris était probablement un excellent homme mais sa vie n’est au fond pas très intéressante.
Le chef de la Maison de France n’avait pas la flamboyance de son père et – contrairement à lui – n’imaginait pas restaurer la monarchie en France.
Il a donc vécu plutôt comme un particulier, apparaissant fort peu sur la scène publique ; exprimant de temps en temps des opinions politiques qu’il aurait mieux fait de garder pour lui.
Sa mère – Isabelle, comtesse de Paris – était une femme éblouissante.
Bref, cet homme charmant respirait l’ennui.
Nous vivons de toute façon une époque où il n’y a pas grand-chose pour nous faire rêver.
septentrion
31 janvier 2019 @ 11:49
J’ai beaucoup de mal à saisir le vrai sens de « Le duc de Vendôme confie également que sur le plan personnel la mort du prince François a changé les choses et que les liens avec son père s’étaient apaisés ».
Mais si la relation a pu s’apaiser, c’est tant mieux.
Gérard
31 janvier 2019 @ 18:30
C’est tout à fait naturel, le deuil rapproche ceux qui ne se voyaient pas beaucoup, ils sont touchés de leur peine commune et se souviennent des jours heureux et c’est en même temps un hommage qu’ils rendent au défunt, et pour les Chrétiens, pour ceux qui croient aux forces de l’esprit, c’est peut-être aussi un peu à l’intercession de celui-ci qu’on le doit.
Stéphane G.
1 février 2019 @ 13:13
le vrai sens c’est qu’à la mort de François le conseil de régence institué par le comte de Paris pour contrer le duc de Vendôme, tombait! donc son fils a arrêté de bouder
Bernadette
31 janvier 2019 @ 17:46
Numéro intéressant quoique le titre soit un peu « abrupt » : je pense que « disparition du Comte de Paris » aurait été plus adéquat…
Leonor
1 février 2019 @ 19:36
. Non. Il n’a pas disparu. Il est mort.
Une femme de ménage est une femme de ménage, pas une technicienne de surface.
Un facteur est un facteur, pas un préposé.
Et un ballon, c’est un ballon, pas un référentiel bondissant
Charlotte AL
3 février 2019 @ 14:39
A retardement, Leonor, mais en parfait accord avec vous !
La « disparition ! » un coup de baguette magique ne le fera pas réapparaître, comme vous ces formules censées gommer la réalité me font bondir, mais je ne suis pas une référence !
josaintvic
31 janvier 2019 @ 17:46
Apaisé, j’espère mais le comte de Paris ne semble pas avoir été convié aux baptêmes de ses petits enfants, ni même avoir reçu ses petits enfants Liechtenstein pour des vacances……je peux me tromper bien sur
Jean Pierre
31 janvier 2019 @ 17:52
Ayant renoncé à lire PdV depuis longtemps, je ne l’achèterai pas plus aujourd’hui.
A lire les ressentions qu’en font ceux qui l’on lu j’ai l’impression que tout tourne autour d’un portrait psychologique et des relations avec ses parents ou ses enfants. Mais n’y a-t-il rien d’autre à dire ? Sa pensée, son action ?
Claude Patricia
31 janvier 2019 @ 18:30
Un bel hommage. Beaucoup de souffrances pour un homme marqué par un couple parental hors du commun qui ne lui a pas fait de cadeau. Mais il a pu rencontrer celle qui serait le soleil de sa vie.
Soline Robert
31 janvier 2019 @ 18:55
Charles, s’il vous plait, donner son titre à Madame la comtesse de Paris comme vous le donnez à la duchesse de Montpensier . Jamais vous ne parlez de « Marie-Therese », par contre vous parlez de la « princesse Micaela » quand ce n’est pas Micaela tout court.
J’ai une grande admiration pour cette femme qui a su aimer et comprendre le comte de Paris. Elle est restée digne et discrete alors qu’elle était rejetée par sa belle famille. J’espère que le duc de Vendôme lui donnera la place qui lui revient, et qu’elle mérite au sein de la Famille de France, cela ne me semble pas acquis car …quoiqu’il dise maintenant, on sent bien que le prince Jean a toujours eu du ressentiment envers son père . Jamais Monseigneur n’était présent à un baptême de ses petits-enfants.
Je ne sais si le prince Henri était amoureux de Marie Therese de Wurtemberg, mais elle, était -elle amoureuse de lui ? après avoir refusé de l’épouser une première fois…Ce premier mariage du comte de Paris ressemble vraiment à une union arrangée .
Le comte et la comtesse de Paris s’aimaient et se respectaient, c’était visible aux yeux de tous
Chambordien
31 janvier 2019 @ 20:06
C’est une page d’histoire qui se tourne, sans doute la dernière pour l’orléanisme. En effet, Henri d’Orléans bénéficiait de l’aura de son père mort en 1999. Et de sa fortune (du moins en partie). Henri d’Orléans était donc le dernier témoin d’une époque et d’un faste maintenant révolus. De l’orléanisme, il ne reste aujourd’hui plus rien d’un point de vue politique et médiatique. C’est du passé.
Gérard
1 février 2019 @ 15:26
En effet le orléanisme est mort avec le comte de Chambord et le ralliement des monarchistes au comte de Paris.
Gérard
1 février 2019 @ 20:16
l’orléanisme.
Leonor
1 février 2019 @ 19:43
Il ne reste plus rien non plus d’un point de vue financier. Enfin, pas grand’chose.
Et Henri d’Orléans ( le défunt ici) ne semble guère, sauf dans son adolescence, avoir » bénéficié de la fortune » que son père, lui, avait héritée, puis dilapidée .
Il y eut , semble-t-il, des périodes de sa vie où le prince Henri, renié, était fort désargenté, au point de devoir vendre ses dessins pour vivre, et de faire connaissance avec les huissiers.
pierreO
2 février 2019 @ 19:13
Il faut dire qu il n’a pas eu lui la mauvaise idée d une alliance douteuse avec la fille d l’un proche ami de Chavez….. au moins a t il eu la décence de ne pas corrompre son sang pour de l’argent…
framboiz 07
1 février 2019 @ 01:51
Se quereller pour le titre de roi et cette histoire de régence était doublement vain
La France est une République.
Par ailleurs, Dieu leur a donné la pire leçon , qui soit en rappelant à Lui, tôt, trop tôt , ce frère aine ,handicapé ; De ce fait , Jean devenait dauphin et toutes les querelles tombaient d’elles-mêmes .Les protagonistes ont-ils compris la dure leçon ?
Mais ,ils ont vécu, Père et fils , séparés ou en éloignement , la plus grande partie de leurs vies. Le Père était humilié,mis sur la touche , par son père .Le fils , jeune, était ,manipulé par l’ancêtre …
*Rôle -assez pervers – du Grand Père, qui sortait l’argent , pour la bru ,laquelle , comme épouse et mère , était vexée, outragée . Il jouait les chefs de famille, quand sa propre famille était dévastée ,décor de séparation et de cocufiage , ruine ,un fils emprisonné , la veuve reçue par les La Panouse , là , le Patriarche n’intervint pas , ce fils était le dernier , marié en Ecosse , sans son avis , pourtant le petit-fils était bien orphelin , lui …
*Rôle peut-être de la famille , oncles , tantes (des deux côtés), que ça ne regardait pas …
*Ajoutons le rôle de la presse, TV et des héritages .
Tout y est pour écrire un roman balzacien des XX & XXI ème siècles
C’est un gâchis , car je suis sure que le Père et le fils se ressemblaient , s’aimaient et auraient pu s’entendre et se comprendre , sans tous ces intervenants autour, les manipulateurs …
Il aura fallu attendre un an avant la mort du père,un remariage , 4 enfants nés chez le fils , pour qu’ils se rapprochent, nous dit-on …Que de temps perdu dans une famille, qui se doit de représenter la famille modèle , chrétienne , en plus …
Fallait-il qu’il y ait des pesanteurs sociologiques , des comportements bloqués ,des forces maléfiques , pour que ces deux êtres , que je prends ,pour des personnages bons, nourris de philosophie , de saines lectures ,ne puissent se voir plus et plus vite , partager …
Le curé va pouvoir prêcher sur le thème de la réconciliation et de l’Amour,la Paix…Espérons, que le champ de reconstruction de leurs relations à tous ,n’est pas un champ de ruines …
Gérard
1 février 2019 @ 15:23
Votre présentation est caricaturale en particulier en ce qui concerne le père du défunt et ne correspond pas à la réalité d’un point de vue matériel.
framboiz 07
2 février 2019 @ 06:48
Expliquez moi, Gérard , c’était mon impression , je pense que le Comte de Paris , père s’occupait quand même de son petit-fils , même si M-Thérése a du retravailler .
Le Comte de Paris donnait une ligne, par rapport à cette histoire et la famille , apeurée ,suivait il me semble … Il ne s’occupait pas des dégâts co – latéraux sur son fils .Même si celui-ci a lui aussi causé des dommages , comme dans tout divorce conflictuel .J’ai l’impression , que le nouveau couple s’est retrouvé ostracisé …La presse nous l’a montré ainsi …
Mais, Gérard , je peux évoluer , si vous me démontrez que j’ai tort …Cela peut même être intéressant .
Une chose est sure , Jean et son père se sont peu vus pendant …des années !
Pour moi, c’est fou, entre gens sensés et pour … une chimère !
aubert
1 février 2019 @ 11:21
c’est certain que pour Sigismond le lambel n’est pas le mou du tripier.
kalistéa
1 février 2019 @ 11:34
les mauvaises langues ne sauraient flambloyer à l’occasion d’un décès…
Kardaillac
1 février 2019 @ 12:02
Je me souviens d’une réunion chez sa soeur, rue Denis-Poisson, où elle lui présentait un invité inconnu de lui, et où elle avait complété les présentations en confiant à cette personne que si la monarchie revenait en France, son frère serait roi.
A quoi, il répondit d’un « chuuuuttt ! » agacé en agitant la main de haut en bas !
CLAUDIA MI
1 février 2019 @ 12:49
Bonjour M.me Régine,
J’ai lu que Monseigneur le duc de Vendôme a parlé dans le journal de Dreux “L’Écho Républicain” de la personnalité de son père, les relations complexes entre eux, la politique…
Voici le lien à l’entretien:
https://www.lechorepublicain.fr/dreux/people/2019/01/31/le-prince-jean-d-orleans-se-livre-sur-le-comte-de-paris-mon-pere-et-moi-etions-tailles-dans-le-meme-roc_13124242.html
Merci à toi Régine, comme toujours, pour me permettre d’utiliser ce moyen pour communiquer des informations.
Claudia MI
Berton
1 février 2019 @ 15:08
Liechtenstein ????
Qui a épousé un Liechtenstein ?
Menthe
1 février 2019 @ 18:30
Mais Berton, vous oubliez que la fille aînée du défunt Comte de Paris, la princesse Marie, a épousé le prince Gundakar de Liechtenstein.
Gérard
1 février 2019 @ 20:20
Marie fille du défunt a épousé Gundakar de Liechtenstein.
Marie-Madeleine Parmentier
1 février 2019 @ 19:46
Marie, la fille aînée de Henri d’Orléans ( le défunt) et de Marie-Thérèse de Würtemberg.